Mite_Railleuse

C’est pas demain !

Ton petit bout devenu grand devrait la goûter aussi. Ne l’en prive surtout pas...

Classe...

Fais gaffe ! Si ça continue tu vas appeler ta pouf, "ma colombe", et apporter tous les matins pour le petit déjeuner, des makrouts à la délicieuse belle-mère de ton fils...

Ne jamais dire jamais. Tu t’es quand même teinte en blonde ! Si c’est pas un signe ça...

On peut aussi entendre que l’on a été maladroit, dans un contexte donné. On nous l’a tellement servi ce "je n’en suis pas mort", pour, entre autre, raconter des châtiments corporels, que ça a l’air de les minimiser et les légitimer.

Tu crois vraiment tout ce qu’il raconte ? Tsss tsss

Ben c’est un peu ce qu’il a écrit, non ?

Au début, les prêtres pouvaient se marier. C’est en... "En 325, le Concile de Nice pose officiellement le débat, sans que celui-ci ne débouche pour autant sur une prise de décision claire. Le célibat figure donc très tôt parmi les sujets de dissensions qui vont – entre autres – amener de nombreux bouleversements, tels que le schisme de 1054 entre catholiques et orthodoxes ou la réforme protestante. Jusqu’au Moyen-âge, de nombreux prêtres catholiques sont mariés en dépit des directives du Vatican, et ont des enfants. Cette dernière information amène peu à peu une dimension économique à la discussion. En effet, l’Église ne souhaite pas que ses biens se retrouvent progressivement accaparés par la descendance des prêtres." source

Ça n’a strictement rien à voir. Le célibat des prêtres a été instauré pour que l’église puisse récupérer leurs biens à leur mort.

Un "petit coup derrière la fourrure"... Je ne connaissais pas l’expression. C’est frais

J’ai répondu. Le choix. La "tradition chrétienne", n’est pas vraiment un modèle d’ouverture d’esprit. Comme toutes les traditions d’ailleurs et à plus forte raison, religieuses. Si tu penses que le recul de cette tradition sonne le glas du monde tel que tu le conçois, libre à toi. Que cela t’effraie, je le comprends. Les changements sont inéluctables. Ils empêchent la sclérose et la décadence. Que cela engendre des excès, des dérives, c’est inéluctable. Les traditions ne sont pas exemptes de ces mêmes dérives. Les anciennes comme celles à venir...

Des idées de quoi ?

Je répondais à une intervention parlant du "respect de chacun", pas de chacune. Quand il est question de "fin de l’amour", si fin de l’amour il y a, j’ai énormément de mal à l’imputer exclusivement aux femmes. Comme j’aurais la même difficulté à l’imputer exclusivement aux hommes.

Précision intéressante, instructive (?). Je ne pensais pas aux femmes en particulier, mais à tout le monde.

Au choix ?

Le sexe, ce n’est pas l’amour. C’est le sexe.

C’est ce formatage qui diabolise les relations multiples. Parle de trahison. Si à l’instar des bonobos, notre société avait été fondée sur la résolution des conflits, sur l’assise du pouvoir, par le sexe, le partenaire unique serait considéré comme une déviance.

Mais non ! Ce n’est pas une justification, je crois réellement que le poids de plein de choses nous formate. A l’insu de notre plein gré. Je le pense vraiment vraiment. Même si perso, je suis incapable d’avoir des partenaires en même temps et que je vis aussi mal que la plupart, la " trahison"...

Il ne s’agit pas de légitimer quoi que ce soit, mais d’être conscients que nous pouvons être programmés pour réagir de telle ou telle façon. Hélas...

C’est bien là que le bât blesse. Qui peut aujourd’hui nier le poids de siècles de contraintes arbitraires sur notre psyché ?

Pas besoin de mesures répressives ou d’appel de police pour condamner. Il suffit de dire son "sentiment" à son encontre, pour qu’une personne le soit. Par le tribunal populaire. Tout aussi définitif, sinon plus, qu’une action en justice.

J’ai du mal à l’appréhender. Quelle est-elle pour toi ?

Quelqu’un que je ne connais pas, m’insulte dans la rue. Je pense que c’est un con. Je juge que c’est un con. Quelqu’un que je ne connais pas, m’aide à porter mes courses. Je pense que c’est une personne sympa. Je juge que c’est une personne sympa. Quel est le distinguo ?

Parce que ce terme de "juger" est brutal, péjoratif. Serait-il plus audible s’il n’était pas associé à quelque chose de négatif ?