Paladin

Ah désolé, j'avais compris que vous parliez de la minorité blanche en Afrique du sud, pas de la minorité homosexuelle en France. Mes confuses. Oui, il est normal que cette minorité là ait des droits. Il y a minorité et minorité.

Il faut que vous soyez plus dans les faits et moins dans ce que vous pensez percevoir de ce que vous croyez lire, la politique est une chose concrète qu'il faut éviter de baser sur le champ des intentions probables éventuelles d'après trois lignes écrites ci et là.

Ce n'est pas parce-que les homosexuels sont minoritaires qu'ils ont pas le droit de revendiquer les mêmes droits que les autres.

J'aime bien "faculté intuitive" On ne cautionne pas la guerre sur la base d'une intuition. Il y a vraiment un besoin des gens à se faire manipuler, partagez-vous cette analyse, enchantan ?

Ah oui je ne l'avais pas vu. Bon ben du coup on y va.

<a href="http://www.huffingtonpost.fr/2013/12/05/en-direct6centrafrique-ex-rebelles-forces-securite-echangent-tirs-bangui_n_4391350.html?utm_hp_ref=france"> <h1> SAUVE QUI PEUT EN DIRECT - Des dizaines de morts en Centrafrique alors que l'ONU autorise une intervention française </h1> 80 cadavres dans une mosquée de Bangui... Le Président instaure un couvre-feu... 250 soldats français déployés... Lire aussi : Que se passe-t-il en Centrafrique ? On reprend tout depuis le début... http://www.huffingtonpost.fr/2013/12/05/en-direct6centrafrique-ex-rebelles-forces-securite-echangent-tirs-bangui_n_4391350.html?utm_hp_ref=france#comments

Peu importe la manière dont je réagirais : on nous sert un boniment pour intervenir dans un pays d'Afrique, point. En cherchant bien, on peut trouver autant de raison de faire la guerre à des pays étrangers qu'il y a de pays étrangers, on trouvera toujours des cons pour valider, les yeux plein de larmes, ces guerres qu'ils ne feront pas dans ces pays si exotiques. C'est un peu la même chose que ces gens qui adorent les Arabes parce-que le couscous qu'ils ont mangé à Marrakech lorsqu'ils y étaient en vacances était excellent. La culture touristiques, c'est comme la culture par bonne intention, c'est de la merde. Disons que la guerre à venir ( dans les quelques heures à partir de ce message) est sans doute à découpler de ton sujet qui se veut plus vaste , moins centré sur la question centrafricainne.

A quelques heures du vote du Conseil de sécurité de l'ONU ( à 18 h ce jeudi) qui doit adopter jeudi un projet de résolution de la France autorisant le recours à la force pour les troupes d'intervention africaines et françaises, la tension monte à Bangui. Bangui (Centrafrique), Des tirs à l'arme automatique ont rythmé la nuit à Bangui. Les soldats français patrouillent en attendant le vote ce jeudi d'une résolution à l'ONU leur permettant de faire usage de la force dans ce conflit. | (AFP/Pacome Pabandji.) 40 réactions Réagir Alors que le vote à l'ONU d'une résolution autorisant l'usage de la force en Centrafrique n'est plus qu'une question d'heures, la capitale Bangui est en proie à de nouvelles violences. Des tirs et détonations ont été entendus dans la matinée, faisant plusieurs morts et blessés. Environ 250 soldats français ont été déployés dans la foulée dans le centre-ville. SUR LE MÊME SUJET EN DIRECT. Centrafrique : 250 soldats français déployés à Bangui, jour J à l'Onu Dans le même temps, l'opération «Sangaris» se prépare. Le Ministre des affaires étrangères, invité ce jeudi matin sur BFMTV-RMC, s'est exprimé sur la situation centrafricaine. «La résolution qui sera votée ce soir au Conseil de sécurité devrait être votée à l'unanimité. C'est la deuxième résolution sur la Centrafrique, cette fois-ci, elle autorisera à faire usage de la force», a expliqué Laurent Fabius. «La décision prise, cela ira très vite», selon Fabius. La France viendra en appui de la Misca pour éviter un drame humanitaire et favoriser une transition démocratique. Une fois la décision votée, ce sera au Président de la République de prendre la décision. «La décision prise, cela ira très vite, ce sera fait bien avant les fêtes. La présence française devrait monter jusqu'à 1200 soldats. Le Parlement sera consulté, c'est légitime. Nous n'avons pas vocation à être le gendarme de l'Afrique mais le Mali était mort si nous n'étions pas intervenus», a rappelé Laurent Fabius. VIDEO. Laurent Fabius sur la Centrafrique : «Les choses vont aller très vite» Tirs à Bangui. Des tirs d'armes automatiques et des détonations plus lourdes ont été entendus à l'aube dans plusieurs quartiers de la capitale centrafricaine. Ces tirs ont débuté vers 5h30 (heure locale et française) dans la zone du PK-12, au nord de la ville, puis se sont étendus à d'autres quartiers, notamment non loin du centre, dans la zone du fleuve. «Il y a des morts et des blessés», qui ont été conduits à l'hôpital communautaire de Bangui, où MSF a dépêché une équipe médicale et chirurgicale, a indiqué le chef de la mission de Médecins sans Frontières (MSF) en Centrafrique, Sylvain Groulx, sans pouvoir donner de bilan précis dans l'immédiat. Des dizaines de blessés, certains dans un état grave, ont été hospitalisés. Selon BFM TV, des blessés présentait également des traces de coups de machettes. «Des commerces et des habitations ont été attaquées». Selon un officier supérieur de la force africaine (Misca), les tirs ont commencé après que des ex-rebelles «Séléka», intégrés dans les nouvelles forces de sécurité, ont détecté des «infiltrations» de membres de milices d'autodéfense «antibalaka» hostiles au régime, dans le quartier de Boy-Rabe, près de l'aéroport.«Des commerces et des habitations ont été attaquées, plusieurs femmes et enfants ont été rassemblées dans la mosquée de Bangui, a relaté l'envoyée spéciale de France Info, qui a pu s'entretenir avec l'Imam de Bangui. «Il y a très peu de circulation en ville car les civils sont tous retranchés» explique-t-elle. 250 soldats français déployés. «Vers 3H00, il y a eu des accrochages entre des ex-Séléka et des éléments armés non identifiés à cette heure (...) les forces françaises ont dû réagir» et «environ 250 soldats français se sont déployés dans Bangui » a annoncé jeudi le porte-parole de l'état-major des armées françaises, le colonel Gilles Jaron. «Quelques blindés Français et quelques véhicules de la Fomac, la force d'Afrique centrale, ont été aperçus mais il n'y a aucune intervention pour l'instant», expliquait à 11 heures un reporter de France Info, à quelques heures d'un vote crucial à l'Onu qui pourrait donner , notamment à l'armée française, le mandat pour intervenir. «Les 150 expatriés français ont tous reçu un sms de l'ambassade» les intimant de ne sortir de chez eux sous aucun prétexte. «Anti-balaka» contre «Séléka». Les coupables désignés sont des membres de milices d'autodéfense paysannes, les «anti-balaka» (anti-machettes). Ces groupes ont émergé depuis septembre dans le nord-ouest du pays, en réaction aux exactions sans fin d'hommes armés issus des rangs de la coalition rebelle Séléka - depuis dissoute - dirigée par Michel Djotodia qui a renversé en mars le président François Bozizé, arrivé au pouvoir dix ans plus tôt par un coup d'Etat. Les milices anti-balaka sont formées de paysans chrétiens, alors que les «Séléka» se revendiquent musulmans. Douze civils massacrés lundi. Ces événements font suite à un nouveau «massacre» perpétré par des miliciens. A une centaine de kilomètres au nord de la capitale, au moins douze civils, des éleveurs peuls musulmans, ont été massacrés à la machette dans la nuit de lundi à mardi, selon des sources militaires. Dans la même attaque, dix très jeunes enfants ont été sauvagement blessés, aux membres ou la tête, eux aussi à coups de machettes, et étaient hospitalisés mercredi à Bangui. «On voit assez régulièrement des gens blessés à la machette, mais autant en une seule fois, on ne l'a jamais vu en Centrafrique», racontait, choqué, un infirmier du complexe pédiatrique de la capitale. Le Premier ministre centrafricain Nicolas Tiangaye a dénoncé des «actes horribles, odieux». C'est un «massacre» commis par «un groupe de miliciens». Une résolution votée à l'ONU. Pour mettre un terme à cet engrenage infernal de violences qui menace de plonger le pays dans une guerre civile et affecte déjà une grande partie des 4,6 millions de Centrafricains, le Conseil de sécurité de l'ONU va adopter ce jeudi un projet de résolution de la France autorisant le recours à la force. La résolution autorise la force africaine (Misca) sur place en cours de renforcement à se déployer «pour une période de douze mois» afin de «protéger les civils et de rétablir l'ordre et la sécurité par les moyens appropriés». Selon le Premier ministre Nicolas Tiangaye, l'effectif des forces militaires qui s'apprêtent à intervenir en Centrafrique doit être "important", de l'ordre d'une dizaine de milliers d'hommes. Opération Sangaris. L'armée française a baptisé son opération "Sangaris", baptisée du nom d'un petit papillon rouge. Pour les entomologistes du monde entier, la Centrafrique est en effet le paradis des papillons où, en saison, il suffit d'emprunter une piste forestière à la sortie de Bangui pour croiser des nuages de millions de ces insectes. Mais pour les Centrafricains, de tous côtés de la population montent les mêmes appels, résumés mercredi par une requête sur un ton de supplique d'un haut cadre de l'administration hospitalière : «Les gens sont en train de mourir. On se tue. Il ne faut plus attendre. On ne peut plus attendre». http://www.leparisien.fr/international/centrafrique-des-tirs-dans-bangui-a-quelques-heures-du-vote-de-l-onu-05-12-2013-3378951.php Cette actualité fait écho avec l'autre fil de discussion à propos de l'Afrique ici même. L'Afrique est décidement le paillasson de l'occident. J'aime bien la formule "la France aux cotés des forces africaines" pour justifier un genre de partenariat hypothétique entre l'armée française et les bantous à sandales en 4X4 des milices africaines.

La république est un mode de gestion de l'Etat, ça n'est pas parce-que la république française aujourd'hui est mauvaise, mal gérée, corrompue et plus ou moins traître que l'essence même de la république devient une imposture. La critique de la république faite par les royalistes n'est pas mauvaise en soi ( les royalistes ne sont pas au pouvoir depuis tellement longtemps qu'on ne peut pas les affubler des échecs de la nation) mais ça n'est pas parce que la république n'est pas parfaite qu'elle n'est pas perfectible !

J'ai pas compris l'allusion avec l'apartheid.

Mélenchon, c'est la caution à gauche du PS. Continuer à faire croire qu'il y a peut-être une opposition à gauche du PS pour créer un stock de secours et amuser ceux qui n'ont toujours pas compris que la gauche est déjà au pouvoir. Rien que son concept de "révolution citoyenne" en dit long sur sa volonté d'arnaquer le gogo.

Le casting était mal fait, l'actrice principale n'était pas du tout télégénique et les acteurs qui jouaient sa famille ont été choisi dans une prison turque.

Rétrospectivement, quelle non-affaire tout de même.

Oui tout à fait.

C'est surtout qu'internet est dans nos vies que depuis une dizaine d'années en utilisation courante. Donc avant meetic, adopteunmec et facebook, si on voulait avoir une vie affective, il fallait prendre un risque à un moment ou à un autre, celui de jouer le jeu de la séduction ou de la drague (question de catégorie sociale) , c'est à dire de risquer un refus, une gifle même, pour parfois récolter un numéro et une histoire d'amour à la clef. Ce qui ressort de ce genre de sujet et des indignations professionnelles, c'est l'éternel mépris du prolo qui drague mal ou pas comme il faudrait, "pas dans les clous". Le bourgeois snob qui se moque de ces ouvriers qui ne savent pas écrire des poèmes et déclamer des sérénades.

Quand je lis "viol / agression sexuelle / prison " concernant une vidéo où un gamin drague ( maladroitement peut-être, mais drague tout de même) des filles de son âge, je me dis qu'on est vraiment devenue une société puritaine. On dirait les féministes américaines des années 20 qui réclamaient la prohibition, on sait ce que ça a donné. Je viens même de constater que la fameuse vidéo se voit flanquée d'un message d'avertissement " Le contenu suivant a été identifié par la communauté YouTube comme potentiellement offensant ou choquant. Il vous appartient de choisir de le visionner ou pas." On est en train de devenir aussi cons que les américain, avec toute la schizophrénie que ça implique. Youporn d'un coté, l'indignation puritaine de l'autre.