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Tequila Moor

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Tout ce qui a été posté par Tequila Moor

  1. Tequila Moor

    shaka ponk

    Toujours eu du mal avec Shaka Ponk sur leurs morceaux studio. Pourtant je suis un peu le coeur de cible de leur musique : de l'electro-rock en français avec plusieurs chanteurs, a priori ça devrait me plaire... Par contre ils ont une présence impressionnante dès qu'ils jouent live, que ce soit leurs morceaux persos ou des reprises.
  2. Exact. Image d'accroche générée par MidJourney, texte généré par ChatGPT ou plagié / traduit, voix générée par Vidnoz ou une autre IA vocale dans le genre, montage basique, vidéos ou images récupérées dans des stocks en ligne, sous-titres défilants emplis de fautes... Vraiment une vidéo de qualité ! On voit d'ailleurs ainsi que la non-séduction, ou l'imitation 2.0 du stoïcisme, est très technique également.
  3. Variation personnelle et musicale sur l'idée de noyade :
  4. Tu m’étonnes. Je ne peux déjà plus accéder à ma BAL ! C’est bon pour moi, je vais pouvoir y faire mon trou…
  5. Ouaip, c’est la lose. Obligée de draguer une nana qui a attrapé le Covid ou qui ne sent plus rien, après ça…
  6. Non, je pleure facilement. C'est horrible, une vraie maladie. En cachette, hein, bien sûr ! Rien qui ne justifie l'envoi à l'EHPAD.
  7. Il y a longtemps, oui. Hélas je suis devenu sentimental en vieillissant. Ou alors juste feignant. Ce qui fait que je ne fais d’efforts que pour celles qui provoquent quelque chose de l’ordre du sentiment chez moi. C’est moche de s’adoucir, haha.
  8. C’est pas grave. Une de perdue, 10 de retrouvées.
  9. C’est comme vous voulez, après tout. Moi je m’en fiche, je m’adapte à ma cible.
  10. Bien entendu que si. Si la dame est sensible au style littéraire, et si en plus la phrase est adaptée à sa tenue, à sa beauté ou à ses formes, ça va faire mouche. (hin hin)
  11. D'où le fait de deviner à qui on a affaire, afin de lui dire ce qu'elle a envie d'entendre. Ou, pour ne pas choquer votre sensibilité, de lui parler comme elle souhaite qu'on lui parle.
  12. Oui probablement, mais ça dépend avec qui. Vu que c'est une phrase qui appelle une répartie plus ou moins moqueuse, ce serait bonne occasion de montrer à cette "demoiselle" qu'on sait rire de soi-même.
  13. Oui, c'est pour ça que c'est technique. Heureusement, le fameux "être naturel" peut fonctionner aussi. C'est un peu la loterie : soit l'autre accepte le "naturel" qu'on lui montre, soit c'est niet. Mais ça a l'avantage de la simplicité.
  14. Sauf que ça ne marche pas avec tout le monde. Certaines vont trouver ça marrant 5 minutes, mais vont vite demander plus de spontanéité, d'autres vont trouver qu'on se fout de leur gueule. Toutes les femmes n'ont pas envie de se faire draguer par un étudiant en littérature...
  15. Bah ça dépend comment on l'entend. Cela peut tout simplement faire attention à ce qu'on lui dit & à la manière qu'on a de le dire. Par exemple (attention, caricatures à venir), savoir si elle préfère "cette tenue met délicieusement en valeur vos formes, et c'est presque douloureux de vous regarder... presque" ou plutôt "tes seins sont trop sexy, et me donnent envie d'y mettre la main... t'étonne pas si j'ai du mal à regarder tes yeux". Mine de rien, c'est important.
  16. Je pense que les gens restent bloqués par les dispositifs présentés, ce qui a tendance à leur rétrécir leur champ des possibles au niveau des décisions à prendre. Donc la masse, je ne pense pas. Peut-être un extincteur : il y en a toujours dans les musées... Cette question du dispositif qui oriente l'imaginaire des spectateurs, est d'ailleurs au coeur des installations de Marco bidule : dans le cas présent, vu qu'il rétrécit les choix offerts à "tuer" ou "ne rien faire", la grande majorité ne pensera pas à faire autre chose, car toutes les autres options demandent plus d'énergie et de réflexion. Je pense aussi qu'il est assez roublard pour étudier la législation des pays où il installe ses trucs : c'est plus simple de faire ça dans un pays où les lois pour protéger les animaux sont inadaptées à la situation, voire inexistantes. Si aucune faute ne peut retomber sur lui ou le lieu qui présente son truc, ou juste une petite amende, c'est tout bénèf... Ainsi, pour mon installation hypothétique, je pousserais le vice jusqu'à la faire installer dans un pays où le délit de non-assistance à personne en danger n'existe pas : ce serait déjà moins problématique. Et ça pousserait les visiteurs à ne pas agir pour libérer le captif, à ne rien faire, vu qu'ils n'auraient à l'esprit la peur d'aucune sanction.
  17. Pas assez radical, pas assez dénonciateur. Je propose donc une hypothétique installation d'Art Comptant Pour Chiens. Plonger Marco Evaristti dans un aquarium hermétique, rempli d'eau à 80 %, juste pour lui laisser de quoi respirer. Et lui bien sûr, entièrement nu, serait retenu au fond de l'aquarium par des chaînes, de façon à ce qu'il puisse surnager en faisant des efforts, sans moyen de s'échapper. Ceci afin d'évoquer artistiquement l'humain dans tout son ridicule, mais aussi toute sa fragilité : une métaphore puissante de la condition de notre espèce. L'aquarium serait accompagné d'un dispositif permettant de faire monter ou descendre le niveau d'eau, dispositif simpliste présentant aux visiteurs de l'installation 2 boutons : l'un pour la vidange, l'autre pour le remplissage. Il serait cependant impossible de remplir l'aquarium à plus de 95%, de même qu'il serait impossible de le vider à moins de 65%. On laisserait donc aux visiteurs la possibilité de rapprocher Marco Evaristti de la mort, ou au contraire de l'en éloigner. En quelque sorte, on ferait appel à leur sens de l'empathie, ou à celui de leur sadisme. Et il va de soi que l'aquarium serait insonorisé, de façon à ce que personne ne soit influencé par ses inévitables plaintes : seule l'IMAGE de son ridicule & de sa fragilité, en tant que métaphore, serait ici importante. Bien entendu, si l'infortuné artiste devait décéder lors de cette installation, par épuisement, crampe, noyade ou autre... la faute en incomberait à TOUS les visiteurs. Ce serait la seconde métaphore, moins visible que la première, de cette oeuvre : l'espèce humaine, collectivement, est une grosse merde.
  18. Hélas. Si votre aimable souricerie souhaite utiliser un dolmen comme respectable plug anal, je ne saurais trop conseiller à votre sérénissime souris de bien le polir ; ou bien souffrez de devoir supporter les désagréments d'une rustique rugosité, chère admirable souricière, capable à elle seule de vous ôter tout autant vos précieuses et votre fondement... Libre à vous, heureusement, de le choisir joli.
  19. Facile ! On scrute la Seine, et on vérifie si la pêche fut bonne.
  20. C'était donc "The Batman" de Matt Reeves : La suite à qui veut !
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