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Anna Kronisme

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Tout ce qui a été posté par Anna Kronisme

  1. Oui, samira, parce que la question est générale : Est-ce que vous pensez que la vie a un sens ? Nous l'avons développé ici, elle en a un. Mais, y répondre ne donne pourtant aucune réponse finalement car, tu l'as très bien exprimé, il s'agit de trouver du sens, non-pas à la vie mais à SA vie et en approfondissant, nous nous rendons-compte qu'elle en a un aussi. Donc, se poser la question "Est-ce que ma vie a un sens ?" n'est pas la bonne question. Se demander "Qu'est-ce qui fait sens dans ma vie ?" ouvre enfin la voie. Nous avons toujours le choix, shyiro, toujours.
  2. Huhuhu ! ^^ Ok ! Je te laisser jouer à touche-pipi avec tes copains, Dentelle de mots.
  3. Samira, ce que tu écris là est ambivalent, à mon idée. Vivre "dans le bonheur" évite possiblement de s'interroger sur des questions délicates comme celle qui nous intéresse dans ce sujet mais, il ne faut cependant pas oublier qu'elle peut être amenée de l'extérieur. Vouloir y répondre parce qu'une personne nous pose cette question nécessitera que l'on se la pose à son tour... Et si l'on ne trouvait aucune "raison" à tout ce bonheur ? Ne s’effondrerait-il pas ? Le bonheur est-il seulement l'absence de questionnement ? Oui, c'est sa perception qui le conduit à occulter complètement le sens que peut avoir sa vie et à en trouver à la mort... il nourrit donc son désir de mourir. Ce qu'il faut comprendre dans ce que j'ai développé quant à ces deux "énergies" contraires, c'est que si la vie d'un suicidaire n'avait réellement aucun sens, lui ni personne ne pourrait jamais le faire sortir de cet état. Il resterait suicidaire jusqu'à ce qu'il "réussisse" à ne pas se manquer. Or, il existe un nombre incalculable de personnes ayant eu des pulsions suicidaires qui sont aujourd'hui hors d'état de se nuire. Elles vivent et sont peut-être même heureuses... Elles perçoivent à nouveau le sens de leur existence et nourrissent leur désir de vivre. Le sens de leur vie n'a jamais été absent. Jamais. Est-ce plus clair ainsi ?
  4. Shyiro, ton point de vue est intéressant et soulève deux questions : pense-tu vraiment que nous soyons obligés "de causer cette douleur à autrui ? (tuer des animaux pour manger et vivre lutter/tuer d'autres humains pour avoir la richesse, le pouvoir, etc ...)" Et pour ta question concernant cette volonté intense de donner la vie malgré la mort qui séduit, y verrais-tu à nouveau une "obligation" ?
  5. Je t'ai lu et répondu, c'était sympathique. ^^ Excellente idée ! Mais pense à boire du café ! ZZZzzzzZZZZzzZZzzzz :blush: Pas mieux. Vivre avec d'autres que nous a pour exigence d'avancer à couvert. Et de dire "pardon" à tout bout de chant... Ne pourrions-nous pas nous lever et faire le tour de cette sacrée table ? Bah voilà... je constate que je ne suis pas la seule à en avoir assez de "débattre". Héhé !
  6. Anna Kronisme

    Mes mémoires

    Saligaud ! ^^ Ah non, j'ai rien dit... :blush: Je vais revenir te lire, Blaquière... parce que je n'avais pas capté ces mémoires-là et il y a déjà 3 pages ! Je baisserai mon zoom navigateur à 75%, voilà tout.
  7. Ah oui alors, en avançant dans la lecture de ce sujet, je réalise soudain que ma réponse précédente est possiblement désuète puisque ce qui te chagrine réellement, c'est cet emploi des deux termes Saussuriens par Lacan qui en dénaturerait, d'une certaine façon, le sens premier. En même temps, j'ai soulevé l'idée que sans signifiant, pas de signifié et/ou inversement. Partons sur le même principe : sans signifiant/signifié Saussurien, pas de signifiant/signifié Lacan... mais là, pas d'inversement possible... aie... comment te mettre d'accord ? ^^ Disons que De Saussure n'avait pas entendu/admis que l'inconscient est structuré comme un langage lors de ses travaux... nous pouvons admettre que sa définition est juste dans la mesure où il s'agit bien des deux faces d'une même pièce et que Lacan est venu donner un nouveau sens à ces deux faces. Chez De Saussure, elles sont "pensées/expressions", chez Lacan, elles sont "inconscient/conscient". Mhm... en fait, je laisse tomber. :D
  8. Je suis fan de cette "troisième dimension" que tu donnes à lire. Si je devais la reformuler, je dirais : Ici et maintenant. L'état de grâce...
  9. Ce qui sépare De Saussure et Lacan sur l'utilisation des termes "signifiant" et "signifié", n'est pas très sorcier... tu vas voir, tison2feu, c'est limpide. ^^ De Saussure est sur une notion consciente du langage et tout son travail est basé sur une représentation mentale. Toute production langagière passant par l'esprit, nous comprenons pourquoi il nous est appris que sans les mots, la pensée n'existerait pas. Lacan est sur une notion inconsciente du langage et là, ça change sacrément la donne ! "Tout est langage", ça veut réellement dire que TOUT est langage --> nous retrouvons l'acte manqué, par exemple. Alors, reprenons l'exemple de Rosset pour faire lien avec le fil de cette conversation. Lorsqu'il se présente dans la salle de conférence alors que Lacan est absent, nous sommes dans le domaine du signifiant. Il peut expliquer sa présence de diverses manières, en pensant, en parlant, en écrivant et même en mimant, dessinant, construisant une maquette, bref, il le peut. C'est tout à fait conscient et tu constates déjà que Lacan met le signifié et le signifiant de De Saussure dans le grand sac de son signifiant parce qu'au signifié, il lui réserve une toute autre définition. Le signifié Lacanien, ce sont les raisons inconscientes de la présence de Rosset à cette conférence vide. Nous ne savons pas ce qui a conduit Rosset à se présenter là-bas ce jour là mais, nous pourrions imaginer qu'il devait affronter cette "absence". L'absence d'un "Maître", d'un "Père", d'un "Frère", d'un "Alter ego"... qu'en savons-nous... cela ne concerne que lui. Un second exemple se basant sur un mot, histoire d'être claire. "Ce week-end, j'ai peint." Ici, "peint" est le signifiant Lacanien. Il pourrait avoir comme signifié : pain (qui se mange), pain (coup de poing) et pin, par exemple. Mais aussi révéler une confusion identitaire de la personne qui prononce cette simple phrase : si elle a peint le mur de sa cuisine, c'est pas la même chose qu'une toile artistique. Mais bon, tout ça, c'est le job de l'analyste de définir le signifié précis en fonction de l'analysant. Le signifié est tout simplement l'expression de l'inconscient au travers d'un signifiant. Sans signifiant, le signifié ne peut exister... à moins que sans signifié, il ne puisse y avoir le moindre signifiant... tiens tiens... l'oeuf ou la poule ? Qu'est-ce que j'suis vile ! M'enfin, je t'assure que tu peux retrouver toutes ces notions dans Psychopathologie de la vie quotidienne écrit par Freud... Lacan, je le répète, s'est toujours présenté comme étant celui qui a lu Freud. Donc, lire Papa pour entendre Fiston... Héhé !
  10. Le transfert est un phénomène qui n'est pas inhérent à la psychanalyse, Dentelle de mots. La transmission est continuelle en réalité. Seulement, nous ne la percevons pas toujours. Donc, même lors d'un enseignement, il y a transmission puisqu'il y a nécessairement un transfert qui s'établit du "Maître" à "l’Élève". Je précise que le "Maître" en question peut être mort lorsque "l’Élève" s'empare de son enseignement, cela n'a pas d'incidence sur la qualité du transfert. Nous pouvons facilement identifier ce transfert que je décris ici. Il va être "bon" ou "mauvais" et sera retranscris par un sentiment de "j'aime"/"je n'aime pas" ou "ça passe bien"/"ça ne passe pas du tout". Si on regarde du côté de l'école, un élève peut chuter dans une matière spécifique dès le premier trimestre alors qu'il se maintenait à un niveau correct voire bon l'année précédente. L'explication se trouve dans le transfert établi avec le professeur. Ici même, sur ce forum de discussions, nous trouvons foule de bons et mauvais transferts d'un interlocuteur à l'autre... nous ne savons pas vraiment expliquer pourquoi "ça passe bien" avec un alors que "ça ne passe pas du tout" avec un autre... même si nous sommes prompts à rationaliser à mort. En analysant tous ces liens qui s'établissent à notre insu, nous pouvons comprendre enfin la place qu'occupe le psychanalyste, à présent. Celui-ci - parce qu'il est passé "par là" et parce qu'il a acquis une connaissance solide de l'inconscient de par sa formation/transmission - est au fait de ces transferts, il les connaît, il les accueille, il les maîtrise et les renvoie à "l'autre" --> contre-transferts. Là, nous ne sommes plus dans un transfert basique mais un transfert analytique comme je l'avais précisé. Et pourquoi avais-je mis en majuscules que Lacan donne de "SA psychanalyse" ? Parce qu'il y a autant de psychanalyses que de psychanalystes et autant de psychanalyses émanant d'un seul psychanalyste avec chacun de ses analysants. Donc autant de possibilités de transferts analytiques... c'est conséquent ! La psychanalyse, même si elle contient un enseignement théorique, se veut avant tout une transmission. Et cette transmission, puisqu'elle est transférentielle, se fait tout logiquement d'inconscient à inconscient. Alors, pour lire un bouquin sur lequel est écrit Jacques Lacan, j'espère que tu as bien saisi que tu ne pourras pas te débarrasser du transfert que tu as établi avec lui... tu peux toujours le faire évoluer mais, c'est un travail de longue haleine. Il suffit simplement de passer par soi, toujours. Je ne sais pas si je suis suffisamment explicite, j'ai l'impression d'être allée un peu vite sur certaines articulations... tu me diras si "ça passe bien". :blush: "Sosie de bidet obsolète tu me fais penser à un scarabée jaune devant marron derrière j'ai fait le pari de te faire faire 3 tours dans ton slip sans toucher l'élastique sur la place de la concorde !" Désolée, c'est pas moi, c'est lui : http://insultron.fr/ :blush: Cette "Sainte Bible de l'Inculture Générale" m'a inspiré un petit écrit : La Sainte B.I.G Je ne remets pas en cause la véracité des informations contenues dans Wikipédia... tu verras... =)
  11. Ah ! J'ai effectivement oublié un point-virgule ou peut-être aurais-je dû faire deux phrases plutôt qu'une. "Ils étaient tous soumis (les gens de la salle), Rosset y compris ; et vous (deja-utilise et toi) qui ne l'appréciez guère, davantage.". Ou peut-être écrire avec ces parenthèses-ci... Je suis bienheureuse que tout ceci se termine dans la joie et la bonne humeur, tison2feu, et que tu prennes goût à lire ce bouquin qui est un pilier fondateur à la compréhension des mécanismes inconscients. Si tu veux en faire un retour, je te lirais avec plaisir... Mais si Freud a le même effet soporifique sur toi que sur moi, alors... on fera les amnésiques. Ceci-dit, c'est plus sain pour l'organisme de lire Freud que de se gaver de produits chimiques.
  12. Oui, ce serait une bonne façon d'aborder Lacan, pour un novice... d'ailleurs, plutôt que de lire les livres qui portent son nom, je conseille davantage de consulter les citations de Lacan que l'on peut trouver partout sur le net. Une phrase ou deux, pas plus... et y trouver son propre sens. Il faut tout de même préciser qu'il est le seul psychanalyste (connu et reconnu) à être aussi "énigmatique" dans sa transmission. Tous les autres ayant suivi ce chemin déjà tout tracé par Freud - qui était très scolaire - dans leurs écritures. Mais pourquoi, d'ailleurs ? Parce qu'il y a certainement une différence entre enseignement et transmission. Un psychanalyste qui explique longuement ce qu'est l'inconscient et qui va répondre à chaque question de façon élaborée, donnera un cours magistral de psychanalyse. L'intérêt ? Accumulation de connaissances théoriques -> Enseignement. Un psychanalyste qui va mettre tout un groupe en situation de transfert analytique en fonction du sujet qu'il aborde et qui va gérer ces transferts par contre-transferts tout en interprétant ce qu'il se passe ou au contraire en laissant "l'autre" se dépatouiller, donnera de SA psychanalyse. L'intérêt ? Dénouer ses affects tout en "engrangeant" de la théorie par la pratique -> Transmission. (Communication d'inconscient à inconscient, c'est de la psychanalyse appliquée). Bref, Lacan était dans la transmission et non l'enseignement. C'est mon interprétation personnelle, je le précise. Donc, à mon sens, chercher un enseignement chez Lacan, revient à fouiller les poches d'un clochard... ^^ Si on trouve un jeton pour le cadi, ça peut toujours servir, hein...
  13. Anna Kronisme

    un jour... un poème

    Bangkokienne Je reste là le corps en cendre Je pleure mon corps à vendre J'y ai vu danser tant d'hommes – chasseurs de môme Normal, c'est l'heure demain Normale, l'heur est mien Normal, c'est l'heure demain Et je reste. J'ai soigné des anxieux J'ai volé des paresseux J'ai balbutié des mots orphelins J'ai colorié autant de chagrins Pas mal, c'est l'heure demain Parce que l'heur est toujours mien Mais c'est l'heure demain. Et je reste. Je joue à mains nues Je plie sous la vertu Je me cache dans un mouchoir Je veux savoir l'heure qu'il est Je ne suis plus qu'un mouroir A trucs qu'on envie pas On est ce qu'on fait Et je le dis en corps : Ça fait des hommages aux alter ego, Des pages noires dans les cahiers secrets. A.K
  14. Oh, excuse-moi dans ce cas. Qu'est-ce qui te pose question ?
  15. Je crois que tu as pris un très beau chemin de réflexion... je t'encourage donc à continuer de te demander. A cette question, je réponds : OUI. Je n'argumente pas, volontairement. Sinon, c'est de la triche...
  16. Rhooo ! J'aurais dû savoir à l'avance que ta question était fourbe et que tu allais t'empresser de contre-argumenter en copiant-collant du Wikipédia (Sainte Bible de l'Inculture Générale). Je te laisse le soin de vérifier si tout ceci est vrai... ou pas. Cela n'a pas d'importance, pour moi, que tu sois détenteur d'une vérité qui n'importe que moi, après tout. Cependant, si nous partons d'un simple constat qu'en effet, rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme, je ne vois pas qui blâmer ou accuser d'une quelconque faute ou d'un manque de novation... il y a, à mon sens, une différence entre la découverte d'une nouvelle notion en s'appuyant sur les travaux qui nous précède et le simple plagiat. Lacan n'est pas un escroc, ne t'en déplaise (et n'en déplaise à Wiki ^^). Pour l'huile, laisse tomber, j'ai décidé d'en passer par l'auto-immolation... parce que j'ai deux mains et qu'on n'est jamais mieux servi que par soi-même.
  17. Mhm... je crois qu'il va nous falloir abandonner le "Tu ne comprends pas ce que j'écris" au profit d'un salutaire "Nous ne nous comprenons pas". Qu'en pense-tu ? Il y a, ici, une chose qui nous éloigne indubitablement, tison2feu et c'est tout simplement la psychanalyse, à mon idée. En parlant de Lacan, nous sommes dans le champ de la psychanalyse et comment aborder tout ce qui se rattache à lui d'une autre manière ? En tout cas, moi, je n'y parviens pas. Alors en ce qui concerne Rosset, je ne vais pas y aller par quatre chemin, il s'est produit pour lui ce que l'on nomme en psychanalyse, un acte manqué. Il se trouvait là alors qu'il n'aurait pas dû y être. Il aurait pu savoir "à l'avance" que Lacan ne viendrait pas et pourtant, le voici dans cette salle à "moitié pleine" au milieu de fanatiques hypnotisés. Lacan, s'il avait surgit du néant à cet instant, lui aurait rétorqué que tout acte manqué est un discours réussi. Autrement dit, s'il se trouvait là, c'est qu'il y avait une très bonne raison qu'il y soit - nous sommes dans le domaine de l'inconscient - et qu'en fouillant un peu, il auait pu tirer du sens à sa présence. Chose qu'il n'a sûrement pas faite puisqu'il s'est extrait du lot en affirmant "Eux oui mais pas moi"... et bien sûr qu'il a dû vite sortir de cette salle, s'enfuir, même ! ^^ Alors, pour comprendre l'acte manqué, je ne te renverrai pas à la lecture de Lacan mais plutôt à Freud... qui écrit bien, lui... d'ailleurs, Lacan était un orateur et non pas un écrivain... sa transmission était essentiellement orale et c'est son gendre (Miller) qui prenait des notes de façon frénétique. Bref, Freud a écrit Psychopathologie de la vie quotidienne dans lequel, nous retrouvons l'explication d'un fonctionnement surprenant de notre appareil psychique. Peut-être l'as-tu déjà lu. Mais tout ce qui nous éloigne n'explique cependant pas que tu aies pu lire, dans mes écrits, que j'ai fait dire à Rosset qu'il n'apprécie pas Lacan... J'ai écrit la chose suivante : [...] Quant à l'interprétation/conclusion de Rosset, je crois qu'il était effectivement soumis à Lacan et que cela lui a fortement déplu. [...] Donc... je me cite : "Ow ! J'écris chinois ?! ^^" (Extrait d'un autre topic) Mon humour est sûrement Chinois, par contre... il est peu compris et j'en suis toute déçue. Alors bon, je me dépense en explications (je comprends Lacan... qu'est-ce que c'est emm*rdant !) quant à ma petite phrase sur ton souhait de ne plus me lire en philo... : C'ETAIT DE L'HUMOUR. :blush: Je crois qu'aucune traduction ne fera l'affaire puisqu'il n'y a rien à traduire, tout est question d'affinités... si tout le monde s'entendait avec tout le monde alors, le langage serait mort, nous serions morts et c'est d'ailleurs le chemin que nous prenons. Je préfère que des choses me dépassent plutôt que de les dépasser, tison2feu. Ah merci ! Je pense également la même chose, vous le dites bien mieux que moi.
  18. Mais si, tison2feu, j'ai très bien compris la conclusion de Rosset... il se trouve qu'il était là-bas, comme tous les autres, à côté d'une femme qui tricotait, à attendre comme un "idiot". Alors, permets-moi seulement d'avoir à mon tour un avis quant à celui qui se pense au dessus de ses compagnons d'infortune. Si je reformule sa conclusion, je peux écrire ceci : "Nous sommes tous dans la même galère mais pas moi." Est-ce logique ? Et puis tu as raison, je n'ai pas lu son oeuvre mais je n'ai pas fait cette erreur de lui faire dire quoi que ce soit qu'il n'ait pas dit. Je me base sur cette phrase que tu nous partages, uniquement. Devrais-je me censurer, à l'avenir, concernant tous les philosophes que je n'ai pas lu ? Je n'ai pas lu Socrate ni Platon ni Nietzsche ni... arf... ! Avoue que tu ne veux plus me lire en rubrique philosophie, hein ? :blush: "Encore qu'il restera des choses de Lacan... quand on l'aura traduit en français !" <-- ça, c'est vraiment drôle, j'aime beaucoup !
  19. Nous ne lisons pas le dictionnaire de la même façon : Amour nom masculin (latin amor, -oris) - Mouvement de dévotion qui porte un être vers une divinité, vers une entité idéalisée ; adhésion à une idée, à un idéal : Amour de Dieu. - Intérêt, goût très vif manifesté par quelqu'un pour une catégorie de choses, pour telle source de plaisir ou de satisfaction. [Larousse] Ensuite, dans ce que j'ai donné en exemple, je ne cite aucun objet mais plutôt ce qui m'anime lorsque je suis face à tout ceci... et ce qui m'anime, c'est l'amour. Est-ce que je personnifie l'amour ? Après, pour ce que "je retourne en le prenant à l'envers", je ne comprends pas : Pour formuler ma réponse, je me suis basée sur ceci, écrit précédemment : Donc, on se remet à l'endroit ou bien ? ^^
  20. Stade du miroir, R.S.I (Réel, Symbolique, Imaginaire), Objet (a), etc. etc. Il faudra me couvrir d'huile... Là, c'est toi qui fait montre d’impertinence... argumente au lieu de balancer des phrases qui n'ont de sens que pour toi. Je copie-colle ce que je t'ai répondu sur un autre topic, parce qu'il faut réellement mettre un frein à tout cela. C'est ton point de vue personnel qui évolue me concernant et je trouve cela déplacé que tes opinions personnelles quant à celle à qui tu réponds viennent prendre le dessus sur une argumentation valable du sujet. Et je trouve encore plus déplacé que j'aie à y répondre pour que cela cesse. Merci d'en revenir à l'essentiel.
  21. "Ta période psychanalytique" ? Je crois que tu n'y es jamais entré. ^^ Tu ne veux/peux pas comprendre ce que j'écris avec pourtant beaucoup de simplicité... Relis-moi, quant au sens, en réponse à XYparfoisZ, notamment. C'est à toi, Dentelle de mots, que ma lubrification ne convient plus, je ne suis pas plus sèche ou moins sèche, c'est ton point de vue personnel qui évolue me concernant et je trouve cela déplacé que tes opinions personnelles quant à celle à qui tu réponds viennent prendre le dessus sur une argumentation valable du sujet. Et je trouve encore plus déplacé que j'aie à y répondre pour que cela cesse. Merci d'en revenir à l'essentiel.
  22. Pulsion nom féminin (bas latin pulsio, -onis, du latin classique pulsum, de pellere, pousser) Force à la limite de l'organique et du psychique qui pousse le sujet à accomplir une action dans le but de résoudre une tension venant de l'organisme. Larousse.
  23. A qui t'adresse-tu, deja-utilise ?
  24. Ah oui alors, ce que tu nommes "raison d'être", je le nomme Désir, nous nous croisions et finalement, nous rejoignons, XYparfoisZ. Ta question est très pertinente dans cette idée d'une transformation de la pulsion de mort en pulsion de vie... nous pourrions le voir ainsi. Mais en réalité, elles cohabitent parfaitement lorsque nous allons bien. Nous ne sommes pas constitués de l'une ou de l'autre, nous portons les deux en nous... et dans la cas du suicidaire, il y a déséquilibre, disharmonie, dysfonctionnement, problème. Nous pourrions prendre l'image de notre belle humanité. En agissant directement sur le prolongement de la vie, nous créons ce déséquilibre si particulier, ce à quoi la pulsion de mort répond par une multitude de maladies auto-immunes. Il faut bien mourir un jour... cela est dans l'ordre des choses. "La vie ne songe qu'à mourir" Lacan.
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