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Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Scénon a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
Vous vous faites une certaine idée de l'omniprésence, de l'omniscience et de l'omnipotence de Dieu, qui est peut-être illusoire. Comme je l'ai déjà écrit plus d'une fois (dans ce fil et dans d'autres), Dieu ne peut rien sans l'homme et il n'est véritablement présent que dans l'homme; entendons-nous: dans certains hommes, rares ceux-là. Encore une fois: c'est parfaitement vrai, mais ne comptez pas trop sur Dieu pour éradiquer, de ce monde soumis au péché, tout abus, tout crime, toute contrainte, toute hypocrisie, toute injustice. Cela ne l'intéresse pas. Si les hommes veulent être malhonnêtes, ils le seront, toujours et partout. C'est révoltant, sans aucun doute, mais mieux vaut ne plus se faire d'illusions sur ce qui ne changera jamais. -
Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Scénon a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
Dans toutes les grandes langues, semble-t-il, il y a eu un ou plusieurs prophètes, sages, saints: ils ont fidèlement transmis sa parole, tous ont pu les consulter, et ils ont généralement mis par écrit leur message. Vous voudriez que le roi ou l'empereur, d'un empire plus grand que celui de la Chine antique, sorte lui-même de son palais et annonce personnellement à chaque individu de son royaume ce qu'il a à communiquer à l'ensemble des gens... Il envoie toujours des messagers dans toutes les directions, et tant mieux pour ceux qui respectent son lieutenant et tant pis pour ceux qui ne prennent pas en compte ce qu'annonce l'envoyé royal. -
Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Scénon a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
Je suis perdu dans les méandres de votre raisonnement, mais ce n'est pas grave. -
Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Scénon a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
C'est vrai: il est dit qu'au jugement dernier, tous verront, les uns pour faire des bonds de joie, les autres pour se mordre les doigts de désespoir: il sera trop tard, en tout cas, pour choisir. Logique, car c'est une expérience rare. Je comprends vos propos. Dieu consent-il (ou consentirait-il) à tout ce que les hommes prétendent faire en son nom? Il paraît que le sort réservé aux faux croyants, aux faux prophètes et aux hypocrites est pire que celui des non-croyants. Pour la différence entre le sacrifice d'un non-croyant et celui d'un croyant, cela est trop théorique pour que je puisse me permettre d'y répondre. Je crois que celui qui sacrifie sa vie pour sauver celle des autres est une personne de grande valeur, de quelque confession ou absence de confession qu'il soit. Ici, je n'ai pas compris où vous voulez en venir. -
Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Scénon a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
Si Dieu ne se manifeste pas, le salut de l'homme est impossible; il peut ne pas se manifester, mais c'est tant pis pour l'homme. Suite à une expérience terrifiante que les Ecritures appellent la tardemah, et qui n'a absolument rien à voir avec les expériences de «la vie après la vie» ou autres anesthésiants qui n'instruisent en rien des redoutables mystères de l'au-delà. Au contraire, Dieu exige du prophète qu'il transmette sa parole aux autres hommes. Ceux-ci restent libres de croire ou de ne pas croire au message. Ce dernier ne nous prive absolument pas de notre liberté de chercher à découvrir cette même parole divine, car comme l'écrit saint Paul, «aspirez au don de la prophétie comme étant le plus précieux». Comme dans n'importe quel domaine du savoir, le consentement de la masse est impossible et illusoire. D'ailleurs, presque personne n'a envie de faire la connaissance de Dieu. Mais ceux qui parlent d'expérience, parlent bien tous de de la même expérience. Il ne l'est pas du tout. -
Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Scénon a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
La question n'est pas tant de savoir quel est votre ou mon avis sur ce qui convient à Dieu de faire ou de ne pas faire pour se manifester, il me semble... La question serait plutôt de savoir comment, selon ceux qui en ont fait l'expérience, il se manifeste. S'il ne peut pas le faire par l'intermédiaire de l'homme, qui est nécessairement consentant, il ne se manifestera jamais. -
Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Scénon a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
Ils n'y croient pas, ils savent ce qu'ils ont vécu. Il ne s'en manifeste pas moins uniquement par l'intermédiaire de l'homme. -
Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Scénon a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
Il le respectera si bien qu'il n'interviendra que si on le lui demande et si lui-même veut bien accéder à cette demande. -
Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Scénon a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
C'est ce que disent ceux qui ne l'ont pas expérimenté. Quant à «punition divine» et «dominer le peuple», cela n'a rien à voir: les anges ne visitent que quelques rares élus, et certainement pas ceux qui n'en ont rien à faire; ce qui, au fond, est parfaitement normal. -
Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Scénon a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
Il paraît que c'est exactement l'inverse qui se passe: celui qui reçoit sa visite, ou celle de son envoyé, est réveillé par des coups de pied au derrière. A ce moment, plus question de plaisanteries, mais l'écrasante impression que notre dernière heure est arrivée... -
(Autre prière d'Hélouia:) «Mère brillante qui êtes en tout et qui transformez les étoiles et la mer. Accordez-nous le secret de votre lumière et l'amour de votre pureté. Baptisez-nous dans l'eau et dans le feu divins, et recevez-nous dans votre sein vivant. Mûrissez-nous jusqu'à la perfection de l'amour. Mère lumineuse entourée de ténèbres. Substance de la vie et source du bonheur. Semence bénéfique de Dieu. Nourrissez nos corps, désaltérez nos âmes, éclairez nos esprits. Montrez-nous la route qui mène au Soleil bien-aimé. Lavez-nous, Mère sainte.»
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Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Scénon a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
«Dieu n'est pas une abstraction délirante de l'esprit humain, comme les descriptions de certains croyants pourraient le faire croire. C'est une réalité vivante qui se voit, qui se sent, qui se palpe, qui se goûte et qui donne la vie impérissable. N'est-ce pas suffisant et n'est-ce pas merveilleux?» -
Nos derniers messages se sont peut-être croisés une deuxième fois. Je vous réponds: je ne reproche rien à cette attitude, bien au contraire, elle est tout à fait louable! Mais où aurais-je suggéré le contraire? Mais n'est-ce pas vous qui rejetez d'avance le témoignage des prophètes? Etes-vous certain, sûr et certain, que leur science n'en est pas une? Pour ma part, je refuse de la «rejeter gratuitement».
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Nos derniers messages se sont croisés, je suppose. Vous pouvez constater dans mon message précédent que je suis assez d'accord avec vos paroles citées ci-dessus, bien qu'elles s'appliquent à mon sens aussi à bon nombre d'incroyants.
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Je vous remercie de votre franchise que j'apprécie, et je m'en veux du malentendu. Cependant, il me faut dire avec la même franchise... que je partage assez les paroles de la citation incriminée! Non que je cherche à insulter qui que ce soit, mais il me semble hélas! généralement vrai que beaucoup d'hommes se contentent de dire (et non seulement les incroyants, mais aussi la plupart des croyants!), dans le domaine religieux: «Des preuves, on attend des preuves! Montrez-le-nous!», alors que la connaissance ou science prônée par les prophètes n'est accordée, paraît-il, qu'à ceux qui la cherchent et la demandent sincèrement et candidement. Pour reprendre le parallèle (je ne sais même plus si je l'ai utilisé dans ce fil-ci ou dans un autre) avec l'astronaute qui rencontre un petit homme vert sur Mars et, de retour sur terre, jure par tous les grands dieux que sa description est authentique, fiable, sûre et certaine: il y aura toujours de très nombreux sceptiques pour lui dire: «Prouve-le-nous! Montrez-le, cet extraterrestre!» Mettez-vous à la place de cet astronaute: il aura beau leur dire: «Si vraiment vous voulez vérifier mon témoignage, il n'y a pas mille et une solutions: construisez ou faites-vous construire une fusée, allez voir dans tel coin de Mars, dans telle grotte, etc.», beaucoup lui répondront en se haussant les épaules: «C'est bien ce que nous disions: tu ne peux pas nous le prouver. Imposteur!» Mais il se peut aussi qu'un ou deux le prennent au mot et se disent: «Cette fusée, il me la faut!» et qu'ils mettent tout en œuvre pour être à même de faire la rencontre espérée. Ces quelques rares individus n'ont pas, quoi qu'on puisse penser ou dire de leur éventuelle naïveté monstrueuse, «la prétention vaniteuse de fainéants qui veulent tout connaître sans rien rechercher». C'est en ce sens, en tout cas, que je comprends les mots cités, mais toujours, croyez-moi, sans vouloir insulter qui que ce soit. Je vous renvoie à mes réponses adressées, un peu plus haut, à Dubandelaroche. En clair: je suppose, en effet, l'existence de ce qu'il s'agit de démontrer.
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Prière de Hélouia: «Père doré qui êtes partout et qui reposez dans le soleil et dans la terre sainte. Donnez-nous l'intelligence de vos formes et l'amour de votre Être. Effacez notre tache, tirez-nous de la boue où nous sommes tombés. Faites-nous semblables à la sainte Mère et engendrez-nous dans l'amour parfait. Père caché et très évident. Possesseur de la lumière éternelle. Créateur magique des mondes. Guérissez nos corps, apaisez nos âmes, libérez nos esprits. Faites-nous héritiers de la gloire où brillent vos enfants bien-aimés. Faites-le, Seigneur.»
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Non seulement je le pense mais je le dis comme vous.
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Où, bon Dieu! lisez-vous des insultes? J'exprime mon accord avec M51. Quant à la prétention vaniteuse que vous m'attribuez, de détenir la vérité, si j'ai donné quelque part occasion à cette méprise, je tiens à mettre les choses au point: je ne détiens pas la vérité, ni ne prétends la détenir. Vous devez me confondre avec un autre probablement. Je suis d'accord, et j'en sais quelque chose: cela fait des pages et des pages que j'essaie de répondre aux questions qu'on me pose, et ce n'est pas toujours facile. Quant à M51, il n'a pas posé la moindre question à qui que ce soit. Je n'en doute point. Merci de votre contribution.
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Je suis bien d'accord avec vous, car comme l'a dit un récent philosophe chrétien: «Prouvez-nous ceci, faites-nous voir cela, disent les incroyants avec la prétention vaniteuse de fainéants qui veulent tout connaître sans rien rechercher». Je peux me tromper sur le sens que vous prêtez à cette affirmation, mais je dirais c'est encore bien plus vrai que vous ne semblez le croire.
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Tant que vous partirez de ce principe, cette science vous sera évidemment inaccessible. Détrompez-vous! La plupart des croyants, aujourd'hui, ne se doutent même plus qu'une science fonde leur croyance. L'Eglise catholique elle-même a aboyé pendant des siècles contre tous ceux qui prétendaient à la science de Dieu. En fait, vous semblez avoir hérité vous-même de cette conception bien plus que vous ne croyez.
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Vu de l'extérieur, d'accord, on peut juger le phénomène de cette manière; et souvent on le fait. Mais ne vous est-il pas venu à l'esprit que, dans bien des cas, telle tradition pourrait très bien confirmer telle autre tout simplement parce que telle est bien la vérité? Faut-il nécessairement voir un «intérêt» là où certains confirment les dires des autres? Peut-être avez-vous raison. On dit que la vérité est simple. La définition du terme «science» ne dépend heureusement ni d'un vote démocratique ni d'un phénomène de mode. Le terme «science» a un sens très précis dans les écrits prophétiques, et aucune science moderne, aussi avancée et prestigieuse soit-elle, n'y changera jamais rien. On peut certes falsifier l'histoire et mentir sur le passé, mais les Anciens savaient à quoi ils accordaient le nom «science», et pourquoi.
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Je ne vois pas le moindre «intérêt» à insister sur des convergences; la plupart des auteurs qui l'ont fait ont été souvent reniés, poursuivis, persécutés et calomniés par des sectateurs fanatiques qui, légion, se croyaient, eux seuls, «dans le vrai» et qui, eux, sont en effet responsables de bien des guerres de religion. Rien de plus facile, en effet, et de quoi remplir toute une vie de chercheur... Evidemment, cette approche a un prix: abandonner tout espoir d'y trouver une quelconque vérité. Peut-être pourriez-vous envoyer une lettre recommandée, signée par les plus grands scientifiques actuels, aux prophètes qui, bien avant eux, ont eu le culot de se servir, et à de nombreuses reprises, du terme «science»? Peut-être vous répondraient-ils que la science de ces scientifiques, «ce n'est pas mal», mais qu'ils ont, eux, encore mieux à proposer: une science qui guérit de tout mal et qui ressuscite de la mort, cela vous dit?
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Ne croyez pas que je ne respecte pas votre opinion... qui est cependant une opinion. Seulement, je cherche, moi, des gens qui savent, quitte à tomber sur des imposteurs - ce que les prophètes pourraient du reste très bien être, c'est le risque à prendre. Mais pour apprendre, savoir et connaître, il me paraît simplement plus logique de me mettre à l'école de ceux qui disent ou écrivent: «Je vous dis que etc., parce que je le sais de science certaine et pour l'avoir expérimenté», plutôt qu'à quelqu'un qui me dit: «Franchement, je n'en sais trop rien, mais à mon avis... selon mon opinion... personnellement je crois que...». Si je veux connaître l'astronomie, je m'adresse à des astronomes; à la médecine, aux médecins; à l'histoire, aux historiens; etc. On peut toujours, dans ces domaines, tomber sur des charlatans, des incompétents, des amateurs, des ignorants. Pour ce qui est de Dieu, de la mort et de la résurrection, je cherche d'abord la science de ceux qui, à tort ou à raison, prétendent la posséder; cela me semble assez normal et logique. Excusez-moi de ne pas répondre plus en détail à votre message; j'espère que mes réponses faites à Zenalpha et à Guillaume comblent plusieurs lacunes. En mettant le doigt sur certaines différences, vous illustrez exactement mes propos. Les auteurs dont je parle invitent, je le répète, à mettre le doigt sur les correspondances et sur les points où il y a unanimité. Il se peut du reste que là où l'on croit voir diversité, ce n'est qu'en apparence.
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Je vous remercie, Zenalpha, d'avoir bien éclairci plusieurs notions et d'avoir fait certaines distinctions dans lesquelles je peux entièrement me retrouver. Un forum électronique exige généralement la brièveté, c'est pourquoi un certain laconisme peut parfois mener à l'obscurité, du moins aux yeux des interlocuteurs. Vous avez accepté de vous étendre un peu plus longuement là où j'aurais pu, il est vrai, le faire aussi: merci une nouvelle fois. Il ne me reste plus qu'à préciser quelques points de vue... en restant aussi bref que possible! Non, je ne fais pas d'amalgame: il existe bien une science ou connaissance que possèdent les prophètes, mais qui ne doit, certes, pas être confondue avec celle des scientifiques, au sens (trop) limité où ce dernier mot est souvent utilisé de nos jours. Ces deux types de sciences ont des points en commun, ils ont aussi des différences fondamentales; mais dans un cas comme dans l'autre, il s'agit bien de science, de savoir, de connaissance. Le hasard veut que je viens d'assister ce soir, à l'instant, à une (assez brillante) conférence universitaire faite par l'orientaliste et philologue classique Sébastien Moureau, où ces correspondances et surtout ces différences ont été bien soulignées, mais où, à aucun moment, le qualificatif de «science» appliqué à une connaissance traditionnelle a été contesté au nom de la science, disons, moderne, ou inversement. Nous pourrions en reparler. Je me contenterai ici, pour l'instant, de renvoyer à une «bête» concordance biblique: vous pourriez constater que le mot «science» ou «connaissance» (yediah en hébreu; gnôsis en grec; scientia en latin) y occupe une place de choix. En effet, le prophète est porteur de la connaissance divine, mais vous vous illusionnez si vous pensez qu'à la base de cette connaissance il n'y aucune expérience de quelque sorte que ce soit, ou du moins, si vous pensez que les écrits traditionnels ne mettent pas une expérience au départ de la science prophétique. Il y en a bien une, et elle est de taille. Je suis d'accord avec tout ce que vous dites là, mais je vais plus loin: l'Eglise ne possède même plus les principes qui devraient être les siens et qui sont ceux de la science qui l'a fondée! Elle s'est alors tournée vers une science qui, aussi respectable soit-elle, n'est pas capable de donner les réponses aux questions que de nombreux croyants se posent. C'est là son drame. Vous vous trompez sur mes «regrets»... Il est vrai que beaucoup d'hommes d'Eglise sont devenus particulièrement ignorants dans bien des domaines où ils ne devraient pas l'être, mais c'est franchement le cadet de mes soucis; surtout depuis que j'ai pu expérimenter par moi-même à quel point nombre d'entre eux sont hermétiquement fermés à toute instruction qui ne pourrait cependant que les enrichir... Mais vous semblez confondre, vous, simple érudition, louable du reste, et expérience et science prophétiques, qui ne dépendent en soi d'aucune érudition. Je suis convaincu, au contraire, que l'humanité n'a plus qu'un seul moyen pour espérer encore «s'en sortir»: un prophète. Quant à leur rôle, tous les prophètes n'ont pas eu le même: quelques-uns ont bien un rôle politique ou sociale, d'autres absolument pas. Pour le «discours rassurant», enfin, vous vous trompez lourdement: leurs messages sont souvent suffisamment menaçants pour que les autres hommes les prennent en grippe (et pas un petit peu!), et que les prophètes se plaignent ouvertement dans leurs écrits d'être envoyés par leur Seigneur à l'abattoir...
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Vous faites bien, d'autant plus qu'il n'existe probablement aucun «bouquin écrit par des “sages” millénaires en manque de reconnaissance sociale» qui vous informera sur ces anneaux. Je ferais d'ailleurs exactement comme vous: je me fierais aux clichés de satellites et aux calculs scientifiques. Sans vouloir être indiscret: pour ce qui est de Dieu, de la mort et de la résurrection, à qui vous fiez-vous? Moi, personnellement, plus à tous les auteurs qui suggèrent ou affirment en parler en connaissance de cause, et qui se confirment, se citent et se recoupent les uns les autres, qu'aux bouquins des scientifiques parfaitement respectables, en manque ou non de reconnaissance sociale, qui me parlent des anneaux de Saturne. En somme, tout cela est parfaitement normal; à chacun sa spécialité... ou ses billes.