Jacquolive

:cool:

Ce serait une bonne nouvelle pour lui dont l'héritage a été dilapidé par son père

Ah oui, et lequel ?

Il ne me semble pas que de donner la vie soit une punition, bien au contraire, en revanche, en cas de séparation, l'homme doit quitter le domicile familial, laisser ses enfants et verser une pension. La femme, en revanche touche des aides sociales où est la punition ?

Ces lettres en caractères gras, ça tire les yeux

Et c'est qui, l'extrême droite ? de quel parti Européen parlez-vous ?

Et si ma grand-mère en avait ?

Hé, hé, le seul problème, c'est que le dernier et le plus légitime des descendants de Louis XIV est le roi Juan Carlos lui-même, roi d'Espagne, devons-nous fusionner nos deux pays ?

Il fut un temps où ce n'était pas si compliqué de se débarrasser d'un monarque encombrant, un peu d'imagination Diantre ! :D

Je ne voudrais pas gâcher cette bonne humeur et surtout le rêve d'un temps révolu

Pas d'erreurs, c'est Sarko

Battez-vous, tuez-vous, mais surtout ne vous faites pas mal

Le changement ce sera lorsque le président démissionnera

Une femme n'est pas punie pour faire des enfants, au contraire elle est bénéficiaire de la solidarité nationale, un homme, non !

Mélanchon, rien que son nom me fait rire :D

On t'a sonné !

Notre régime présidentiel est déjà un peu une monarchie constitutionnelle avec la possibilité pour le peuple de faire la révolution tout les cinq ans

Qui sait si, par devoir, Nicolas Sarkozy ne deviendrait t'il pas un dictateur ?!

Peut-être la votre

Vous avez raison, je me suis égaré, je pensais aux résistants français qui ont fait dérailler des trains au risque de leur vie pour libérer notre pays de l'occupant Allemand, il fallait une dose d'abnégation , de courage, de générosité pour éliminer des ennemis au risque de leur vie. Je partais de l'idée qu'un jeune homme comme Mohamed Mehra avait eu du courage pour tuer des personnes qu'il considérait à tort comme des ennemis, c'est tout ce que j'ai voulu dire. Effectivement, tuer à bout portant des enfants innocents est impardonnable et c'est là que ma pensée m'a dépassé. Quoique, malheureusement des soldats français l'ont fait pendant la guerre d'Algérie et je n'aimerais pas être dans leur peau aujourd'hui !

Répondez bien à côté des questions, reprendre une faute mineure d'orthographe sur le texte de quelqu'un qui exprime une idée est un manque de savoir vivre qui dénote de votre illusion de vous croire supérieur aux autres, d'autre part, puisque vous le dites, je vous mets au défi de trouver une faute d'orthographe dans mes textes, au lieu de faire avancer un débat vous passez votre temps à trouver le moyen de créer une polémique sans intérêt, vous jouez sur les mots et relayez le fascisme des bien pensants qui nous gouvernent. Ecrire un texte en grande taille ne lui donne aucune valeur supplémentaire mais votre bêtise est à la hauteur de la taille des caractères d'imprimerie que vous utilisez. Enfin, pour finir, supprimer un mot dans la constitution n'empêchera pas le peuple de parler de personnes de type Asiatique, Européen, Maghrébin et n'empêchera pas, hélas les crimes racistes. Sachez que je vous laisse pour ce que vous êtes et que c'est le dernier courrier qui vous est adressé de ma part !

Vous ne manquez pas de culot, vous m'avez reproché de mettre un "S" à la fin d'un verbe conjugué à l'impératif, je vous rends juste la monnaie de ma pièce pour que vous compreniez bien ce que ça fait de se faire reprendre pour une faute d'orthographe, ensuite l'expression "exorciser sa peur ou sa solitude" est une expression populaire, après le prof d'orthographe, j'ai droit au prof de sémantique. Ecoutez bien ce que je pense: reprendre quelqu'un pour une faute d'orthographe est une faute encore plus grande, celle de manquer de respect à ceux qui s'expriment comme ils le peuvent, c'est une faute de savoir vivre, mettez-le vous bien dans la tête, ça vous resservira !

On dirait que tu la souhaites, heureusement notre constitution a prévu tous les cas de figure et si, sous la pression du peuple une motion de censure est votée à Assemblée et au Sénat, le président actuel sera obligé de démissionner et l'on organisera dans un ordre relatif de nouvelles élections.