Blaquière

C'est bien ici le sujet des Fachos ? Je viens d'en entendre une bien bonne : Une jolie journaliste qui demande à un éboueur gréviste : -- Vous aviez que vous aviez une telle CAPACITE DE NUISANCE ? Pourquoi elle ne lui a pas demandé : --Vous saviez que votre TRAVAIL était à ce point INDISPENSABLE ? Le problème des poubelles est exactement symbolique de celui de la réforme des retraites. NOUS VIVONS DANS UNE SOcIETE DE CASTES. La caste supérieure, (nos brahmanes) celles des nantis parasites et leur collaborateurs en tous genre ont besoin que des esclaves les nourrissent. Ils veulent que ces esclaves (CEUX QUI NE SONT RIEN !) travaillent PLUS LONGTEMPS POUR EUX : Normal ! Eux, ils ne savent ni ne veulent rien faire. Ils parlent, ils parlent... Ils ont la Tchatche ... La parole facile et rapide. La vérité si je mens !

La vache ! ça me troue le... Asymptote, asymptote est-ce que je vous insulte, moi ? Moi qui cuis mes pots à 1000°, Ils ne refroidiront donc jamais totalement ? Et si je mets des glaçons dans mon pichet... Non plus ? Ca ressemble un peu au paradoxe de Zénon, ça ! Car Achille rattrape toujours la tortue...

J'ai voulu faire comme toi et j'ai suspendu une sphère de 10 tonnes au plafond... Et le plafond s'est effondré ! Merci du conseil ! (Bien sûr je blague !)

Tout est bien ! Mais tu m'as inspiré un sujet... Je ne sais pas si j'arriverai au bout... si je vais pouvoir le formuler...

"La plus belle œuvre est la vie" On est d'accord ! et presque en particulier la vie animale et en particulier du particulier l'humaine. Et donc l'esprit... Je suis souvent étonné de voir des artistes qui ne peignent ou ne s'intéressent QU' aux objets... et peignent même les gens comme des objets. Exactement, méticuleusement...

Je rêve d'une... machine qui afficherait clairement ce qu'on pense quand on dit quelque chose... ce serait trop génial ! Ainsi pour le commerce.... Depuis qu'on a ces problèmes d'inflation et de prix qui explosent, les médias nous montre ces interviews des grands distributeurs. Entre autre Leclerc, Système U ou Lidl. A les entendre on est persuadé que leur souci numéro un c'est de vendre Le moins cher possible ! PAS DU TOUT ! Leur souci numéro un c'est de vendre le plus cher possible ! (et ce faisant de gagner le plus d'argent possible, évidemment) Tout en nous convainquant que c'est le contraire. Tout commerce repose sur le principe du "double baisage" : --Un : baiser la gueule d'à qui on achète --Deux : Baiser la gueule d'à qui on vend. Et je dirai même triple baisage : --Trois : baiser la gueule des concurrents. La moindre des habiletés consistant à chaque fois à démontrer le contraire... Je dis ça, je dis rien ! Mais je le dis quand même ! J'ai relu quelques post en amont. Il y est question de la douleur. Je voulais signaler une certaine douleur d'un genre un peu différent. Le matin quand on sort de la nuit noire et qu'on est ébloui par une lumière vive... cet éblouissement... c'est un type de douleur qui ne ressemble pas à l'ensemble des autres, des chocs, brulures entorses, piqûres, coupures... etc. mais c'est quand même une certaine douleur.... a mon avis... D'un type différent... Je n'y connais pas grand chose, mais pour ce qui est des poissons, dans la mesure où ils ne sont pas à sang chaud,, le fait de ressentir le froid ne leur serait pas d'une grand utilité, puisqu'ils n'ont pas de température intérieur à préserver... ?

un artiste, pauvre de surcroît

Merci ! Tu me rassures ! A mon avis, le commerce, à de rares exceptions (mais qui existe vraiment, je penses aux caravaniers par exemple qui traversaient le désert et ça c'était pas rien) c'est un truc de parasites ! Je te prends un truc à un franc et je te le revends deux ! Comme Total à EDF ! A part qu'il ne le revend pas deux francs mais trois, quatre; ou cinq ! Voilà le commerce c'est ça ! C'est parce que "l'esprit commerce" a pris le dessus (capitalisme, financiarisation) que que l'industrie, la production réelle chez nous a disparu, et disparait encore.

Oui ! Je me reconnais on peu là ! Mais c'est une tournure d'esprit "naturelle" ! Je me souviens d'un ami philosophe. Il s'amusait à clouer des bouteilles en plastique sur les portes (les vieilles portes du poulailler !) et leur mettait le feu... ça faisait une sculpture moderne; le plastique qui dégoulinait !. On s'est amusé à ça, un moment puis je lui ai dit : "Et si on faisait plutôt comme ça ?"" 'je ne me souviens plus des variantes que j'avais proposées... Il m'a dit alors : "Tu vois pourquoi tu es " un artiste"? Moi, j'ai vu faire ça, je fais pareil, toi, tout de suite tu cherches à faire autre chose !" C'est une tournure d'esprit. Y'a qq temps qq'un que je ne nommerai pas; ici, () disait (pour m'atteindre) que mon travail allait être éliminé et réduit à néant par l'IA... C'est ignorer ce que c'est d'être naturellement créatif. (je ne me vante pas : bien souvent c'est pas brillant ! mais c'est toujours chercher autre chose) Une tournure d'esprit. On l'a ou on l'a pas. C'est comme un oeil qui pour n'avoir pas les cellules appropriées pour voir les couleurs, se persuaderait que les couleurs n'existent pas...

Ce principe qu'il ne faut pas montrer l'image de Mahomet vient d'où ? Est-ce Mahomet lui-même qui l'a instaurée ou est-elle venu plus tard historiquement ? Tu dois savoir, toi ... Et est-elle systématique dans toutes les tendances de l'Islam, ou non ?

Le problème c'est : Qu'est-ce qui fait qu'un esprit se laisse aller à la facilité ? Qu'il se laisse glisser à la pente ? Où se trompe-t-il ? En gros, qu'est-ce qui fait qu'il ne pense pas comme moi ?

Certains ont la grâce, d'autre la graisse... Des esprits saints et des saints doux... Il est des esprits ascétiques voire acétiques et des esprits huileux, des esprits gras. Les uns ou les autres restent d'ailleurs assez cohérents dans leurs goûts et dégoûts. C'est comme une frontière, une limite. La limite en soi est subtile, mais quand on la dépasse, ça devient caricatural. Trop c'est trop, et alors, c'est le rejet. Je parle pour moi. Souvent dans un film, je me dis "Ah non, pas ça !" Et... penses tu, soudain, "ils" s'y vautrent ! C'est juste un look... tel "homme sauvage" avec des yeux trop maquillés ! Je crie : "Pitié !" Mais c'est souvent ça qui plaît ! ça qui accroche... La caricature. L'excès de sens voulu, de symbolique... Mais blague à part (art et lard) je pense comme toi. C'est assez souvent le corps (et même ses plus basses couches) qui commande à notre esprit. Qui en a conscience ? On se fait trop crédit.

Sans oublier que faire sortir de sa prison-oignon en l'épluchant, ça fait... pleurer... J'aime ma prison ! C'est un peu le principe du syndrome de Stockholm. Wiki : Je souligne "psychologique" et "identification". Depuis qu'on a envoyé la psychanalyse aux orties, on a renoncé à chercher à comprendre. Et pourtant tout est là de nos comportements. On ne veut plus qu'il y ait des lois communes de psychologie (même au risque de mal les comprendre) : on se veut unique. Quand un député traite un ministre d'imposteur et d'assassin, on est scandalisé pourtant il ne dit QUE la vérité. On tartine sur le fait que ça ne se fait pas de dire ça, mais il n'est pas question de chercher si c'est vrai ou pas qu'il est nécessairement les deux. Il est de bon ton de ne jamais étudier les vraies motivations. D'éplucher l'oignon. Pour en arriver au germe ! Décidément la métaphore de l'oignon me plait bien ! Allez, je... FILE !

1) Oui ! Toute "identité" (faite de couches superposées) n'est-elle pas une prison ? Et vivre dans ces prisons tout en en fortifiant les murs n'est-ce pas ressenti (et vécu) comme une nécessité psychologique ? Comme une condition sine qua non à notre existence même ? Ressenti comme un besoin vital ? 2) FAUT-IL LIBERER LES CROYANTS ? (n'est-ce pas les détruire ?) 3) je m'imagine tueur en série me justifiant du fait que je libère mes victimes de leur vie... (C'est un thème déjà exploité je crois...)

L'amour et les voyages... A Pearl Harbour ? J'en "titubage" ! J'ai les doigts gourds : quel gaspillage ! Au moulin ou au four C'est le même ménage Je reste dans ma cour En cage Et peaufine un discours sur le... mariage !

T'as raison ! Y'en a un peu mare des autres : pensez un peu à Moi ! (Je blague !)

Moi c'est pareil ! Je vois là @Passiflore qui me cite et je me dis : "j'ai dit ça moi ?" puis je vois la date : janvier21 ! Bon ça fait deux ans, j'ai oublié ! ET CA VA PAS ALLER EN S'AMELIORANT !

Allez : l'homme, la femme... et l'enfant : "L'enfant et l'escargot" : Ca c'est carrément démagogique, mais j'aime bien ! Allez je file : bonne journée Ambre...

Tu as du nez ! C'est la forme triangulaire qui m'intéresse, c'est comme une flèche qui donne la direction . Et c'est symbolique du sexe aussi... pour faire pendant à l'homme qui marche, j'ai fait aussi "la femme assise" : C'est pas dans l'air du temps mais je m'en fous je suis resté au niveau biologique !

L'Homme qui marche : Et avec des couleurs : Que si elles y étaient pas y'aurait rien :

Se dit de gauche ! C'est le mythe de la "deuxième gauche", de Mitterrand à Hollande et qui est en fait une "deuxième droite" ! J'ai presque peur, parfois que Mélenchon lui-même qui ne manque jamais une occasion d'encenser Mitterrand n'en soit que le fer de lance émoussé de la cinquième colonne... Elle a été ministre tout le quinquennat de "Hollande qui n'aime pas les riches"...

Le Pb des retraites est simple ! Toure la "droite" est pour toute la "gauche" est contre ! Conclusion ? C'est les premiers de cordée qui veulent que les premiers de corvée leur fasse plus de cordes... gratos! (Eux il n'en font jamais : ça leur abime les mains...) C'est aussi le principe des vases communiquant... mais qui communiquent dans un seul sens... En fait les premiers de corvée veulent bien faire des cordes mais seulement pour se faire des balançoires... Leur slogan : "Pas de balançoire pour nous, pas de cordes pour vous !" (C'est la toute nouvelle "théorie des cordes" !... )

Poème : A Roubaix, Un robot qui taillait les rubis des rombières au rebus Travaillait au rabais (Sans rabiot) Le ribaud !

Donne-nous déjà du temps libre après on verra ce qu'on peut en faire !

Merci ! C'est là le problème. L'esprit de servage. "La servitude volontaire" ! Tous ceux qui sans dignité se contentent des miettes et admirent ceux qui les exploitent. C'est psychologique : en défendant les plus riches ils pensent qu'ils en font partie... ils se persuadent d'être AU DESSUS DU PEUPLE...