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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Ce sujet m'échappe ! Les fichiers c'était une métaphore, si vous préférez, parlons des "a priori" à la place. sur quels a priori sont construites les religions ou l'athéisme. Cherchons les éléments sur lesquels on n'est pas prêt à transiger, alors... Et... TRANSIGEONS !
  2. Comment expliquer qu'un TAbERNacle soit vide et qu'on ressorte souvent d'une TAvERNe... plein ?
  3. Le curé monte à sa chaire : "Bien chers frères !" (Peuchère !)
  4. Par les temps qui courent on a besoin de se convaincre que tout n'est pas vain...

    Merci !

  5. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    Pour les musiques, c'était des musiques écrites pour ensembles de plusieurs instruments que j'ai réduites pour piano seulement afin de simplifier et faire une unité. C'est un peu touffu parfois, mais ça passe... (La dernière, l'idée c'était de faire une musique d'ascenseur ! Genre "tout va bien". Avé-valé = bonjour-bonsoir !)
  6. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    C'est sûr que ça plaira pas à tout le monde !... Mais... "C'est moi qui l'ai fait !"
  7. Ce qui est surprenant pour tous ceux qui ne croient pas à tout ça (Dieu ou/et le Diable), c'est ce besoin de personnifier des comportements. "Etre avec Dieu, être poussé par le Diable..." C'est nous en réalité qui agissons. C'est notre comportement qui est influencé par des schèmes ou des complexes biologico-psychologiques. Déjà sommes-nous sûr que tel ou tel comportement est considéré comme mauvais de la même façon par tout le monde ? --A-t-on toujours conscience de ce qui est "mal" ou cette conscience varie-t-elle de l'un à l'autre ? C'est une première question, il semblerait que non. (Vérité en deçà des Pyrénées erreur au delà.) --La deuxième question serait de comprendre par quel mécanisme et pourquoi, une action bien que mauvaise et conçue telle par son acteur, semble lui procurer un bien. Il y a une vengeance ciblée qui apaise une douleur par exemple. Ou plus génériquement un mal être qui peut s'alléger quand un "souffrant" inflige à autrui à son tour la souffrance... --Thèse, antithèse... synthèse ! Le troisième élément c'est l'inconscient qui va mélanger les deux points cités au dessus. Et va nous faire prendre des lanssies pour des véternes... On pensera ainsi bien agir en sachant à un second niveau plus profond qu'on agit mal. Et on sera de cette façon gagnant sur les deux tableaux : le plaisir de la vengeance sans la culpabilité !... S'il y a toujours un retour de l'inconscient (ce qui après tout n'est pas certain), la culpabilité pourra ressortir sous forme de rhumatisme ou de démangeaisons dans les meilleurs des cas... (Dieu est quand même sympa !) Si vous mettez le Diable et le Bon Dieu au milieu, vous n'avez aucune change de comprendre un jour quoi que ce soit aux comportements humains. Mais si cela ALLEGE tout de même bien votre angoisse en vous déresponsabilisant, tant pis : continuez ! De toute façon comme je vous connais vous n'en ferez qu'à votre tête !
  8. Et tu crois peut-être que je le fais pas de les libérer et de les remettre dehors ? Même les frelons quand c'est possible ! (Je leur fais signe (!!!) et je leur montre la lucarne du toit, puis, je la soulève avec une baguette de 3 mètres et il filent libres... pour aller piquer quelqu'un d'autre --si possible--...) Mais je dois dire que j'espérais que de bons croyants ou athées me disent : "Moi, j'ai tel ou tel fichier... je l'ai trouvé ici ou là... Tel autre, je l'ai effacé... etc, etc." On n'arrive pas à avancer... L'idée des fichiers, c'était un moyen de parler sans trop s'investir. De toute façon, je crois que personne, ICI, n'a personnellement inventé Dieu. Il l'a donc bien trouvé quelque part. C'est un... emprunt. Et il ne fait pas en conséquence partie de son identité profonde. Comparer Dieu à un mur de verre était en fait un contre exemple, une anti-parabole, un oxymore allégorique (me hasarderai-je à dire !) : Puisque un mur de verre est là sans qu'on le voit alors que l'on voit Dieu qui n'y est pas. (A mon avis, bien sûr !) Le premier sous programme du religieux serait donc la faculté de voir l'invisible. Est-ce possible ? Est-ce un bon programme ou un programme... "infecté" ?!!!
  9. Quand je joue au rAMIs, j'ai bon aussi ? Mais pas à la belote ou la pelote ? J'ai déjà de la peine à imaginer la sexualité de ma mère... Et pourtant je suis là ! Quand à celle de la Vierge Marie ?... Je suis catégorique : elle n'a jamais eu le moindre désir sexuel ! C'est pas possible. Elle n'était pas du sexe épris(e) C'était le Saint esprit !
  10. C'est bien mon avis : un cerveau neuf est une éponge, avide de s'imbiber de tout ce qui passe à sa portée. C'est sa fonction première, sans aucun doute. Une intelligence idéale serait celle qui rendrait possible l'installation et la désinstallation de tel ou tel fichier...
  11. Ce que Dieu préfère, c'est un bon cuissot de chplixtropode ces animaux sauvages (vous avez remarqué que j'ai dit "cuissot" et pas "cuisseau"?) que l'on chasse sur la sixième planète en sortant à gauche de l'étoile à neutrons XP24 de la galaxie naine de Pégase, accompagné d'une garniture d'oreillettes provençales (Hé, hé, pourquoi pas ?!!) Le tout arrosé de la Cuvée Jésus Christ 2015. (Je viens de la "taster" : no problémo ; je vais la mettre au frais, on sait jamais, s'il nous lisait...)
  12. "Dieu est un mur de verre" La comparaison entre l'informatique et l'esprit humain peut-elle permettre de mieux comprendre les religions ? C'est le croisement ou l'intersection d'événements en apparence sans rapport qui permet de définir une idée ou une théorie. Premier événement : Ici sur ce forum de religion, il y a quelque temps deux personnes discutaient de la conception divine de Jésus selon le Coran. Ils discutaient du sens de certain mot arabe. Celui que les chrétiens nomment l'ange annonciateur serait qualifié dans le texte musulman d'homme "parfait". Un autre parlait d'un être supérieur ou divin... Le problème, (j'ai cru comprendre) étant de définir si selon le texte, il était à considéré comme un humain parfait ou un être divin. Discussion idéologique et linguistique de traduction tout-à-fait légitime, intellectuelle et digne. Je suis alors arrivé avec mes gros sabots d'athée et j'ai déclaré en substance : "Ne vous fatiguez donc pas à chercher les attributs exacts de cet '"envoyé de Dieu" :de toute façon, la virginité de Marie est un mythe inventé après coup pour convaincre de la nature divine du Christ, le père de Jésus c'était sans doute Joseph !". Et vous savez quoi ? Personne ne m'a répondu. Ils ont fait exactement comme si je n'avais rien dit. ILS NE M'ONT PAS ENTENDU ! Encore que je parlasse avec la voix de la simple raison. Deuxième événement : Dans mon atelier, je travaille devant ou plutôt derrière une baie vitrée qui ne s'ouvre pas. Ce qui fait que les insectes enfermés à l'intérieur sont attirés par la lumière et se retrouvent à buter contre la vitre pour sortir. Il y a deux sortes d'insectes. Les guêpes, les libellules, (même les grosses) ou encore les papillons qui pendant des heures se cognent contre la vitre pour sortir. Et ce jusqu'à épuisement. Puis il y a d'autres insectes, les frelons, par exemple qui sans doute tapent une première fois contre le verre mais comprennent qu'il y a là un obstacle transparent qui les empêche de sortir. alors, ils se mettent à inspecter systématiquement toute la surface de la vitre, à quelques centimètres de distance, à la recherche d'un passage. J'en ai conclu que si tous ces insectes étaient attirés par la lumière avec l'intention de retrouver la liberté en allant vers elle, et qu'ils possédaient donc tous "le programme" suffisant pour percevoir cette lumière, ainsi que le comportement qui en réponse les poussait vers elle, seuls des insectes cités, les frelons avaient en plus le programme suffisant pour traiter le "concept" "d'obstacle transparent infranchissable". Vous voyez où je veux en venir ?!!! J'ai donc fait le rapprochement des deux événements Et j'ai pensé que "l'esprit religieux" est un programme installé dans notre esprit comme on installe un programme sur nos ordinateurs. Il y a des programmes de sons, des programmes graphiques, de traitement de textes... etc. La comparaison esprit ou cerveau avec un ordinateur est une banalité, bien sûr. Mais il y a quelques jour, j'ai pu lire l'exposé d'un chercheur en neurologie qui expliquait que notre cerveau comportait deux "câblages" l'un "sur-cortical" et l'autre, "sous-cortical". Le second étant plus rapide et surtout inconscient, tandis que par le premier revenaient des informations cette fois devenues consciente. Hélas (ou heureusement !) la différence entre les deux n'est que de quelques centièmes de seconde, ce qui les rend indistincts dans notre vie courante, mais aujourd'hui avec nos moyens d'investigation, mesurables précisément. Ce "troisième élément" m'a donc conforté dans l'intérêt du rapprochement esprit-ordinateur. Le cerveau constituant le hardware en quelque sorte. Et nos idées le software, bien sûr... J'ai donc continué mon parallèle religion(ou esprit religieux)/programme. Ne voyez là aucun mépris à l'endroit des croyants. En tant qu'athée je dois probablement avoir installé dans mon esprit un "programme athéisme" !!! (Qui, encore pire, pourrait se concevoir comme une absence de programme et donc l'impossibilité de traiter certaines données ...)(1) Mais j'ai cherché à mieux définir façon informatique ce que pouvait être ce "programme religieux". Il y a ses sous fichiers ! (Forcément !) --Un fichier Dieu --Un fichier "création du monde et de l'homme" --Un fichier finalité du monde et de l'homme. --Un fichier foi --Des fichiers rituels (variables selon la religion considérée) --Un fichier texte sacré. --Un fichier morale --Un fichier immortalité de l'âme. Je vous invite à réfléchir sur tous ces éléments, les dénombrer, les comprendre afin de les... Désinstaller !!! Non je blague ! Mais j'ai pu constater que chez certains athées, des fichiers de type religieux (comme celui de la finalité du monde ou de la vie par exemple) étaient bel et bien "solidement" installés ! (Après tout on n'est pas obligé d'être parfaitement cohérent !) En conclusion, pour l'athée que je suis, Dieu me fait un peu l'effet d'un mur de verre, que les "programmes religieux" ne permettent pas de considérer de comprendre ou de traiter comme un... obstacle ! Je ne sais pas si je suis bien... clair !... Ce qui est sûr c'est que nos discussions entre athées et croyants semblent conforter ce principe que nous ne nous appuyons pas sur les mêmes programmes, ni sur les même fichiers... Il faudrait tout reprendre à la base, point par point. Et définir où ont été copiés tous ces fichiers ? Et comment ont-ils été installés ? Notre seule vraie identité fondamentale n'est-elle pas seulement le "hard ware" ? Bon, ne soyons pas trop matérialistes j'irai jusqu'au BIOS, ou même au DOS ?... (C'est mon côté spiritualiste !) (1) ça, c'est de la mauvaise foi ou je ne m'y connais pas !
  13. Plus je lis et relis les évangiles (et ça m'arrive très très souvent) plus je pense que la véritable histoire de Jésus a été bien que sans doute tragique, tout-à-fait dérisoire. Près de 99% de ce qu'on y trouve (dans les évangiles) me semble avoir été inventé, imaginé après coup. Il n'est pas difficile de comprendre la mentalité de l'époque en Palestine. L'Israël du premier siècle était un pays occupé. Mais la religion de ses habitants, la seule monothéiste à l'époque poussait les fidèles à un certain fanatisme (en ce sens qu'ils étaient persuadés d'être les seuls à détenir la vérité) --comme c'est encore le cas de ce type de religion--, les juifs étaient donc totalement désemparés.) Il ne comprenaient pas que leur dieu les ait lâchés, et tous attendaient, espéraient un prophète qui les délivrerait de l'occupant. L'occupant romain. (Qui leur imposait un mode de vie... à l'occidentale !!! Genre baignade en bikini et volley-ball pour les femmes et lupanar pour les hommes ) Il y en a eu plusieurs de plusieurs genres de ces prophètes : des révolutionnaires, des résistants, des illuminés... Jésus était l'un d'eux. St Jean Baptiste un autre. Les deux ont été éliminés par les romains et leurs collaborateurs juifs de l'époque. (Les riches qui aimaient bien le mode de vie romain, jouisseur.) Les deux, bien qu'avec des nuances pensaient que l'occupation romaine de la Palestine était une punition que Dieu infligeait à SON peuple parce qu'il ne suivait pas ou plus correctement les préceptes de la Loi Mosaïque. Et ils étaient persuadés, Jean, Jésus, et bien des autres que Dieu lui-même chasserait les romains si les juifs se remettaient dans le droit et vertueux chemin de la Loi. On est souvent étonné que Jésus ait laissé aussi peu de traces historiques. C'est qu'à son époque, il n'était qu'un agitateur parmi tant d'autres qui n'avait que très peu d'importance. Jean le Baptiste en a d'ailleurs laissé plus que lui qui était de son vivant largement plus connu et respecté de l'ensemble du peuple juif et reconnu comme un prophète plus conforme à la tradition juive. La bonne fortune de Jésus (si l'on peut dire, le pauvre, puisqu'il a été exécuté !) est une bonne fortune à la fois anté et post mortem !... Jean Baptiste a été éliminé avant Jésus et Jésus a pensé pourvoir hériter de sa notoriété. Ce qui a été en partie le cas quelque temps. Avant sa propre exécution qui hélas (pour lui) n'a pas tardé. Mais quelques fidèles dont St Paul au premier rang, St Pierre puis leurs propres disciples ont continué à parler de lui... Ont écrit des prétendus témoignages (les évangiles) de deuxième, troisième main... Ils ont inventé à partir de ce personnage qui avait disparu toute une religion. Ils l'ont réinventé lui-même, en ont fait un personnage légendaire. Un dieu. demi-dieu, fils de Dieu... Les occupants romains s'avérant indétrônables ils ont fait peu à peu dériver la revendication juive de rétablissement d'un royaume réel et indépendant d'Israël, vers un espoir fantasmé, exutoire, de royaume céleste. "Mon royaume n'est pas de ce monde". Ce que disait réellement Jésus a été complètement noyé dans la nouvelle religion. Je pense que l'essentiel de ce que Jésus a pu dire au peuple juif, était : "Suivez les commandements de Dieu et tout va s'arranger". Autrement dit : "Je ne suis pas venu abolir la Loi de Moïse mais l'accomplir". ça, il l'a sûrement dit. Autrement dit, rien ! Très peu de chose. Il y croyait ! Il était...illuminé. Avait halluciné sa mission divine de libération de son peuple à la suite de son baptême. Et l'on comprend mieux sa dernière parole : "Mon père, pourquoi m'avez-vous abandonné ?" On a dit de son sacrifice qu'il l'avait "élevé", mais en réalité, il est "tombé de haut" ! Et la phrase : "Mon royaume n'est pas de ce monde" en revanche n'est probablement pas de lui, mais de ses disciples qui après sa mort ont pensé en affirmant cela, passer au travers des mailles de la répression des résistants juifs par les romains. Et ça a marché. Jésus fils de Dieu, Marie vierge, et la résurrection, (bien sûr !) tout cela a été inventé après sa mort. L'idée génialement simple des fondateurs du christianisme était ce donnant, donnant : Si vous nous croyez, Si vous croyez que jésus était le fils de Dieu et qu'il est ressuscité, alors, vous aurez la vie éternelle. Le christianisme se résume strictement à cela. Une apparence de logique ou de causalité : "si vous croyez qu'Il a ressuscité vous ressusciterez aussi." C'est si simple : il suffit d'y croire !!! Une absurdité, parfaitement invérifiable, mais un espoir. Qui n'a pas besoin d'un peu d'espoir pour vivre ? Le personnage historique et réel de Jésus, prophète illuminé autoproclamé, a servi après sa mort de support à une fiction délirante. Le christianisme.
  14. En résumé, la Spiritualité, c'est : L'infini ? Waouh ! Jésus aurait dit ; "Avant d'ôter le païen de l'oeil de ton frère, enlève l'apôtre qu'il y a dans le tien..."
  15. Blaquière

    Un Univers Probabiliste

    Pas du tout. On sait très bien comment se sont constitués la vie et l'esprit. Le secret de la vie c'est comme le chaînon manquant ça n'existe pas. Sauf pour ceux qui voudraient que ça soit autre chose qu'un simple principe mécanique qui s'est installé de lui-même en fonction de certaines propriétés immanentes à la matière. Bla, bla, bla...
  16. Mais le père de Jésus n'a jamais été inconnu ! C'était Joseph. Le mari de Marie ! C'est parce que les fidèles ne pouvaient pas penser qu'une "renaissance selon l'esprit" qui le rendait fils de Dieu ("je t'ai enfanté aujourd'hui" a-t-il entendu dire pas Dieu lors de son illumination.) était possible qu'ils ont préféré croire et inventer qu'il était déjà à sa vraie (première) naissance le fils de Dieu. Du coup le raisonnement des détracteurs de cette théorie (stupide) a été (encore plus stupide) : --- s'il on dit qu'il était le fils de Dieu c'est qu'il n'était pas celui de Joseph. --- Conclusion : Joseph n'est pas son père ! Premier acquis ! --- Si Joseph n'est pas son père, dans la mesure où nous refusons de croire qu'il était le fils de Dieu, --- C'est qu'il avait un autre père ! Deuxième acquis ! Tout cet enchaînement est stupide. S'il n'était pas le fils de Dieu (dans sa conception) c'est qu'il était celui de son père ! Tout simplement. Mais la blague ne s'arrête pas là ! Il est dit dans les textes écrits bien après les vrais événements qu'il était le fils d'une vierge : Soit Vierge = (en grec) "parthénos". (Comme Pythagore, par exemple qui était un autre allumé) Ceux qui voulaient s'opposé à ce miracle d'un fils d'une vierge (qui justifiait une intervention divine) ont dit : "Non ! il n'est pas un fils de vierge (=parthénos) mais le fils de... "Panthèros" ! Il suffisait d'intervertir le "n" et le "r" de parthénos ! De plus si l'on se reporte à l'époque, Israël étant occupé par les romains Panthèros le "père par métathèse" de Jésus a été imaginé légionnaire romain ! Marie avait donc couché avec l'occupant !!!!!!! En 40, on l'aurait tondue !... Tout celà est à mourir de rire. Et Jésus était totalement discrédité : il en devenait un collabo génétique ! Lui qui pourtant voulait jeter les "légionnaires-cochons"(1) à la mer pour libérer Israël ! Oui tout cela est écrit dans les Evangiles... (Que ceux qui on des yeux me lisent !) (1) autrement dit les démons qui "étaient légion" soit les légionnaires romains, mangeurs de cochon, bien sûr.
  17. Ohé ?! Toc, toc, toc ! Y'a quelqu'un là dedans ? ça n'existe pas les anges !
  18. C'est exactement ce que je pensais en vous lisant... Les Evangiles qui ont été écrits ou plutôt commencé d'être écrits 40 ans après les événements sont déjà bourrés d'inexactitudes. Que penser alors de ce qui est dans le Coran qui a été écrit plus de 600 ans après ? Il n'en reste pas moins qu'il doit bien exister une vérité sur cette naissance. Et que cette vérité ne peut être recherchée qu'à partir des témoignages les plus anciens, le plus proches des événements. Je pense aux 4 Evangiles. les trois synoptiques plus celui de St Jean un peu plus tardif. Sur ces 4 évangiles deux (Marc et St Jean) ne commencent "l'aventure de J-C." qu'à partir de son baptême. Ce qui semble dire qu'avant ce baptême, Yoshua Ben Youssef n'était qu'un juif ordinaire. Sans doute très religieux, mais pas plus. Si vous lisez l'Evangile selon St Jean, il est même expliqué par Jésus lui-même (à Nicodème) que son baptême l'a fait "re-naître" à quelque 30 ans d'âge. Ce qui bien entendu laisse Nicodème perplexe : "comment peut-on renaître quand on est adulte , On retourne dans le ventre de sa mère ?" Là Jésus lui explique qu'il est "re-naît" "selon l'esprit" grâce à son baptême. C'est pourtant (à mon avis) assez simple à comprendre. Mais pas à cette époque. Le baptême de Jésus (qui consistait comme on voit aujourd'hui chez les baptistes à être immergé entièrement et là, en plus dans l'eau sans doute glacée du Jourdain) a causé chez lui un choc (thermique !) qui a provoqué un choc psychologique, une illumination. Une hallucination. (Il a vu "le ciel s'ouvrir" ! Et Dieu lui parler : "tu es mon fils bien aimé"... etc. On connaît l'histoire qu'il a racontée à ses disciples.) Aujourd'hui qu'on a envoyé des engins spatiaux sur d'autres planètes, on sait bien que "le ciel qui s'ouvre", comme a raconté notre brave Jésus, ça ne veut rien dire. Lui, il s'imaginait que le ciel était un voile et qu'il pouvait se déchirer. Et que par l'ouverture, Dieu pouvait faire "coucou" ! Or le ciel n'est pas un voile. C'est juste l'atmosphère qui éclairée par le soleil empêche de voir les étoiles. (Si Dieu était derrière, la nuit on le verrait !!!) Et donc en réalité son hallucination, c'est lui qui se l'est fabriqué en fonction de ce qu'il croyait être la réalité. En ce sens, Yoshua était simplement un peu "dérangé". Mais voilà : dire "mon baptême m'a fait renaître" ce n'était pas très convainquant. Tant que Jésus était vivant, en beau parleur qu'il était, il emballait le public, tous ceux qui l'écoutaient. Il les fascinait et ils le croyaient. Mais à sa mort, ses disciples et apôtres qui n'avaient vraisemblablement pas son don de parole ont imaginé, inventé pour convaincre les fidèles cette légende d'une naissance extraordinaire. D'une mère vierge, etc. Il est bien évident que Jésus n'a jamais parlé lui même de tout ça : il aurait fait rigoler tout le monde. De plus "tout le monde" autour de lui se souvenait de son père, l'avait connu. Et sa mère était encore présente. Après, quand tous les protagonistes sont tous morts, on peut se permettre de dire un peu n'importe quoi à leur sujet. Et Joseph (Youssef), très probablement le père biologique de Jésus (Yoshua) venait de mourir sans doute peu de temps avant son baptême. (Il n'est jamais mentionné la moindre présence effective de Joseph dans les Evangiles mais seulement celle de sa mère et de ses frères) Ceci explique en partie (à mon avis) son illumination et son besoin de trouver, de s'imaginer en Dieu un père de substitution. UN PERE ETERNEL ! On sait l'importance psychologique de cet événement qu'est la mort du père. Alors le Coran qui explique 600 ans après comment se serait passée la "fécondââtion" de Marie ?!!!... Grâce à un homme parfait ?!!! C'est quoi un homme parfait ?... Enfantillages, balivernes... Ce Coran qui prend quelques morceaux dans l'Ancien Testament, quelques morceaux dans le Nouveau, me fait vraiment l'effet d'un texte de seconde main... Un peu un patchwork... Heureusement, il invente quelques trucs marrants, bien à lui... Un homme parfait ... Sympa !
  19. Merci... C'est gentil ça me donne envie de continuer..

  20. Oh lui ! Mais ils étaient pas con du tout au 11ème ! Quillaume de Poitiers (11ème) : "Pos de chantar m'es pres talent farai un ver dont sui dolent" ("Puisque me vient le désir de chanter je chanterai ma douleur.") ou aussi : "Farai un ver de dreit nient" ("Je ferai un poème de pur néant") Bon d'accord : Guillaume de Poitiers s'est fait... excommunier !!!
  21. Blaquière

    Le roman de Je Humble

    5. ANIMALIUM ANIMA (Les fourmis - Noé -Le pigeon agressif - Zéno le sage.) 37 Les fourmis C’était à cause de l’Alude qu’au tout début Je Humble avait pris conscience de l’existence des fourmis. L’Alude, une fourmi ailée noire, luisante mais peu vaillante qui s’était impudemment égarée contre la vitre à deux doigts de son nez. Il était alors parti à la recherche de la fourmilière... et avait eu tôt fait de découvrir que le centre de la cour trapézoïdale en était le lieu géométrique persistant. Respectant en cela leurs usages ancestraux, les fourmis descendaient du ciel et des plafonds, le long de traces blanchâtres verticales, semblables aux lignes de mise en place d’un tableau, peu visibles, certes, estompées, mais fixes et incrustées dans l’air, indélébilement. Au sol, de petites auréoles moussues, blanches elles aussi, comme une bave d’escargot, révélaient leurs points de débarquement... Mais ensuite, plus rien : les pistes se perdaient ! Je, pressentit qu’elles avaient tout envahi, ces fourmis, tout ! Et il les retrouva en file indienne, innombrables, au pied des murs. Les murs qui s’en retrouvaient investis de l’intérieur, dans leur épaisseur. Ce qui arrive quand on construit sa maison en terre parce que c’est plus facile aux fourmis d’y creuser. « Elles sont partout ! » s’éplora-Je. Pis encore ! Il ne devait pas tarder à réaliser qu’il en était lui-même infesté. Par en dedans ! Dans son propre corps ! Il était devenu, en son âme et conscience, un terrier de fourmis ! Pour vérifier, il se trancha l’avant bras droit. Comme on coupe un saucisson. JE HUMBLE : Le bras m’en tombe ! Et en effet : des fourmis montrèrent leurs têtes aux extrémités des multiples galeries creusées dans le bras qui débouchaient à présent sur le vide ; leurs petites têtes rondes, ossues, lisses, inexpressives (n’était un remuement alterné d’antenne). Certaines tombèrent poussées par les suivantes qui dans l’obscurité n’avaient pas eu connaissance de la récente modification de leur parcours itinérique. LE CHŒUR : Une fourmi, c’est bête ! Quoi qu’il n’en ressentît aucune gêne, ni du bras sectionné ni des fourmis circulantes, se-bousculantes, puis tombantes, Je décida que la situation était intolérable. Il badigeonna la coupure sur toute sa tranche — comme on tartine du beurre — avec le produit anti-fourmi le plus virulent qu’il ait sous l’autre main, puis réajusta la tombée, en bien l’orientant sur l’avant bras coupé court qui sans elle avait l’air ridicule. Il espérait qu’ainsi le produit circulerait le long des galeries dans tout son corps, éradiquant sans coup férir ces ignobles cohortes d’insectes intrus. Bien sûr, il se demanda un peu si les globules de son sang — à supposer qu’il en restât — seraient capables, une foi les fourmis mortes, de faire le nettoyage... (Y compris de l’acide formique.) Mais...il n’y avait pas de raison ! Après tout, le sang, c’est fait pour ça ! LE CHŒUR : A chacun son boulot ! Mais une fois n’est pas coutume...
  22. Blaquière

    Un Univers Probabiliste

    Oh ! "Qu'es aquo"= "qu'est ceci". Si pour citer Shakespeare j'écrivais : "Tou bi or notte tou bi", vous diriez quoi ?!! (Ceci dit tu as bien raison d'écrire comme tu veux --mais tous ces "K" ça me fait froid dans le dos pour écrire du provençal !--)
  23. Blaquière

    La Bible

    C'est sous le mur le mur de Planck Que je murmure Et je me planque Sous le mur. C'est la restanque Qui me manque Et je m'emmure Au mur De Planck De confiture En confiture --De mûres-- Impair et manque...
  24. ça fait juste plaisir de lire ça : tout n'est pas perdu ! Mais je crois bien que si on éliminait tous ces rites ridicules, les religions, (toutes) imploseraient, disparaîtraient...
  25. Blaquière

    La Bible

    J'ai donné un exemple précis. Il faut décider s'il est bon ou non d'assassiner un enfant afin de préserver ses parents d'une éventuelle infidélité à Dieu. Il y aurait d'autres exemples semblables dans l'Ancien et le Nouveau testament. Mais quand j'ai lu ce passage, j'ai personnellement été scandalisé. Pour avoir des enfants et des petits enfants, je peux vous dire qu'une des rares choses dont je sois certain, c'est que si le choix m'était donné un jour de mourir à leur place je n'hésiterais pas une seule seconde. Et je crois que c'est une des seules règles de vie sur laquelle on puisse fonder une morale un peu objective. Alors les sacrifier pour MON salut personnel... me semble particulièrement monstrueux. Je vous invite à vous poser la question si vous vous trouviez dans cette situation. Le souci de Dieu vient très très loin après celui de la vie et surtout de celle de nos enfants. On aura bien le temps de négocier nos conditions dans l'au delà si un jour on y arrive ! Je ne me fais pas trop de souci pour ça. Quel égoïsme ! Quand je dis rejeter ces écrits, admettons que je veuille dire que quand bien même on peut leur trouver un intérêt historique et culturel, comme ceux que vous citez, il ne faut pas les prendre très au sérieux. Et sûrement pas comme l'expression d'une vérité intangible. Je ne suis pas pour brûler le moindre livre ! Ceux-là en tout cas peuvent très bien servir de contre exemple pour les erreurs à éviter.
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