-
Compteur de contenus
19 162 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
2
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Blaquière
-
Je ne le nie pas ; je ne connais de la culture hindoue que l'extrême surface. Et je n'ai au départ fait qu'un jeu de mot avec "Mahabharata" que j'ai rapproché du mot français qui lui ressemble : la baratte. Le truc pour faire le beurre. Il se trouve que le beurre se fait avec du lait et que le lait vient des vaches. Point. ça pouvait amplifier l'humour. Mais sans mauvais esprit : Je n'ai évidemment rien contre le beurre ni les vaches. A part qu'adorer cet animal particulièrement stupide est amusant. Mais, bon, on a vu aussi le veau d'or, alors... Ou les taureaux de corrida... Ma question "le Mahabharata , c'est ce truc pour faire le beurre ?" n'a donc rien de nauséeux. C'est juste une plaisanterie, une blague. Mais ce que tu viens de dire peut induire les lecteurs en erreur. Tu extrais, tu coupes de son contexte ce qui t'arrange. Tu parles de mon sarcasme nauséeux puis tu me sites et effectivement, je dis "moi ce qui me donne la nausée..." Tu a donc raison ! (pensera le lecteur). C'est pas sympathique la nausée ! Et celui qui te lit va se dire que Blaquière est en quelque sorte un "gros dégueulasse" qui vomit sur les autres. Le problème, c'est que ce n'est pas moi qui ai parlé de nausée (en premier) mais toi : Et que moi je n'ai fait que reprendre ce terme, ton terme pour te répondre (en entier cette fois) : Encore ne s'agit-il pas d'une grosse gerbe effective mais d'une simple "tendance à donner la nausée" ! Tu as bien fait de permettre de retourner à ce sujet. Je n'ai rien à changer à ce que j'ai dit. (Je suis d'ailleurs assez content de moi ! Je ne me relis pas assez !!!) Bon le dentiste fou, c'était une blague, hein ? J'en veux pas aux canines des herbophages...
-
Bien sûr, a priori, j'aurais tendance à penser comme ça. Mais là, je me demande si on n'avait pas le langage,... Est-ce qu'on serait capable de penser (sans dire même pour soi) ? D'imaginer, de symboliser, autrement que de façon très primaire, au niveau du réflexe vital? Imaginer ? peut-être mais au simple niveau d'anticiper, comme le chat qui va envoyer la griffe où la souris n'est pas encore. Symboliser ? Sans la langage, je crois que ce serait totalement impossible. C'est le langage qui nous a rompus à la symbolique. Je crois. On le voit chez les animaux qui ne parlent pas. même les plus intelligents. Leur "symbolique" reste très "corporelle", très vitale.
-
Une affaire embarrassante pour Fillon.
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans Politique
Fillon ne peut être que coupable : S'il a supporté Sarko pendant 5 ans sur le dos, C'est forcément qu'il avait des compensations !!! J'adore son regard de chien battu ! En attendant il gratte tout ce qu'il peut gratter. C'est un grand artiste ! Il devrait faire du cinéma. Il est hyper crédible. -
Une affaire embarrassante pour Fillon.
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans Politique
C'était quand même mieux quand ils avaient les colonels !... Le "sabre" ! Nous on aura le "goupillon avec Fillon !" Tiens, ça rime ! -
En te lisant, je me demande si l'imaginaire mais surtout le symbolique ne seraient pas des effets secondaires du langage. En tout cas, leur montée en puissance chez les hommes. @Maroudiji: pas pigé ton histoire de vache. Je suis ds le sujet "sommes nous capables de reconnaître la vérité"... Je donnais cet exemple de "vérité historique" de Martel qui semble nous en rendre incapables en fonction de notre présent.
-
Zeugma : « non c'est logique...le réel est la cause et vos théories n'en sont que le reflet formalisé… » Zenalpha : « la theorie physique n'a pas predit l'existence d'objets physique avant l'expérimentation ou l'observation » Je rêve ou vous dites la même chose ?
-
On pourrait dire ça. Mais aussi que hors du langage, la vérité n'existe pas. Elle est une hypothèse formée par l'existence même du langage. Sans le langage, il n'y a que l'existant brut. Dont l'être même se réduit au fait d'exister. (C'est ce terme d'être qui peut nous faire glisser vers l'idée d'une vérité possible. Pas d'être, pas de vérité.) Est-ce être vide qu'être plein d'erreur(s) ? (Erreur dues au langage.)
-
C'est bien ce que je disais ! (Tu n'y a pris aucun plaisir, tu étais obligé de dire la vérité orthographique) D'ailleurs, par ce post, je me suis comporté exactement comme je te reprochais de le faire !!!
-
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
Blaquière a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
Vous me faites penser au Socrate du Théétète qui se moque de Protagoras qui disait "l'homme est la mesure de toute chose" : "On pourrait tout aussi bien dire que le cynocéphale -étrange animal !- est la mesure de toute chose" (de mémoire) . Mais oui ! Le cynocéphale est la mesure de toute chose pour lui-même, comme l'homme l'est aussi, pour lui-même. -
ça, c'est un exemple typique : j'aime tellement la vérité, d'ailleurs je ne peux dire qu'elle, qu'à mon corps défendant je suis obligé -parfois- d'être salaud... Alors que ma nature profonde est d'être extrêmement bon. On a le droit de penser la vérité, sans être obligé de la dire. La Ballade Des Baladins (Gilbert Becaud) Les baladins qui serpentent les routes Viennent de loin parmi les champs de blé Les bonnes gens regardent et les écoutent Et les étoiles leur parlent de danser... Danse donc, joli baladin C'est la ballade, c'est la ballade Danse donc, joli baladin C'est la ballade d'Arlequin
-
La vérité historique, c'est spécial ! Il s'agit plutôt d'une version officielle des événements passés. Qui souvent n'a rien à voir avec la vérité. Qui pourrait imaginer aujourd'hui et surtout le dire que notre merveilleux Charles Martel était un sanguinaire et qu'il pillait et détruisait à sa fantaisie notre beau pays, la France ou plutôt, encore la Gaulle ? Et que par peur de ce fou, ici, les seigneurs de Provence avaient demandé au sarrasins de les en protéger ? D'où leur présence dans les Maures; par exemple ? S'il a arrêté les arabes à Poitiers, ce qui est loin d'être une vérité historique, on peut très bien considérer que ce faisant, il a stoppé la progression de la "civilisation" chez nous... Il y a quelques années on pouvait encore dire ça. Aujourd'hui, avec le terrorisme, c'est plus possible ! Vérité en 1980, mensonge en 2020 !
-
C'est du Coluche ou du Devos ?
-
Grâce au gel coiffant, nous avons une floraison de philosophes rebelles ! C'est bien !
-
Vous m'expliquez si bien ce que j'ai dit que je ne comprends plus ce que j'ai voulu dire !
-
L'arnaque idéologique qui fait que l'on croit que des rêves sont effectivement prémonitoires. L'arnaque c'est toute l'argumentation de la prémonition. Pour vaincre cette "arnaque", il faut, puisque la prémonition n'existe pas, découvrir les raisons et les mécanismes psychiques qui nous poussent à y croire. NB : un rêve se construit ou est construit (par notre esprit, souvent inconscient) de ce qui est déjà passé. A quoi i faut rajouter nos désirs. Un futur effectif, n'a aucune emprise sur cette construction. Il nous manque un participe futur pour en parler mieux ! Comme "les choses "arrivatoires" " ou...? "étant devant être arrivées !"
-
Non ! Le futur n'est rien, on ne peut pas voir rien. De quelque façon qu'on s'y prenne, voir rien c'est ne rien voir. Résoudre le pb des rêves prémonitoires, c'est trouver où se trouve l'arnaque.
-
Fernande ?
-
Et y'en a un sous l'arc de triomphe qui fait le pied de grue depuis 100 ans pour pas un kopeck ...
-
Effectivement, les trois monothéismes étant bien représentés, seul l'athée (moi) pourrait (conditionnel) vous donner du sel ! Je m'en garderai bien...
-
"Que je crève !" Je vous laisse entre vous. Entre fanatiques. "Fanatiques de tous pays, exterminez-vous !"
-
Amis de la peuésiiie, beujur ! Prix Nobel de littérature (tout de même !). Frédéric Mistral. Je vais le citer en prévenant que ce poète dit une chose pour en signifier une autre, mais vous verrez que le doute n'est guère permis. Au début du poème, il s'adresse à Dieu, l'invoque pour lui demander l'inspiration : Tu, Segnour Diéu de ma patrio (toi Seigneur, Dieu de ma patrie) Qué nasquères dins la pastriho (Qui naquis parmi les pâtres.) Enfioco mi paraulo (...etc.) (Enflammes mes paroles (...etc) (...) Le Christ et Dieu semblent ne faire qu'un, mais ce n'est pas le problème (!) Le poète lui demande de le protéger, lui,( le fils ), contre "l'homme avide", le loup : Quand li figo si fan maduro (Quand les figues mûrissent) Ven l'ome aloubati desfruchar l'aubre en plen (Vient l'homme avide comme un loup, dépouiller entièrement l'arbre de ses fruits.) Il lui demande même de protéger "ses figues" !!! Mais qui est cet homme avide comme un loup qui veut voler les figues du poète ? Mai sus l'aubré qu'èu espalanco (Mais sur l'arbre dont il brise les rameaux) (Après les figues, la symbolique de castration est ici évidente) Tu toujour quihes quauco branco (Toi toujours tu élèves quelque branche) Ounte l'ome abrama noun posque aussar la man (Où l'homme insatiable ne puisse lever la main.) C'est le père ! C'est Abraham ! L'adjectif "abrama" qui vient de "bramer", n'a bien sûr rien à voir avec Abraham, si ce n'est par homophonie. Mais que le poète-fils demande à Dieu, de le protéger du père père-homme abrama-Abraham, c'est ce que j'en ai déduit et qui me semble cohérent. Je pense que c'est à ce genre de recherche que pourraient se livrer les chanceux qui maîtrisent les langues dans lesquelles ont été écrits les textes originaux. Mais il faudrait qu'ils aient a priori, l'esprit aussi "mal tourné" que moi !
-
Aux dernières nouvelles, il semblerait qu'il n'y ait pas qu'un chat dans la boîte !... Et ça me conforte dans l'idée qu'il n'y en a aucun... Tchin !
-
Moi, ce soir, c'était le guignolet mon péché mignon... Pour "péché mignon", la conception gnostique... Non ! je blague !
-
Je ne sais pas pourquoi, j'étais persuadé depuis la quatrième ou la troisième (!) que ce sonnet était de Hugo ... Il est de Sully Prudhomme. C'est exceptionnel. En tous cas, depuis, il tourne dans ma tête !... Cri perdu Quelqu'un m'est apparu très loin dans le passé : C'était un ouvrier des hautes Pyramides, Adolescent perdu dans ces foules timides Qu'écrasait le granit pour Chéops entassé. Or ses genoux tremblaient ; il pliait, harassé Sous la pierre, surcroît au poids des cieux torrides ; L'effort gonflait son front et le creusait de rides ; Il cria tout à coup comme un arbre cassé. Ce cri fit frémir l'air, ébranla l'éther sombre, Monta, puis atteignit les étoiles sans nombre Où l'astrologue lit les jeux tristes du sort ; Il monte, il va, cherchant les dieux et la justice, Et depuis trois mille ans sous l'énorme bâtisse, Dans sa gloire, Chéops inaltérable dort. Sully PRUDHOMME
-
Je voudrais pas être pénible... Mais Quelqu'un a dit qu'il y avait un chat dans la boite ou que Abraham et son fils Isaac ont existé. Mais c'est pas sûr. Il l'a dit mais le seul témoignage est SON témoignage. Moi, je ne le crois pas, parce qu'il a aussi dit que Moïse avait ouvert la mer et que la terre avait 5000 ans d'âge... 'Il est de la prudence même de ne pas se fier à ceux qui nous ont une fois trompés." Il y a donc une forte probabilité qu'il n'y ait ni chat ni eu D'Abraham/Isaac dans la boîte... Le chat n'est donc pas mort et/ou vivant mais ni mort ni vivant (l'est pas là !) et Abraham n'a ni tué Isaac, ni retenu son bras (sont un mythe.) Mais admettons ! Abraham, Isaac ! a) Dieu retient le bras d'Abraham. b) Abraham tue son fils, puis Dieu le ressuscite. Est-ce la même chose ? Dans le deuxième cas il y a la SOUFFRANCE du petit Isaac. Mourrir, être égorgé, j'imagine que ça n'est pas une partie de plaisir. Mais cela nous dit que ce Dieu est méchant qui se tape de la souffrance. Dans la première version, pas de mort, pas de souffrance. Il s'agit à coup sûr d'un dieu pour les GENTILS !!! PS l'argumentation de Sénon sur la mort et la résurrection d'Isaac me semble implacable. Selon certaines exégèses. La version "Chrétienne" m'a tout l'air d'une édulcoration. Mais "leur" dieu est plus sympathique. Je pourrais exégéser moi-même : Si Dieu a laisser Abraham tuer son fils avant de le ressusciter, c'était pour partager sa culpabilité. Car s'il ne l'avait épargné qu'au dernier moment quand Abraham levait son couteau, Abraham était le seul "salaud" de service, capable d'assassiner son propre fils sans défense... En le laissant tuer, Dieu endosse la culpabilité. Je voudrais vexer personne, mais Dieu me fait un peu l'effet d'un manipulateur. La manipulation n'est-elle pas pire que la cruauté ?
