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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Putain que c'est beau ! Je me souviens d'une strophe de... Machado , je crois ? La prima que canta y el bordón que llora Y el tiempo callado se va hora tras hora Cantares : son dejos falales de la raza mora... Je vais le chercher !...
  2. Ben voilà : il suffit de s'exprimer intelligemment, finement, et on se comprend !!! Ah mince ! c'est le contraire que tu disais ? Tant pis, je garde, ça me fait rire !
  3. Le sommet c'est le concept de l'impôt à la source ! On te pique ton pognon avant que tu l'aies gagné ! Je trouve ça absolument phénoménal ! J'arrive pas à croire qu'ils osent ça !
  4. Je trouve tout ça presque excessif... On pourrait peut-être aussi bien dire qu'on n'est jamais aussi bien soi que dans le plaisir ? Mais que je suis bête ! Tu l'as dit : "Dans le plaisir nous coïncidons enfin avec nous-mêmes." (Mais c'est en contradiction avec : "dans le plaisir on peut dire qu'il y a l'oubli de soi".) Ou alors, c'est seulement la conscience de soi (symbolique, pensée, "en mots, décalée") qui est simplement mise en veilleuse au profit d'un moi, actif, acteur. Presque de "divertissement"(?). Mais est-ce que l'action (toute action) mérite d'être traitée de divertissement ?! Car aussi (presque à l'inverse de cette recherche ou de cette "fidélité" de/à soi), lors de la moindre de nos activités, lorsque l'on se concentre sur une action, du moindre bricolage à l'écriture ou la compréhension d'un texte, on s'échappe à soi-même. (On retombe sur le "je pense qui devrait pouvoir accompagner toutes nos représentations", mais qui ne le fait pas, finalement ! ) Je deviens un peu le texte que je lis, et j'en suis moins moi-même... Il y a ce paradoxe que le sujet vraiment sujet puisque celui de l'action s'oublie lui-même ! "Nous ne nous posons plus comme sujet, nous collons complètement avec l'objet dans une adéquation parfaite pendant un moment." (C'est vrai!) D'accord, le plaisir peut-il être considéré comme une action comme une autre ? Ou à part ?
  5. @satinvelours Oui ! Mais je me demande si la sensation pure existe. C'est la distinction entre sensation et perception qu'on nous a montrée dès la classe de philo. La sensation est personnelle, mais on peut la penser largement identique chez tous. C'est l'appareil photo, ou l'enregistreur qui expliquerait le mieux la sensation brute, pure. Une sensation qui finalement n'existe nulle part. (chez personne). Nous tous, percevons : nous "reconstruisons la sensation; La crainte de la passivité, d'une sensation passive est-elle fondée ? Toujours nous "mettons en forme, nous travaillons" notre sensation. Certes, plus ou moins "bien" !... ( En dehors : j'ai lu Saxo, je crois qui parlait de la philo comme science. C'est sans doute une banalité, mais en lisant Satin qui s'escrime à nous tenir dans le "droit fil" je dirais plustôt qu'il s'agit d'un... art ! )
  6. Blaquière

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    J'enttends bien ! Mais grâce à cette nouvelle façon MODERNE de penser, on a aussi un Magnifique médaillé Field (Cédric Villani) au demeurant fort sympathique qui est tombé dans le grossier piège Macron ! Alors, gardons un œil ouvert tout de même !
  7. Blaquière

    Le Jardin Sauvage

    J'ai cherché dans mes photos sans succès : j'ai sûrement dû prendre la fleur de l'acanthe mais où elle se trouve ?! Alors j'en ai pris une sur internet ! Ce que je voulais dire c'est que ce ne sont pas les feuilles qui ont des épines, (comme tu dis justement et me l'as appris : ἄκανθα, « épine »,) Mais la hampe fleurie qui monte souvent à plus d'un mètre de hauteur. (Cette année elles n'ont pas fleuri, ici) Et aussi ça fait des gaines dures comme des glands ou des fèves mais marron foncé et lisses comme les noyaux de litchis... Là, les "griffes d'ours" sont bien visibles : Il faut vraiment pas s'amuser à prendre ça à pleine main !... C'est hyper piquant. Le chardon, c'est une blague à côté ! J'ai tapé "hampe florale " et je suis tombé sur cette belle image : http://www.pariscotejardin.fr/2016/06/le-temps-des-acanthes/
  8. Blaquière

    Matériaux

    Je reconnais que là j'en suis arrivé à "l'atome de sens" ! Au niveau inférieur, celui du "boson" le sens s'évanouit. D'accord ! (On entre dans l'indéterminable, dans la fluctuation quantique qui nous reste indigeste.) Mais là (inclure/exclure) il y est encore (le sens) !... C'est même là qu'il naît. Et c'est toujours dans ce dilemme...(?) non : dans cette alternative qu'on se débat. Inclure/exclure, intégrer/expulser. (Quand ce ne serait que pour rester raisonnablement soi-même) On a été étonné récemment qu'après le cerveau, ce soient les intestins qui disposent le plus de neurones. C'est bien là qu'il s'agit de décider de ce qu'il faut inclure ou pas au niveau du corps... Et c'est aussi les neurones qui permettent l'esprit... qui "décident" de d'inclure ou pas, d'accepter ou pas, de con-prendre ou pas au niveau... symbolique ! Les deux mécanismes sont assez semblables finalement. (là je suis un peu rapide!) parce qu'il ne s'agit pas que d'un oui/non au hasard : tout un savoir est nécessaire, inévitable en amont pour étayer les choix.. Je pense. C'est cette connaissance infime qu'il nous faudrait élucider. La clé de la Volonté. (?)
  9. Blaquière

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    Ce serait mème trop beau, top élevé, déjà trop symbolique ! L'esprit lui-même, (dont la logique) je le crains ne fonctionne que sur le schéma de la première cellule vivante ! 1) inclure (dévorer l'extérieur qui n'est pas soi pour en faire du soi) 2) exclure (évacuer, éliminer -ce qui n'est pas soi-- et procréer du soi) La vie comme l'esprit pourraient se résumer à faire, à fabriquer du soi. Ce qui est ni bien ni mal mais obligatoire, et indépassable. Définitif. Pour "le reste"le mode, dans le détail, l'esprit est une éponge : il inclue, inclue, inclue... tout ce qui passe à sa portée... Et il met un peu de coté ce qui ne lui va pas trop. La corbeille de l'ordi ou l'inconscient. Mais à quoi peut bien servir d'accumuler, d'accumuler, puisqu'à la fin on perd tout ? (C'est plus une autocritique qu'une critique ! Hein ? puisque moi aussi je n'ai de cesse d'accumuler !)
  10. Blaquière

    Matériaux

    Et d'abord, des assiettes j'en fais pas, non mais !
  11. Blaquière

    Matériaux

    Y'a que du gratin, ici ! Les uns sont trop plus intelligents et motivés, les autres sont trop plus résistants... Pauvre de moi qui suis juste dans la moyenne !
  12. Blaquière

    Matériaux

    Un petit aparté. Hier j'ai suivi une vidéo de Klein sur la mort. Il y disait ce qui est vrai qu'un organisme quelque secondes après sa mort est exactement le même qu'avant sa mort. Et donc qu'on pourrait dire que la mort n'est rien ! Ou en tout cas mystérieuse... C'est presque de l'esprit magique. Que s'est-il passé au cours des millisecondes qu'est la mort ? Rien ? La vie est vraiment magique ? (Votre avis ?) J'en pensé par la suite, '(au bout d'un moment) à ce qu'il convient de faire pour s'assurer qu'un corps est mort : LE CŒUR ! S'il ne bat plus! Il faudrait être biologiste pour confirmer ou infirmer (le mot est amusant) ce que j'ai pensé alors. Le sang irrigue (comment?) le corps et le cerveau, le fournit en permanence en "énergie", une énergie faible, sans réserve, sans accus, à flux tendu. Quand le cœur s'arrête, c'est juste le bouton qui est mis sur "off" : Tout s'éteint, simplement. Rien de magique. La vie et l'esprit sont des phénomènes par des substances. La substance (le corps) est toujours là qui ne les produit plus. Il est même certain qu'ici ou là, dans ce corps, des cellules continuent à vivre, un peu. On dit par exemple que les cheveux continuent un temps à pousser. De l'énergie résiduelle. Insuffisante pour faire marcher l'ensemble... et surtout l'esprit. J'arrête là, ça devient sordide !!!
  13. Blaquière

    Matériaux

    Je vous relis et je cherche le « point de dévissage » ou je ne peux plus vous suivre et qui constitue à mon avis un premier pas vers le magique : Tison2 : « cette explication freudienne peut se justifier dans certains cas, mais elle ne me satisfait pas du tout parce qu'elle ne tient pas compte de cette dimension d'inconnu et d'incommensurable vers quoi aspire l'homme au plus profond de lui même. » Dompteur : « L’homme est une créature qui dispose d'une surabondance de forces et de moyens et qui par conséquent les utilise pour s’accroître. Doit-il le faire ? Ce n'est pas une question de devoir. Le fait est que nul ne peut s'en empêcher. » Pardon (il faut bien sourire un peu) mais ça ressemble à des paroles d’oracles ! Si je synthétise les deux, j'obtiens "nul ne peut s'en empêcher, parce qu'au plus profond de lui-même" le "principe ou le foyer énergétique" est bêtement ou simplement "mécanique". Ce sont les deux principes vitaux de l'individu et de l'espèce, cités au dessus. Mais si l'origine est connue (pour une fois!), tout le travail "philosophique" va consister à comprendre et prendre conscience des différentes déclinaisons.
  14. Blaquière

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    Si vraiment vous pensez que l'énergie qui nous habite, le moteur premier de notre existence est autre chose que la transposition sous différentes formes des "forces vitales" au sens large de survivre (se nourrir en particulier : programme de l'individu) et de se reproduire (programme de l'espèce), la fonction du premier étant de rendre possible le second, c'est que vous vivez, que vous voulez vivre dans un monde magique. Ce serait certes plus flatteur, plus valorisant, mais plus du tout compréhensible. L'intelligence, le savoir (réel) peuvent-ils s'accommoder du délire ? Je ne nie pas l'importance du symbolique, (nous y vivons tous) mais sans réel, plus de symbolique possible qui est toujours symbolique d'autre chose que de lui-même. Pour moi, c'est là qu'est l'erreur. Vous avez le droit de ne pas accepter, mais il faudrait alors accepter cette vison magique du monde et de nous. "l'ampleur du problème de la surpopulation galopante" n'a hélas rien de bien magique... Et c'est comme une preuve. Preuve que le moteur (réel) n'est pas de l'ordre du symbolique. La vraie "magie" ou plutôt le "miracle des miracles" comme disait le Jêêsus c'est que "de toute cette misère, naisse une telle richesse". (Moi, mon "point Godwin" c'est Jésus!!!)
  15. Blaquière

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    Oui ! On peut dire ça. J'y crois moyen... Tu dis : "la sublimation freudienne qui est un processus de dérivation des pulsions sexuelles et agressives vers des buts et objets socialement valorisés." C'est vrai que ça fait petit joueur. Mais si on regarde bien en soi, je doute qu'il y ait autre chose. Le problème c'est le "socialement valorisé" si on considère qu'on a intégré ce qui est social. (C'est pas Jung qui dirait le contraire ! Avec son inconscient collectif : je blague!) ou plutôt oui : une fois bien intégré cet inconscient-là n'est plus du tout collectif mais personnel. Si bien qu'on finit par croire que vouloir être bon, ou vouloir se dépasser (par exemple) vient de nous et nous est très personnel. (C'est là l'erreur) Mince ! C'est personnel à tout le monde ! Tout le monde, j'exagère : seulement les 10% qui sont à peu près conscients. Les 90 autres sont déjà tombés dans les pièges les plus simples et les erreurs les plus flagrantes. Pour les 10%, il faut des erreurs plus subtiles !... Et surtout croire que ce ne sont pas des erreurs. Tous les matins, quand j'ouvre le magasin, je vois tout le monde qui court (en voiture) dans tous les sens. Chaque fois, je me dis : "c'est pas possible !" Mais oui ! Ça court, ça court ! Je me dis s'ils prenaient un peu conscience, ils stopperaient illico ! Imagine le bordel ! J'en rêve ! Mais non ! ils continuent. Alors je me dis que que "leur" conscience est totalement inconsciente ! Et que si ça fonctionne si bien, c'est forcément... structurel ! On est fait ainsi. Le moteur réel de la vie est totalement submergé par l'esprit ! Par l'erreur qu'est l'esprit. Même chez les plus cons ! Je trouve ça ahurissant ! Mais ça tourne bien ! On devient de plus en plus... virtuels ! Tu m'étonnes que le téléphone portable ça marche du feu de dieu ! Et je le redis : même chez les plus cons ! Je suis admiratifs ! Franchement si je le voyais pas, je pourrais pas/ j'aurais pas pu l'imaginer !
  16. Blaquière

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    LORD SHOWS ME THE WAY : Ah la SALOPE ! J'en suis gaga ! (Quelle brouillade tout ça ! C'est une allégorie de l'indignité ! J'en veux !)
  17. Blaquière

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    On est bien d'accord, mais on ne le comprend pas tout-à-fait de la même façon ! On est condamnés à s'améliorer en quelque sorte, par erreur !!! La libido ou "l'élan vital" (!) est là, en nous puisque nous vivons CQFD ! Mais compte tenu de l'excroissance (un peu délirante) de nos circuits psychiques, il ne nous est plus possible de nous contenter de bouffer et de copuler! Ce qui est plus ou moins la seule règle du vivant. Par nécessité, dans le simple "but" de se maintenir, de persister dans son être. (j'ai dit "être": j'ai bon !) Alors, on SUBLIME ! L'humanité, le monde humain, avec toutes ses constructions (La philo, la science, la technique, la religion, la société, le travail...etc) est à considérer comme une erreur du vivant. D'où l'enflement de l'inconscient. L'humanité, LE SAVOIR, LA CONSCIENCE, sont comme des erreurs du vivant. J'exagère ! En fait je veux dire que tout ça, n'était pas prévu ! Ça nous est tombé dessus, comme par hasard. L'univers n'en a rien à foutre d'une conscience de lui-même (ce que nous sommes). Il lui suffit d'exister. Mais nous, on veut plus. On veut se justifier. C'était pas prévu, la conscience, l'esprit, et pourtant, dès le début du vivant, c'était inévitable. C'est le paradoxe dans lequel je me débats ! Bon, si j'arrête pas, je vais tomber dans la banalité absolue ! 'Fais tourner !"
  18. Blaquière

    Matériaux

    @zenalpha Tu parles d'équilibre ! Tiens j'ai édité ma réponse pour signaler ce que j'ai particulièrement aimé dans ce texte. Mais le fait d'apprécier telle ou telle chose bien visiblement n'a-t-il pas pour but d'enfoncer plus profond le clou de la critique ? Je sais, je chipote !
  19. Blaquière

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    "Là où règne l'amour, la puissance individuelle n'a nul pouvoir, et là où domine cette puissance, il n'y a point d'amour. Il est difficile de croire que ce monde si riche puisse être pauvre au point de ne pouvoir offrir un objet à l'amour d'un être humain. Il offre à chacun un espace infini. C'est bien plutôt l'incapacité d'aimer qui enlève à l'homme ses possibilités. Notre monde n'est vide que pour qui ne sait pas diriger sa libido sur les choses et les hommes et se les rendre vivants et beaux. La beauté ne réside pas dans les choses mais dans le sentiments que nous conférons aux choses. Donc, ce qui nous contraint à créer de nous-mêmes un substitut, ce n'est pas le manque extérieur d'objets, c'est notre incapacité de saisir avec amour une chose hors de nous. Certes, les difficultés des conditions d'existence, les contrariétés de la lutte pour la vie nous accableront, mais, d'autre part, des situations extérieurement pénibles ne contrarieront pas l'amour; au contraire, elles peuvent nous éperonner pour de plus grands efforts, nous amenant à inscrire toute notre libido dans la réalité." C"est un beau texte, vraiment. Victoire écrasante de l'amour sur la libido, 6 à 2 ! Mais je ne suis pas que critique : "La beauté ne réside pas dans les choses mais dans le sentiments que nous conférons aux choses." Ça, je trouve extrêmement juste !
  20. Blaquière

    Matériaux

    Je suis d'accord avec toi, mais j'achoppe sur cette notion, ce mot d'être. Qui dit tout, rien, et n'importe quoi, et se substitue à la notion d'âme tout aussi floue. S'accroître, oui, mais accroître quoi ce faisant ? Sa conscience, (devenir plus, mieux conscient de soi et du monde) en accroissant ses connaissances, en améliorant son jugement, ses comportements... là je suis tout-à-fait d'accord...
  21. En marge de ce débat sur l'existence et sur l'opposition subjectivité/objectivité et surtout leur synthèse... (Puisque tu en a parlé.) On voudrait (moi aussi je le voudrais) que Socrate soit un peu un super Platon, un Platon en mieux, un Platon moins manichéen, de même que le Christ aurait été avant d'être trahi, un christianisme sans défaut. je ne sais pas si ces deux personnages, Socrate et le Christ étaient ce qu'on voudrait qu'ils soient ! En tout cas, ils ont eu en commun de n'avoir jamais rien écrit eux-mêmes... On les comprend : pour que leurs philosophies restent vivantes, dynamiques, vécues. même si ça n'a pas vraiment été le cas. Mais c'était peut-être une erreur. Encore que l'on sache le sort réservé aux écrits qui dérangent vraiment. Les deux auront fait l'objet de "récupération" certainement et le dira-t-on, de trahison ? Les deux n'ont pas écrit, je l'ai dit, mais les deux aussi on mal fini. Et peut-être même volontairement. (Même si ça n'est pas vraiment sûr pour le Christ qui pouvait sembler moins lucide puisque plus religieux, plus illuminé...) Y a-t-il lieu de différencier absolument, la philosophie de Socrate de celle de Platon ? N'est-ce pas notre propre intention que nous lisons dans ce Socrate idéal?
  22. Je connaissais d'autres peintures de Klimt, mais pas ce "Serpent d'eau": c'est très érotique... Merci aussi ! La structure générale, (deux corps allongés suspendus l'un sur l'autre) est la même que dans le dessin de Magritte... Je vois que le "grand bol de sommeil noir" de Satin est "décoincé" ! c'est une bonne nouvelle !
  23. Blaquière

    Les chasseurs

    T'as pas compris : un coup de fusil, ça règle absolument tout ! C'est métaphysique... Magique... -- Je suis pas d'accord avec toi ! -- PAN ! Et le problème est réglé ! Mais attention : pas n'importe comment, il y a le "bon chasseur" et le "mauvais chasseur". Rien à voir ! Le mauvais c'est net, droit au coeur, Pan ! alors que le bon, c'est... C'est...net, droit au coeur... Euh!.... MAIS, MAIS, avec respect !... Et s'il pense à demander pardon, après, c'est encore mieux.
  24. Blaquière

    Matériaux

    Caminito que el tiempo ha borrado Que juntos un dia nos viste passar He venido por ultima vez He venido a contarte mi mal !... (Carlos Gardel)
  25. Blaquière

    La langue d'oc

    Trop content ! En deux clics j'ai retrouvé la photocopie de mon texte dans un coin de l'ordi ! Il est à noter le son "oi" dont j'ai parlé plus haut dans "Manoasca" pour Manosque : depuis le XIIIe (au moins) il plaît bien aux provençaux ! Il faut imaginer mon bonheur quand je suis tombé sur ce manuscrit ! Que je l'ai tenu dans la main ! Une fois qu'on a pigé les lettres, ça se lit comme un livre imprimé !
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