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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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J'applaudis des deux mains ! Il faudrait pouvoir "rendre à la raison ce qui appartint à la raison et au sentiment/ à l'émotion ce qui revient au sentiment!" Continue à chercher !
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Oui ! C'est l'explosion de la tonalité ! Il n’empêche que les modes majeurs et mineurs pour une oreille à peine avertie et intuitivement pour les autres à coup sûr ont des "couleurs" bien différentes,. En ce sens, les "tons" d'Heidegger-Alio, seraient bel et bien quelque chose de réel, de "préhensible" mieux qu'intuitif... Mais j'y pense, avec ces musiques sérielles et dodécaphoniques, "hors ton" est-ce que justement on ne sort pas du SENTIMENT ?! Et quasiment a priori de l'émotion ? ... Je dis a priori, car l'émotion pourra par la suite se faire un mélange perso d'une situation particulière et d'une musique sans émotion. Celle-ci rappelant l'autre)
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Tu as choisi la bonne image ! Une image à double sens. L'empreinte. ou "l'impression" qui peut être qq chose de très concret, une marque (quoi qu'en creux donc une absence!) Ou "l'impression" évanescente comme quand on dit "j'ai l'impression que". Imaginaire, seulemnt possible, Un sens figuré... mais sans figure. On pourrait dire que Heidegger, dans ce ton, comme dans l'étant recherche ou tente de réinventer l'Être qu'il a perdu par sa réflexion philosophique. Ceci dit ce que tu dis est passionnant !
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Il n'y a pas plus flou comme notion que le "ton" que ce soit en peinture ou en musique... (Ce n'est pas la tonalité en musique qui est une chose précise en musique et où les différentes tonalités antiques et/ou médiévales sont réduites à deux maintenant : majeur et mineur) On parle aussi de teintes, de couleur... les uns disent la couleur, les autres l'intensité, le dégradé, le mélange... J'attends donc avec impatience ton image ! Je suis sûr que tu vas nous sortir un truc remarquable ! Excellent tu as écrit 2 secondes avant que j'envoie ; je rêvassais ! je vais lire ton allégorie !
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Ça me fait penser à un présocratique et je suis bien marri de ne plus savoir lequel, qui disait : "Attends qu'un homme soit mort pour dire qu'il fut heureux." (En espérant ne pas avoir trop déformé...) J'ai retrouvé ! Démétrios de Phalère "Attends la mort d'un homme pour le proclamer heureux."
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Détresse du présent... Des tresses du présent. Oui le présent se tresse et se détresse sans discontinuer. Et il perd des filinsn ses filins du passé, en gagne de nouveaux venus d'on ne sait où. Comment la tresse peut tenir sans début et sans fin ? Elle est pourtant solide. Il me semble Et bien enchevêtrée.
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Votre remarque est intéressante. En effet il apparaît impossible pour beaucoup dont dans doute @hell-spawnde s’adresser à quiconque sans connaître au préalable son genre (sexe), son âge, voire sa couleur de peau, sa religion, sa fonction sociale, etc. Ce sont des personnes qui ont besoin de DÉTERMINER l’autre pour pouvoir communiquer et ce même sur un forum où les échanges sont purement mentaux sans même qu’il y ait un quelconque enjeu. Ce type de personnage se sent insécurisé s’il ne peut pas objectiver l’autre, l’enfermer dans un cadre rigide et donné. Oui remarque très intéressante ! Mais, je ne vais pas aussi loin. La distinction homme/femme me suffit, mais elle m'est presque indispensable au début d'une relation. Soit il s'agit d'un homme, et je dois et m'assurer de son concours et l'assurer du mien, si d'aventure NOUS devions nous défendre de l'attaque inopinée d'un tigre au dents de sabre... Soit il s'agit d'un femme (ou d'un enfant) et il me faut d'entrée les rassurer. Qu'ils comptent sur moi. Qu'ils sachent que si une horde de mammouths déferle, je saurai les mettre à l'abri... Après ce premier contact, on pourra parler de la pluie, du beau temps, de la taille des silex, d'une recette de cuisine ou de sentiments ... à égalité (!) La sécurité, c'est à moi de l'assurer aux autres en premier... Je suis un chasseur cueilleur des cavernes au fond de l'âme !...
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Tu parles sans savoir, mais je te pardonne, c'est idéologique ! Pour toi le riche est forcément vertueux et le pauvre vicieux ! Tout ce que j'ai versé, toute ma vie, c'est bénéf total pour les caisses ! Jamais de docteur, jamais d'interruption... Jamais de chômage... J'ai plus qu'à espérer d'être vachement malade maintenant pour me récupérer un peu ! (Ne vous en faites pas pour moi quand même : JE SUIS RICHE ! Mais j'ai travaillé ! Et ça paye pas ! Ma grande fierté (ou vertu) c'est de n"avoir jamais exploité personne.)
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Maintenant je vais vous dire un secret... C'est pas en travaillant qu'on devient riche. (Ni en faisant un bon travail !) Si vous voulez être riche, il faut faire travailler... LES AUTRES ! (Et qu'il travaillent pour vous, bien sûr !) Il faut SE valoriser le travail des autres... Là on est d'accord !
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Vous savez pas de quoi vous parlez... Moi j'ai travaillé toute ma vie jusqu'à plus de 70 ans. J'ai cotisé tout le temps en fonction de mes moyens, et là, je dois continuer à travailler pour survivre ! Jusqu'à quand ? Jusqu'à ma mort sans doute alors ne me dites pas que le travail est valorisé par ceux qui nous dirigent ! Tout mais pas ça ! Pitié !
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L'Être, c'est flou... Le Sentiment c'est flou... Alors pourquoi le Sentiment ne serait pas la clé de l'Être ? On est dans les sables mouvants...
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A l'instant : Macron à Bormes les mimosas ! "On continue : on lâche rien !" (Le pauvres ils ont qu'à crever !)
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L'univers est-il stupide ou intelligent ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Philosophie
En quelque sorte, Dieu doit prendre modèle sur moi qui suis auteur... -
(Illustration) : Une Rolex à 50 ans ? Dans toutes ces pages, y'a sûrement quelqu'un qui a dû le dire. Mais j'aime trop cette stupidité ! Celui qui l'a dite, après coup a regretté : "C'est une bêtise de l'avoir dit !" Le pauvre ! Il n'a toujours pas réalisé que la bêtise, c'est pas de l'avoir dit, mais de le penser...
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C'est bête de rater sa vie alors même qu'on a la solution : LA POTERIE ! En plus, pour remplacer la chaleur humaine, T'as le four ! (Souriez ; vous êtes filmés !)
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La seule chose qui peu faire passer les philosophies à deux balles sur "réussir sa vie", c'est de faire tourner... Quand même !
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Un grand carnage Désavantage : Tu prends de l'âge Et vis en cage T'es bien trop sage Pas à la page Dans le potage ! Et tu enrages de l'esclavage Quel engrenage c'est un naufrage ! T'es au chômage Dans ton grillage En décalage Faut un lavage, Un grand nettoyage Fini le gaspillage ! Prends ton virage Sans bagage Allez, courage ! Fais-en pas un fromage ! Quant à moi, je nage Sans maquillage Et sans partage Tout à mon avantage Dans son corsage..
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Il a écrit d'autres trop beaux trucs, aussi : "Tournent les vies, oh tournent les vies, oh tournent et s'en vont Tournent les vies, oh tournent les violons"
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C'est ma définition : Tout seul je suis autotélique Quand devant ma télé je pique Un bon roupillon !... Et si ma vie est magnifique C'est qu'en tout temps je m'applique A trousser le cotillon !...
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En gros, quand on a trop de muscles, on est plutôt con ! Et moins, plus intelligent ! LOGIQUE ! (Non, je rigole !) Mais tu as raison... chacun a son évolution, son rythme... Si on regarde, on voit pas beaucoup "d'enfants précoces" qui ont cassé la baraque plus tard... Et souvent ceux qui ont eu un démarrage laborieux vont très loin et se rattrapent bien ensuite...
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Voilà ! à moi toute la thune de DDR ! Non mais ! Dépêchez-vous le magasin se vide à grande vitesse en ce moment, bientôt j'aurai plus rien à vendre ! (Elle est pas belle la vie... sans violence ?!)
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Peut-on être jaloux de soi-même ? Auquel cas, on serait seul ! Moi, je me jalouse : je suis crop fort ! @Ines Presso
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Est-ce que ça ne serait pas un problème d'identification (impossible) à l'autre ? Parce qu'il voudrait prendre sa place, devenir lui ? Avoir ses gestes ? L'objet désiré que l'autre possède n'est-il pas seulement le symptôme visible de ce désir de devenir l'autre ? Comme si l'unité corporelle (du stade du miroir) de celui qui désire n'était pas achevée (le sera-t-elle jamais ?) et qu'il veuille se prendre pour l'autre, ce bel exemple de corps bien unifié devant lui ? (comme son propre corps dans le miroir). L'objet qu'à l'autre serait alors ressenti, perçu comme un fragment de son propre corps morcelé en construction, en cours d'unification... (Autre façon de dire un peu comme DDM ; c'est du corps qu'il s'agit. le désir, l'esprit sont à la traîne.) L'autre et ses gestes avec le jouet forment un tout idéal ce n'est pas seulement du jouet qu'il est question. C'est ce tout que le "désireur" veut devenir. (?) Le désir du jouet est inséparable de l'image de l'autre jouant avec. Quand il rentre chez lui, le jouet reste dans le tiroir, parce que cette image idéale à copier, à devenir, n'est plus là. N'est plus d'actualité. Est-ce que tout désir pourrait se résumer ou se comprendre à vouloir être l'autre ? Je ne sais pas.
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Ben c'est ça, dis que je me suis trompé de mot, tant que tu y es !
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Tiens, moi je me représente la conscience comme... un entonnoir ! Hic ! (non, je rigole pour le "hic"!) Un gros côté où tout rentre en vrac et seulement un petit où ça ressort en un petit filet ! Et la conscience, c'est le petit filet ! NON ! Mieux que ça ! Je me représente la conscience comme un... entonnoir DOUBLE ! Un sablier si tu veux... Tout rentre d'un coté, de l'extérieur toujours en vrac... et la conscience c'est le goulet d'étranglement où tout ne passe que grain à grain. L'entonnoir inversé du dessous, c'est notre esprit, avec tout ce qu'il contient, comme notre mémoire... Quand le dessous est plein (plus ou moins, disons quand il contient un peu quelque chose), on renverse le sablier, et là ce qu'il contient, toujours à travers le petit trou qu'est notre conscience, retourne dans le monde : c'est comme ça qu'on le comprend le monde. parce qu'on y "met du nôtre" ! Du nôtre qu'on avait déjà pris au monde auparavant en petits filets. Pas besoin de faire un dessin : un sablier, ça marche qu'avec le temps ! Tu supprimes le temps, et il n'y a plus rien, ni le monde, ni notre conscience ni notre esprit. Tout devient inerte... Les grains ne passent plus, dans un sens ni dans l'autre, la conscience n'est plus conscience de rien et le monde n'existe plus pour nous ni notre esprit... Bon, là, il est TEMPS d'aller me coucher ! à plus !
