Scrongneugneu

Oui, mais si t'es patron en France, c'est autoriser. Qu'à fait le Moi Président ? Comme tous, rien ! Au moins, MACRON tente de faire quelques chose, mais les politiciens veulent que d'une manière ou d'une autre, ça capote. Alors on aiguille sur l'ISF,en occultant les plus de 1000 milliards d'euros budget Etat + collectivités locales.

Si les patrons étaient moins taxés ( 1000 euros de salaires versé à un employé=1440 euros...uniquement sur les salaires, parlons pas du reste ) en France, ils ne délocaliseraient pas. La nationalisation ? Regarde la gestion du publique. Gabegie complète ! Et qu'on fait nos chers politiciens ( à part s'en mettre plein les fouilles ) pour une égalité de droits en Europe. Dernier point, le droit de propriété est aussi dans la constitution, sinon, pourquoi ne pas se servir de tes propres biens pour les donner aux plus démunis que toi.

Toujours les mots qui vont bien. Le grand patronat et le CAC 40. Mais une fois dit cela, que faire ? Les virer et supprimer la bourse ! Le fric ira quelques part, donc ailleurs. Les retraités sont comme dans le reste de la population. Il y a les pauvres et les plus aisés. La moyenne des retraites est supérieure à la moyenne des salariés de 5%, avec une CSG inférieure aux actifs. Et les retraites à minima sont exempt de toute cotisation. Ce sont les actifs qui paient les anciens grâce à la fameuse répartition. Ensuite, les plus de 62 ans "consomment" 60% de la sécurité sociale et le patrimoine moyen est à faire pâlir un smicard. C'est le résultat de la génération "papy boum" qui ne s'est pas du tout préoccupée de l'avenir de ses enfants. Que faire ? Ben, laisser en l'état bien sûr, et augmenter les cotisations retraite des actifs. Les fonctionnaires sont 30% de plus que dans la moyenne Européenne, coûte plus cher, pour un résultat qui n'est pas à la hauteur des attentes. Que faire ? Augmenter les impôts des actifs pour en avoir davantage, car, pas touche ! Les régimes spéciaux qui partent entre 5 et 10 ans plus tôt en retraite que les autres. Que faire ? Augmenter les cotisations des autres actifs, bien sûr. Etc....

Tu as raison dans le sens où je suis un peu aigri, car la France ne récompense pas ceux qui se décarcassent pour la société. De plus, cette haine de la réussite et des entrepreneurs, entretenu par une partie des élus, qui vivent d'argent public m'énerve, car ils ne pensent qu'à se faire réélire. Tournes comme tu veux, les créateurs de richesse ( désolé, nous ne sommes plus au temps au moyen âge ), ne sont pas les assistés, mais sont assistés par ceux qui ont du fric. Et tous les minimas sociaux sont exempt de toutes taxes et impôts hors TVA pour la vie courante. Le revenu universel, n'aurait de sens que si, par exemple, un bénéficiaire du RSA aurait un regroupement des aides, et à lui à gérer. Cela va du RSA, plus APL, et aides diverses estimés pour un total d'environ 900 euros. Possible, grâce aux économies de gestion...ben, oui, des fonctionnaires en moins dans certains organismes. Mais cela engendrerait automatiquement des abuseurs du système au détriment de ceux qui sont dans le réel besoin. Maintenant, la solidarité par les impôts, oui, mais la confiscation, non. Quand un salarié a 1000 euros, ses prélèvements obligatoires font qu'il lui reste 840 euros et son patron doit sortir 1440 euros uniquement sur salaire et pour une main d'oeuvre simple. En salaire brut, un SMICard doit faire gagner à sa boîte un minimum 2200 euros pour qu'il puisse avoir un salaire net d'environ 1200 euros. Ensuite se rajoute les conditions de travail et la gestion avant de parler bénéfice pour son patron. Qui doit fournir le boulot ? Le salarié pour gagner si peu, même si son patron est dans les règles et se tire un salaire décent. Au total, ça donne quoi ? Des syndicats qui ont du mal à défendre les salariés, des assistés qui en veulent plus, des patrons qui ne savent plus comment faire, tant il y a de freins, sans aucune garantie sur les règles qui changent à chaque gouvernement. Pire, aujourd'hui, une femme seule, avec enfant a tout intérêt à ne pas bosser, car la réalité fait qu'au SMIC, elle ne gagnerait que 200 euros de plus par mois. Y a de quoi réfléchir à bosser plus de 150h par mois pour 200 euros. Où est l'incitation ? Je suis en retraite, et je sais ce que j'ai dû faire pour en bénéficier, au frais de ceux qui bossent aujourd'hui. Par ailleurs, je suis conscient, qu'un retraité paie moins de CSG qu'un actif, que les retraités gagnent 5% de moyenne de plus que la moyenne des salariés. Qui devrait faire les efforts pour les retraités pauvres et malades la plupart du temps ? Les riches ! Ceux qu restent sont de plus en plus taxés, car bon nombre se sont barré...avec leur fric et les impôts qu'ils payaient n'existe plus. Comme nous sommes les seuls à avoir un ISF ( si c'était une bonne idée pourquoi les autres pays n'en ont pas ? ), qu'est-ce 3 ou 4 milliards de cadeaux ( aux yeux des assistés ) au regard des 520 milliards de prestations sociales, hors sécurité sociale et retraite.

C'est vrai que personne ne profite de l'assistanat et de l'Etat providence...En réalité, vaut mieux ne pas bosser que d'être payé au SMIC, tu te fais chier pour 200 euros. Quel service rend à la société un RSA, un chômeur, une femme seul avec enfant qui ne bosse pas ( c'est pas son intérêt ), un handicapé, un réfugié, la plupart des retraités malades, les gamins à l'école, les étudiants boursiers,...rien. Pourtant ils ne meurt pas de faim et son soignés, qui paie ? Les pov'cons qui bossent.

Transformer une société ( c'est le mot à la sauce MACRON ) figée comme la notre est une tâche où les "anti" font tout pour que ça ne fonctionne pas. Né période "baby boum", ma génération a tout fait pour avoir un niveau de vie aisé et nous a transformé en égoïste. On prend et on verra plus tard. Quid de la génération future. La culture du tout gratuit au frais des autres est bien ancrée, et plus on distribue, plus on en veut. On s'en fout de la dette, on emprunte. Résultat, la France étant considérée comme solvable, la finance prête encore. Avec l'Espagne, nous sommes les 2 seuls pays zone Euro au dessus des 3% de déficit...et la moyenne est à 0,8%. Or la solidarité zone Euro exige qu'un pays en difficulté ( cas de la Grèce ), l'aide est de mise. Raz le bol des pays vertueux qui menacent de ne plus soutenir les "gaspilleurs". HOLLANDE a commencé, et MACRON n'a pas le choix autre que poursuivre. L'avancée des populistes en Allemagne, n'est pas liée qu'aux migrants. Ils estiment aussi que MERKEL en fait trop en mettant la main au porte-feuille solidaire pour les pays du Sud. Ignorée l'ensemble de cette réalité, c'est aller dans le mur. Voilà ! J'ai pris un peu de temps pour te dire que cette dette, la France doit la rembourser. Bien entendu, de fait, elle y sera toujours, mais il est souhaitable qu'elle diminue, car comme dans un ménage, quand nous achetons une baraque ou une bagnole, on emprunte. A savoir que le intérêts de la dette existante dépasse les 40 milliards qui partent en fumée...suffisant pour payer les chômeurs par exemple.

Du pure MELENCHON ! Rêves pas, nous ne sommes pas la Grèce. Le surendettement effacé par décision de justice dans notre beau pays, au frais des autres bien sûr, n'existe pas en International. Les Chinetoques et autres veulent leur pognon, et c'est légitime. Le tout gratuit de la naissance à la mort est une utopie entrée dans la culture des branleurs en tout genre qui ne font que lorgner sur le pognon que gagnent les autres. Par ailleurs les crétins pas malins gobent le discours de leurs champions qui se gavent en passant d'argent public avec leur 5 SMIC mensuel et retraite chapeau à venir. L'Argentine, se sort en douleur du manque d'argent, et la Grèce paye la gabegie de ses dirigeants qui a fait croire au peuple que le fric est sans limite. Si MACRON serre les boulons, ce n'est pas pour faire chier le monde et avantager les riches, comme le pensent certains, mais bien pour rassurer "la finance" de continuer à prêter pour notre sacro-sainte protection sociale.

Et alors ! Je n'y suis pour rien. Ils n'ont qu'à faire patron et non être dépendant des autres. Je pousse loin le bouchon, mais 500 milliards d'aides sociales ( hors retraite et sécurité sociale ), je penses que notre pays fait pas mal et permet à bon nombre de survivre, sans doute, mais on ne meurt pas de faim. Pour faire bonne mesure chaque petit qui naît dans notre beau pays a déjà une dette de 30 000 euros. Est-ce effaçable comme une partie de la dette Grecque ?

MACRON est encore jeune et comme tout jeune on ne mâche pas ses mots. Les vieux "brise cars" ont des discours d'enfumage, pour ne pas dire, avec utilisation de vaseline, à destination des gogos électeurs. Par ailleurs, me semble-t-il, certains manipulent un langage quasi-insultant, sans que le dévot prenne ombrage de son gourou. Quand à la finance, tout le monde en croque, même les assistés qui ne cessent d'en demander encore plus. Mais le tout gratuit au frais des autres a aussi des limites...et dans notre beau pays, les profiteurs sont à tous les niveaux appelés sociaux. Alors, pour quelle raison se gêner quand on a la possibilité de s'en mettre plein les fouilles.

Vivement le retour d'Hithler et autre Staline, çà c'est du libéralisme...en matière de dégagisme...Notre monde n'est pas si pourrit que çà, puisque vous pouvez cracher votre haine sur ceux qui ne pensent pas comme vous. La Grèce, corrompue à souhait par ses dirigeants, avec en sus emprunt tous azimut, s'est gavée de subventions Européenne, sans rendre de compte, avec une multitude de gens, soit disant fonctionnaires, bien payé et retraite à 15 ans de service. Pour faire bonne mesure, leurs riches, surtout armateurs, ne payaient aucun impôt, et le bon peuple l'avait accepté grâce à la largesse Européenne. Ils sont les responsables de leur situation, mais le manque de contrôle des fonds Européen aussi. Rappel, pour ce petit pays, 100 milliards de dettes furent effacées, et dans sa grande bonté, notre Moi Président a accordé en notre nom ( sans me consulter ! humour ! ), et la part de la France fut de 15 milliards dans le vent. Qui a payé ? Aller, va, vivons heureux, car ici ça pleure pour 5 euros...

Je crois que çà s'appelle de la désinformation, comme au bon vieux temps du communisme. Il n'a jamais traité l'ensemble des Français de fainéants, mais si tu reprend sa phrase, sont visés "les" fainéants. Je ne me sent donc pas visé, mais les bons à rien, oui !

Néanmoins, si le droit de grève est constitutionnel, il est clairement dit que c'est cesser le travail, même pour un non syndiqué, y compris par solidarité, dans un but "alimentaire" ou de condition de travail ( c'est un résumé ). Le patron n'a aucun droit de repression, ne peut pas faire appel à des intérimaires pour remplacement de grévistes, mais peut demander aux non gréviste de faire des heures supplémentaires dans le cadre du droit. Il est noté nulle part le blocage des lieux de travail aux non gréviste, encore moins des routes, car c'est hors la loi. Mais, c'est devenu une règle, jamais sanctionnée, donc considéré comme un droit...et à regarder de prêt, les agriculteurs sont en tête... En réalité, le gouvernement MACRON, tente de faire appliquer la loi. Avec des pincettes, tant c'est devenu une forme de droit acquis en matière de blocage.

Bien sûr Louise, je n'oublie pas les conquêtes sociales et les guerres, dont des membres de ma famille que je n'ai pas connu ont payés de leurs vies. Néanmoins, ce siècle, où tout va très vite, parfois à mon grand désarroi, doit "formater" autrement le logiciel syndicale qui ne fait que défendre le corporatisme au détriment de la réelle solidarité. Une France de 40 millions d'âmes à nourrir, n'est plus. Depuis 70 ans, 1 milliard d'être humains ont atteint le niveau de vie des pays dit, occidentaux, la misère touche 2 milliards. Et pendant ce temps, que fait-on ? Des routiers se plaignent, dès lors qu'ils peuvent partir 5 ans en retraite plus tôt que le reste du privé, idem pour la SNCF, EDF, et autres régimes très spéciaux. 5 euros...moins que le prix d'un paquet de clopes dont il est reconnu que les plus démunis fument à gogo. Voilà l'enjeu. Le passé doit faire place au présent. La réalité est là, non le chacun pour soit et les mensonges qui vont avec.

Mon pôvre ! Barre toi vite de là ! Saint Pierre et Miquelon et la forêt Guyanaise, même le désert d'Atacama, sont des endroits reposants, à contrario de la France qui draine un esclavage et le fouet. Quelle misère ! Pas de sécu, pas de prestations sociales, pas d'indemnité de chômage...heueueu, je dois confondre avec certains pays luxuriant d'Amérique du Sud, d'Afrique ou le Bengladesh. Je comprend que t'es pas bien ici.

Cela s'appelle un CFA, congé de fin d'activité, accord conclu Etat, Syndicat, Patronat des transports en 1997, qui bénéficie actuellement à environ 35 000 personnes, pouvant partir 5 ans plus tôt, sous condition d'année de conduite ( 37 ans je crois ) à 75% du salaire brut, mais qui coûte très cher. Devait être revu en janvier 2017, toujours en attente, mais le ministre actuel a simplement dit que les routiers n'ont pas de soucis à se faire. Cherche peut être dans les sources syndicales, mais comme tout avantage, c'est l'opacité complète. Ils préfèrent dire ce qui ne va pas, car le public devient de plus en plus sensible aux avantages des autres qu'il ne peut obtenir. Surtout quand c'est au détriment de sa propre retraite.

Nous avons changé de siècle. Les luttes ne sont que du corporatisme pour engranger encore des avantages. Les routiers matières dangereuses, non seulement ont déjà des primes, mais peuvent partir 5 ans plus tôt que les autres à 75% du salaire en attendant la retraite définitive au même taux. Emmerder le peuple dont la majorité aspire à vivre sa vie, risquant en sus de mettre en péril la fragilité économique, a de quoi énerver les plus patients. J'espère vivement que l'on mette un terme à ces régimes spéciaux et que Macron cesse de subventionner les syndicats dont les permanents cherchent à se rendre utile en nous faisant chier.

Ben voyons ! Blocage de l'économie en emmerdant les usagers qui ont besoin de se déplacer pour gagner leur croûte, va donner du boulot. Le résultat est toujours le même. Davantage de chômeurs et les professionnels de la route vont se tourner vers les étrangers.

Crénon dé diou ! D'mon temps, l'histoire allait du gro magnon aux années 60...dans cet ordre. Ben mon zami, ch'savait point que les moustachus des années 40, ces régulateurs de l'humanité, n'avaient besoin de rien pour exister.

Rien, puisque tu considères que les Macroniens sont une secte, les FI pas mieux...

Pas les ports dévastés et ils sont sûrement mieux que dans la critique sans avoir analyser les raisons.

Facile ! A la macdo tu commandes au drive et t'es servit aussitôt ! Mais si les routes et toutes communications sont coupées, le drive aussi...Fait donc confiance aux journaleux pour trouver les mécontents et râleurs...

Moi ? Je ne me sent pas visé. En revanche, les bons à rien et ceux qui cherchent des excuses pour ne pas faire, oui !

N'importe quoi ! Reste dans ta bulle et parle de ce que tu connais vraiment. Me semble que jusqu'à présent nos politiciens valorisent les intellos et dévalorisent les manuels. La réalité du terrain de ceux qui bossent pour vivre et faire vivre leur famille c'est autre chose. Tout comme un patron, lorsqu'il a 12 employés par exemple c'est pas simple de tirer les salaires et les charges chaque mois. En fin de compte qui crée des emploies ?

Pour faire quoi ? Une BAC ++++ caissière ! Nous manquons de soudeurs, d'électroniciens, de plombiers, de cuisiniers, qui avec un BAC pro+2 démarrent à 2000 euros de salaire mensuel. Ces postes sont occupés par des gens de l'EST, qui avec un tour de passe-passe sont mal payés. Ah, oui, c'est mieux d'être super intello à BAC + 5 par tirage au sort. Moi j'ai connu les concours d'entrée au mérite, fonction des places disponibles. Oui, c'est pas simple quand la mère est couturière et le père employé de bureau. Mais je me suis battu, comme mon frangin à bosser les soirs pour payer nos études. Nous n'avons pas passé notre temps à pleurer des aides et des subventions de la maman Etat Providence pour réussir.

Le tirage au sort est le plus injuste possible. L'excellence a aussi un sens et doit être récompensée par une affectation prioritaire au choix de la filière de l'étudiant. Quel gâchis et perte de temps pour ceux qui s'investissent à l'aube d'une carrière et qui se retrouve sur un strapontin d'une FAC surchargée.