

Marc van bever
Membre-
Compteur de contenus
701 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Marc van bever
-
Noureddine je te suis sur la biologie quantique , mais la sélection naturelle ne me semble pas la seule explication de l'évolution . Il me semble que la possibilité d'evolution , cette capacité de mutation permanente peu aussi jouer au delà de la simple sélection . Autre voie possible les associations du vivant : beaucoup d'organismes existes parce qu'ils sont interdépendants . La nature pourrait créer des espèces parce qu'un vide leur permet d'exister , ou parce qu'elle aurait besoin qu'elles existent pour que d'autres espèces ne prennent toute la place . La diversité quoi !
-
la vie des femmes juives aujourd'hui
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de adriennedu56 dans Religion et Culte
Et surtout tu ne me parle pas de la vie des femmes juives aujourd'hui? -
Judaïsme, Christianisme, Islam, des plagiats?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Conscient55 dans Religion et Culte
Non? -
Le prophète Muhammad et les femmes.
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Frelser dans Religion et Culte
Georges pouqoi est tu contre le mariage ? Et que pense tu de la pédophilie dans les autres religions ? -
Judaïsme, Christianisme, Islam, des plagiats?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Conscient55 dans Religion et Culte
Oups je me suis trompé de sujet .... Conscient 55 est tu encore la ? -
la vie des femmes juives aujourd'hui
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de adriennedu56 dans Religion et Culte
Et donc Georges tu ne m'as toujours pas répondu par toi même , que pense tu de l'analyse de Jacques Ellul sur la chretienté , le marxisme , la technicité ... -
Le prophète Muhammad et les femmes.
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Frelser dans Religion et Culte
Et Georges , tu ne m'a toujours pas répondu sur ton analyse de Jacques Ellul sur la technicité , la chrétienté , le marxisme , la productivité , ... -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
Discours du chef Seattle devant les représentants du sénat américain : « Le ciel au-dessus de nos têtes, qui a pleuré des larmes de compassion sur mon peuple pendant des siècles et des siècles, qui nous paraît immuable et éternel, est soumis au changement. Aujourd’hui, il est clair, demain il sera peut-être couvert de nuages. Le grand chef à Washington nous a envoyés un message disant qu’il veut acheter notre terre ! Il nous envoie également des paroles d’amitié et de bonne volonté. C’est très gentil de sa part car nous savons qu’il n’a guère besoin de la nôtre, d’amitié. Il n’empêche que nous allons examiner son offre car nous savons que si nous n’acceptons pas de vendre, l’Homme Blanc peut venir avec des fusils et prendre notre terre. Son peuple est innombrable, il est comme l’herbe qui recouvre les grandes prairies. Mon peuple est peu nombreux, il ressemble aux arbres épars d’une plaine balayée par la tempête. Nous souhaitons aujourd’hui que les hostilités entre nous ne puissent jamais être ré ouvertes. Nous aurions tout à y perdre. Le grand chef blanc nous fait savoir qu’il souhaite acheter notre terre mais qu’il désire nous en laisser assez pour que nous puissions vivre confortablement. Comment ? Comment peut-on acheter ou vendre la voûte du ciel, la chaleur de la terre ? Cette idée nous semble étrange : la fraîcheur de l’air et le scintillement de l’eau ne nous appartenant pas, comment pouvez-vous nous les acheter ? Chaque parcelle de cette terre est sacrée aux yeux de mon peuple, chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les bois sombres, chaque clairière ou chaque bourdonnement d’insecte sont sacrés dans la mémoire de mon peuple. La sève qui court à travers les arbres charrie les souvenirs de l’Homme Rouge. Les cendres de nos pères sont sacrées, leurs tombeaux sont terres saintes pour nous. Vous errez loin des tombes des vôtres, sans regrets. Votre religion a été écrite sur des tables de pierre, afin de ne pas l’oublier. L’homme rouge n’a jamais pu ni la comprendre, ni s’en souvenir. Notre religion est faite des traditions de nos ancêtres, elle est inscrite dans le cœur de mon peuple. Ainsi les collines, les arbres et chaque poignée de notre terre nous sont sacrés. Les morts des blancs oublient le pays de leur naissance dès qu’ils s’en vont se promener parmi les étoiles. Nos morts à nous n’oublient jamais cette terre magnifique, ils continuent de l’aimer et brûlent d’une affection tendre et indulgente pour les vivants au cœur solitaire qu’ils reviennent souvent visiter pour les guider, les consoler et les réconforter. Nous faisons partie de la terre et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos sœurs. Le cerf, le cheval et l’aigle sont nos frères. Les crêtes rocheuses, la rosée dans les prés, la chaleur du poney et l’homme, tous appartiennent à la même famille. Le grand chef à Washington nous demande donc beaucoup en voulant acheter notre terre. Il nous dit qu’il nous réserve un endroit où nous pourrons vivre confortablement parmi les nôtres, il sera notre père et nous seront ses enfants. Mais cela peut-il se produire un jour ? Votre dieu n’est pas notre dieu. Votre dieu aime votre peuple et hait le mien, il a abandonné ses enfants rouges, pour peu qu’ils soient aussi ses enfants. Notre dieu, le grand mystère, semble lui aussi nous avoir oubliés. L’Homme Rouge n’a cessé de reculer devant l’Homme Blanc ; pareil à la brume, qui sur la montagne fuit devant le soleil du matin. Bientôt votre peuple s’étendra sur toute cette terre, le nôtre ne cesse de diminuer. Le dieu de l’homme blanc ne doit pas aimer notre peuple, sinon il le protégerait. Comment, dans ce cas, serions-nous frères ? Comment votre dieu pourrait-il devenir le nôtre, nous rendre la prospérité et les rêves de grandeur ? Non, nous sommes deux races distinctes, avec des origines et des destins différents. Il y a peu de choses en commun entre nos peuples. Nous allons examiner votre offre d’acheter notre terre, mais cela ne sera pas facile car cette terre nous est sacrée. L’eau étincelante qui court dans les torrents et les rivières n’est pas juste de l’eau mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons notre terre, vous devez vous souvenir qu’elle est sacrée et que chaque reflet de l’eau limpide des lacs parle des événements et des traditions qui ont marqué la vie de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père. Les rivières sont nos sœurs, elles étanchent notre soif, elles portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, il faudra vous souvenir et enseigner à vos enfants que les rivières sont vos sœurs, à qui vous devez donner la tendresse que l’on accorde à toute sœur. Nous voyons bien que l’Homme Blanc ne comprend pas notre façon de vivre. Pour lui, un lopin de terre en vaut un autre, il est pareil à l’étranger qui se glisse dans la nuit pour voler à la terre ce qu’il désire. Pour lui, le sol n’est pas un frère mais son adversaire, et dès qu’il l’a asservie, il va plus loin. Il abandonne derrière lui la tombe de son père et n’en a cure. Il vole la terre à ses enfants et s’en moque. Les tombeaux de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l’oubli. Il traite sa mère la terre et son frère le ciel comme des choses pillables, corvéables et vendables au même titre qu’un mouton ou de la verroterie. Son appétit dévorera le monde, ne laissant derrière lui qu’un désert. Je ne sais pas ! Notre chemin est trop différent du vôtre. Le spectacle de vos villes blesse les yeux de l’homme rouge. Peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et que je ne comprends pas… Il n’y a pas d’endroit paisible dans les villes de l’homme blanc. Nul part on ne peut écouter bruire le feuillage du printemps ou le froissement d’ailes des insectes. Peut-être le vacarme de la ville offense-t-il mes oreilles parce que je suis un sauvage et que je ne comprends pas. Mais que vaut la vie quand l’homme ne peut plus entendre le cri solitaire d’un engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d’un étang, la nuit ? Je suis un homme rouge et je ne comprends pas : l’Indien préfère le bruit subtil du vent qui ride la surface d’un étang et l’odeur du vent purifié par la pluie de midi ou parfumé par le pin pignon. L’air est précieux à l’homme rouge, car il sait que toutes choses partagent le même souffle. La bête, l’arbre, l’homme partagent tous le même souffle. L’homme blanc ne semble pas remarquer l’air qu’il respire. Comme un homme agonisant depuis de longs jours, son odorat semble engourdi par sa propre puanteur. Mais si nous vous vendons nos terres, vous devez savoir que l’air nous est précieux, et qu’il partage son âme entre toutes les vies qu’il porte. Le vent qui a donné son premier souffle à notre grand-père a recueilli aussi son dernier soupir, et il doit donner l’esprit de la vie à nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, il faudra que vous la gardiez à part, sacrée, comme un lieu où même l’homme blanc pourra goûter le vent adouci par les fleurs des prés. Donc, nous allons examiner votre offre d’acheter notre terre, mais si nous décidons d’accepter, je poserai une condition, que l’homme blanc traite désormais les animaux de cette terre comme ses frères. Je suis un sauvage et je ne comprends pas d’autre règle. J’ai vu mille bisons pourrir sur la prairie, abandonnés là par l’homme blanc qui les avait abattus au fusil par les fenêtres d’un train en marche. Je suis un sauvage et je ne comprends pas comment le cheval d’acier fumant peut-être plus important qu’un bison que nous ne tuons que pour subsister. Qu’est-ce que l’homme sans les animaux ? Si toutes les bêtes disparaissaient, l’homme mourait d’une grande solitude de l’âme, car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l’homme. Toutes les choses sont liées. Il faut apprendre à vos enfants que le sol qu’ils foulent est fait des cendres de nos ancêtres. Afin qu’ils respectent la terre, dites à vos enfants que le sol est riche des vies de notre peuple. Apprenez à vos enfants ce que nous avons toujours appris aux nôtres, que la terre est notre mère et que ce qui advient à la terre, advient aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes. Nous savons au moins ceci : la terre n’appartient pas à l’homme, mais l’homme appartient à la terre. Ceci nous le savons. Toutes les choses se tiennent, comme liées par le sang qui unit une même famille. Ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie, il en est seulement un fil. Les dégâts qu’il fait à la trame, c’est à lui-même qu’il les fait. Mais nous allons examiner votre offre d’aller dans la réserve que vous avez prévue pour mon peuple. Nous irons y vivre à l’écart, en paix. Peu importe d’ailleurs où nous passerons le reste de notre vie. Nos enfants ont vu humilier leurs pères vaincus, nos guerriers ont ressenti la honte et depuis la défaite ils passent leur temps à paresser, contaminant leurs corps avec des mets sucrés et des boissons alcoolisées. Peu importe où nous finirons nos jours, il n’en reste que bien peu. La nuit de l’Indien promet d’être sombre. Pas une seule étoile d’espoir ne brille à l’horizon, les vents aux accents funèbres gémissent au loin. Quelques heures de plus, quelques hivers de plus, et aucun des fils des grandes tribus qui ont vécu sur cette terre et qui errent aujourd’hui par petites bandes dans les bois, ne restera pour se lamenter sur le souvenir d’un peuple autrefois aussi puissant et plein d’espoir que le vôtre . Pourquoi d’ailleurs, pourquoi devrais-je pleurer la fin de mon peuple ? Une tribu suit l’autre, une nation succède l’autre, comme les vagues de l’océan. Telle est la loi de la nature et tout regret paraît inutile. Le temps de votre chute est peut être encore lointain, mais il viendra sûrement. Même l’homme blanc dont le dieu se promène et parle avec lui comme deux amis ensemble ne peut échapper au sort commun. Nous serons peut-être frères après tout, nous verrons bien. Nous savons en tout cas ceci, et l’homme blanc le découvrira peut-être un jour. Le grand mystère est le même pour tous. Vous pouvez croire aujourd’hui qu’il est votre propriété exclusive, comme vous voulez que la terre soit votre propriété, mais ce n’est pas possible. Il est le grand mystère et sa bonté envers l’homme rouge ou blanc est la même. Cette terre, ce monde lui sont précieux, et nuire à la terre, c’est mépriser son créateur. Les blancs aussi disparaîtront, peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Continuez à contaminer votre vie et un jour vous suffoquerez dans vos propres déjections. Mais en mourant, vous brillerez avec l’éclat du pouvoir qui vous a amené sur cette terre, et qui pour des raisons inconnues vous permet de dominer cette terre et l’homme rouge. Ceci est un mystère pour nous, nous ne comprenons plus rien, lorsque nous voyons les bisons assassinés, les derniers chevaux sauvages domptés, les coins secrets de la forêt salis par l’odeur de trop nombreux hommes et la douce courbe des collines souillées par des fils qui parlent. Où est le bosquet ? Disparu. Où est l’aigle ? Disparu. Et que signifie l’adieu au cheval rapide et à la chasse ? La fin de la vie et le début de la survivance. Nous allons examiner votre offre d’acheter notre terre. Si nous acceptons, ce sera pour obtenir de vous la réserve que vous nous avez promise. Là, peut-être, nous pourrons terminer notre brève existence comme il nous plaira. Quand le dernier homme rouge aura disparu de cette terre et que son souvenir ne sera plus que l’ombre d’un nuage courant sur la prairie, ses rives et ses forêts retiendront encore les esprits de mon peuple car mon peuple aime cette terre comme le nouveau-né aime les battements du cœur de sa mère. Les rivages grouilleront des morts invisibles de ma tribu, et lorsque les enfants de vos enfants se croiront seuls dans les champs, ils ne le seront pas. Sur toute la terre, il n’y a pas d’endroit où la solitude soit possible. La nuit, quand les rues de vos villes seront silencieuses et que vous les croirez désertes, elles seront pleines de la foule des revenants qui occupaient autrefois cette belle contrée et qui continuent de l’aimer. L’homme blanc ne sera jamais seul. Qu’il soit juste et qu’il traite mon peuple avec égard, car les morts ne sont pas dénués de pouvoir. Les morts, ais-je dis ? Il n’y a pas de mort. Seulement un changement de forme. Alors si nous vous vendons cette terre, aimez-la, aimez-la comme nous l’avons aimée. Soignez-la bien comme nous l’avons soignée. Gardez présente à vos yeux l’image de cette terre quand vous l’avez prise, et de toutes vos forces et de tout votre esprit, de tout votre cœur, protégez-la pour vos enfants, aimez-la comme le grand mystère nous aime tous. Nous sommes sûrs d’une chose : notre dieu est le même que le vôtre. Ce monde lui est cher, et même l’homme blanc ne peut échapper au sort commun. Peut-être, peut-être serons-nous frères, après tout… -
Judaïsme, Christianisme, Islam, des plagiats?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Conscient55 dans Religion et Culte
Il est vrai qu'il n'y a pas d'émoticone pour Dieu . -
Judaïsme, Christianisme, Islam, des plagiats?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Conscient55 dans Religion et Culte
Vera , une chose me surprend :Pourquoi utilise tu l'émoticone , alors que tu utilise le mot Dieu sans problème ? -
Encore un qui n'aurait pas passé pour sage aux yeux de sa propre communauté , et pourtant : Diogene .
-
Judaïsme, Christianisme, Islam, des plagiats?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Conscient55 dans Religion et Culte
L'on en revient à une problématique posée ailleurs .Logos contre mythos , la base même de l'énoncé est fallacieuse . Logos et mythos . Si plus personne ne semble remettre en question le logos de nos jours , seule la nécessité du mythos semble discutable depuis que la science veut se substituer à tout autre système de pensée. Hors le mythos est incontournable , dépendant du genre humain depuis toujours , et si on veux le discuter et le remettre en question c'est que l'homme contemporain rationaliste n'arrive pas à comprendre cette part de lui même qui a autant besoin de croire , eu t il cru que la science répondrait pendant un temps à son besoin de certitude , elle n'a finalement fait qu' agrandir ses doutes et nourri son angoisse fondamentale devant l' inconnu . Finalement notre besoin de croire est constitutionnellement associé à notre nature , fondement de notre conscience et garde fou de notre psychos . Nous n' avons de cesse de le refouler , voulant nous définir en êtres raisonnables uniquement , mais nous ne sommes pas ce que nous voudrions . La part émotionnelle de nous même ne peut se nourrir de la seule raison et de l'argumentaire qui semble associé . Et ce besoin irrationnel du mythos nous perturbe car croire n' à besoin d'aucune démonstration et d'aucune preuve , il se nourrit de lui même du fruit de notre psyché . Depuis toujours et a jamais , à moins que nous ne devenions des machines .Il n'y a pas que les religions , il y a les philosophies qui sont concernés ainsi que la science elle même . Coscient55 tu parle de surnaturel la ou d'autres parlent d'inexpliqué . Les scientifiques sont à la recherche du Bozon de Higgs pour essayer de comprendre comment la masse viens à la matière , combien même le trouveraient ils que cela n'expliquerait pas la matière noire , cette immense partie de la masse de l'univers qui ne nous est pas perceptible . Les astrophysiciens sont capable d'expliquer comment les moyens propice à la vie sont apparus sur terre , ils ne nous explique pas pourquoi . Tu parle d'une entité divine qui contrôlerait l'univers ou nous enverrait les maladies comme l'explication donné par les hommes par facilité à ce qu'il ne savait pas expliquer . Mais si l'univers et tout ce qu'il contient était cette entité ? Tu pense que la croyance est l'ennemie du savoir , mais les croyants ont êtes dans l'histoire les dépositaires du savoir , sans eux pas de bibliothèque , pas de médecine , pas de mathématiques , pas de philosophie , mais également pas d'art pas d'architecture , pas de poésie ... Tu parle des égyptiens qui considérait que le Nil était le fleuve de vie et de mort : pour eux il l'était , au propre comme au figuré, et pourquoi se soucier d'autres fleuves qui ne les concernait pas ? Les civilisation de l' Indus divinisait tout aussi bien le fleuve dont les crues leur apportait la vie et la mort , le limon fertile ou la sécheresse selon les périodes de crues , et elles ont disparues lors de boulversements qui ont perturbés ces cycles sur lesquels ils avaient vécu pendant des siècles . Ils avaient eu le temps d'inventer la brique , les citées orthonormees , la maîtrise de l'eau sanitaire , l'agriculture rationnalisée , l'artisanat ....La mère rouge qui s'ouvre n'est pas forcément un mythe mais une erreur de traduction et d'interprétation depuis que les archéologues ont redécouverts les marais des bras mouvants du Nil capable au grès des marées de laisser passer des piétons et d'engloutir une armée dans les heures suivantes . En négligeant ou en méprisant le mythos on peut passer à côté de beaucoup de découvertes Et au fait conscient 55 , tu n'as toujours pas répondu à mon texte antécédent . Conscient55 , ne serait ce pas , et bien au delà des religions , notre égocentrisme , notre ethnocentrisme , qui nous ferrait passer à côté de la notion essentielle de l'idée ? Tu définis toi même la notion de dieu qui serait un être , maître du temps et de l'univers , mais ne serait ce pas là une projection humaine par défaut d'autre référents possibles ? Ne serait ce là l'indice de l'inconprehension mutuelle des religions et des idéologies ego centrées ? Croire que ce qui les contient est à leur image , et que tout ce qui ne leur est pas perceptible correspond à cette assimilation . La terre semblait plate en première analyse , donc l'on décréta par simplification qu'elle était plate par souci d'unification des théories , ceux qui avait pressentis bien avant Gallile qu'elle pouvait être ronde étants réfutes parce qu'ils ne pouvait prouver leur dire . Il n'y a pas eu dans l'histoire que translation d'information , il y a eu aussi négation d'information contradictoire comme non conformes , à défaut d'être communément admises ou compréhensibles . Je pense aussi que les religions on eu un effet réducteur sur la connaissance des choses , en voulant figer le propos en l'établissant en principe de loi universelle immuable et indiscutable , et il y aurait beaucoup à dire les les projection analytique du père vers dieu et de la mère vers la nature comme étant fondement d'une identité pérenne d'un modèle social et politique qui nous influence encore aujourd'hui . Mais ,et pour céder à la tentation de la projection facile moi même pour essayer de faire court , et sans présumer de débats ultérieurs , si ce que nous avons idéalisés ce que nous nommons dieu , et que d'autres refusent de nommer de faute de pouvoir le décrire ou de le trahir je tiens à le préciser , si tous nos univers connus sont contenus dans un seul atome d'une seule molécule d'une seule cellule d'un seul des nombreux intestins de dieu , qu'en connaissons nous au juste de ce dieu , dont nous passons notre temps à discuter sans pouvoir le saisir ? Et mon raisonnement par projection facile fonctionne aussi dans l'autre sens : si ce tout cohérent à une influence sur le tout , pourquoi au bout de mon petit orteil droit dernier ongle dernière molécule dernière atome dernier électron dernier quark dernier méson, je retrouvais cette même entité avec la même cohérence de fonctionnement que notre système planétaire et les galaxies qui les contiennent en interaction permanente , comment pourrais je appeler cela ? Si j'y rajoute la notion complexe du temps et des temps combinés , croisés et interférents , la probabilité quantique de plusieurs univers multidimensionnels temps se croisant et interagissant , pour faire simple tout ce nous ne pourrions connaître et percevoir de nos univers ne tenant que dans la zone d'impact de croisement d'onde d'un point focal d'un hologramme , la réalité étant un hologramme infiniment plus grand et volumique que ce seul point , comment nommer et décrire cet ensemble au plus grand nombre sans les faire basculer dans la terreur ou la folie ? Ne faudrait il pas alors trahir le propos , le simplifier , pour le rendre compréhensible au plus grand nombre , et n'y aurait il pas la risque de voir se constituer une nouvelle idéologie qui voudrait à son tour s'ériger en apôtre de la seule connaissance et de la seule vérité ? Et dans ce cas la ne retomberions nous pas dans tous les travers humains que tu évoque , appropriation de l'information , du savoir , constitution d'une nouvelle caste de savants dirigeants , techno papes poussant à de nouvelles croisades au nom d'une vérité qu'ils ne possèdent pas mais dont ils ont eu partiellement connaissance ? L'homme ne porte t il pas le mal en lui même , se donnant l'excuse du savoir ou de l'idéologie pour assouvir ses plus bas instincts ? -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
Ce dont je suis certain c'est que les années qui viennent vont êtres difficiles pour tout le monde , où qu'il se trouve à la surface de la planète . Ou se cacher , comment s'y soustraire ? Nous avons besoin d'eau pour vivre , nous avons besoin de manger , il nous faut respirer , nous avons besoin de la lumière du soleil , et s'enfermer dans un abri souterrain pour 50 ou 100 ans ne me parrait pas souhaitable et vivable . C'est donc ensemble que nous devons surmonter la difficulté si nous voulons envisager de vivre la deuxième moitié du vingt et unième siècle . L'ONU étant le seul outil de gouvernance mondiale que nous ayons pour l'instant , il semble raisonnable de s'en servir . Définir les moyens et les ressources encore disponibles semble également utile , rassembler ou mobiliser toutes les volontés et les moyens d'action possible aussi . Stopper l'érosion des biotopes impératif . Arrêter la déforestation et replanter . Arrêter d'épuiser les océans et les repeupler . L'homme a considérer pendant des générations que la nature était inépuisable . C'est faux . Elle s'est épuisée . L'homme s'est condamné à être le jardinier de la nature , si il veut survivre . Quoi d'autre ? -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
La enfin100% d'accord : ensemble ! Une seule terre , une seule vie , un seul espoir ! Ensemble . -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
Reprendre le contrôle politique de l'économie me parrais pas mal , c'est déjà en cours quand les gouvernements imposent des voitures moins polluantes par exemple , ou subventionne les panneaux solaires . Quoi d'autre pour notre survie commune ? -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
Par exemple au niveau politique et mondial que pouvons nous faire ? -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
Nous sommes la dans un vrai problème philosophique : la terre aurait pu , si l'on se réfère à nos connaissances en astrophysique moderne , rester un caillou stérile au confins de la galaxie . Par une sommes d'improbabilitées qui comprend une orbite judicieusement placée autour du soleil , orbite miraculeusement stabilisée , la présence de planètes géantes qui nous protègent des corps spatiaux , la formation d'eau , la vie à pu apparaître , se développer , aboutir après des dizaines de millions d'années d'évolution à l'homme moderne , qui n'est sorti de la grotte de Lascaux que depuis 30 000 ans , pour arriver à nous ! Nous homme moderne , dit civilisé , pour que nous ayons cette possibilité de nous poser cette question avant de peut être disparaître : que faisons nous la ? D 'où nous venons , nous commençons à nous en faire une idée , qui sommes nous , nous nous posons encore la question , mais où allons nous ? Cela reste à déterminer . Et pendant combien de temps ? -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
Les chercheurs en écologie s’intéressent aux espèces, à leurs populations, aux communautés qu’elles constituent et aux écosystèmes qu’elles forment avec leur environnement. Aujourd’hui, l’extinction des espèces suscite une attention particulière car c’est l’un des principaux risques qui pèsent sur la biodiversité. Depuis l’origine de la vie, voici 3,8 milliards d’années, la Terre a connu plusieurs crises d’extinction dont la dernière – actuellement en cours - est liée à l’expansion de l’espèce humaine. L’étendue de cette crise est illustrée et médiatisée par les listes de l’UICN (Union internationale de conservation de la nature) qui dressent l’état des espèces en danger et vulnérables de par le monde. Cependant, avant d’arriver à la disparition complète d’une espèce, les populations s’érodent plus ou moins lentement. Les scientifiques tentent de cerner ce phénomène complexe d’érosion, de le quantifier objectivement, voire de le modéliser afin de prévoir s’il sera ou non irréversible. Pour cela, ils évaluent la perte de biodiversité en s’appuyant sur des indicateurs particuliers. La perte de la biodiversité résulte d’une surexploitation des populations, de pollutions diverses, de la destruction d’habitats spécifiques à certaines espèces, ou encore d’introduction d’espèces concurrentes ou prédatrices... Il existe actuellement un indicateur emblématique - l’empreinte écologique - qui tente de représenter ces interactions société-nature et les impacts de nos modes de vie sur le monde qui nous entoure donc sur la biodiversité. Les conséquences de cette « érosion » ne se réduisent pas seulement à une liste d’espèces malmenées puisqu’elles entraînent aussi la dégradation des écosystèmes, des fonctions que ces derniers exercent dans le système vivant - la biosphère - et donc des services qu’ils rendent à l’humanité. Les Terriens sont désormais conscients de l’érosion et de la disparition de nombreuses espèces. Mais ils ne perçoivent pas bien les relations qui existent tous azimuts entre gènes et protéines dans chaque organisme vivant, entre les espèces (des bactéries aux grands mammifères en passant par l’espèce humaine), et entre les espèces et leurs milieux (du plus petit écosystème à la biosphère). Et ils ne perçoivent pas que la disparition d’une espèce peut avoir des effets en chaîne, donc un impact considérable sur tout l’environnement. Pourquoi ? Parce que les espèces menacées d’extinction vont, dans un premier temps, voir leurs effectifs se réduire. Et comme elles ne vivent pas côte à côte mais bien en interaction les unes avec les autres et avec leurs milieux, cette baisse d’effectif ou la disparition d’une seule risque d’avoir un impact sur les autres espèces et les écosystèmes avoisinants, ce qui modifiera les différentes interactions : chaîne alimentaire, parasitisme, prédation, compétition, coopération, etc. C’est bien tout le fonctionnement des écosystèmes qui se trouve perturbé, affectant ainsi la qualité des services qu’ils rendent aux populations humaines concernées. Il est donc indispensable de stopper l’érosion de la biodiversité. Pour cela, il devient crucial de comprendre – c’est le rôle des chercheurs notamment - comment préserver les processus qui garantissent la stabilité des écosystèmes, leur résistance aux agressions extérieures et leur capacité d’évolution face aux changements globaux. En effet, la préservation de la biodiversité a pour but le maintien du potentiel évolutif de la planète et de la vie sur terre. Pas moins ! Source CNRS -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
Dav je pense au contraire que ces boulversements sont déjà en cours et que nous commençons aujourd'hui à en percevoir les premières conséquence . Pour l'instant cela a l'air de se passer loin de nous , îles du pacifiques submergées dont les nappes phréatiques sont polluées par l'eau de mer , fonte de la callote glaciaire , disparition des forêts primaires , mais en fait nous sommes nous aussi directements concernés en Europe sans trops nous en rendre compte : pollution des nappes phréatiques par les engrais et les pesticides , appauvrissement des sols par une culture intensive , disparition des insectes pollenisateurs , pollution de l'atmosphère , retombées nucléaires , tout cela nous concerne déjà . C'est notre présent qui est concerné , nous et tous nos proches , tout ce que nous aimons et tous les êtres qui nous sont chers sont directement menacés , plus que par la chute d'une météorite ou une guerre nucléaire . -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
Donc le fait que nous risquions de manquer d'eau potable et de nourriture , de voir notre environnement durablement boulversé , et que nos vies et celles de nos enfants soient directement menacées d'ici 10 ou 20 ans est inexorable ? -
Judaïsme, Christianisme, Islam, des plagiats?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Conscient55 dans Religion et Culte
Et conscient 55 , si il nous le dit ,,sommes nous capable de l'entendre ? -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
En ce qui concerne les boulversements géologiques à court terme , le réchauffement climatique provoquant une évaporation accélérée des océans nous mène à une plus grande présence de vapeur d'eau dans l'atmosphère qui augmente les précipitations pluviométriques , entraînement écoulements de boues et glissements de terrain qui modifient eux aussi les biotopes . Ce n'est pas le seul problème , l'infiltration des eaux de ruissèlement en sous sol profond , eau réchauffée et transformée en vapeur par la chaleur de la lave en fusion , produit un effet lubrifiant dans les failles telluriques qui accroisse la fréquence et la magnitude des tremblements de terre . Fukushima nous rappelle que cela n'est pas anodin . -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
À ce jour 16000 espèces sont directement menacées d'extinction . L’Union mondiale pour la nature (UICN) a publié mercredi sa liste rouge des espèces animales et végétales menacées. Ce réseau, composé de 10 000 scientifiques et experts de 147 pays, fait autorité en la matière. Selon l'UICN, le rapport 2007 est inquiétant, car la vie sur Terre disparaît rapidement et continuera de disparaître si des mesures ne sont pas prises de toute urgence. "L’expérience montre que les programmes de conservation peuvent donner de bons résultats mais malheureusement, cette année, nous n'annonçons d'amélioration que pour une seule espèce", regrette Jean-Christophe Vié, Chef adjoint du Programme de l’UICN. Espèces marines menacées 16 306 espèces sont en effet menacées d'extinction contre 16 118 recensée l'an dernier. 70 % de toutes les plantes évaluées par l’organisation sont en péril. Pour Julia Marton-Lefèvre, directrice générale l'UICN, les efforts "déployés à ce jour pour protéger les espèces sont insuffisants". Elle estime qu’il est possible de "mettre un terme à cette crise mondiale de l'extinction (…) mais uniquement dans le cadre d'un effort concerté à tous les niveaux de la société." L’étude révèle qu’un oiseau sur huit, un mammifère sur quatre et un tiers de tous les amphibiens sont en péril. Pour la première fois, des coraux ont été évalués par l'UICN et dix espèces des Galápagos ont fait leur entrée sur la liste dont deux dans la catégorie "En danger critique d'extinction", victimes du réchauffement climatique. Une autre espèce marine a elle aussi fait son entrée sur la liste rouge. Il s’agit du poisson-cardinal de l’île de Banggai (Indonésie) ou apogon de Kaudern, très recherché par les amateurs d'aquariums. Grands singes sur la selette Une nouvelle étude de la population des grands singes a révélé que les gorilles de l’Ouest sont en danger critique d’extinction. L’espèce a nettement souffert du commerce de viande et de brousse et du virus Ebola. L'orang-outan de Sumatra souffre quant à lui du défrichage des forêts pour faire place à des plantations de palmiers à huile. La superficie de ces plantations est passée de 2000 km² à 27 000 km² entre 1984 et 2003, réduisant considérablement l'habitat disponible pour l'espèce dans toute l'île. Souvent, l'activité humaine constitue le principal facteur de fragilisation des espèces. Le taux d'extinction actuel est au moins 100 à 1000 fois supérieur au taux naturel. -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
D'après un sondage fait en 1998 auprès de 400 biologistes par le Muséum d'histoire naturelle américain de New-York, près de 70 % des biologistes pensent que nous sommes actuellement au début d'une extinction de masse causée par l'homme16,17, connue en tant qu'extinction de l'Holocène. Dans ce sondage, la même proportion de personnes interrogées était d'accord avec la prédiction selon laquelle jusqu'à 20 % de toutes les populations vivantes pourraient s'éteindre d'ici une trentaine d'années (vers 2028). Le biologiste Edward Osborne Wilson a estimé en 2002 que si le taux actuel de destruction de la biosphère par l'homme se maintenait, la moitié de toutes les espèces en vie sur Terre seraient éteintes d'ici 100 ans18. De façon plus significative, le taux d'extinction d'espèces à l'heure actuelle est estimé entre 100 et 1 000 fois plus élevé que le taux moyen d'extinction qu'a connu jusqu'ici l'histoire de l'évolution de la vie sur Terre19, et est estimée à 10 à 100 fois plus rapide que n'importe quelle extinction de masse précédente. Pour Johan Rockström et ses collègues. La limite acceptable pour la planète serait d'environ dix extinctions par millions d'espèces et par an soit dix à cent fois le taux considéré comme naturel. Or le taux d'extinction était au début des années 2000 estimé supérieur à cent par million d'espèces et par an, soit plus de 10 fois supérieur au taux acceptable proposé par Rockström20. Le taux d'extinction actuel correspondrait donc, pour une espèce, à une espérance moyenne de survie inférieure à10 000 ans alors que l'espérance moyenne au cours des temps géologiques était de un à dix millions d'années. En 2004, une étude parue dans Nature réalisée sous la direction de Chris Thomas et basée sur un échantillon de régions couvrant 20 % de la surface terrestre montre que les changements climatiques entraîneront la perte de 15 % à 37 % des espèces vivantes d'ici 2050, suivant les scénarios21. Soit un rythme dépassant très largement l'échelle des temps géologiques ; ce qui annonce laseptième crise d'extinction massive des espèces que la Terre ait connue (les précédentes étant énumérées en préambule), cette fois pour des raisons anthropiques. -
Peut on encore sauver la planète ?
Marc van bever a répondu à un(e) sujet de Marc van bever dans Philosophie
80% des espèces de poissons sont en sur pêche , 90% des espèces régulatrices des poissons on disparues , il nous reste au maximum 35 ans de réservés de poisson dans les océans , après c'est fini ! Qu'avons nous comme solutions ?