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January

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Tout ce qui a été posté par January

  1. January

    Les temps modernes

    Maître Moro-Giafferi déjà, surl 'opinion publique, en son temps : " L'opinion publique, chassez-la, cette intruse, cette prostituée qui tire le juge par la manche".
  2. Judith Godrèche entendue au Sénat ce jeudi : « Tout le monde savait », affirme l’actrice Judith Godrèche a demandé une commission d’enquête contre les violences sexistes et sexuelles dans le cinéma. Elle a aussi demandé le retrait du président du Centre national du cinéma, Dominique Boutonnat, mis en examen et renvoyé devant le tribunal correctionnel pour agressions sexuelles sur son filleul alors âgé de 21 ans. L’actrice a également proposé d’imposer un référant adulte neutre, formé, pour chaque enfant sur un tournage afin « qu’un enfant ne soit jamais laissé seul sur un tournage », et que la Ddass fasse davantage de contrôles sur les tournages. Judith Godrèche a également demandé que le juge Durand, évincé en décembre 2023 de la Commission indépendante contre l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise), retrouve son poste. En détail : https://www.ouest-france.fr/politique/institutions/senat/judith-godreche-entendue-au-senat-ce-jeudi-tout-le-monde-savait-affirme-lactrice-7550e546-d6d8-11ee-96ef-9660257def44
  3. Je viens de l'écouter. Je m'attendais à ce qu'elle mentionne Boutonnat, mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle mentionne la ciivise et Durand. Lumineuse Judith Godrèche, qu'elle obtienne le soutien inconditionnel de la société toute entière.
  4. Ah oui.. je pense que là on est bien dans le sujet Est-ce que c'était corrélé à la relation avec ta mère/tes parents, cette prise de poids ?
  5. Le sujet. Merci. https://www.unige.ch/lejournal/numeros/journal155/article-2/
  6. En pied d'article (merci à la personne qui me l'a transmis ) : Les gens qui ne veulent pas d'enfants lors de leur mariage (wedding planners étant les cabinets évenementiels qui s'en occupe). Les wedding-planners ont peaufiné un florilège de tournures pour faire passer le message avec plus ou moins de tact. L’invitation peut être habilement directive (« Pensez à réserver votre baby-sitter dès maintenant ! »), ouvertement revendicative (« S’il vous plaît, respectez notre choix d’un mariage sans enfants »), lapidaire (« Adultes uniquement ») ou légèrement hypocrite (« Malgré le bonheur que susciterait la présence de vos enfants, nous avons dû y renoncer car les lieux ne s’y prêtent pas »). Voire carrément glaçante : « Pièce d’eau non surveillée »…
  7. Il y a quand même une montée évidente d'individualisme hein.. Les gens se regardent de plus en plus le nombril et ils ne supportent plus rien. La dernière fois que j'ai été dérangée dans un resto c'était pas par des gosses. Les gens n'en ont rien à foutre des autres, ils s'esclaffent, téléphone en volume XXL, parlent les uns sur les autres, crient. Non mais des fois on croit rêver... #MaGueule. Faut aussi l'admettre. Regardez toutes ces expériences sociales qui viennent corroborer cette contamination égoïste, on passe devant des gens en difficulté, on les voit, et rien à foutre.
  8. Ah.. un souci de bloqueur ? il va bien chez moi.. je cherche un contour.
  9. Déjà lorsque l'on est un adulte en surpoids ou en situation d'obésité, les critiques acerbes de l'entourage ou d'inconnus peuvent se révéler particulièrement douloureuses et culpabilisantes. S'ajoutent à cela les idées préconçues et le manque de connaissance sur certains troubles du comportement alimentaire qui peuvent être liés à cette prise de poids. Imaginez donc le quotidien d'une jeune fille de 13 ans, en pleine construction. Cet enfer, c'est celui de Sara. "La mère n'accepte pas le poids de sa fille" Pour Sara, tout a commencé dans la petite enfance. À 5 ans déjà, les médecins commencent à s'alerter sur le poids de la petite fille. À 7 ans, Sara est en surpoids. À ses 10 ans, elle commence à prendre un kilo par semaine. Et à la maison, la jeune fille noie son mal-être en mangeant en cachette. "Je mangeais des gaufres, des chips, des gâteaux, des bonbons. J’en avais envie mais après j’étais un peu déçue", a-t-elle confié dans "Ça commence aujourd'hui", provoquant l'étonnement de sa maman. Car Béatrice, qui a fini par cacher la nourriture à la maison, n'était pas au courant des grignotages compulsifs de sa fille. https://fr.news.yahoo.com/ca-commence-aujourdhui-obesite-adolescente-mere-fille-140703537.html
  10. Bon, c'est un peu la palisse... Mais l'article est digne d'intérêt. [...] L'acceptation de la féminisation de l’homme semble faire de l’hétérosexualité le nouveau socle de la masculinité «Il s’agit d’un système de vases communicants, analyse Juan Falomir. En diminuant l’importance de la norme d’antiféminité, un homme compense en renforçant l’importance de la norme de l’hétérosexualité. Il trouve alors dans l’homophobie le moyen alternatif d’affirmer sa masculinité.» En poursuivant leur analyse, les psychologues relèvent toutefois que l’augmentation de l’homophobie n’est pas directement provoquée par une volonté de réaffirmer l’opposition homme-femme. En effet, la féminité n’est plus considérée comme étant une caractéristique propre aux femmes étant donné que les hommes ont le droit de devenir, eux aussi, plus sensibles et émotifs. Seulement, précisent les auteurs, cette acceptation de la féminisation de l’homme semble faire de l’hétérosexualité le nouveau socle de la masculinité et ce, au détriment des homosexuels. «Plus on égalise les genres, et plus il devient difficile aux «hommes traditionnels» de gérer cette égalité pour continuer à construire leur masculinité, conclut Juan Falomir. Ne pouvant plus se différencier des femmes, ils voient en l’homophobie le moyen de rétablir leur virilité.» —
  11. L'apologie de la libération de la parole, pas de la dénonciation. T'es allé voir le hashtag ? Non. Du coup tu ne sais pas du tout de quoi tu parles. Personne n'est dénoncé sur X. Quant à Aurélien Wiik, il a raconté son histoire, sa plainte, le procès, y a rien de calomnieux du coup ! Bon, on peut être sérieux deux minutes là ?
  12. Non mais ça c'est même plus un débat en fait. La fessée. Pffff.. franchement ! C'est consternant d'en être encore là. On pouvait débattre des VEO il y a encore quelques années mais maintenant sérieusement ? C'est même plus un débat. Tout le monde doit se rallier à la protection de l'enfance, il n'y a pas deux poids deux mesures : Non, on ne frappe pas un enfant et ce, dans n'importe quel cas. Oui, il y a des enfants qui sont particulièrement difficiles. Mais rien, absolument rien ne justifie de frapper un enfant. Et je rappelle quand même que c'est pas une opinion sur l'éducation hein, pratiquer les fessées, les claques, l'humiliation pour un gamin : c'est un délit.
  13. UP ! a part une vanne, ça semble très très très compliqué le MeToo chez les hommes. https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/violences-sexuelles-metoogarcons-un-nouveau-mouvement-initie-par-aurelien-wiik-7900356980 Je relève : Aurélien Wiik et d'autres militants insistent sur l'importance de signaler les abus et de porter plainte : "La reconnaissance du statut de victime est essentielle", déclare-t-il sur ses réseaux sociaux, "Cela facilite le processus de guérison". Il faut respecter ceux qui ne veulent pas s'exposer et ne pas leur dire qu'ils ont choisi le mauvais chemin.
  14. January

    Souriait

    Je me suis fait entendre @Elisa*, il y a longtemps. Mais il y a encore beaucoup beaucoup de personnes qui n'ont pas pu le faire. Elles le pourront toutes le jour où s'inversera le nombre de personnes qui écoutent les yeux ouverts, veulent comprendre, et ceux qui ne font que heurter les victimes, ce n'est souvent que de la maladresse ou de la bêtise. J'ai été heurtée cette semaine ici. Oh.. trois fois rien, un tout petit smiley, très mal placé, à mon goût. La personne à l'origine de ça ne le sait pas, je me garderais bien de dire, pourquoi ? Parce-qu'on sait, qu'on est xxl là dessus, sur le moindre mot, la moindre chose, et on nous l'a tellement reproché, alors.. Avec les années on retrouve des repères, et du recul, et on apprend à gérer ces choses-là. Mais les heurts, ils sont toujours là. Et on garde le silence, parce qu'on sait bien que personne ne va comprendre et que tout le monde va railler. On a assez de plaies ouvertes et de cicatrices à gérer, on ne s'en crée pas de nouvelles, on passe à autre chose. Alors qu'il faudrait dire. C'est peut être la dernière chose qu'il me reste à faire : expliquer comment ça fonctionne, une victime. Son monde à l'envers...
  15. January

    Souriait

    Tu sais, je pense sincèrement que le tabou est ancré, puissant, c'est pour ça qu'il existe les réflexes : "y a pas de mots". Ce sont des ancrages, depuis des lustres et des lustres : on ne parle pas de ça. on s'occupe de ses affaires. ça ne nous regarde pas ces cris chez les voisins. Tout ça, c'est du même ordre en fin de compte, la gêne occasionnée, une sorte de miroir... Lorsque tu dis "ne pas raconter, ne pas raconter pour ne pas heurter, pour ne pas mettre mal à l'aise etc." oui, je ne sais pas si ailleurs j'ai aussi parlé de cette "face" là. Il y a beaucoup à dire là-dessus. J'ai vu beaucoup de victimes devenues adultes comme ça oui, qui ne disaient pas, pour cette raison, "on veut pas déranger, mettre mal à l'aise"... Je pense pas qu'on s'en batte les couilles de la maltraitance infantile, je pense que ça fout la trouille et que les gens n'osent pas questionner. Ce que j'ai écrit ailleurs c'était pour dire : c'est dommage. Il y a des victimes qui ont besoin de ça. Personnellement, c'est pas que je me sens conne et inutile si on ne me demande rien, mais j'ai l'impression que, une fois encore, on veut pas m'entendre quoi, que le confort des autres passera toujours avant le mien, et oh.... oh malheur. ce que ça représente, c'est ouais, là j'ai pas le vocable ! Merci. Ou plutôt... tu sais quoi. Je vais retourner sur chacun des billets oui, faire up en dire un peu plus.
  16. Quel rapport avec Karin Viard et son témoignage ?
  17. J'ai vu des fois des profs mal se comporter avec les élèves, c'est arrivé avec moi aussi, mais c'était pas du harcèlement. Je me suis pris une brosse à tableau dans la figure, j'ai eu les doigts écrasés par une règle, un joli bleu au coin de l'oeil (jet de craie), et autre. Mais il n'y avait pas de "harcèlement". Il y a des profs qui en ont bavé avec moi. Combien de fois j'ai eu sur les bulletins "Insolente". A mon avis je détiens un record.
  18. Non. Il y a des tas de situations où ce n'est pas l'éducation qui joue. Les bébés, les touts petits et leur inconfort, la temporalité, l'enfant malade. Il faut arrêter de rendre les parents toujours responsables de tout... Non : un enfant c'est un enfant, et c'est pas toujours gérable.
  19. Serial menteur : Reesa Teesa raconte sur le réseau social comment elle a découvert que son ex-mari mentait continuellement. De son histoire familiale à son emploi en passant par la « mort » de proches… tout était faux [...] « On aurait dit que j’étais daltonienne tant j’ai ignoré » les « red flags », lance-t-elle dans l’une de ses vidéos. Autant de signaux d’alerte qui pouvaient laisser présager une relation potentiellement toxique. https://www.20minutes.fr/high-tech/by-the-web/4078307-20240227-putain-epouse-folle-histoire-mari-mythomane-passionne-tiktok
  20. Jamais connu le harcèlement de prof. Pour les élèves, j'inspirais de la crainte donc pas vraiment eu de problèmes. Après, les petites railleries, les petites vacheries, les menaces à la con oui, mais du harcèlement, c'est à dire un comportement répété quotidiennement, non seulement je ne l'ai pas vécu mais je ne crois même pas l'avoir vu..
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