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January

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Tout ce qui a été posté par January

  1. non non j'abandonne là, même là tu n'as pas compris que c'était une illustration de la situation non sérieusement là, strictement impossible de continuer la conversation. Bon après midi.
  2. C'est quoi cette attaque de l'étiquette ? January s'exprime comme ça depuis 12 ans et je vais répéter en plus, mais version augmentée : tu ne veux pas comprendre et tu fais l'économie de qui est Maïwenn et : Tu vires HS ici (hors cgus) , on parle de la condamnation de Maïwenn, de son comportement, des raisons pour lesquelles elle a fait ça, on a tous un avis, chacun le sien, MAIS : pour ton abonnement, ouvre un sujet pour questionner les gens sur Mediapart. Ici c'est HS.
  3. Décidément tu ne comprends rien. Personne ici n'approuve le comportement de Maïwenn, mais tout le monde comprend pourquoi (factuellement + émotionnellement), elle a fait ça. Sauf toi.. C'est Maïwenn. Allo ? Tu sais qui est Maïwenn ou ? C'est pas Lady Di hein ?
  4. De ça tu peux aller parler dans les sujets concernés. Ici on parle de déplacer des migrants (ici légalement d'ailleurs ou non) dans d'autres communes pour faire que Paris soit accueillante pour les jeux olympiques. C'est pas le premier sujet "pour que Paris soit accueillante (et autre) pour les jeux olympiques) Ca t'a échappé le sujet je crois..
  5. Ce drama Attendez donc que les dits-maires, concernés, viennent dirent exactement ce qu'il en est. Ici la commune a accueilli des réfugiés syriens. Pour ça ils ont été aidés (dpt + région), en sera-t-il de même ? Il est urgent d'attendre.
  6. C'est pas si je veux non, c'est le sujet. Ca T'arrange toi. Nuance. Faut assumer hein ? La généralisation "les migrants" "on n'en veut pas", assume.
  7. Ca tombe bien ils ne sont pas concernés les villages ! Du coup c'est pas le sujet.
  8. Merci de lire correctement l'article avant d'intervenir. On ne parle pas de villages de 400 habitants non plus.
  9. Si je donne une interview à X, Y, Z et W, et même tout l'alphabet sauf M., je ne la donne pas à M. M. n'a pas à reprendre, surtout si c'est précisément un média que j'exècre et dans lequel je ne veux pas apparaître. Ils le font. Je rencontre M. au restaurant - j'exècre hein on n'oublie pas - je pète un câble et je l'agresse. Dommage, impossible de cracher, pas de salive (comme le mentionnent les débats).
  10. On va cesser le harcèlement ok ? Je pense que @Axo lotl t'a bien signifié la fin de la conversation, merci de le respecter.
  11. C'est pas une forme non. J'avais posté il y a lontemps : la négligence, C'EST de la maltraitance.. les temps changent. Dommage.
  12. Oui c'est dommage, j'ai galéré à rédiger, si j'avais parlé uniquement de "charge mentale" des hommes, je pense qu'il n'y aurait pas eu de discussion. Je trouvais intéressant que les hommes entre eux débattent mais c'est compliqué. C'est vrai que du côté des femmes c'est un réflexe : "charge mentale = ménage, enfants, logistique". Certaines sont absolument d'accord d'acquiescer à ce que les hommes subissent une charge mentale, mais laquelle ? C'est à eux d'expliquer, parce-qu'il semble que pour les femmes c'est très compliqué à conscientiser... Si je dois m'exprimer, je dirais la charge de la calorie, protection, direction, prévision, etc... C'est à dire la "charpente" en quelque sorte. Et ça sans enfants ou sans couple, avoir des parents âgés suffit par exemple. alors parfois ce sont les femmes "la charpente" hein.. Mais en tout cas ce n'est pas le modèle consacré. Et sans charpente, ben moi je crois qu'il n'y a pas de maison....
  13. Je crois pas qu'il y avait autre chose qu'une volonté d'attirer par la provoc le plus de like possible à la base...
  14. Ben.. de l'article «Un féminicide tous les deux jours en France et vous trouvez le moyen d'ouvrir vos sales gueules pour des likes c'est d'un ridicule», lance une utilisatrice du réseau social. Et une autre d'ajouter : «Trop drôle les violences envers les femmes haha (ils le font tous les jours gratos. Bouffone.)». 'sont pas finies quand même..
  15. January

    Procès de l'affaire Théo

    Derniers mots des accusés Tony H. : Je tenais juste à dire que je regrette les conséquences qu'a eu cette interpellation pour M. Luhaka. Je pense avoir effectué mon travail dans le respect des lois. Je fais confiance en la justice. Jérémie D. : Moi je n'ai rien de plus à ajouter. Marc-Antoine C., principal accusé : Je m'en tiens à mes déclarations. Je n'ai rien à ajouter.
  16. Le nouveau-né de Meta a fait son apparition en Europe depuis plusieurs semaines. Comme ses prédécesseurs, il a son lot d’avantages mais aussi de travers. Comme cette trend, consistant à prendre en photo son minois sous une phrase des plus déroutantes. Premier degré ou humour noir, certains déplorent une apologie des violences conjugales. Sous ces étranges propositions, provenant de jeunes femmes entre 20 et 30 ans, les commentaires ne manquent pas. Volonté de créer la polémique, humour noir, premier ou second degré ? De nombreux internautes se posent la question, bien que ces posts récoltent tous des centaines de «likes» et autant de réponses. La plupart agressives, appelant à la violence. «Juste pour ta trend éclatée tu mérites de manger la meilleure tornade de feu de l'histoire», peut-on lire sous ces posts. Ou encore : «Jmets toi et toute ta famille en sang pour 1 centime». https://madame.lefigaro.fr/societe/actu/pour-combien-est-ce-que-vous-frappez-mon-beau-visage-cette-premiere-tendance-sur-threads-qui-afflige-la-toile-20240107
  17. « Il fait du bruit à toute heure du jour et de la nuit. Il met des vi­breurs qu’il colle au mur, passe l’as­pi­ra­teur à 23 heures. Il met coups dans les murs, la radio à fond, il joue du tam-tam à des heures im­pro­bables », détaillait un voi­sin aux gen­darmes. « On n’a rien fait d’exceptionnel, on a juste des enfants qui pleurent », raconte un autre à la barre, s’étonnant de voir le prévenu mettre « autant d’argent et d’ingéniosité ». « Le moindre bruit qui n’émane pas de moi me per­turbe » L’homme est même allé jus­qu’à en­re­gis­trer les pleurs d’en­fants de ses voi­sins pour les re­dif­fu­ser sur ses enceintes durant la nuit. « Ça, c’est du vice. Des voi­sins pé­nibles on en a vu mais vous, c’est high-le­vel », lui assène le procureur Éric Vaillant, qui assure n’avoir jamais vu un tel dossier. https://www.leparisien.fr/faits-divers/un-homme-condamne-pour-avoir-diffuse-des-pleurs-denfants-la-nuit-pour-pourrir-la-vie-de-ses-voisins-18-01-2024-OBUF355WQZEZ7ADZLMTQJ5AC3E.php
  18. January

    Procès de l'affaire Théo

    Réaction de Théo et de sa soeur Aurélie après les réquisitions : "L’avocat général et mes avocats ont rétabli la vérité, ce qui est pour moi le plus important (…) Concernant les peines requises: je ne suis pas dans la justice. Tant qu'ils sont condamnés, tout me convient."
  19. non c'est pas tout. Et oui je suis complètement d'accord. Et on ne parle pas assez de cette "charge mentale" qu'ont les hommes. Plus difficile ? Ben... je suis une femme hein, mais entre qualifier "charge mentale" faire tous les jours la vaisselle et reprocher que ce ne soit jamais monsieur, et faire vivre la famille avec son salaire... c'est pas la même chose oui. Je pense qu'il est temps de replacer certains curseurs à leur juste position....
  20. January

    Procès de l'affaire Théo

    Oui. L'IGPN l'a dit, le parquet l'a dit. oui. Débarquer sans lire tous les débats... non.
  21. January

    Procès de l'affaire Théo

    Les hs, la désinformation, ça suffit hein. C'est le parquet là ! Tu comprends ce que tu lis ou pas ? Marre à la fin.
  22. January

    Procès de l'affaire Théo

    Me Cailliez : L'acquittement qu'on va vous plaider, vous allez l'étudier sereinement. Marc-Antoine C. est une anomalie dans une cour d'assises. L'experte psychologue vous l'a dit, elle ne comprend pas ce qu'il fait là. Ça n'arrive jamais des profils comme cela dans une cour d'assises. Marc-Antoine C. a un Bac S, est sorti 3e de sa promotion au concours de l'école de police, 20e du concours national, a eu des lettres de félicitations... Il n'a pas de casier. Marc-Antoine C. c'est tout sauf un impulsif. C'est le gros nounours. On est dans l'antithèse du cow-boy. Il n'est pas parfait, il met une gifle. Mais il a voulu le bien. Il vous l'a dit des trémolos dans la voix, il a 'prié" pour que Théo puisse se remettre. Sa blessure, il y pense tous les jours... (...)"
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