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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Deux vies, vous « exagérouillez » un tantinet. Si une femme lambda comptait toutes les fois où elle a été abordée, ou a enchaîné les « vas-y mademoiselle, fais pas ta...radine, donne-moi ton 06 » en sortant des poubelles, en terme d’opportunités, nous ne devrions pas être loin du compte.
  2. Bonjour Éclipse, Qu’est-ce qui pourrait vous rebuter autant ? Il écrit des livres sur la philatélie ? Il crée des recettes de croquettes maison pour chat ? C’est plutôt bien de ne pas partager les mêmes passions, cela permet de ne pas tout le temps être enfermé l’un avec l’autre, prendre l’air, voir autre chose.
  3. Vous me reprochez de manquer de nuance. Le sujet en lui-même est une ode à la (psycho)rigidité. Transfert. Bon courage.
  4. Je redoutais un peu de le voir tant on m’en avait déjà parlé, avec un peu trop de détails. Le film avait aussi subi quelques orages lors de sa sortie, de mémoire, suite aux révélations d’une doublure, puisque si Nathalie Portman a bien pris des cours de danse pour le rôle, elle n’aurait, au final que dansé, très peu. Elle n’en reste pas moins excellente, d’une maladresse et d´une fragilité touchantes et la scène finale est époustouflante.
  5. Trop de produits au catalogue. Trop de choix, trop de facilité, nul n’est irremplaçable.
  6. The Revenant, avec un Leonardo Di Caprio malmené pendant tout le film, qu’à la fin on se demande comment il est encore possible qu’il tienne toujours debout ou à peu près. Le spectateur est lui-même balloté entre brutalité et calme polaire. La tension monte aussi vite qu’elle descend. C’est chiant. Les paysages sont beaux, filmés en grand angle et en contre plongée, ça m’a dérangé. J’ai trouvé la fin décevante. Black Swan avec Nathalie Portman, Vincent Cassel, Mila Kunis Rivalités dans la troupe du New York City Ballet. Nina est prête à tout pour obtenir le rôle principal du Lac des cygnes que dirige l’ambigu Thomas. Mais elle se trouve bientôt confrontée à la belle et sensuelle nouvelle recrue, Lily... Ballet et schizophrénie. Juste sublime.
  7. Tout à fait, il ne s’agit pas non plus de faire de l'intégrisme, davantage de s'acclimater, sans renier ce que l´on est pour autant.
  8. La SNCF a de plus en plus de mal à recruter des roulants, le poste n’étant plus aussi avantageux qu’avant (même s’ils restent les plus enviés). De moins en moins d’effectifs, des lignes qui ferment, un service public qui nous coûte, la plupart du temps déplorable, des tarifs plus onéreux que l´avion. Le soldat SNCF mérite t-il vraiment d’être sauvé ?
  9. Cela me semble impossible de n’avoir fait que des rencontres via Internet, du moins pour certaines générations. Les foyers en France n’ont Internet que depuis début 2000 ou à peu près. Amourettes de lycée, de Fac. Rencontres au café littéraire du coin, en boîte de nuit, lors d’un mariage, d’un anniversaire, présentation de l’ami d’un ami d’un ami d’un ami au cours d’une soirée fondue. Ce ne sont pas les occasions qui manquent. C’est peut-être la démarche qui ne va pas. Décider de rencontrer, choisir le moment, forcer le destin, alors que les rencontres tiennent beaucoup plus du le fait du hasard.
  10. Votre production, sur ce fil, dans son ensemble, trahit en effet un intérêt certain pour le spencérisme, en plus d'un goût douteux pour les films, de science-fiction. Il paraît difficile dès lors de ne pas tomber dans le piège de l'idéologie des races. Darwin, lui-même, homme de sagesse et d'une brillance presque sans égale, préconisait sociabilité et empathie. Peut-être que Brassens trouverait davantage grâce à vos yeux alors, et pour faire quelques analogies avec votre texte : "Quand on naît con, on est con" (ou vice-versa). Telle la bête dans l'arène, vous voyez rouge aussi rapidement qu'immigration. Je ne suis pas pour les mises à mort, ou toute pratique violente, prenez donc le temps, de me relire. Mais qui ne connait pas ces théories nées dans les années 70 ? Vous y trouvez intérêt, je n'en doute pas...l'attrait de la nouveauté sûrement, aidant. Je ne saurais que trop vous conseiller d'aller vers des lectures moins anxiogènes ou plus rafraîchissantes, afin de ne pas ajouter davantage à votre peine. "Heïdi", peut-être ? Vous vous doutez bien, qu'avec un"pédigrée" tel que le mien, il fallait prier Sainte Lucie au moindre cil tombé dans l'oeil pour faire plaisir à "Nonna". Les siestes, les après-midis d'été, dans la maison de campagne familiale, se faisaient aussi bien en compagnie des cousins, que d'une somptueuse collection de crucifix ou autres lithographies religieuses. Si je peux très bien porter le serre-tête à l'occasion, le bon goût m'a toujours dicté de refuser les mocassins. Il est somme tout masculin, de confondre bon sens, nuance et psychologie de magazine. L'état brut, ou de brute peut-être. Le terroir, ça va bien cinq minutes. C'est dans cette idée aussi, que les chefs, les plus grands, cuisiniers comme artistes pâtissiers, ont su repousser les frontières, amener ainsi de l'Orient, Asie, Italie, Grèce, dans nos assiettes. Vous trouverez ainsi tout autant le curry vert chez Gagnaire, que le cumin marié à la rose et à la pêche du Rousillon, chez Hermé. Parallèle gastronomique qui m'amène à promouvoir une nouvelle fois ce qui vous fait tant horreur, soit le mélange des cultures. Je vous remercie pour l'invitation, mais aurais néanmoins bien trop peur de m'ennuyer face à tant de sectarisme dans l'assiette, et inévitablement de m'y ennuyer. Étant brune en plus, de ne pas me sentir aussi à ma place, Monsieur Mengele. Par ailleurs, mon goût pour le trop guimauve m'amène à apprécier ce qui est naturellement plus sucré ou liquoreux (Château d'Yquem), jugé parfois ou souvent trop écoeurant, par ces messieurs, et marié avec quelques saveurs franco-cubaines. Que voulez-vous, en plus d'être un "produit" de l'immigration, je pourrais être éclectique et curieuse culinairement parlant. Au bûcher ? Oui je sais. Votre Sud a des allures d"Il était une fois dans l'Ouest", finalement. J'imagine, toujours, fort bien, que vous trouvez un réconfort passager dans une lecture à l'arrière-fond scientifique, aux conclusions hâtives. Ce n'est pas cela qu'il vous faut. Plus de tranquillité, et un peu plus de douceur. La gauchiste, d'autant si elle est "bobo" sera davantage sensible au quinoa, au chanvre, aux bubus, au cinéma d'auteur, au partage des richesses, pour info.
  11. Ne vous justifiez pas, ne vous justifiez pas... après tout, vous avez la vie sexuelle que vous méritez. Tout à fait, j'affectionne élégance et bonnes manières, qui sont pour moi, tout autant charmes chez les hommes que chez les femmes, que la préservation de la sphère privée est aussi respect envers soi-même et son partenaire (je peux aussi verser dans la taquinerie, ou le détail anecdotique, ceci dit). Valeurs oubliées -sans doute du quidam- qui amèneraient tout être sexué à m'être potentiellement charmant. N'avons-nous pas propension à trouver plus de charme, aux personnes qui nous ressemblent ? Comme nous sommes tous différents, et non sensibles aux mêmes charmes, tout le monde peut avoir sa chance, en dehors de toutes considérations physiques. N.B : Très intéressants vos échanges avec Pep-psy...
  12. C’est génial les rencontres inter-générations, les petits vieux sont rigolos quand ils ne sont pas trop grinchouilles, et les jeunes apprennent beaucoup à leur contact. Eux, ça leur change de leur routine. Tout le monde y gagne. Vos jeunes filles voient autre chose en effet, c’est bien de leur donner cette possibilité, et de leur montrer qu’il y a une vie en dehors du quartier. Cela les mènera vers un peu plus de tolérance. Elles se diront peut-être aussi qu’elles ont un peu plus d’options. Ce sont des types qu’elles côtoient tous les jours, des frères, des cousins, des copains, des copains des frères et des cousins. Des personnes qu’elles connaissent pour la plupart depuis toujours. Vous les « ouvrez au monde », peut-être qu’elles les laisseront sur le bord de la route.
  13. Justement ce n’est peut-être pas une bonne idée d’aller au conflit avec cette personne. D’autant que ce genre de discours est souvent bien ancré. Vous ne pourrez pas l’en faire changer. Par contre, au sujet de cette jeune fille, si vous lui montrez autre chose, et lui renvoyez un message positif, peut-être qu’elle l’entendra (écoute, valorisation, respect, partage etc...).
  14. Bien sûr, on s’attache, et c’est très bien ce que vous faites, félicitations ! Cela doit demander des trésors de patience et de pédagogie. Peut-être qu’en valorisant davantage cette jeune-fille, en lui donnant plus de responsabilités -sans pour autant léser les autres non plus- tout en tenant un discours ferme sur le respect, pourrait l’aider à être plus tolérante.
  15. Une grosse faute d’orthographe à « ouiiiiiiiii ». Mm... Quand c’est trop dur, il y a l’asile. Allez, bonne soirée.
  16. Mmmm... bon courage *sourire* C’est borné à ces âges-là, rebelles aussi. Le coup de la carte d’identité suggéré plus haut, me semble aussi être une bonne idée. Peut-être éviter d’ouvrir un débat d’idées afin que cela n'attise pas davantage les tensions, et rester ferme sur le respect.
  17. Ah vous avez édité, ouf. Vous êtes combien dans votre tête sinon ?
  18. Et qu’est-ce qui vous fait marrer exactement ?
  19. Vos allusions grivoises sont de plus en plus pressantes, il va sérieusement falloir penser à faire la vidange.Vous risquez de nous faire une vilaine « casse moteur », ce qui serait plutôt embêtant voire complètement embarrassant dans votre quête de l’ââââme. N.B : gaffe à la surdité.
  20. Il doit bien avoir son charme...pour la caissière, la passante, le contrôleur fiscal. C’est aussi subjectif que le goût pour la tarte au citron.
  21. Si c’est vous qui le demandez : vous défendez un point de vue nauséabond, vous cachant par intermittence derrière la neutralité, l’objectivité, la Justice.
  22. Ce sont les adultes qui apprennent la haine aux enfants. C’est triste. Qu’est-ce que vous pourriez leur dire ? Des idées : Que la guerre a pris fin il y a plus de 50 ans. Qu’il y a eu des victimes de toutes parts. Que l’on peut pleinement se sentir citoyen d’une nation et choisir de s’engager pour et que cela reste un choix personnel. Que les générations à venir ne devraient pas avoir à pâtir du choix de leurs ascendants. Que les conflits sont le fait des adultes et qu’elles sont là pour prendre du plaisir et s’amuser.
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