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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Du déclaratif ne constitue pas une preuve. Le viol (ouf !) et le vol ont pu être prouvés. Il est possible que ce crime soit effectivement "aggravé"par l'homophobie. Nous n'en saurons sûrement jamais rien. Vous avez effacé malencontreusement un passage intéressant, je vous le mets en gras :
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César : 100 avocates dénoncent "le triomphe du tribunal de l'opinion publique"
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de metal guru dans France
Il y a eu des voix dissidentes. Elles ont été étouffées, bâillonnées. Certains tentent encore de le faire aujourd'hui, par tous les moyens possibles, même les plus vils. Ces derniers temps, Polanski, a été conté au travers les médias, comme un homme seul, abandonné de tous, prostré, un pauvre papy... une victime. Ses soutiens ont toujours été nombreux en réalité. Des femmes et des hommes (!) ont pris de véritables risques en ne reniant pas leurs convictions, en refusant de jouer l'hypocrisie, en prenant la parole, en quittant la salle. Certains se sont déjà promis de leur faire payer. -
Vous polémiquez et alors que vous vous êtes fait sortir à ce propos. Que le crime soit homophobe, c'est le ressenti de la victime (peut-être un fait, difficilement prouvable certes). Vous pouvez toujours porter réclamation auprès du Figaro. Profitez-en pour en faire de même auprès "d'Orange Actu", ainsi que du "Parisien". Je ne change jamais les titres des articles, il me semble que c'est en accord avec les CGU. Le problème des vieux réac, dont vous êtes, c'est qu'ils ont besoin de plus de 30 secondes, pour sortir une vanne. Je n'ose imaginer le temps qu'il vous faut, pour le reste.
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Vous ici ? Il paraît que le sujet a été nettoyé pourtant. Si nous sommes deux femmes -pour le moins pas trop idiotes- à n'avoir pas compris tes propos, c'est alors qu'ils sont mal formulés, ne crois-tu pas ?
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L'intention est bonne mais c'est maladroitement formulé. Ce n'est pas un droit d'être victime, c'est un état de fait. Quoi qu'en disent les dénonciateurs d'un féminisme revanchard, se poser en tant que victime - et même après le mouvement #MeToo- frise le suicide social et alors même qu'il s'agit d'une donnée objective. Nombre de victimes de Weinstein, notamment, se sont plutôt définies comme autant de "donneuses d'alerte"... et ça se tient là : alerter, éveiller les consciences, faire du bruit, effectivement. Les hommes battus, qui ont à souffrir de violences psychologiques également, sont toujours invisibles et c'est dommage (la société doit tout autant en être conscientisée). Ce qui l'est d'autant, c'est que ces hommes sont moqués, muselés principalement par des hommes (au nom de la Sainte Virilité, celle qui sent des aisselles). Il n'est pas question de se disputer un statut de victimes, ce serait là faire fausse route. C'est pourtant ce que font les masculinistes (ce qui les rend inaudibles).
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Tu es bien laconique, pour une fois.
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César : 100 avocates dénoncent "le triomphe du tribunal de l'opinion publique"
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de metal guru dans France
J'ai souvenir du contraire et notamment en ce qui concerne l'affaire Strauss-Kahn. Les français s'indignaient, à ce propos. Polanski n'a jamais été blanchi par la Justice américaine, n'est-ce pas ? Il a fui. Pour le reste, nous avons aussi vu fleurir la tribune des "Catherine" ("Le droit d'importuner"), co-écrites par des femmes, se voulant féministes... et capables de pires déclarations dans la presse a priori et a posteriori. Plus rien n'est étonnant. -
Le second est bien plus aimable que le premier. Prenez soin de vous. Bisou.
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J'ai regardé l'intervention des Femen dimanche matin via "Brut" (elles ont pris la poudre d'escampette à l'arrivée des trois policiers moustachus), puis la marche pour la journée internationale des droits des femmes, plus tard. L'avantage de ce média c'est que c'est en direct, que les commentaires sont aussi très spontanés. Beaucoup de monde, de brouahaha, de slogans anticapitalistes (qu'est-ce que ça vient faire là ?), et anti police (nous allons bien les chercher quand nous en avons besoin), quelques drapeaux algériens (ok c'est une journée internationale des droits des femmes, j'aurais aussi aimé voir des drapeaux canadiens), de désordre. Des bagarres ont explosé entre manifestantes. Il y a eu des charges effectivement. Les forces de l'Ordre font toujours des sommations, avant de charger, comme pour toutes les manifestations. S'ils chargent, c'est qu'il y a eu une insistance quelque part. Ce qui est regrettable, c'est que toute cause, juste au départ, est toujours monopolisée, phagocytée par l'extrême-gauche.
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La Justice a condamné. Tu condamnes.
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Toujours aussi malhonnête mon bon "John Hathorne".
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César : 100 avocates dénoncent "le triomphe du tribunal de l'opinion publique"
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de metal guru dans France
Se revendiquer féministes et nier femmes et enfants... mais quelle pitié ! Sauf erreur de ma part, si en France il existe une présomption d'innocence, aux States, ce serait l'inverse (présomption de culpabilité). Écrire qu'il n'est pas coupable et alors qu'il a reconnu avoir consommé une gosse de 13 ans, devant la Justice, dans un livre (où il nous dépeint le viol comme un conte de fées), c'est chaud quand même ! De mémoire, il est aussi strictement interdit d'avoir une relation sexuelle avec un mineur, quel que soit l'âge, sur le sol américain. Quelle bande de folles, gouroutisées. -
Je pense au contraire qu'il faut en parler... que c'est non seulement nécessaire, mais en plus, urgent. Explique-moi.
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Vous êtes libertaire, ni plus ni moins. En France, nous entendons une "majorité sexuelle" (16 ans, ce n'est pas 13 ans) et même si cela reste une relation inégalitaire objectivement, même si c'est encore jeune à mon sens (les ados quand ils découvrent la sexualité, le font généralement entre ados), ce n'est pas considéré comme de la pédocriminalité. En clair, si une espèce de morue de la vingtaine se mettait à tourner autour de mon fils de 16 ans, je lui dévisserais la tête, avec méthode. Je ne suis toujours pas responsable de vos interprétations sauvages. PS : je n'ai pas tout lu, les textes présentés sous forme de blocs ne sont pas engageants. C'est le coeur du problème : individualisme, égoïsme, libertaire jusqu'à écraser la liberté de l'autre.
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Qu'est-ce que les nouvelles générations pourraient donc nous reprocher ? Celles-ci sont très engagées en ce qui concerne la planète et nous reprochent éventuellement le boom démographique. Nous pourrions éventuellement passer pour des vieux cons personnellement responsables de la déforestation en Amazonie, des crues dans le Sud-Est, du plastique dans les cachalots et du retour des Spice Girls... On a rien vu venir et soudain, on se fait bombarder "d'OK boomer" cinglants et même quand nous sommes nés bien après les années 60 (soit la fin du boom). Il est peut-être temps de mettre cette jeunesse devant ses contradictions. Ils veulent nettoyer la planète ? Qu'ils commencent par ranger leur chambre. Ils sont contre la souffrance animale, mais jamais contre le boeuf bourguignon de mamie... Ils fustigent la surconsommation, alors le nouvel Iphone pour l'anniversaire, on oublie, n'est-ce pas ? Les abrutis de boomers et les crétins de millenials ont tant de choses en commun... en plus d'habiter sur la même planète ! Enfin, revenons-en à ce qui nous intéresse : notre génération ne considère pas que les gosses sont baisables. Au contraire, elle condamne, et c'est heureux ! N'en déplaise à la vieillerie.
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C'est quoi cet ovni encore ? Il existe bien évidemment des femmes harceleuses, violeuses, tueuses et parfois en série. Coupable d'avoir flirté, bu un coup, ou vouloir interrompre un rapport par contre : certainement pas !!! Elle a bu une bière, et quant au reste ce n'est pas quantifier non, nous n'en savons rien. C'est ce que tu défends. Il ne commence pas par la violenter. Il la violente (l'étrangle et son cou présentait bien des marques de strangulation) alors qu'elle se rétracte pendant le rapport. Soit tu as décroché, soit tu surinterprètes mes écrits. Ce n'est pas intelligent. Tout comme évoquer des quantités de drogues qui ne semblent pas humainement ingérables. Désolée de t'empêcher dans tes certitudes : certains individus le font et de plus en plus, grâce à l'avènement des applications de sexe géolocalisable notamment. Ils tentent. Ça ne prend pas et d'ailleurs ça n'a pas pris non plus ici, puisqu'il est condamné. Le viol est avéré, @Januarya posté un lien plus avant : tu peux donc le condamner.
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Lunaire ! Je ne suis pas responsable de vos interprétations sauvages. Non, moi je faisais référence à ceci : Il n'y absolument aucun doute à avoir, sauf à considérer les enfants comme sexuellement consommables. Ce que considère l'idéologie libertaire. C'est le jacky show ! Croyez bien que vous avez toujours trouvé ma compassion et toutes les fois -c'est à dire très souvent- où vous vous êtes confiée spontanément et même sur des sujets qui n'avaient rien à voir, toutes les fois où vous avez aussi réclamé une vengeance ou une justice personnelle (sauf pour les victimes de Polanski, il va de soi). Ce qui ne m'empêche(ra) pas d'être en désaccord profond avec l'idéologie (libertaire), que vous défendez mordicus, ci et là. Vous ne m'en empêcherez pas. Qu'on se rassure (ou pas), vous n'êtes pas la seule. Je pense aussi à mamie @ouest35 qui se gargarise, plus avant, qu'un acteur ait pu consommer et épouser une gamine de 14 ans (avec l'aval de ses parents). Société de vieux dégueux. Il y a un décalage entre ce que vous avez connu et ce que nous rejetons aujourd'hui. Ce qu'une génération soixantuitarde a engendré parce qu'il était interdit d'interdire. Un décalage, et peut-être une défiance entre les générations, un rejet certain dans tous les cas. Les affaires Matzneff, Polanski... les Dany le rouge, les Mitterand et cie fichent la gerbe. Ce n'est pas tant que je ne sais faire la différence entre l'oeuvre et le pédocriminel. C'est plutôt que je le refuse. Le faire serait pour moi, un reniement de mes valeurs. Au pire, ces épisodes saoulent et on s'en fout. Je ne crois pas du tout que les autres ici s'en servent afin d'atteindre une... mamie.
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Et cela ne vous interpelle pas plus que cela ? Il est logique selon vous, de vouloir occuper toute la place, de monopoliser toutes les attentions, de vouloir rendre le discours de femmes, inaudible ? Ce n'est pas mon idée d'une société égalitaire, ni de la liberté d'expression. Ce n'est pas celle de bien des individus aussi. Les messages de @MarcThor sont très souvent imbittables. Celui-ci l'était particulièrement. J'ai eu la gentillesse de lui répondre par la suite, tout de même, ainsi que d'étayer et d'apporter des sources, valides (c'est une habitude qui s'est perdue, sur les forums). En même temps, les discours des masculinistes, s'ils sont terriblement ennuyeux, sont toujours tous les mêmes (et nous pouvons être lassées : très), et tiennent finalement en une seule assertion : "Nous, les hommes, sommes au bord de la mort puisque les femmes ont bien trop de pouvoir". Pour le reste, je vous remercie de vous intéresser à mon curriculum-vitae, étant à mon compte, je vais devoir décliner. À mon goût aussi, cela fait négligé. Cela m'est tout autant dérangeant que de voir des lianes s'échapper sous les aisselles de beaucoup hommes, comme du poil sortir de leur nez et des oreilles. Mais encore, il m'est aussi très désagréable l'été d'avoir une vue sur le persil surabondant qui sort du cabas, le foin qui sort de la charrette du "moule-bite". Ce n'est que mon goût, ou plutôt ce n'est que mon dégoût. Il semblerait que la "mochitude", comme vous l'écrivez, et sa promotion (la pilosité serait en effet signe d'une virilité incontestable), ne soient pas l'apanage de féministes. Il faudrait encenser les hommes, dans la force et la vulnérabilité, quand ils se laissent aller, quand ils sont sales. Il faudrait les désirer oublieux et informes, les cheveux gras, coulants, absents, pas rasés, ou à la mode taliban, dépenaillés, avec ce fameux poil qui leur sort du nez et des oreilles, bref "relax". Le regard féminin ainsi que sa libido sont aussi "relax". Quelle générosité. Ce n'est pas de la masculinité ça, c'est du manque de respect, et aussi envers soi-même. Il faudrait que les femmes ne le remarquent pas. Qu'elles passent outre, voire qu'elles jettent leur libido au hasard. Impossible de faire un effort ? Très bien. Que ceux qui se plaignent des mille rebuffades imposées par les femmes, jamais assez disponibles, commencent par se poser les bonnes questions : Suis-je attractif ? Est-ce que je me ferais l'amour ?". Ça aussi c'était bonus : enjoy !
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L'humanisme considère l'Humain, dans toute sa diversité/y compris avec ses particularités. L'humaniste n'a pas peur de bouleverser l'ordre établi. Il y a manifestement une erreur de lexique. @libredeparler est tout le contraire d'un humaniste. C'est un cri du coeur ? Vous considéreriez que l'individu auquel il est demandé d'interrompre un rapport parce que cela fait mal et/ou que l'on a plus envie, est une victime ? Certains individus ont grand besoin d'évoluer tout de même. On voit qu'il y a encore tellement à faire en ce qui concerne le consentement. Qu'ils aient bu (et que l'accusé se soit drogué, au moins), d'accord. Nous ne savons pas quelle quantité d'alcool ils ont ingérée. Et encore, le fait de savoir qu'ils aient bu et qu'il y ait eu de la drogue, te suffit. Pas moi. Cette femme a conscience que sa vie est en danger, au moment où il commence à la violenter (elle se dit que "ça y est, c'est la mort"). Elle tente de s'enfuir plusieurs fois (il en profite pour la violer chaque fois qu'il la rattrape). Lui a l'intention de voler sa carte bancaire depuis le début (il l'avoue lors du procès). Quand on est totalement sous l'empire de l'alcool, je ne pense pas que l'on puisse avoir conscience de grand chose :l'idée de fuir, la conscience que l'on risque d'y passer, appeler la police ensuite, et encore pour lui rester sur l'idée fixe de voler. Par ailleurs, il semblerait que depuis les années 90/2000, l'altération du discernement ne soit plus systématiquement prise en compte, déjà pour tout ce qui a à voir avec les faits en rapport d'un trouble psychique. En outre, la personne atteinte au moment des faits d'un trouble psychique et même neuropsychique ayant altéré son discernement ou entravé le contrôle de ses actes, demeure punissable. Alors en ce qui concerne l'alcool et les drogues, mêmes mélangées... L'alcool ne le dédouane en rien. Pas même la drogue, qu'il déclare avoir prise. C'est aussi l'avis de la Cour, puisqu'il a bien été condamné pour viol (en plus du reste). La circonstance aggravante n'a pas été retenue (puisque très difficile à prouver, sans doute, ce qui n veut pas dire qu'il ne soit pas un peu homophobe sur les bords).
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Une voire deux personnes, si on est vraiment en veine, contre des centaines d’abonnés... Je suis très frileuse à ce propos et je vous crois assez intelligente pour me comprendre.
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Est-ce que c’est valable pour tout un forum ?
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Si votre coiffeuse pouvait s’improviser professionnelle en ce qui concerne la psychologie ou la psychiatrie, ça se saurait. Elle pourrait être de bonne écoute, par contre, apporter du réconfort. Malgré toutes les bonnes intentions, un forum généraliste -et aussi sympathique puisse t-il être- n’est pas à même d’apporter une réponse professionnelle, au viol. Les forums Doctissimo font déjà bien assez de dégâts comme cela (ça suffit les conneries). Je resterai sans concession à ce propos (c’est juste un basique) et peu m’importe de vous décevoir (excusez d’avoir gâché votre fête).
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Je comprends votre « mais... », à quoi bon faire des études alors ?
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Les thérapeutes n’ont pas tous un cursus universitaire. On y trouve un peu de tout et surtout du n’importe quoi. Des spécialistes de l’aromathérapie et des masseurs, parfois. Il convient de s’assurer que le professionnel est avant toute chose psychologue ou psychiatre (diplômé) avant d’être psychothérapeute. Quand @soloandsolofait des procès d’intention, j’entends mais je n’écoute pas. Vous ne vous substituerez jamais à un professionnel, quelle que soit votre expérience personnelle de la psychanalyse. Au-delà du fait que ce soit prétentieux, c’est aussi dangereux, à l’instar de tous nos spécialistes du net du coronavirus.
