Mórrígan

La couleur des sentiments, ce n'est pas un film très audacieux, simple, cousu de fil blanc, mais aussi émouvant et parfois drôle.

Chercher midi à quatorze heure quand il s'agit simplement de doubler une "syllabe" de votre pseudonyme, un sobriquet tout au moins.

@Eugène.K Si évidemment que je la reconnais, la traduction n'est pas "littérale", c'est tout.

S'il n'est plus possible de vous taquiner gentiment sans que vous vous vexiez... Soyons formelle. Pour une immersion en Écosse, les paysages se suffisent déjà à eux-mêmes, ajoutez une B.O celtique, un kilt, et nous y sommes. Nul besoin d'en faire trop. Il y a là un "abus" de symboles qui pourrait faire penser que l'identité est un des thèmes de Braveheart. Chacun y voit ensuite ce qu'il veut y voir. Quand bien même des libertés ont été prises avec l'Histoire -et au final bien peu de films historiques y sont très fidèles- Braveheart reste très fluide et sur le moment, on ne se pose pas même la question de savoir si le kilt est apparu au XVIème ou bien au XII ème siècle, aucune sur une rencontre réelle des personnages, ou encore une trahison effective d'autres personnages. Le film arrive à retenir une attention constante, à happer, parfois même à émouvoir. C'est aussi le risque des films qui sont bien faits (même chose pour les séries, et je pense notamment à Versailles) : par paresse intellectuelle, nous pourrions ne nous en tenir que là. Effectivement, la référence "christique" pourrait être communément partagée. Référentiel différent pour certains autres. Plutôt dans ma période classique, lors du visionnage, j'y ai vu Roland (Le Cid), pour des valeurs chevaleresques, mais aussi pour le cette notion de sacrifice (sa vie/son amour) au profit d'une cause "plus grande" (l'indépendance de l'Écosse/l'honneur de sa famille). La référence est peut-être plus discrète, ou tirée par les cheveux -je ne sais trop- on puise parfois sans doute en ce qu'il y a en nous, ce qui nous parle. Les sensibilités sont aussi bien différentes, ce qui peut expliquer également que les Disney ne suscitent pas l'émotion chez certains spectateurs. Je suis aujourd'hui incapable d'être émue devant un Disney, j'ai été auparavant inconsolable devant Dumbo ou Bambi. L'émotion c'est quelque chose de très personnel et d’évolutif. Il y a bien le Hobbit, les 3 volets, et même si c'est longuet sur la fin, les paysages sont toujours superbes ou impressionnants, les personnalités diverses. C'était intéressant d'en savoir plus sur les nains et le dragon est superbe. Le Roi Arthur : la légende d'Excalibur aurait une critique pas si mauvaise (il y a toujours forcément des bémols et plus rien ne se fait sans doute sans effets spéciaux, en la matière) et pour qui aime les légendes arthuriennes... Ce qui me rappelle que j'ai aimé la version des années 80 avec Liam Neeson, Nicol Williamson. Pour clore la parenthèse, Black death, pas vu encore, je vous remercie pour la référence. J'aime beaucoup Sean Bean, autant 1er que 2nd rôle brillant, sa filmographie est très variée. Eddie Redmayne également, découvert, pour ma part, dans Les piliers de la Terre.

Et surtout pas dupe... Ôôôô la fuite, qu'elle est belle ! Il y a quelque chose de gentil chez vous (déjà décelé auparavant) c'est plutôt rare ici. J'aime bien les gentils.

Vos démonstrations d'amour successives, de plus en plus fréquentes, commencent à être gênantes. Je vous remercie de l'attention, que vous me prêtez, néanmoins entre la voile et la vapeur, je me suis déjà orientée. Jacky, vous ne pipez que dalle, as usual... Je me réjouis que le monde d'aujourd'hui ne soit pas tel que vous le rêviez, ma jolie tête ne reposerait déjà plus sur mon cou gracile, si non. Mm, Onfray en a aussi "souffert". Je le lirai, à l'occasion, je vous l'ai dit, la curiosité littéraire, est quelque chose de sain, à mon goût. Force est de constater que tout le monde cite sans "buger", enfin à part vous. Il est possible que vous ayez de bien grosses paluches, ou bien que ce "bug" vienne surtout de (chez) vous. Je vous ai lu aussi éviter de citer mais baragouiner tout de même sous vos contradicteurs...enfin, allez en paix, tout sera pardonné. Il explique donc l'avoir lu, pas être une référence en la matière. D'autres peuvent tout aussi bien lire et le contredire. Et s'il faut plus d'une vie pour tout lire en intégralité, vous pouvez tolérer aussi quelques inexactitudes non (?) puisqu'humain, vous même ne pourriez sans doute pas faire mieux, ou ne pourriez qu'en faire autant.

Certes, mais ça ne console tout de même pas les religieux. Quand vous citez tout en retirant le pseudo, il n’y a aucune notification. Vous êtes coutumier du fait, et je ne vous apprends rien. Rassurez-vous, je trouve cela plutôt gratifiant, tous choix confondus. Les croyants tant ils sont non prosélytes et non extrémistes ne me sont personnellement pas dérangeants. Par qui Onfray est-il présenté comme spécialiste des hadiths et du Coran ?

Un petit bison ? En la douche, le déodorant, le dentifrice et le parfum, I trust. Oui, oui, je suis le Mal réincarné, je sais. Pourquoi s’exposer à des risques inutiles ? Il s’agirait plutôt de trouver l’équilibre afin de ne pas se perdre de vue, ou de ne pas oublier qui l’on est. Beaucoup -trop- d’hommes et de femmes, une fois en couple, sont au service de l´autre, et ce qui est à constater -et à moins d’avoir la fibre servile- c’est que cela ne fonctionne souvent pas. Si le bon suffit à contrebalancer le pas bon ? C’est une question de vue, d’état d’esprit. De toute façon, si l’on s’inquiète des choses qui ne sont pas en notre pouvoir, on sera toujours malheureux. L’amitié, la fraternité, la famille... il n’y a pas que l’amour (transcendant) dans la vie.

Vous imaginer si ruisselant navré emplit mon cœur de mansuétude douceur. (Climatisation ? Ventilateur ? Piscine ? Plage ? Douche ?). Les bonnes également et il n’y a pas toujours de leçons à tirer. Pas besoin de tester certaines choses, ou certains profils pour savoir qu’ils ne conviennent pas. Il ne s’agit pas d’être trop méfiant, mais pas non plus une proie trop facile, ou une proie tout court. Tout est toujours, de toute façon, question de juste mesure, d’équilibre. Si l’on se construit seul(e) avant de se construire en couple, il est aussi nécessaire de se construire indépendamment du couple, en couple, à mon goût. De prime abord, cela pourrait sembler égoïste ou « trop libre ». S’il y a du bon à attendre de l´existence ? Sans avoir nécessairement besoin de sonder les âmes, vous pourrez peut-être constater des actes isolés, désintéressés, humains, bons, beaux.

Plus souvent à ne pas séduire... et parfois, ça fonctionne. Comme bien d’autres jeunes femmes (et de jeunes hommes), j’ai testé, auparavant, mon pouvoir de séduction. Ça a été amusant, un temps -rassurant sans doute- et mener les hommes par le bout du nez hum...et puis vite très lassant. Les réactions masculines peuvent être très similaires. Maintenant, je suis plus apaisée, ou plus une force tranquille.

Je vous l’ai écrit quelques fois, oui tout à fait. Vous ne me lisez pas... Percevoir une tactique, une posture, la sincérité... au réel, vous entendez ? Il y a des signes, il y en a souvent. Il faut être un peu attentif/attentive, intuitif/intuitive, sans doute méfiant(e) et raisonnablement cynique, pour ce faire. Et non tout le monde ne cherche pas à séduire.

Ah bah voilà, depuis le temps que je vous l'écris. On se dirige aussi plus naturellement vers celles-ci, trèèèès généralement.

Oh mais oui, c'est une "presqu'analyse" cinématographique de 'Tintin... pauvres de nous !

Mais quel talent ! *s'embrasse le poignet* C'est mieux, il va sans dire quand votre petit marquis trop poudré "tombe" sur les "gens de rien", "des travailleurs, ces fainéants","les derniers de cordée", "les gens du Nord, tabagiques, alcooliques, illettrés", ou encore "les pieds noirs, criminels contre l'humanité". Tellement, tellement, plus confortable. Du Macron, en vraiment vraiment plus brillant, il est compréhensible dès lors que vous soyez si... désappointé. Vous avez le président que vous méritez : indigne. Au nom du bon sens, au nom du droit à la dignité, au nom des miens. Valeurs tro socialopes, of course. N.B : Le vote c'est une chose, mais non la fan attitude, décidément, cépaglop... fans extrémistes de Johnny, de Claude François, de Macron, de MLP, de Jésus de Nazareth (liste non exhaustive), mais fichez-moi tout cela à la benne. Je ne vous lis pas (souvent) quand vous ne me citez pas (oui et je lis les posts que vous tentez de faire passer inaperçus -c'est un peu couard tout de même- comme celui-ci). Je n'ai pas lu son ouvrage sur Camus. Vous... êtes catholique convaincu ou bien musulman converti ? Toucher au culte, ah oui c'est mal, c'est vrai, il ne faudrait pas, ces salauds d'athées. "Se présenter comme un spécialiste du Coran" ? Mais surtout pas. Il en donne une interprétation, la sienne, ni plus ni moins. Et...la lecture est toujours une base de réflexion, vous mésestimez vraiment les intervenants de FFR, ils ne seraient tout de même pas si fainéants. Je pense qu'Onfray croit simplement en ce qu'il dit avec beaucoup de conviction, le danger serait d'en faire une béquille ou un gourou. Il y a un parti pris oui c'est évident, et cela peut se comprendre sur le plan humain, il est aussi possible de lire d'autres auteurs en sus, afin de se faire sa propre opinion. Je lirai le Coran, tenez, quand je ne serai pas trop dégoûtée de l'espèce humaine. Girard ? Il a une sacrée mauvaise réputation, ce monsieur. Lu quelques articles. Je lirai avec plus d'attention, à l'occasion. N.B : si c'est "concon" ? Pas tant que cela, les parents de famille nombreuse de France et de Navarre attendent avec que trop d'impatience, que vous leur délivriez votre secret. Au regard de votre situation familiale, vous rendre autant disponible, pour un forum, c'est admirable. Allez j'arrête de vous faire couiner, il y a déjà bien trop de lacrymâles comme ceci sur ce post et c'est fort pénible.

Ce qui ne m'empêche pas de compatir quand je vois des retraités dans le désarroi, justes financièrement, et inquiets quant aux suites des annonces successives du gouvernement (pension de réversion dans le viseur, dernièrement). Solidarité, humanité, exemplarité... des qualités qui font défaut à nos dirigeants, manifestement, tant il s'agit de s'attaquer aux régimes spéciaux, enfin surtout ceux des autres. Il ne manquerait plus que ces braves gens soient privés de leurs privilèges. Commençons par là, déjà, ils y gagneraient aussi en légitimité. Le Medef propose d'allonger encore l'âge de la retraite (64/65 ans), d'inciter les gens à rester en activité, il va sans dire qu'il y trouve son intérêt. Je serais tentée de vous écrire qu'à cet âge-là, nous ne sommes pas tous encore foutus, quoi qu'encore certaines professions sont plus usantes que d'autres, et tous n'ont pas le même dynamisme. Certains estiment qu'ils ont trop travaillé aussi... et puis il y a la santé. Ça se respecte. Sans vouloir jouer les oiseaux de mauvais augure, je pense que les trentenaires d'aujourd'hui pourraient ne pas toucher de retraite. Personnellement, je ne compte pas là-dessus. Et finalement, la retraite, ce n'est pas le sujet, je vous prie donc de vouloir bien m'excuser... N.B : Oh et ah oui... Quant à hurler avec les loups, je n'ai hélas pas l'instinct grégaire -et vous ne me verrez jamais dans une manifestation, ça me semble bien inutile- et même ici où cela pourrait être très facile, m'obligeant aussi à quitter un débat quand la "cavalerie" arrive au grand galop : je n'aime pas cela. Disons, que vous avez un "talent" beaucoup plus discret. Si vous m'étiez insupportablement agaçant, comme quelques uns au réel, je vous aurais souhaité une bonne chiasse dont vous ne pourriez vous départir... ce qui serait plutôt raccord avec votre pseudo d'ailleurs. Ne vous inquiétez pas trop, je ne mettrai pas mes talents de sorcière en oeuvre, vous êtes bien trop fadasse. Redondant, également. Il suffit de vous lire dans la rubrique politique pour cerner plutôt vite le personnage : mauvaise foi, suivisme, fan de, malhonnêteté intellectuelle... tout est corrélé. Malhonnêteté, quand vous me citez sur un message notamment, prenant soin de le rogner : message que vous avez donc lu, message qui indique surtout que je n'approuve pas vraiment les propos d'Onfray au sujet de l'électorat Macron, son idée étant plutôt anti-démocratique. Culpabiliser quel que soit le vote, je n'aime pas, même si je n'aime pas les candidats mais surtout leurs idées. J'ai osé écrire sur Macron, et vous êtes parti bille en tête. L'aveuglement, c'est aussi ce qui fait l'apanage des groupies. Certains, comme vous, ont besoin de gourous, d'autres, comme moi, refusent qu'une idéologie cadenasse leur pensée (et quelle qu'en soit la nature) . Je ne vous le fais pas écrire, quel courage d'entretenir l'échange avec un intervenant dont la prose reste fade comme du pain sans sel, sans parler du fond... Va falloir que je cesse cela au plus vite, fini de faire du social. Vous considérez qu'Onfray est mauvais. Je suis plus nuancée. Ce sont là des considérations toutes personnelles. C'est toujours enrichissant de lire qui nous n'aimons pas trop trop, ou des points de vue différents, qui sortent un peu du cadre de ce qu'on lit usuellement, de juxtaposer aussi plusieurs lectures sur un même thème. La curiosité est une très belle qualité. J'ai lu récemment, Tariq Ramadan, c'est intéressant, très "enrobé", mielleux. Bon, je trouve toujours que c'est un valet de pisse... cependant, je sais encore davantage aujourd'hui, à quel point. Si Onfray est intéressant à partir du moment où l'icône est honnie par celui qui le lit ? Pas forcément, vous généralisez. Il m'a été enseigné que Freud est le maître, et il a été pionnier, oui, indiscutablement. Sans le détester, je n'ai jamais adhéré pleinement à toutes ses théories. Je ne suis pas d'accord avec tous les propos tenus par Onfray, quand il l'aborde dans "Crépuscule d'une idole", avec certains seulement. C'était intéressant de sortir aussi un peu du cadre de l'enseignement. Savoir faire la part des choses, être juste, critique, penser librement, tout lecteur peut faire et même un lecteur d'Onfray (occasionnel ou non) et quand bien même vous puissiez leur dénier cette intelligence. Les valeurs que promulgue la religion, peuvent se retrouver chez certains individus. J'ai côtoyé toutes sortes de croyants, ceux qui essaient de se tenir à une certaine forme de morale, bienveillante, personnelle, d'autres plutôt branchés sur l'axe du Mal et/ou ne conservant que ce qui les arrange. Ces derniers sont moins aimables, mais à mon goût, seulement, ne vous en faites pas. Je vous lis parfois et ne vois pas la bonté en vous, ni la sagesse. En même temps, je peux tout à fait entendre qu'il est difficile pour vous de nous montrer en si peu de temps passé sur un forum qui vous êtes, étant majoritairement occupé par votre si nombreuse famille. Comment va le petit dernier, au fait... ? Il est torché et talqué ? Pour le moment, Macron est, à mon goût (seulement encore), mauvais. Ce n'est pas comme s'il avait déjà laissé des indices alors qu'il était ministre, ce n'est pas comme si sa "campagne électorale" ne m'avait pas convaincue, et même s'il a bénéficié de "l'aura" bienveillante des médias, auparavant, ainsi que d'un climat de guerres intestines au sein des partis politiques ou encore des retombées de scandales en tous genres sur ses adversaires. Ça n'a pas fonctionné, avec moi. Ceci dit, je garde en tête qu'il pourrait toujours me surprendre, il lui reste un peu moins de 4 ans à tirer, et c'est tout "l'avantage" d'un président qui fait dans l'improvisation. S'il fait bien, un jour, comptez sur moi pour l'écrire. Je reconnais à Hollande d'avoir eu le bon goût de ne pas nous avoir collé sa concubine de force, et en conséquence, de ne pas nous avoir fait réglé pour un secrétariat, en plus du reste.

Braveheart traite de l'indépendance de l'Écosse, ce qui implique qu'il y ait des batailles. Boyaux et viscères, oui, ils auraient pu aussi guerroyer en s'envoyant des colombes et des baisers, ceci dit cela aurait été moins réaliste, peut-être même moins trippant, sans vilain jeu de mots. Beaucoup de thèmes sont abordés dans ce film. La liberté évidemment, mais aussi la mort, le courage, la résistance, l'identité (ça c'est un truc qui devrait vous plaire), l'amour...impossible, d'autres sûrement qui ne me viennent pas en tête de suite parce que cela fait longtemps. Des thèmes pouvant susciter bien des émotions, et d'ailleurs il n'y aucun besoin de faire pleurer dans les chaumières en permanence, pour faire un bon film (mais ce n'est que mon avis). Même si le récit de l'histoire de Wallace est très libre, très romancé, celui d'Isabelle de France également (et je n'aime pas le jeu de Sophie Marceau, surtout en général), j'ai bien aimé. La B.O, les paysages, font aussi que...

Pour le moment, vous n'avez réussi qu'à m'ennuyer. Et... non pas "juste parce que vous avez relevé" le mécontentement de connaissances, d'internautes, en ce qui concerne l'action du triste sieur en question, que vous avez mélangé à mes propos : il suffit aussi de lire votre "oeuvre" dans son ensemble, et il s'agit de ne pas me faire endosser la pensée des autres (merci bien). En ce qui concerne la retraite, tout le monde est perdant. En ce qui concerne la loi travail, les salariés sont les grands perdants. Je suis entrepreneur, encore bien loin de la retraite (et sait-on si nos jeunes générations en bénéficieront un jour ?). Pour le reste, les différentes taxes, aides, je n'ai jamais bénéficié de quoi que soit et n'attend rien de qui que ce soit, ceci ne m'empêchant absolument pas, pour autant, d'être solidaire. Ça doit être mon côté socialo. C'est un philosophe, il philosophe donc. Ses écrits peuvent déplaire, ce qui est principalement intéressant chez lui, c'est qu'il ose, il ose s'attaquer à des idoles, il offre un point de vue souvent différent et construit : Freud, la religion, Macron ("Zéro de conduite"). Ah oui, les athées, ces mécréants, ne sont pas des "prochains", c'est vrai... vilaine discrimination. Ne soyez pas étonné, en retour, que des athées puissent vous renvoyer la pareille.

Oui, pour la caméra fixe, en effet et maintenant que vous l'écrivez, ça me revient. Ce n'est pas non plus le genre de film que j'aurais grand plaisir à revoir.

La scène du tunnel dure pas loin de 9 minutes, rien ne nous est épargné, pas même le bruit. On se sent réellement impuissant(e) et voyeur/se... J'ai trouvé cela effroyable, personnellement. Tout est dérangeant dans ce film jusqu'à la façon de filmer qui peut parfois donner la nausée (prises de vue qu'affectionnent particulièrement Gaspar Noé, comme on peut aussi le voir dans Doberman). Irréversible ne laisse dans tous les cas pas grand monde indifférent, c'est un bon choix.

Lui reprocher "d'appliquer un programme" si brouillon ? Je le trouve plutôt désorganisé, dans la réaction, l'improvisation, maladroit et malappris, quand il s'adresse au peuple. Vous manquez bien trop de panache, pour me faire lever ne serait-ce qu'un sourcil. Alors m'agacer, vous pensez bien...

Alors évidemment je peux être traumatisante, effrayante, chiante -ou tout autre adjectif à connotation négative "suffixant" en "ante", si cela peut vous faire plaisir- toutefois, vous pouvez me citer sur un sujet "Cinéma" à peu près sans risque. Je promets solennellement de ne pas -trop- vous rosser, enfin seulement si vous évitez toute analyse bizarroïde sur une relation supposément "homo" entre Frodon et Sam. N.B : Vous êtes une vraie gonzesse. Irréversible c'est en effet, plutôt "aouch". La scène du tunnel fiche vraiment la chair de poule.

"Crépuscule d'une idole" est fort intéressant. Pour le reste, tout peut s'expliquer par des blessures remontant à l'enfance. Il explique d'ailleurs dans ce livre, dans d'autres également, qu'il aurait été abusé alors qu'il était en pensionnat catholique, ce qui pourrait expliquer qu'il ait forgé une forme d'allergie à tout cela. En bon catho que vous êtes, vous devriez pouvoir excuser cela : aime ton prochain, et blablabla... https://dejavu.hypotheses.org/151

Ceci dit, vous pouviez aussi lire plus haut, avec attention -j'ai voté blanc et aux deux tours- cela vous aurait aussi évité de trépigner inutilement. Ils seraient à plaindre, en plus, ces élus qui trichent, nous saignent... ils font de leur mieux ? Allons, allons... Ils pourraient vous déféquer sur le postiche, que vous en demanderiez encore. C'est consternant.