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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Doucement la parano... Personne ne souhaite vous ôter quoi que ce soit.
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Oui, la vidéo se trouve en page 1, dans le lien posté à l'initiative de @ouest35. Vous trouverez également une vidéo un peu plus longue sur "Brut" via Facebook. C'est sidérant.
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Si, si il le dit et précisément à 9 secondes :"personne ne me touche, ma personne est sacrée, je suis parlementaire". Nous avons bien couper des têtes, et même celles d'enfants, d'innocents... j'ai envie de vous écrire "tout ça, pour ça". Ils oublient trop vite en effet qu'ils sont au service du peuple. Le peuple n'est pas uni, ils le savent bien et s'appliquent justement au quotidien à faire en sorte, que cela ne change surtout pas.
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"Je suis président... je suis parlementaire, ma personne est sacrée". Cela en dit vraiment long sur ce sentiment d'impunité qu'éprouvent et dont se vantent, des parlementaires. Chirac, Sarko, les Le Pen, Balkany etc... se sont aussi faits perquisitionner antérieurement et cela a pu être drôle également. J'entends parler de la "lingerie" de Mélenchon sur laquelle on se serait attardé, forcément j'imagine et ça me fait rêver. Quand il empoigne son écharpe nerveusement afin de s'en parer, ce n'est pas mal encore :
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Vous risqueriez d'y perdre la colonne vertébrale et je suis microbienne... et cachez-moi donc ce sonotone que je ne saurais voir. Originales, certes, il faut que ce soit efficace maintenant. Remarquons que les français semblent avoir la cote avec les héritières... vivement que Paris Hilton passe par là. Non enfin, je ne suis pas sûre qu'elle serve vraiment dans ce cas de figure et l'annonce est précise : homme, intelligent, stable... Avouons que ce genre d'initiative (NDLR l'avion et la banderole) c'est mignon, au même titre que la sérénade sous la fenêtre, quoi qu'un peu embêtant pour les voisins, s'il y a... et à Paris, forcément. Tout comme vous, et d'autres encore, je suis plutôt pour le célèbre adage "no zob in job". J'observe, par contre, que des couples se sont formés ainsi (même tour et même boîte de surcroît, mais pas au même étage, ouf), et que parfois ça dure. Ce qui ne convient pas aux uns, peut convenir aux autres.
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Oui c'est vraiment dommage. Dans certains restaurants, il suffit simplement de s'installer au bar pour voir s'engager les conversations, même sur Paris, et sans parler de gros lourds non plus. C'est peut-être aussi une question de tempérament, de lieux, de moment. Un soupçon de hasard. Dans tous les cas, il semble évident que sortir de chez soi pour rencontrer du monde, est impératif. Si vous êtes une vieille bique ? Assurément. Ce sera donc "ou bien"... ni Les Valseuses, ni Les galettes de Pont Aven. Pas plus Gégé que Mariel. Ça sent trop le graillon tout cela. Quitte à choisir, je préfère éparpiller façon puzzle, au besoin. D'autres questions ? Au milieu des post-it vraiment triviaux, il reste le minimum vital. Cela n'a rien à voir avec la perfection, juste avec le "passable". La bonne réponse était simplement : ils sortaient de chez eux (bals, fêtes de village). Et puis, il y a eu toujours le réseau...le frère ou la soeur, la cousine d'un copain ou d'une copine. D'autres se rencontraient à l'école, ça marche toujours aussi. Bonjour Prométhée_Hadès, révérence, Se balader avec ce genre de t-shirt, c'est une idée qui en jette... je réfléchis aussi pour fournir des solutions, plus ou moins originales. Être super active, avoir différents hobbies pouvant mener à des groupes ou des clubs, peut être une idée, et certains aiment partager encore davantage ces hobbies, plus tard, en couple. Nombre de couples se sont rencontrés également sur leur lieu de travail, sans forcément appartenir à la même entreprise, juste à la même tour, ou bien ils déjeunent au même réfectoire. C'est plus compliqué après si viennent les ruptures, ceci dit.
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Ah oui, c'est vrai : les vieux ça aime le sucre et les lapinous. Au passage, j'avais déjà compris à la première phrase, Ursule.
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Merci. Deux à trois fois par mois, ça reste peu et peut se gérer, ou se combler, pas forcément avec un homme aussi : sortir, voir du monde, faire du shopping, du sport, adopter un animal de compagnie. Les possibilités sont multiples. Chercher ne me semble pas être une bonne démarche, et afin de combler la solitude, encore moins. Après chacun fait selon. Je constate aussi beaucoup de solitude du côté d'amis (hommes ou femmes) parisiens, alors qu'il y aurait tant de probabilités, qu'ils se rencontrent au hasard des rues, d'opportunités à l'occasion de fêtes, repas... ou que sais-je encore. C'est déjà plus probable qu'à la campagne où les chances de tomber sur un cheval sont bien plus élevées que celles de tomber sur un être humain. Qu'est-ce qui éloigne les gens ? La routine ? Internet ?
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Bonjour à vous, Deux à trois fois par mois ? Oh ça fait plutôt mince. Les hommes, quand ils sont bien installés -et très certainement même les parisiens- ont tendance à vouloir rester plus que cela. Je suis sûre que cela marche aussi pour les femmes. En ce qui concerne les critères, l'étau se resserre, voilà qui confirmera que les femmes sont des petites créatures "si exigeantes". (Stable, à quel point ?) Pas le temps pour les sites de rencontres ? Ah ça, ce n'est pas plus mal. Pourquoi ne pas tenter la petite annonce afin de trouver la perle rare, dans la gazette du quartier ou bien en bas de l'immeuble, juste à côté des boîtes aux lettres. Ils sont comment vos voisins ? Qu'il soit à portée de mains, frais et dispo, c'est mieux sur Paris quand tout est prêt et si loin à la fois : "j'ai 500 mètres à faire, à dans 6 heures". Comment faisaient les gens avant l'avénement des supermarchés du coeur en ligne ?
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J'espère bien que vous étiez armée de votre plus beau crucifix quand vous tapiez cette poésie à un doigt, de l'autre main. Grossesse et religion... en même temps c'est quand même un peu le sujet. S'il ne vous convient guère, vous trouverez dans la rubrique "asile" des sujets bien plus à votre mesure : le fameux "allo, à l'huile", ou encore "cap ou pas cap de réciter toutes les lettres de l'alphabet en verlan et... attention sans respirer", "passe-moi le beurre, je te passe la marmite", "c'est toi, non c'est l'autre, non c'est toi, non c'est l'autre" et autres joyeusetés. En vous remerciant. P.S : Oh et les popcorn, il vaudrait mieux éviter -hyper caloriques- sucer plus l'hosties, vous devriez, ma petite dame. Absolument, il ne faudrait surtout pas oublier ces messieurs. L'idée était simplement là de reprendre la formule, dans le bon sens. Avez-vous lu le lien fourni ? Qu'il ait été contaminé, c'est une chose, ensuite il faut bien que le virus se soit propagé sur le continent à un moment. Certain parle d'un stewart homosexuel, d'autres non, saura t-on un jour ? Alors sang, lait maternel, sperme, liquides rectal, séminal, sécrétions vaginales... il y est des choses qui vont être plus compliquées ou irréalisables pour les hommes -vous en conviendrez- même avec la meilleure des volontés du monde. Ensuite un dermatologue (batave, il me semble) avait déjà relevé au XIX ème siècle des symptômes chez des patients prêts à mourir, identiques à ceux qui se retrouvent chez des individus atteints du sida, eux aussi mourants. Il est probable, que son existence date d'encore plus loin, nous n'avions pas les moyens de détection ou le savoir auparavant effectivement, il reste encore sûrement bien des découvertes à venir... et c'est une formidable lapalissable jacky. Quoi qu'il en soit, il est encore aujourd'hui risqué d'avoir des rapports sans préservatif. Certains vont se faire dépister, entre différents rapports non protégés, afin de se rassurer ou de se donner bonne conscience, et tout en continuant à consommer parfois en l'attente du résultat. C'est inconscient. Ils ne risquent en plus pas seulement le sida, il existe différentes maladies sexuellement transmissibles. Enfin, après il y aura toujours des adeptes de la roulette russe. L'Église a toujours fait de la propagande anti-préservatif (et même anti-contraception en général), c'est tout de même grave. Je veux bien qu'il y ait une nécessité de reproduction -selon leurs vues- il serait bon de ne pas faire les choses n'importe comment ou en observant au moins quelques règles sanitaires.
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Michel Onfray : Lettre à Manu sur son doigté et son fondement
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Oui, page 1, vous trouverez aussi le lien vers son site Internet. Mes excuses, ce n'est pas tant que je ne sois pas loquace : vous arrivez bien tard, et pour ma part, je déteste assez avoir à me répéter. Vous trouverez sans nul doute sur le fil -et si vous aimez la lecture- des éléments de réponse à votre... intervention. En vous souhaitant une excellente soirée. -
Et c'est justement parce que ce droit a durement été gagné, qu'il est toujours et constamment menacé, que nous devons absolument veiller à ce que des fausses informations destinées à discréditer les femmes ayant recours à l'IVG (et donc son utilité et sa nécessité in fine) n'aient plus court ou les reprendre. Trois femmes sur quatre se font avorter alors qu'elles ont eu des rapports sous contraception. Par voie de conséquence, faire de l'anecdotique, une généralité est au mieux, maladroit. Au pire, vil et malhonnête. Mais quel foutoir ! Je vous repasse en gras. Alors nous en sommes vraiment là, à "c'est celle qui le dit qui y est", au "bisque bisque rage" ? Sérieusement à nos âges, mais surtout au vôtre... ressaisissez-vous, Morfou. La majorité des femmes a de l'oedème/doit ingurgiter du Gaviscon, ne vomit pas que son petit déj'/ se sent grosse et laide pendant au moins 6 mois (liste non exhaustive). La grossesse ce n'est pas le mal joli, ce n'est pas glam, c'est long, ennuyeux et parfois même handicapant. Certaines la vivent mieux que d'autres. Nous ne sommes clairement pas toutes à égalité sur ce plan là. Des femmes ne sont vraiment pas faites pour porter des enfants. Un peu, vraiment ou pas du tout. Certains maux se reproduiront à chaque grossesse ou invariablement puisqu'il y a une cause génétique. À l'état naturel et sans les progrès de la médecine, elles y passeraient. Avec les progrès de la médecine, certaines y passent tout de même. Il est préférable de les laisser libres de choix, leur offrir une alternative et c'est ce que l'IVG propose puisque les moyens de contraception ont failli (la plupart du temps). Sa vie, sa santé, chacune la risque, à partir du moment où la petite graine est posée. À tout moment. Qu'elle aille au terme ou même au moment de l'IVG. Ce n'est aussi ni sans risque, ni sans conséquence psychologique, physique ou pour une grossesse à venir. Ni vous, ni le pape, ni le curé de St Martin ou encore la crémière de Suresnes ne peut décider à la place d'une autre femme, c'est aussi simple que cela : il y a une loi, un cadre a été défini, les femmes ont droit d'avorter, n'en déplaise. Mais qui êtes-vous pour ordonner à des femmes de se faire stériliser ? De risquer encore une fois leur vie ? De choisir à leur place, qu'elles n'auront plus jamais d'enfant, ou leur refuser droit et liberté de choisir le père de leur enfant ou le moment ? Avez-vous consommé de la Marie-Jeanne ? Je vous écris, en long, en large, en travers, et sur différents topics encore traitant de l'IVG, que le choix doit être laissé aux femmes d'aller ou non au terme de leur grossesse. Laisser le choix est un contraire d'imposer, pour votre information personnelle. Vous me verriez aller étouffer des nourrissons dans leur berceau... Bon *sourire* À votre différence, j'évite les projections et respecte les différences : ce n'est pas parce que je ne me destine pas à quelque chose, que les autres n'ont pas à se destiner à ce quelque chose. Simple. Pourquoi des (et certainement pas "les") médecins, dont M.de Rochambeau s'est fait le porte-parole, ont-ils des propos très durs envers les femmes ou refusent de faire des choses "auxquelles ils ne croient plus", alors que cela fait partie de leur travail depuis belle lurette (ils n'auront pas été pris au dépourvus) ? Sans doute parce qu'ils ne respectent pas les femmes/sont incompétents en matière d'information et viennent ensuite reprocher/culpabilisés sans cesse par une vieille carne dont nous attendons avec une impatience à peine voilée, qu'il rende la soutane. C'est tellement facile de culpabiliser les femmes, de pointer les oublis de pilules, alors qu'ils restent difficiles à comptabiliser. Venant d'hommes et quand ils sont concernés, et ont porté un préservatif, cela pourrait se comprendre... mais alors des femmes. Cette absence de solidarité. C'est sidérant. Par ailleurs, si l'on en croit certains articles, la pilule serait plus performante que le stérilet ou l'implant. Vous nous la faites à l'envers là, reformulons pour clore : celles qui veulent des enfants en ont parfaitement le droit, mais qu'elles fichent la paix à celles pour qui ce n'est pas le moment ou qui n'en veulent pas. NB : toujours pas non, je vous écris de ne pas vous justifier au sujet d'une islamophobie supposée. Ce n'est pas le sujet, et ce n'est pas mon plus, mon problème. Vous vous montez la bourriche toute seule, jacky. À toute fin utile, et parce que c'est toujours intéressant : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/decouverte-du-vih-la-fin-d-une-polemique_6023 Un miracle, tant qu'il s'agit de "bons" croyants. Si l'Islam en vient à prendre le dessus, il faudra remettre au goût du jour l'Ordre du Temple sans doute.
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Une féministe se confronte aux mouvements pour le droit des hommes ( MDH )
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de HariSeldon dans Société
La première posture de cette dame, sur le sujet, n'est pas plus intelligente que la seconde : il ne s'agit absolument d'une place de victime à se disputer. Axer le débat là-dessus, n'est ni plus ni moins que de donner raison à tous les beaufs ne pouvant s'empêcher de faire des raccourcis entre prises de parole et victimisation. Elle n'aura décidément rien compris. Bon, il est admissible éventuellement de vouloir plaire aux beaufs, pourquoi pas... ? Tous les mauvais goûts sont dans la nature, après tout. Nous pourrions tous pourtant marcher main dans la main, être plus solidaires, et ce en dépit du genre, cela passerait vraiment tout seul et rapidement avec beaucoup de bonne volonté et d'humanité. Quand des femmes prennent la parole pour dénoncer les abus d'un homme qui aurait fait dans la centaine de victimes, ce sont des fabulatrices/léchefrions/profiteuses/ ayant un goût pour la manigance et aussi très probablement *pouces, pause : Jean-Claude remonte son pantalon sous les aisselles* vénales. Le féminisme a décidément encore de bien beaux jours devant lui. Mais c'est un choix, le vôtre, messieurs. Au sujet de la garde partagée, puisque si cette dame est américaine, c'est aussi un sujet touchant bien d'autres pays, dont la France -et c'est ce qui est véritablement intéressant à mon goût, parmi le monceau de bêtises peuplant cette vidéo- il est vrai que des pères sont parfois plus poules que les mères, ou tout aussi aptes. Ce mode de garde est de plus en plus populaire. Il passe bien souvent par un accord amiable et c'est heureux (moins de tensions). Un député avait pour projet de le faire installer plus ou moins automatiquement, je ne sais trop l'avancée de la chose, ou si cela a été suivi. Un peu touchy tout de même. Pour ma part, j'ai tout de même le sentiment que les tout petits enfants ont besoin de leur mère. Si les parents arrivent à s'entendre malgré leur séparation (et tant que c'est humainement possible) afin de pouvoir prendre soin en duo de leur progéniture, c'est tout de même l'idéal. -
Macron à un jeune chômeur : «Je traverse la rue et je vous trouve un emploi»
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de micro-onde dans Politique
Démystification pour les nuls : il faudrait que ce jeune soit une sacrée groupie mélenchoniste afin de risquer de se faire moquer par son entourage proche ou éloigné, comme par de parfaits inconnus, de devenir ainsi la risée du bon peuple. Et nous pouvons voir ici, comment il a été taclé et enfoncé, gratuitement. Cela irait en effet, bien au-delà de considérations pécuniaires. Ceci dit, je trouve toujours très drôle de lire ou entendre des individus se défendre de toutes leurs forces, de ne pas avoir voté Macron. C'est à se demander s'il n'a pas été élu par l'opération du Saint Esprit. -
Élitiste, précisément. Eh bien voilà, fini les publicités mensongères (mais si, ça va bien se passer): une de vos grossesses sur trois donc se serait passée sans accros... si ce n'est pas en réalité une sur quatre, ou une sur cinq ou sur sept puisque vous ne constituez pas à vous toute seule un échantillon assez représentatif. Je ne connais pour ma part, aucune femme n'ayant pas souffert de symptômes liés à la grossesse. Toutes n'ont heureusement pas eu à souffrir au point de mon amie sponsorisée par Sanofi-Aventis. Ce n'est à souhaiter à personne cela et que je rencontre une idiote lui dire que c'est une meurtrière, que ce n'est pas une belle personne ou qu'elle n'aurait pas été brave ! Comme d'autres, vous avez une vision égocentré de la grossesse : "Moi, j'aime les gosses. Moi, j'ai supporté bravement les nausées du matin (trop forte, slow clap). Moi j'ai eu un manque. Moi je suis croyante et j'en ai assez que l'on tape abondamment sur les croyants, de toute façon c'est très injustifié. Moi j'ai mes convictions quant à l'interruption de grossesse. Moi je suspecte que ces femmes qui tombent enceintes ne soient que des têtes de linotte, d'ailleurs c'est leur faute, c'est leur grande faute. Moi je me moque abondamment des femmes ne souhaitant pas d'enfants, ou souhaitant choisir le bon moment, d'ailleurs je ne les comprends pas et surtout je ne l'admets pas. Moi je raille en faisant "la promotion" de la stérilisation...faudrait peut-être qu'elles sachent ce qu'elles veulent ces indécises" #Rassemblement de rombières Ricoré, biscuits cuillères rances et layette rose bonbon. Vous n'entendez pas que des femmes puissent être toutes autres ou ne pas avoir envie de mettre bas, en rafale, ne pas vouloir aller à terme d'une grossesse, se destiner ou se résigner à être mère. Rassurez-vous, vous n'êtes pas unique. C'est très commun. Je me suis souvent demandée pourquoi, cette grande intolérance, ou cette pression qui est continuellement mise sur les épaules frêles, des femmes. Des gens ont sûrement eu des accidents de parcours et souffert, annihilant que d'autres puissent avoir envie d'autre chose ou comptent également leurs plaies, d'une part -c'est regrettable- et d'autre part, il y a une vision persistante de ce que doit être une femme encore en 2018, et non moins religieuse, un schéma-type : une mère. Le couperet tombe, impitoyable. Les hommes qui n'ont pas de désir d'enfant, ou ne se sentent pas prêts, sont taquinés, questionnés au pire. Les femmes, à leur instar, elles, sont condamnées, invariablement. "Ce n'est pas normal", "ton horloge biologique blabla", "tu devrais le ressentir au fond de tes tripes". Il y aura toujours cette différence de traitement et pour la femme qui ne souhaite pas entrer dans un moule. Imposer d'être mère, imposer une stérilisation, imposer à des médecins une vision criminelle de l'IVG afin de le raréfier, et de le faire disparaître, à terme. Je n'ai aucun respect pour ce pape puisqu'il n'en mérite aucun. NB : Pour le reste, ne vous justifiez pas, vous avez les idées, que vous avez. Et à 3, on saute ? Il n'y a pourtant aucune matière à confusion : quand une phrase est débutée avec le pronom personnel "je", c'est qu'il n'engage que la personne, qui l'écrit. La maladie du sida aurait déjà été détectée au XIX ème siècle. Enfin, il y a des suspicions. Dans les années 2000, deux chercheurs français ont eu droit de jouir de l'appellation "co-découvreurs" du virus du sida, suite à leurs travaux datés des années 80 -et les américains ont eu à le reconnaître- écartant par la même le professeur Chermann, qui a beaucoup fait. Le milieu de la recherche est bien mafieux. Comment voulez-vous que le virus se répande dans le milieu homosexuel, si aucun n'a eu de contact avec celui-ci ?
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Macron à un jeune chômeur : «Je traverse la rue et je vous trouve un emploi»
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de micro-onde dans Politique
Vous prenez trop de tisane. Horaires non compatibles avec une vie de famille, travail physique, dans la chaleur et la rapidité pour ceux qui sont aux fourneaux et à la plonge. Pieds et jambes en compote pour ceux qui sont au service, et qui ont à supporter les humeurs ou la malséance de la clientèle/ du patron parfois et des cuisines...leurs demandes, sans compter les blagues bien grasses et graveleuses. L’ambiance pas toujours au beau fixe. Beaucoup de stress. J’ai été vendeuse en prêt à porter pour homme également, ai fait du secrétariat, c’était plus reposant et vraiment stressant. -
L’absence de courage, surtout. Le pseudo, c’était juste pour le plaisir.
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Susceptible au virtuel, pas vraiment, pourtant il y aurait de quoi en dire. Friendly but tough, davantage.
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Macron à un jeune chômeur : «Je traverse la rue et je vous trouve un emploi»
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de micro-onde dans Politique
Ah c’est ben vrai que Mélenchon a le bras long... Faut-y pas être une purée de groupie ? Nul besoin de prouver que Macron est peu vertueux, ou de tenter de le piéger, c’est un naturel chez lui et c’est fait connu. C’est humain tout simplement. Se dire que le fait d’en parler devant les micros, pourrait peut-être ouvrir de nouvelles opportunités et le réseau, la pub, nous voyons justement que cela aide. Les restaurateurs se plaignent depuis des lustres, il a été question de leur faire quelques cadeaux afin qu’ils embauchent plus notamment, sauf qu’ils n’ont pas plus embauché même s’ils en auraient eu l’opportunité. Leur lobby est très actif. C’est un milieu difficile, et il y règne une certaine violence voire une grande rustauderie (pour les femmes). Pour travailler en restauration, il ne faut avoir peur de rien. J’ai pratiqué afin de participer au coût de mes études (parce que cela m’a paru normal de le faire), il paraîtrait que depuis, cela n’a pas réellement changé. Ce jeune homme a t-il été irrespectueux, impoli envers le président Macron ? À quel moment ? -
Mais je suis obligée de les déshumaniser, comment voudriez-vous que je m’en cuisine deux ou trois au petit déj’ si non, la conscience tranquille ? Blague à part et si je suis un peu sorcière, le pire c’est que les enfants m’adorent, sans rien faire pour, vous rendez-vous compte. Il y a toujours des gens alentour qui adorent cela, gagatisent complètement après, mais non, c’est comme s’ils étaient transparents. Ils doivent sentir que je les déteste, c’est comme les chiens ça... Ce n’est toutefois pas très gentil ce que vous écrivez-là, à mon endroit. À votre différence, je conçois que vous puissiez être toute autre, avoir des envies différentes des miennes, et vous laisse droit et liberté de fonder une grande famille, ou d’en avoir fondé une, sans jugement aucun. J’écris même en substance qu’il faut des femmes comme vous. Je crois bien que cela se nomme, la tolérance. Cela marche aussi avec l’IVG, si vous essayez très fort, vous devriez pouvoir y parvenir. Et puis surtout une fois encore : « mais de quoi je me mêle ? ». Le vieux coucou va bientôt claquer en plus. Il serait temps qu’ils mettent quelque chose de plus actuel sur le trône, et pourquoi pas une femme ? Ce serait un beau message, vers la modernité. Il ne s’agit pas de critiquer la religion catholique ou en particulier, simplement de constater et d’être dans le sujet. Je n’accorde pas plus d’importance ou de « passe-droit » à la religion catholique ou au christianisme sous seul prétexte que la France s’est bâtie sur celle-ci. Je ne suis tout simplement pas islamophobe, vous pouvez aussi me le reprocher. C’est également mon choix. Note : une grossesse se passer sans problème ? Sans nausées, vomissements, œdème, envie d’aller uriner toutes les trente secondes, ballonnements, remontées acides (liste non exhaustive) ? Vous êtes sûre de votre coup-là ? Non pas que je veuille défoncer la grossesse -juste la désacraliser- il serait peut-être temps d’arrêter de mentir aux femmes, qu’elles sachent tout de même là où elles mettent les pieds. Il faut vraiment arrêter les contes là. Et oui, j’envisage parfaitement que des femmes puissent être heureuses de fonder une famille ou de l’agrandir, simplement parce que je leur laisse le droit de penser autrement ou conçois que nous puissions être différentes sur ce point-là, au moins. Laisser le choix, nous en revenons toujours là, quand d’autres imposent, jugent, culpabilisent, criminalisent. Il existe fort heureusement des croyants modernes et modérés, qui s’efforceront aussi et par la même de ne pas juger et imposer a contrario des autres. C’est ceux que je préfère personnellement ou qui passeront toujours mieux en société de toute façon. Il règne cependant une certaine hypocrisie chez les rigoristes, ils imposeraient aux femmes d’aller à terme de leur grossesse, feraient interdire l’IVG s’ils le pouvaient, applaudissent quand des praticiens parlent en terme « d’homicide » tout en allant se faire sauter la couenne 3 fois par semaine ou se faire ramoner par Raymond autant de fois que c’est humainement possible dans une journée. Il faut être cohérent 5 minutes : si c’est no IVG pour les autres, c’est aussi no sex tant il ne s’agit pas de se reproduire. Faire la leçon, et prendre seulement ce qui est arrangeant ? C’est bien trop facile. Tu es honnête et lucide. Je conçois tout à fait que c’est toujours différent tant il s’agit de ses propres enfants. Si je reviens ici un jour, mère d’une famille nombreuse, c’est par contre quand même que j’aurais été maraboutée ou que je me serais laissée embobiner par un homme, mais alors quelque chose de mignon. Je suis d’une patience d’ange ou d’une politesse à toute épreuve quand j’écoute les poncifs des bonnes mères de famille sur l’éducation, ou quand je les entends d’une oreille lointaine parler avec emphase de leur Babycook, ou de la dernière poussette qu’elle se plie trop bien et trop vite. Je ne comprends pas bien les femmes qui campent devant les écoles jusqu’à pas d’heures. Quand bien même si cela leur plaît, d’être ce qu’elles sont et tant qu’elles ne tentent pas de me convertir à la purée de butternut/lait de soja, tout roule. J’avoue m’ennuyer très vite avec ce genre de profils ceci dit. Ce n’est pas intéressant, pour moi mais après à chacune son kif’. J’ai conscience évidemment qu’il n’y a pas que des maniaques de la grossesse et de l’enfance, attention (et heureusement). « Chaque choix » : tu envisages et laisses le choix, toi, comme moi, nous ne pouvons être dès lors, en désaccord. Mais heureusement que vous êtes ici en redresseuse de tort, porteuse de vérité et arbitre des élégances... gloire à chapon32. (Oui c’est pour le « courage » encore, l’oubli de majuscule et l’absence d’accent).
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Macron à un jeune chômeur : «Je traverse la rue et je vous trouve un emploi»
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de micro-onde dans Politique
C'est son droit. Il a sans doute été engagé par les illuminatis ou bien peut-être même les martiens. -
La religion n'est pas favorable à la contraception, et pour cause, cela n'existait également pas lors de la rédaction des livres sacrés. Dans certaines religions catholiques et l'Islam notamment, des croyants accordent une valeur à la parole des hommes de foi. Ils auraient pu faire évoluer les choses, et surtout au moment où le sida faisait figure de pandémie, ils ne le feront pas, pour la raison évoquée plus haut : il faut procréer, accroître la population de croyants. Chez les plus rigoristes, faire du sexe, pour du sexe, c'est pécher. L'onanisme, aussi. La luxure est d'ailleurs l'un des 7 péchés capitaux. Procréation ou abstinence. D'autres parleront de la méthode Ogino, plus naturelle, ou du retrait. Il n'y a rien d'efficace là-dedans. Ça l'est encore moins que de prendre la pilule, seule. Chacune fait selon, pour soi, et a les arguments qu'elle a, tant que cela lui convient et ne concerne qu'elle. Ça ne me dérange pas. Quand il est question d'imposer aux autres femmes, c'est une autre histoire. C'est ce que fait ce vieux machin qui fait figure d'autorité pour des croyants. Je ne trouve absolument rien de beau dans la maternité, vraiment. Aucune femme enceinte, parce qu'elle est enceinte ne me paraît être "magnifique", mieux ou encore plus belle, et objectivement, c'est même souvent le contraire. Je comprends que des hommes puissent être émerveillés tant que c'est leur(s) gosse(s) qui se trouve(nt) à l'intérieur du gros ballon, ou des proches parce qu'il y a un lien. La grossesse, c'est moche, et cela rend parfois malade à crever. Ce n'est pas séduisant, pour moi. L'allaitement alors là, c'est l'apothéose. Je déteste devoir assister à cela entre le fromage et le dessert, et détourne automatiquement le regard. Ça me coupe l'appétit. Cela renvoie à un état animal et je n'aime pas cela (même chez les chatons). D'ailleurs, je ne conçois pas la poitrine, et ne pourrais encore moins concevoir la mienne, comme un distributeur à boustifaille. S'il a des trucs à faire avec, cela restera sexuel, pas de gosses là-dessus. Une femme ne souhaitant se dédier qu'à ses enfants, et uniquement qu'à cela, pour moi, gâche sa vie ou toute chance d'avoir une carrière professionnelle épanouissante, de voyager ou de se faire plaisir. C'est dommage. Les enfants, c'est du travail et du souci, à chaque instant et ad vitam aeternam. les enfants grandissent et sont parfois ingrats. Peu sont conscients de cela. Les enfants deviennent plus intéressants quand ils se mettent à parler mais surtout quand ils ne viennent pas me brailler dans les oreilles. Je déteste encore plus les enfants capricieux et mal-élevés que les choux de Bruxelles. J'ai une tolérance pour ceux de ma famille proche. Je ne souhaite pas vraiment être odieuse, mais les enfants sont d'ailleurs la plupart du temps, laids et sales. Tout le monde ne partage pas mon point de vue et je le respecte. Si toutes les femmes pensaient comme moi, nous irions vers l'extinction de l'humanité (et rapidement encore), la bonne nouvelle c'est que je n'impose pas aux autres de penser, comme moi. Ce sont des bêtises professées par les amoureux de la maternité cela. En cas d'hyperémèse gravidique ou encore de (pré) éclampsie, et certainement d'autres soucis du fait de la grossesse, absolument toutes les grossesses se ressemblent. C'est aussi dangereux pour la mère que l'enfant. Les conséquences peuvent être dramatiques, d'ailleurs (pour l'éclampsie - si le terme gravidique est employé pour l'hyperémèse il servirait à indiquer une récurrence, ou une quantité importante). Si les femmes, quand elles portent et mettent au monde des enfants, risquent leur vie ? Évidemment. Il serait donc bien avisé, qu'elles soient motivées ou aient véritablement le choix. Oh et je ne vous parle pas d'un petit vomito le matin, davantage d'une trentaine par jour, avec obligation de rester vissée aux toilettes de fait. J'ai récupéré une amie comme cela, endormie sur la lunette (quelques secondes de répit) et quand on est un peu humain, on comprend tout à fait que des femmes dans cette situation puissent trouver l'IVG, salvatrice.