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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Le mythe du Phénix est une histoire fascinante qui met en lumière le pouvoir merveilleux de la résilience
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de soisig dans Philosophie
Et lorsque nous n’avons pas cette capacité, nous sommes des incapables ? Ce terme ne fait pas sens pour tout le monde. Cela peut générer des situations intenables pour tout le monde aussi. -
Le mythe du Phénix est une histoire fascinante qui met en lumière le pouvoir merveilleux de la résilience
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de soisig dans Philosophie
Par plusieurs victimes de violences conjugales. -
Le mythe du Phénix est une histoire fascinante qui met en lumière le pouvoir merveilleux de la résilience
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de soisig dans Philosophie
Pourtant c’est ce qui a été fait. Plusieurs fois. Avec ce terme qui revenait, à chaque fois. -
Cette courageuse femme brave l'interdit dans une mosquée
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de soisig dans International
C'est un très beau chant. Pourvu qu'elle ne soit pas retrouvée par la police des moeurs. -
Et puis, il est mignon aussi !
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Le mythe du Phénix est une histoire fascinante qui met en lumière le pouvoir merveilleux de la résilience
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de soisig dans Philosophie
Résilience. Mais qu'est-ce que je déteste ce terme ! J'en ai vraiment trop soupé. Résilience, cette prétendue force qui pousse la victime à nouveau dans les bras de son agresseur, parce qu'il faut avancer, voire l'avenir, lui pardonner pour ce faire. Résilience, cette prétendue force qui oblige à accepter l'inacceptable... Résilience, utilisé en place et lieu de renoncement. On fera sans injonction à aller bien, à aller mieux. On fera comme on peut, simplement. Nos blessures ne nous rendent pas plus fort(e)s, sans doute plus sensibles. Cette sensibilité nous appartient. -
La fidélité est elle encore possible, est-elle l'avenir du couple
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Usi47 dans Amour et Séduction
Un enfant a besoin de soins, d'attention, d'amour. Mais, un enfant cela grandit. Lorsqu'il quitte le foyer, lorsqu'il fonde son propre foyer, il ne reste plus que les adultes. Il semble que la sexualité évolue au cours d'une vie pour de multiples raisons, en fonction de notre rapport à notre propre corps, notamment. Selon diverses études, ce rapport au corps est davantage prégnant chez les femmes. La quête de perfection esthétique peut avoir des répercussions négatives sur notre vie sexuelle. Nous pouvons l'observer chez les femmes qui nous entourent. Le cinéma évince méthodiquement les femmes passées la cinquantaine, il les gomme, alors qu'il pourrait être le vecteur d'un message si positif. Il paraît que 30, 40 ans c'est le bel âge, qu'il faut profiter de la beauté avant qu'elle ne fâne. De fait, il n'y a plus de modèles féminins dans "la force de l'âge", pour personne. C'est stressant. Je n'entends jamais cela à propos des hommes, qui peuvent effectivement être pressés de commencer une nouvelle dizaine. Les hommes sont censés s'embellir avec l'âge comme le vin se bonnifie avec le temps... Ce rapport complexé au corps des femmes est sans doute généré en partie (grandement ?) par le regard inquisiteur de la société. Je pense que nous pouvons inverser cela. En principe, il ne devrait pas y avoir plus bienveillant que son partenaire, son conjoint, puisque l'amour permet d'évoluer ensemble, de surmonter bien des obstacles, des crises. Accepter ces petits défauts qui dans notre oeil nous paraissent si immenses, qui font de nous de simples êtres humains, finalement. Les cicatrices, les marques du temps sont belles en cela qu'elles nous content une histoire. Enfant, j'ai parfois interrogé ma mère à propos de vergetures laissées sur sa cuisse ou au sujet d'une cicatrice sur la jambe de mon père alors qu'il avait été faire le mariole avec des copains en bord de Loire... Les poignées d'amour peuvent témoigner d'un amour pour la gastronomie, et d'ailleurs, dans poignées d'amour, il y a amour. Tout est dit. Nous pourrions décider que la beauté évoluante de notre conjoint(e) est enthousiasmante, pleine de surprises, un échappatoire à l'ennui. Il/elle n'est pas une statue de marbre résidant dans un musée, il est important de lui faire savoir. Nous pourrions l'encourager, le/la rassurer, verbaliser, lui (re)donner confiance. Par chance, la beauté est suffisamment protéiforme afin que nous puissions la faire advenir, encore et encore. Rien n'est impossible, pour personne. La Laponie, je l'ai connue finlandaise et enneigée, il y a de cela plusieurs années. Ses aurores boréales, ses températures glaciales, ses balades en raquettes, ses saucisses grillées agrémentées de jus de baies dans les kotas... C'est un joli périple, quand même 25 km/jour sur des chemins sans doute sinueux, avec le vent, la pluie, les moustiques. Moi, cela va aller. Je n'ai pas le choix de toute façon. On compte sur moi, surtout IRL. -
Avec du melon et de la pastèque, c’est une très bonne idée ! Cela doit être bien rafraîchissant.
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Vous pouvez peut-être remplacer le sucre par de la stevia ou autre après avis de votre médecin. Et c’est reparti pour une tournée de tartes ! Il y en a toujours un peu au sol, toute rabougries, qui permettent d’enrichir le compost en effet. Et vous les aviez cuisinées ? Je vais voir ce que cela donne en salade, en guise de substituts de tomates cerise, avec peut-être une vinaigrette vinaigre balsamique, sirop d’érable et huile d’olive.
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Merci pour l’astuce de la cheffe !
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Prunes rôties au romarin, voilà qui est intéressant ! Au beurre, à l’huile d’olive ?
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Alors pas partout, cependant avec les prunes, les pommes, les poires, ça matche plutôt pas mal. Les cinnamons aussi c’est bon, houlala ! Du coup je crée un 3ème clan puisqu’il faut « clanifier » apparemment. Mais il n’y a pas que les tartes dans la vie, m’enfin ! (^.^). Je vois parfois des brouettes chargées de fruits devant les maisonnées, avec un écriteau « Servez-vous ! ». C’est aussi une bonne idée au sens où toutes les personnes dans le besoin ne poussent pas toujours la porte des associations.
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De la gnôle ? Ok c'est bon, je plussoie. Mais une fois que l'on en a mangé pleins -trop- qu'est-ce que l'on fait de toutes ces prunes ?
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Aimez-vous, cherchez-vous à être "belle" ?
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Easle dans Amour et Séduction
Il est évident qu'un palmier n'est pas dans son environnement naturel à Lille, à l'instar de tous ces pins qui n'ont rien à faire dans les Landes et avec les conséquences que nous connaissons désormais (incendies de l'été 2022 notamment). Il y a quelque chose dans ton discours à propos du jardinage qui ramène à cet éternel débat entre ce qui est arrangé, créé par les soins des humains, artificiel, et ce qui est créé par la Nature, qui a du sens, qui trouve sa place, une véritable esthétique, une forme de perfection in fine : beauté naturelle vs beauté artificielle. J'ai préparé des gambas panées au panko pour déjeuner, accompagnées d'une sauce katsu et d'une salade. Manipuler tous ces ingrédients, surtout au moment du panage pour les gambas, m'a semblé bien moins agréable et moins propre que de jardiner, avec mes gants, traversés de temps à autre par les ronces. Du coup, tu fais comment pour cuisiner, toi, sans avoir cette sensation de mains poisseuses ? A mon corps défendant, j'ai aussi mes paradoxes. Le club des négligés ? Lorsqu'un homme se transforme en poète le matin pour vanter mon fabuleux épi que la nuit aura patiemment dessiné, mon regard flou énigmatique, les tracés de l'oreiller sur mon visage et ma nuisette de travers ; j'ai juste envie de l'assommer. J'aime prendre soin de moi, oui, j'avoue, pour le rendu final déjà. Le geste détend aussi. Je sens également le poids du regard familial et celui des diktats de la beauté féminine, à l'évidence, dans la balance. Si je suis souvent bien polie à cause, sans doute, de ce "complexe de l'immigré", il m'arrive également parfois de dire "merde", un bon gros "merde" bien retentissant. Il doit s'agir d'une résurgence d'origines françaises. Pour la décoration, il y a peut-être quelque chose de l'ordre de la compétition chez certains hommes, une compétition encensée par le patriarcat. Cela fonctionne aussi pour l'horlogerie et l'automobile, des objets, des attributs que l'on genre traditionnellement masculins. Certains aiment la complexité du mécanisme ou d'un moteur et puis d'autres aiment montrer. A force de discussions, on parvient à discerner qui est qui, tout de même, pour peu que l'on s'y intéresse aussi un peu. L'acquéreur d'une Patek peut être "détrôné" par celui d'une Ferdinand Berthoud ou d'une Richard Mille. Le patriarcat ne vous fait pas de bien non plus lorsque l'on y réfléchit : il peut vous monter les uns contre les autres, vous maintenir dans un état compétitif, vous obliger à porter tout le poids financier du foyer, vous interdire de montrer vos sentiments, de communiquer, de pleurer... Le vide doit aussi être reposant pour l'esprit... parfois on entre dans une pièce et il y a trop d'infos. Parfois on regarde une personne dans sa globalité, et il y a trop d'infos aussi, c'est barriolé. Le luxe n'est pas toujours fautif. On peut tout à fait avoir "mauvais goût" avec peu de moyen. D'ailleurs, c'est quoi exactement avoir mauvais goût ? Pour qui ? Si je porte du rose et du rouge à la fois, vais-je être décriée par la police de la mode ? C'est peut-être cela le souci. Il y a des choses qui sont inacceptables quelle que soit la personne qui te le demande. Certaines personnes ne savent pas dire "non", mais cela s'apprend, rien n'est perdu. Ces termes accolés m'inquiètent : "amour fusionnel", ils tintent avec dépendance affective, à mon sens, ou avec marinières assorties. Lorsque tu es dépendant de qui que ce soit, par définition tu n'es pas libre. Or le couple devrait permettre de conserver une part de liberté. L'amour, à mon sens, n'est pas une renonciation totale à ses libertés. Enfin, il y a un équilibre à trouver. Si tu t'investis trop et elle pas assez, tu vas te sentir floué au bout d'un moment, penser qu'elle se moque vraiment de toi et le ressentiment commence à grimper. Dans ma liste de lectures pour l'été, parmi Thomas More et Edmund Burke, il y a aussi un petit livre : La rencontre, une philosophie de Charles Pépin. Il peut s'agir de rencontre amoureuse, amicale, professionnelle, fortuites pour lui. Ma soeur a décidé de faire une pause pour l'instant. Elle rencontre toujours le même profil d'homme. Ce qui l'inquiète (nous inquiète aussi). Du coup, tant pis pour l'amour. Stand by. A ton instar, elle a besoin de se refaire la cerise. Mes amies, c'est encore autre chose, elles tombent amoureuses encore et encore, pleurent beaucoup et puis me téléphonent... C'est déroutant à force, je me demande combien de temps allons-nous nous contenter encore de rapports humains si peu nourrissants. Il y a des cartes à redistribuer, cependant ce n'est certainement pas pour créer une image inversée du patriarcat, un autre système de domination au profit des femmes cette fois comme le pleurent les masculinistes. Un système plus égalitaire, c'est possible, non ? Ta cousine semble avoir trouvé une version intéressante peut-être de ce système. Alexandre le Bienheureux n'est-ce pas ce film où le protagoniste est allongé à longueur de journée dans son lit et qui a installé un système ingénieux pour se faire livrer des saucissons sans bouger un orteil ? Pour le coup, c'est une référence de vieux. Il est vrai que certaines femmes utilisent le "on" pour le "tu" mais des hommes font la même chose : "J'ai invité Sébastien et Céline à dîner demain soir. On fait un couscous ?"sous-entendu, tu vas te les éplucher les carottes, passer trois heures à égréner la semoule, et concocter cette délicieuse confiture d'oignons en guise de condiment, dont tu as le secret. Bobonne en cuisine. -
Mirabelles, reine-claude, quetsche... Jaunes, noires, rouges. C'est de saison ! Mesdames, messieurs, sortis des tartes -amandines- aux prunes, des confitures, crumbles et autres clafoutis et fars, vous en faites quoi de vos prunes ? Auriez-vous des recettes sucrées, salées -sucrées-salées- à partager afin de liquider ces quelques tonnes de fruits produites par nos pruniers des campagnes ? J'espère ne pas créer ce sujet pour "des prunes" (si ?).
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Les fleurs du Mal a fait l’objet d’un procès pour « atteinte à la moralité ». Baudelaire a dû retirer quelques uns de ses poèmes jugés des plus débauchés. Le vin de chiffonniers fait état de la métamorphose d’un homme, dont le métier est de ramasser usuellement les déchets. Au fil de sa beuverie, celui-ci se transforme en héros, le poème en une fresque épique. « Les chiffonniers » apparaissent, eux, comme des soldats, des vétérans. L’humanité a quelque chose de frivole, occupée par les plaisirs terrestres et les honneurs. Le vin est un désinhibiteur, pour Baudelaire il favorise l’imagination. À la fin, l’Homme, création de Dieu, supplante son propre créateur, puisqu’il ajoute le vin, s’associant à l’astre solaire. #ambiance Merci pour le partage de la chanson d’Emile Debraux, c’est un contemporain de Berthe Sylva, non ?
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La police n’est pas une entité désincarnée. Constituée d’hommes et de femmes, parmi lesquels il peut y avoir des personnes racistes. Toutefois, toutes ces personnes ont à respecter un code de déontologie. Si elles y contreviennent, il est tout à fait possible d’en aviser le procureur de la République.
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Aimez-vous, cherchez-vous à être "belle" ?
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Easle dans Amour et Séduction
Il y a un rapport sain, simple à la terre, presque revigorant lorsque tu mets les mains dedans... Lorsque tu bines, tu pioches, tu peux évacuer des tensions. Pourquoi les hommes ne pourraient-ils pas en profiter aussi ? Pour leur bien-être ou simplement parce qu'ils aiment la nature ? Le beau ? Il y a des hommes -des femmes aussi- qui sont tout à fait en accord avec les normes sociétales, qui les vivent joyeusement au quotidien. Le partage des tâches genré leur sied. Heureux de tondre, de lancer le barbecue, de bricoler pour les hommes... Du coup, tu passes pour un marginal parce que tu restes avec les femmes tandis que tous les hommes s'agglutinent autour du barbecue, parfois même avec une bière qu'ils boivent directement au goulot. Lorsque je suis invitée dans ce genre de soirée, si je ne prends pas les choses en main, je ne vais avoir droit qu'à du pâté, du saucisson et de la côte de boeuf... Cette passion pour la charcuterie me sidère. Lorsque je suis chanceuse, il y a un bout de melon et quelques tomates cerises dans un coin. Je suis constamment assignée au dessert, parce que je ne viens jamais les mains vides, parce que je fais aussi de la pâtisserie, que mes connaissances et ami(e)s savent pertinemment que si je n'en ai pas le temps, je vais aller dégoter un dessert chez un(e) MOF ou le/la champion(ne) local(e) du Paris-Brest. J'apporte aussi une salade, des légumes... Je fais tout cela : le jardinage (dans son intégralité, même l'élagage), le bricolage (je suis débrouillarde, je ne compte pas sur un homme), le barbecue (pour la cuisson des légumes, j'aime mieux la plancha et j'ajoute des herbes aromatiques fraîches en toute fin de cuisson) et le dessert. Je suis aussi féminine, en parfaite adéquation avec nos codes sociétaux bien genrés. Si ces hommes férus de barbecue sont pour moi presque des curiosités zoologiques, je reste un drôle d'animal pour eux. Je ne suis bien trop longtemps ni avec les hommes autour du barbecue, ni avec les femmes et les enfants. Entre deux mondes. Le drame de ma vie. (Tu fais les Franco ?) J'entends tes arguments, ton vécu. Je constate dans mon entourage que les hommes qui sont férus de décoration sont aisés, et s'orientent soit vers les antiquités de valeur, soit vers l'archi-design et la domotique. Je me pose alors la question : sont-ils de vrais passionnés de décoration, de vrais amoureux des objets ou bien ces objets sont-ils intéressants pour eux parce qu'ils ont de la valeur, parce qu'ils permettent d'indiquer au premier coup d'oeil un certain prestige social ? Un salon arlequin dans un style gothique flamboyant ? Je ne visualise pas trop la chose là. La conjugalité ne se vit pas sereinement sans compromis. Dès lors que l'un fait trop de compromis et l'autre pas assez, il y a un déséquilibre. Il peut être difficile de partager ne serait-ce qu'un dressing. La conjugalité est faite de partage, de place laissée à l'autre... dans une société où se sont installés tranquillement l'individualisme, l'égoïsme. Clarissa Pinkola Estes dit que "les larmes sont une rivière qui conduit quelque part". Tu sais que tu as une peur du rejet et que tu souffres d'un syndrome de l'imposteur, tu peux faire un travail sur toi pour les vaincre, ou du moins parvenir à mieux vivre avec. A toi de décider si tu veux te fermer un temps, longtemps, à jamais à l'amour... Tu décides. Peut-être que tu rencontreras par la suite quelqu'un de bienveillant. Mais il me semble, qu'il convient avant tout d'être bienveillant envers soi-même, c'est encore plus "nourrissant" pour ton égo. Lorsque tu l'es (bienveillant envers toi-même), tu rayonnes. On peut trouver de l'affection, sinon de l'amour, au travers un lien filial, familial, amical... Tu sembles avoir besoin de te refaire la cerise, il faut laisser le temps faire son oeuvre (double combo d'expressions à la con). Personne n'a tenté "de me pécho l'arrière-train", mais peut-être que dans quelques années j'en aurais envie, que je virerais ma cuti et reverais de fait mes interdictions. A la réflexion, tout ce qui a été de l'ordre du maîtrisable pour eux (pas de tromperie, pas de sodomie) a été maîtrisé. Mais, j'ai dû au moins prendre quelques fois le thé avec des femmes avec lesquelles je n'ai pas beaucoup en commun (des belles-mères). Tu ne peux pas toujours maîtriser ta propre mère (^.^). Il y a des terrains sur lesquels je peux faire quelques concessions et d'autres, sur lesquels, c'est parfaitement hors de question (pour l'instant ou jamais). Pas besoin de faire 1,95m pour porter un costume à carreaux. Si cela te fait plaisir d'en porter un, porte-en un. Qu'est-ce que tu en as à faire du regard des autres ? Ce regard est pesant, ce regard est délètère. On en revient toujours à ce regard finalement. On voit bien que tu ne connais pas ma soeur, ou quelques autres femmes de mon entourage. Aucune n'est perfectionniste, aucune tâche n'est exécutée, n'est maîtrisée parfaitement. Tout est fait à la va vite. Elles sont sous l'eau, dépassées. Fatiguées. L'arrivée d'un nouveau conjoint est d'autant plus fatigante, que très souvent ils n'en fichent pas une. Ils arrivent avec leurs problèmes, avec leurs lardons, dont elles s'occupent... des lardons supplémentaires à s'occuper. Je note que ces hommes se déchargent sur elles, bien qu'ils n'aient les enfants à garder qu'un we sur deux, comme ils se sont déchargés avec leur ex-conjointe, qui se plaignaient aussi de charge mentale. La vérité est souvent dévoilée après la rupture lorsque la nouvelle ex et l'ancienne ex sympathisent. La charge mentale, c'est généralement affaire de femmes. Cela ne leur tombe pas sur le coin du nez parce qu'elles sont trop exigeantes, cela leur tombe dessus parce que des hommes sont trop fainéants. Ils ne veulent pas partager plus équitablement les tâches domestiques. Personne n'aime faire ces tâches. Tout le monde tente plus ou moins de les éviter, avec plus ou moins de succès. Les femmes y parviennent moins. Je n'ai pas la réponse à ta dernière question. En ce moment, on me pose des questions sensibles, parfois graves, auxquelles je n'ai ni réponse, ni solution. Peut-être doivent-elles rester en suspens. -
La fidélité est elle encore possible, est-elle l'avenir du couple
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Usi47 dans Amour et Séduction
Le tabou, un concept culturel néo-zélandais ? Elle n'a pas envie, depuis 10 ans, pourquoi ? Ces 10 ans correspondent à un évenement en particulier ? Si vous ne dialoguez pas à ce propos, si vous faites comme s'il n'y avait aucun problème, il va être bien compliqué de restaurer un lien érotique. Il est possible de dialoguer tout à fait simplement, sincèrement. Si c'est plus facile à verbaliser à l'écrit pour vous, vous pouvez lui écrire une lettre.Une baisse de libido, ce n'est pas la même chose qu'une asexualité qui s'exprime, elle, par un désintérêt total de la sexualité, c'est le degré zéro de la libido. En ce sens, c'est encourageant, parce que vous pouvez y faire quelque chose. Un(e) psychologue, un(e) sexologue pourrait vous aider. Il est important de bien choisir son/sa professionnel(le). Il peut y avoir des raisons psychologiques derrière cela. On s'en sort ! C'est l'occasion de créer une nouvelle sexualité. Explorer une nouvelle sexualité, pour vous qui êtes justement le Mike Horn du forum, cela estdu domaine du possible, non ? Pour moi, c'était la reprise des études ou bien... Les mots me manquaient tant à l'oral qu'à l'écrit. Les mots me coûtaient. Je n'avais pas les mots et il fallait que j'explique le mal qui m'affectait, qui m'affecte parfois encore, pour être comprise, davantage pour que l'on me laisse tranquille. Je suis devenue d'autant plus une énigme pour mon entourage. Il s'agit d'une crise existentielle selon un ami, parce que lui-même a vécu "la même chose" lorsqu'il est sorti de l'adolescence. Son diagnostic, son explication met pourtant à l'index toute la dimension traumatique qui m'a affectée. Une rémanence d'un traumatisme de l'enfance... tout comme un séisme a ses répliques. J'ai conscience de ne pas toujours être parfaitement claire dans mes propos, ni d'en être tout à fait sortie. Tout au long de cette année, j'ai réappris à structurer ma pensée, avec méthode. Cette méthode que tout le monde craint en première année de licence de droit, m'a en quelque sorte, dénouée. Il n'y avait pas de plan B. -
Refus d'obtempérer : un jeune de 17 ans tué
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Zéno dans Actualités - Divers
Je me refuse à voir cette vidéo et même à l’écouter. C’est trop glaçant. D’autres ont entendu la même chose que toi. Cela sonne plus comme des menaces que des sommations. Vous vous entraînez pour le championnat de la phrase sans queue ni tête la plus longue de France ? En clair le message que vous faites passer est que ce n’est une grosse perte ? Il aurait pu s’amender ce jeune homme si ce motard de la gendarmerie lui en avait laissé l’occasion. Le motard en question est, paraît-il, « secoué ». Sans doute parce qu’il n’est pas si anodin de tuer, un adolescent de surcroît. Il n’y a que des internautes, pour prendre cette mort à la légère, voire à la rigolade. Est-ce le virtuel qui les mène à manquer autant d’humanité ? Nota : La GAV du motard est prolongée. -
Refus d'obtempérer : un jeune de 17 ans tué
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Zéno dans Actualités - Divers
Puantes est un doux euphémisme. Est-ce que les internautes ici constituent un échantillon représentatif de la population ? Les dernières nouvelles : « Selon un communiqué transmis à la presse, l'intention «de donner la mort ne fait aucun doute puisqu'il résulte de la bande-son de la vidéo que [le policier] annonce avant son tir “je vais te mettre une balle dans la tête”.» Les pénalistes affirment que le collègue du fonctionnaire aurait également «fait injonction à son collègue de faire feu en disant “shoot le”.» http://Nanterre : un mineur tué après un refus d'obtempérer, un policier en garde à vue pour homicide volontaire https://www.lefigaro.fr/faits-divers/nanterre-un-jeune-homme-tue-par-un-tir-de-policier-apres-un-refus-d-obtemperer-20230627