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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Évitez à l'avenir de me faire figure de proue de votre "défense assez générale contre la vision simpliste des femmes proprosée par Hell". Merci bien. Je ne préfère pas spécialement le vouvoiement, il est vrai que je l'emploie principalement, au professionnel. Ce sont des caractéristiques inhérentes au troll. J'aurais également pu indiquer que ce sont des adolescents attardés. Je ne crois pas du tout au numéro du pauvre bougre esseulé. Il y a trop d'exagération, de provocation bas de gamme, dans ces sujets que vous créez, quand ils ne sont carrément pas malveillants (je pense notamment à ce topic que vous avez créé à plusieurs reprises, invitant les intervenants à déblatérer sur les autres, en les gratifiant de bons et mauvais points). "L'amour aime la réussite et fuit le besoin." Pour reprendre ceci (post initial), il est plutôt rare de croiser des individus en extase devant les laissés pour compte. La réussite induit aussi une certaine pugnacité, l'ambition, et ce sont des caractéristiques, qui plaisent souvent.
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Parce que l'on ne parle jamais des hommes agressés par leur compagne, n'est-ce pas ? Bien, parlons des hommes victimes de leur conjointe, pour vous agréer. D'après les chiffres du Ministère de l'Intérieur, factuellement, en 2017, 21 hommes ont été tués par leur conjointe, représentant alors 13,9% d'homicides conjugaux. Les femmes, elles, représentaient par voie de conséquence 86,1% des victimes des homicides conjugaux. Parmi ces homicides commis par des femmes, 69% étaient elles-mêmes victimes de violences conjugales. Légitime défense souvent, vengeance parfois. Au final, 31% de ces 21 hommes ont réellement trouvé la mort, si je puis écrire, "gratuitement". Je vous laisse faire le calcul. C'est bien évidemment triste et abominable. Des morts de trop, que l'on aurait sans doute pu prévenir, tout comme les autres. Six et demie (je sens que vous allez tenir à la demie) et plus d'une centaine de femmes... Ce que je trouve intéressant dans le terme "féminicide" -introduit par une sociologue puis remis au goût du jour par une journaliste et essayiste, lors de l'affaire Daval- c'est qu'il interpelle d'abord rapidement : nous savons qu'un homicide a été commis sur une femme, en raison de sa condition féminine. Il renseigne immédiatement et souligne le caractère misogyne de notre société de surcroît. Même lorsque la loi garantit les mêmes droits aux femmes qu'aux hommes -droits accordés sur le tard- au sein d'une société prétendument égalitaire, les vieux restes de culture patriarcale sont toujours bien incrustés dans le fond de l'inconscient collectif, contaminant sa liberté, dont les esprits les plus oxydés considèrent qu'elle reste à l'appréciation des hommes. Ce qui est dommage, c'est de considérer que la violence faite aux femmes, est une violence parmi d'autres, tout à fait ordinaire, non spécialement ciblée, découlant simplement d'individus violents, parce que la nature humaine serait ainsi faite. Tant qu'on en sera et restera là, rien n'évoluera. Nous avons pourtant les moyens d'améliorer et faire grandir notre société. Victim blaming : "ah oui, parce qu'une femme est toujours responsable, de ce qui lui arrive, quand même...". C'est vrai que les femmes sont des demies-connes attirées irrésistiblement par des hommes violents. Un scoop pour vous : nombre de ces hommes se montrent sous leurs jours les plus charmants avant d'anéantir leur victime, par tous moyens possibles et imaginables. Infantilisation, isolement, pressions psychologiques, chantage, vous pouvez ajouter tout ceci aux violences physiques, que ces hommes, font endurer à des femmes. Au passage, je remarque qu'en ce qui concerne les hommes battus, on n'évoque jamais la responsabilité potentielle de la victime. Complètement dingue de nos jours de continuer à employer le terme "crime passionnel", en découle une "romantisation" surréaliste, de l'homicide, par exemple.
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C'est gentil mais ne le soyez pas : nous nous en sommes sorties. Ce n'est pas le cas de toutes les femmes victimes de violences conjugales, hélas, et de leurs enfants. Si ce récit peut apporter quelque chose à une femme ici, un peu d'espoir, il n'aura pas été vain. Avec tout le dégoût que m'inspire cet homme, je ne lui souhaite pas d'être "abattu", comme vous l'écrivez. Déjà parce qu'il y a ma petite soeur, qu'elle aime son père. Ensuite parce qu'il a été éduqué ainsi par son père, qui l'a été lui-même par son père. C'est une mentalité arriérée, misogyne, écoeurante. Je pense qu'il peut évoluer, je pense même qu'il a déjà évolué et que d'autres peuvent aussi le faire. À nous aussi, simples citoyennes, de reprendre un homme quand il s'égare, quand c'est possible, afin de pointer ce qui ne va pas, et de l'améliorer.
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C'est l'erreur, je n'ai pas besoin d'être défendue et je ne veux pas être défendue. J'avais noté pour la flagornerie. J'aime les chevaux, mais ne suis pas "très à cheval". La plupart des intervenants me tutoie et je renvoie très peu la pareille, et en fait c'est signe de... rien.
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Vraiment étonnant, dites donc. Vous mélangez trop d'éléments, de concepts, de postulats et de lieux communs. C'est la foire à la saucisse, au tout et n'importe quoi, un sujet façon grande braderie FFR. Lieu commun n°1 : Nous nous orientons naturellement vers les individus épanouis. Nous = tout le monde ou presque (retirons tous les individus qui ont ce besoin maladif de se montrer indispensables). Ce qui n'empêche pas de ressentir de la compassion pour les autres. Lieu commun n°2 : Le monde est imparfait. Il est plutôt bon signe de ne pas s'y sentir tout à fait adapté(e). Nous sommes en nombre dans cette idée. D'accord et après on fait quoi ? On se morfond jusqu'à ce que mort s'ensuive ? Ou bien on s'intéresse à ce qui reste de bonté et de beauté en ce bas monde ? Contemplation de la Nature, notamment. Des rapports humains, vrais, beaux j'en vois aussi tous les jours. Ce matin même en allant fleurir mon intérieur, un vieux monsieur était tout nerveux chez la fleuriste. Il composait un bouquet pour sa femme. On aurait dit un jeune amoureux. C'était adorable. Ce n'est pas le première fois que je l'y croise, et chaque fois, il me fait sourire. Lieu commun n°3 : Bien sûr que nous avons à apprendre tout au long de notre existence... ...ce qui ne veut pas dire pour autant que tout le monde est au même niveau de développement personnel. Certains refusent aussi d'avancer. Je ne vais pas m'amuser à tout relever. Pour le reste, pour mémoire, vous l'avez joué vieux prof, lunettes en demi-lunes et gilet en laine informe, prompt à rabrouer des élèves se cherchant querelle. Parce que vous êtes lucide, humble et sage. C'était pour la blague. Vous concernant, je mise plutôt sur une sorte d'hybride de troll, entre envie de savoir et de remuer la houmfa. Ça suinte la trouille et l'ennui, à la fois. Ce n'est pas toujours bienveillant, non. Rectification : de troll, tout court. Pas tant que cela... L'amour échappe à notre contrôle. Je pense que nous pouvons nous y fermer, laisser mourir ce qui doit mourir (et c'est douloureux), mais pas vraiment le choisir. Il y a une notion de destin, de "c'était écrit", de synchronie et de "c'est comme ça", qui raisonne, presque de karmique. Je crains que non. Diable, ce que vous êtes lourd. (^.^)
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Il sied à ravir, bien au contraire. Syndrome du sauveur, de l'assistante sociale, perversion narcissique & co, c'est plus parlant ? Évidemment que l'amour est indispensable sinon on finit tout tristoune et bourré de tics. Un japonais a fait une expérience quant à deux bol de riz... l'un est insulté, l'autre reçoit des mots d'amour (^.^) : "Innocents et puceaux de la pensée", c'est plus ou moins bien que les clodos du coeur ? Alors ça, ça ne va pas le faire, non plus. Même le prince charmant ne s'exprime pas à ma place alors qu'il connaît mieux ma pensée que vous tous ici réunis. Sans intention particulière de vous vexer, s'il fallait vraiment que je choisisse un champion sur FFR, je ne me dirigerais pas vers vous : gardez cela pour les pauvresses. Note : la prochaine fois que je lis mon pseudo à proximité immédiate de "dinde" et de "cruche", c'est un high kick et un retour d'hallebarde, derrière les oreilles. Bis repetita.
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Les hommes épanouis attirent tout autant les hommes épanouis, que non épanouis, les femmes épanouies que non épanouies, et peut-être même les chiens (épanouis ou non). Même chose pour les femmes. Ce que je vous écris, c'est que nous sortons là complètement du domaine amoureux et que c'est vraiment bateau aussi. À se rendre indispensable... Ne vous servez pas de moi pour régler vos affaires et puis je vous rappelle au passage, que quand j''avais @Persil-Fleursur le dos, vous vous l'êtes joué plutôt moralisateur.
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Jamais je n'aurais pensé que ce laïus allait susciter en vous un si profond désaccord @Hellspawn, @Persil-Fleur. Jésus, Marie, Josette. Il m'apparaît plutôt logique d'être attiré(e) -non seulement amoureusement- par quelqu'un qui est bien dans sa vie, accompli et serein. L'inverse me semble déjà plus suspect.
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Je sais bien que vous croyez fermement en vos propos. Seulement, tous les profils ne se ressemblent pas, jacky. Toutes les histoires sont différentes. La violence est multi-factorielle et résulte, en plus du reste, d'une culture dégradée, dégradante pour la Femme, d'une éducation arriérée. Parfois seulement ou complètement. Il est possible d'agir sans envoyer ad patres ces hommes (promis), simplement en opérant un travail de fond, au niveau sociétal, par voie d'éducation. Et pour les autres, s'il n'y a pas de traitement, nous pouvons espérer qu'il y en ait un, un jour, et les garder en attendant, sous contrôle (prison, bracelet électronique). Ma mère fut une femme battue. La violence a fait partie de notre quotidien pendant cinq longues années (ma petite soeur n'en a pas vécu une entière). Assez, pour que je grandisse trop rapidement -et dans l'inquiétude-, développe un sentiment de sur protection envers ma mère et condamne depuis, toutes violences à l'endroit des femmes, dont la propagande patriarcale de mes genoux, contribuant largement à la misogynie ambiante. Soyez assurée que les violences faites aux femmes m'inspirent le plus profond dégoût. L'avoir côtoyée de trop près m'a, d'autre part, amenée à développer une véritable rage de vivre. J'ai toujours eu le souci de ne pas reproduire les mêmes schémas que ma mère et m'y suis toujours fermement tenue. Pendant cinq longues années, mon beau-père nous a abreuvées de discours misogynes et racistes (cela va bien trop souvent de paire) quotidiens, et a rouée ma mère de coups, parfois au visage, sous les applaudissements de son paternel et de son grand papa. Une femme "ça se corrigeait et se dressait", tradition familiale oblige. Le père travaillait dans la police et avait assuré à l'époque (fin des années 80) qu'aucun de ses collègues n'iraient dans le sens de ma mère, que c'était peine perdue, qu'on lui prendrait ses filles, pour en donner la garde aux pères respectifs. Seule la peur de voir mon propre père lui tomber dessus, a empêché cet homme de faire également de moi une enfant battue. Beaucoup de mes jouets ont été détruits, pour compenser sans doute. Il me tenait ensuite au silence. Ma propre mère me demandait également de ne rien ébruiter, afin de nous protéger d'éventuelles représailles. Je lui ai souvent demandé pourquoi il battait ma mère, d'arrêter. Pour lui, il était tout à fait naturel de "redresser ce qui devait l'être, il en était de son devoir de chef de la famille" et j'ai eu souvent la désagréable sensation qu'il prenait ma mère pour une jument ou une chienne. La plupart de l'entourage savait. Vers la fin du règne du croque-mitaine, mon père a finalement eu des mots avec lui. L'autre tremblait, c'était stupéfiant. Me reviennent des scènes tantôt affreuses où il fallait se cacher et courir aussi vite que je le pouvais chez mes grands-parents (vivant à deux pâtés de maison) si ça tournait vraiment mal. Tantôt grotesques, où l'une de mes tantes tordait sur la tête de l'indigent, un parapluie, afin de nous laisser un peu d'avance pour filer. Nous nous sommes échappées plusieurs fois. Il nous a parfois mis à la porte de notre propre logement (le bail était au nom de ma mère). Je nous revoie, déambuler, aux aurores, toutes les trois, ma mère, le bras couvert de bleus, la petite emmaillotée dans celui qui était encore valide. J'en faisais de même avec mon "Panpan", espérant trouver de l'aide auprès de nos proches. Si mes grands-parents maternels n'ont jamais apprécié le père de ma petite soeur et ont souvent mis ma mère en garde ; à partir du moment où elle fut mariée, il lui fallait constamment respecter son serment et retourner chez nous. Nous pouvions rester à dîner, rester coucher une nuit mais surtout pas plus. Enfin moi seulement et "la petite", nous aurions pu plus. Mes grands-parents pouvaient être aimables, admirables sur d'autres plans, mais franchement pas sur celui-là. Ils soutenaient aussi l'idée qu'une femme qui avait déjà deux filles, de pères différents, mariée, à l'église qui plus est, n'aurait jamais plus aucune chance de trouver un homme dans sa vie. Selon eux, les hommes la rejetteraient, et nous avec. Marrant de voir la vie d'une femme, sa réalisation, son bien-être, simplement en fonction de l'homme, de son bon vouloir. Ils avaient tort. Tout homme, même violent, se quitte. Toute femme doit impérativement en être certaine. Ce n'est jamais chose facile, et il faut être prudente, mais c'est possible. Après une énième dispute, déclenchée parce que ma mère ne se comportait pas assez comme sa mère à son goût et après avoir fait céder... la porte du salon, cet affreux bonhomme a été embarqué dans le panier à salade. C'est ma mère qui a appelé pour ce faire. C'est marrant comme le fils d'un flic ne bénéficie pas d'immunité, malgré ce qui avait pu nous en être dit. Ce qui a changé et a été déclencheur ? Il avait menacé d'enlever ma petite soeur, une fois de trop. Oui, c'est aussi un discours que de bons petits français, appartenant même à la fachosphère, sont évidemment capables de tenir. C'est ce même discours que son frère a tenu à sa petite amie à peu près en même temps, avec ce sentiment de toute puissance, caractéristique des salopards (oups), qui était alors enceinte d'une petite fille. Elle a accouché en France, puis elles l'ont finalement toutes deux, quittée (la France et le monstre bis aussi). Ma petite soeur n'a aucun souvenir de ces années de violences. Je me suis souvent fâchée, adolescente, alors qu'elle revenait de week-end et reprochait méchamment à ma mère d'avoir quitté son père. Ma mère avait tous les torts, pour elle. Ma soeur a toujours affaire à un père aimant, dévoué -un ange- qui l'est également aujourd'hui pour ses petits-enfants. Il a eu le temps de travailler sa version. Ma mère a souhaité longtemps préserver ma petite soeur. Ce monstre a tenté plusieurs fois de séduire à nouveau ma mère, même alors qu'en couple. J'ai eu peur qu'elle lui cède, parfois. Ce qui est indéniable, c'est que ma soeur aime ses deux parents et ne se serait pas vu vivre sans son père. Il est aussi un idéal pour elle. Rien que de l'écrire, ça me ferait pourtant hurler. Même si ça m'a profondément débecté, longtemps, je pense qu'il est possible d'aimer un parent, d'en avoir besoin pour bien grandir et se construire, en ayant même le sentiment, en sachant bien, que c'est une authentique ordure. Bien sûr que nous pourrions faire plus avec plus de moyens. Être dans la proaction et la rééducation de la société, déjà. Il est urgent de mettre les femmes en sécurité, dés lors qu'elles portent plainte. Immédiatement, pas dans deux semaines. Augmenter les effectifs de police, ne serait pas un luxe également. Former mieux, ceux qui sont déjà en place. Ne pas hésiter à faire porter des bracelets électroniques. Créer plus de médiation, un service de prise en charge des visites, voire une espèce de zone tampon : il est tout à fait inadmissible que des femmes qui ont été battues, aient encore leurs bourreaux sous leurs yeux, même si ce n'est qu'un week-end sur deux, jusqu'à la majorité des enfants (et même après).
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La musique classique,c'est pas si mal.....
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Decade 63 dans Musiques
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Je ne l'aurais pas formulé comme ça, mais l'idée est là.
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Oui ça semble tomber sous le sens... Une personne accomplie a ce quelque chose de solaire et ce n'est pas seulement l'amoureux/se qu'elle attirera. Elle s'attirera toutes sortes de sympathies.
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La loi du talion, encore... vous avez l'idée fixe Jacky. Quid des enfants déjà orphelins de mère ? Être à l'aube de 2020 et voir encore des femmes mourir sous les coups d'un conjoint violent, est juste inadmissible. Par contre, nous vivons déjà dans une société trop violente pour y ajouter encore davantage de morts et de désolation. Prévenir et agir avec célérité et de façon efficace semblent déjà plus pertinents. Ces femmes ont raison de nous alerter sur l'urgence de la situation et réclamer du budget (il y a tant à faire que ça paraît difficile à chiffrer). L'idée est qu'il y ait une véritable "proaction". J'écoutais à la radio un juge qui s'exprimait quant au sujet : la société autorise toujours les violences faites aux femmes, puisqu'elle ne les condamne pas assez fermement (warning : il n'a pas préconisé de zigouiller ces hommes non plus). Il a aussi souligné une évidence : l'indifférence générale, l'inaction et finalement une certaine complicité. La prise en charge de ces femmes est désastreuse, le regard qu'on leur porte, manque d'humanité, le délai de traitement des plaintes, lui, est beaucoup trop long. Ces femmes sont en danger à chaque instant. En effet, si les femmes battues ne sont en général pas inconnues de la police (l'une des dernières victimes a été abattue par son mari alors qu'elle s'échappait de nouveau du foyer pour porter encore une fois plainte) ; l'entourage proche, la famille, les voisins, les collègues sont aussi au fait de l'enfer que vivent ces femmes. Ce sont des femmes que la société a abandonnées, que nous avons abandonnées. Certains minimisent ("Tu ne vas tout de même pas porter plainte pour une gifle ?! Mais c'est rien une gifle !"), les enjoignant aussi à retourner auprès du conjoint, parfois en arguant que c'est pour le bien des enfants... La non assistance à personne en danger pourrait être plus valorisée déjà. Au sujet des enfants, ce juge disait que même en cas de matricide, le père conserve certains de ses droits paternels, comme celui de voir ses enfants : d'un point de vue éthique et du point de vue du droit de l'enfant (quasi-inexistant en l'heure actuelle), peut-on priver les enfants de la compagnie du père ?
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Pauvre chéri.
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"Il était une seconde fois", mini-série romantico-fantastique, diffusée sur Arte jeudi. Il s'agit pour le héros (Gaspard Ulliel), jeune père étourdi, de retourner dans le passé au moyen d'un cube en bois, livré par erreur, afin de sauver sa dulcinée (Freya Mavor), étudiante en lettres modernes (on est sur Arte), d'une fin tragique. L'idée était intéressante, le concept aussi. Je me suis endormie au cours du troisième épisode, diffusé à la suite des autres. Le style n'est pas entraînant. C'est dommage, il y avait matière. "Umbrella Academy", tirée d'une BD apparemment, diffusée sur Netflix. Un milliardaire a adopté 7 enfants nés le même jour et ayant développé des compétences particulières. Les héros se retrouvent afin d'enquêter sur la mort de leur père adoptif. C'est pas trop mal et pas trop bien à la fois.
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Je vous invite à lire le sujet.
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Il vous faudrait un bichon maltais, ainsi vous auriez loisir de domestiquer.
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C'est bien de nous rappeler que vous êtes un beauf... nous aurions pu oublier.
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Vivement que vous retrouviez les bancs de l'école, la maîtresse... et le bonnet d'âne. Nicolas Grégoire est un politique dont personne ne se souvient, qui essaie de vendre un livre auto-édité... d'où le besoin de faire de la provocation facile et bas de gamme, afin de compenser un manque de budget pour la promotion de son ouvrage.
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Ça l'est toujours, les politiques d'ailleurs excellent en cela.
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De la grande poésie. N'est-ce pas ces artistes émérites que défendait notamment Mme Obono et encore pour lesquels nos magistrats ont une particulière bienveillance ? Pour le reste et ce qui nous occupe, le peuple a souvent le représentant qu'il mérite.
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C'est suite à une publication d'un internaute sur un réseau social, que le président brésilien s'est ouvertement moqué de Brigitte Macron, et alors qu'il s'agissait de la comparer physiquement à la première dame brésilienne, comme il est d'usage de le faire avec deux poulinières lors d'une foire aux bestiaux. Ce n'est effectivement pas très élégant et non digne d'un chef de l'État. Bolsonaro est aussi coutumier de divers dérapages misogynes, homophobes et racistes depuis son investiture. Cet homme, gras, est très à l'image de son électorat. Comme nombre de ses pairs (tous), il est également trop accessible, n'hésitant pas à se mêler à la plèbe sur la toile. La réserve, la hauteur, la prestance qui caractérisaient les chefs de l'État autrefois, ne sont plus : RIP. Aujourd'hui, nous avons affaire à des gros beaufs qui se frittent comme des kaïras sur Twitter à grands coups de déclarations soi-disantes viriles. Pauvre monde.
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L'association des termes n'est en rien subversive. C'est plutôt la compassion qui me viendrait de suite. "Nombre de femmes" cela évoque, par contre, un grand nombre d'éléments. C'est gênant et s'inscrit complètement dans ce qui est dénommé "culture du viol". Instiller l'idée que nous serions nombreuses à vouloir être violées est très dangereuse. C'est totalement faux. Une poignée de femmes, passablement paumées, rêveraient d'être prises par la force. C'est très marginal. Mais quel gogole !