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Tout ce qui a été posté par Doïna
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Je suppose que l'entraide doit régner à fond dans cette famille, et c'est tout à leur honneur, mais tout le monde n'est pas dans leur cas. Bon nombre de gens qui se retrouvent au rsa n'ont pas le soutien de leur famille, je pense. Prenons le cas des mères isolées : une femme qui peut compter sur quelqu'un de sa famille, quelqu'un de confiance, pour garder ses enfants si jamais elle retrouve un travail, ou si elle en retrouve un et qu'un jour une grève des écoles éclate, s'en sortira plus facilement que celle qui ne peut compter sur personne pour s'occuper de ses enfants à sa place. Elle pourra toujours aller trouver une assistante sociale, oui, pour entendre qu'il n'y a pas d'assistante maternelle de libre, que les crèches affichent complet. La solution des retraités du voisinage ? Peu de retraités sont enclins à garder l'enfant d'une femme qui n'est pas de leur famille, beaucoup rétorqueront qu'ils ont élevé les leurs et veulent maintenant profiter de leur temps libre. La solution du baby sitting ? Les jeunes filles le font pour payer leurs études et exigent des heures payées au smic, ce qu'une femme au rsa ne pourra pas payer. Un parent isolé a donc mille bonnes raisons de renoncer à travailler. Quant à ceux qui baissent vraiment les bras et se résignent au rsa, est-ce qu'on peut les juger ? Est-ce qu'on sait ce qu'ils ont traversé avant d'en arriver là ? Les petits boulots de trois mois, alternant avec des périodes de chômage, les entretiens d'embauche dont on ressort humiliés parce que la concurrence est trop rude, parce que le patron recherche le mouton à cinq pattes, les inepties qu'on peut entendre à pôle emploi... Oui c'est usant ! Oui ça peut mettre un être humain par terre !
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Le fait que des emplois ne trouvent pas preneurs, est-ce dû au fait que des gens préfèrent glander avec le rsa, ou bien au fait qu'il y a un décalage entre les formations et le marché du travail à Vitré ? Ou encore parce que beaucoup de jeunes s'en vont vivre ailleurs une fois leur diplôme en poche ? Ton garagiste, est-ce qu'il serait prêt à former quelqu'un qui n'est pas mécanicien à le devenir ou est-ce qu'il attend qu'un vrai mécanicien avec des années d'expérience lui tombe du ciel ? Je pose la question car c'est souvent comme ça. Tu sais, des entretiens d'embauche, j'en ai passés. Je tombais sur des employeurs qui voulaient quelqu'un de pas trop diplômé pour ne pas avoir à le payer trop cher, mais sachant tout faire comme un super-diplômé malgré tout. Qui voulaient le mouton à cinq pattes en somme. Vitré est une petite ville de 17.000 habitants environ, dans une région rurale et touristique. On peut supposer que bon nombre de ses habitants sont des retraités, et que beaucoup de jeunes choisissent d'aller s'installer dans des villes plus grandes. Est-ce que les entreprises qui recherchent se sont au moins concertées avec leur mairie en prévision de logements en faveur des personnes qui seraient d'accord pour venir travailler à Vitré si les postes vacants ne sont pas pourvus par des autochtones ? Je vois aussi que beaucoup de postes intérimaires sont proposés, ce qui peut laisser à désirer. Des autochtones préfèreront peut-être une place à long terme dans une autre ville, quitte à déménager, et ceux des autres villes ne vont pas se pointer dans un bled pour faire du remplacement, ce qui ne remboursera même pas l'essence dépensée pour venir. C'est par conséquent facile de dire : du boulot y en a, des postes ne sont pas pourvus parce que les gens préfèrent se contenter du rsa, mais il y a de grandes chances que le problème soit intrinsèque à la ville. Il n'aurait pas eu lieu d'être du temps de mon grand-père, parce qu'à l'époque les embauchés étaient sûrs d'un emploi durable, qu'ils pourraient apprendre sur place le métier, qu'ils seraient logés si on les faisait venir de loin. De nos jours les employeurs ne font pas seulement les difficiles, ils proposent des boulots jetables et s'il faut se déplacer d'une autre ville pour aller bosser chez eux, on n'est même pas sûr de trouver un appartement.
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Si on rassemble tous les "Fillon" que compte le monde politique et qui volent alors qu'ils n'en ont pas besoin, on se rend compte que ça dépasse de loin ce que coûtent les colis du ccas accordés à des personnes qui en ont réellement besoin. Aux rapines diverses des politiques (qui peuvent s'exprimer en argent volé dans les caisses remplies par le contribuable, mais aussi en objets de valeur dérobés lors d'un passage à l'Elysée, un musée, etc. Eh oui, carrément ! ), on peut rajouter les milliards offerts aux grandes entreprises sans contrepartie, leurs niches fiscales et autres dispositions dérogatoires. Du reste il faut savoir que la France est un des pays d'Europe où les minima sociaux sont les plus bas. *
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Considérant que je paye mes impôts, oui je peux estimer qu'ils m'ont volé quelque chose. Si toi ils ne t'ont rien volé c'est que tu n'en payes pas.
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Tu veux parler de Fillon ? A moins que ce ne soit de sa femme, ou peut-être de Wauquiez ?
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Oh je n'ai pas l'impression d'avoir une veine compassionnelle plus que ça, mais ce sont ces discours de mecs comme Wauquiez, Fillon, etc. qui sont des assistés en puissance, littéralement des pilleurs, et c'est d'autant plus choquant que de tels discours trouvent écho auprès de monsieur Tout-le-monde. Voyez, si je parle de ça avec mes voisins pour les contredire sur madame Untel qui reçoit des allocs mais ne travaille pas, ou monsieur Unautre qui touche l'aah, c'est la soupe à la grimace pendant plusieurs semaines figurez-vous, du coup je viens en parler ici en espérant que le plus grand nombre pourra me lire et me dire ce qu'il en pense.
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Et tu as trouvé, c'est heureux pour toi, mais quid de ceux qui, à un moment donné, craquent ? Ceux qui baissent les bras non pas par lâcheté ou fainéantise, mais parce que détruit par un parcours trop difficile et humiliant ? Ils existent aussi ! Eh oui !
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Merci pour ton aide. J'ai une petite préférence pour dianémophobes, faudrait voir avec des académiciens hellénophones.
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Le fait est que le mot "assisté" ne devrait pas être employé du tout pour désigner les allocataires, qu'ils cherchent à rebondir ou pas pour x raisons (problèmes de santé, dépression, enfants à charge, éloignement...) parce que les politiques qui l'ont lancé, ce mot, l'ont fait dans un élan de mépris. De mépris et de machiavélisme puisque désigner les allocataires du rsa ou autre comme des parasites détournent les regards de leurs magouilles de politiques véreux. En outre, dans leurs discours, ce sont tous les bénéficiaires qui sont réduits à l'état de profiteurs crapuleux, ce qui fait qu'aux yeux de toute la population travaillant n'importe quel allocataire devient douteux. C'est grave parce que cela isole toujours plus l'individu qui vivote grâce au rsa par exemple, que celui-ci va se prendre toujours plus de dédain en pleine figure, pourra de moins en moins être pris au sérieux, et puis si on continue dans ce sens-là un jour on verra peut-être des allocataires se faire agresser dans la rue, être rejetés au point d'être relégués dans des ghettos, soumis à des lois particulières, au port d'un macaron, persona non grata dans certains lieux publics.
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On s'est simplement mal comprises, car pour moi "assisté" n'est pas synonyme d' "étranger". N'empêche, en complétant un formulaire d'inscription lors de cette rentrée universitaire, sur une page j'ai eu la surprise d'apprendre qu'il y avait une case réservée aux enfants de salariés ou d'artisans, et une pour ceux relevant d'un autre régime, c'est-à-dire les étudiants étrangers, que bien entendu cochaient systématiquement les personnes de nationalité française mais non salariées. Comme si, en dehors des enfants d'employés salariés ou de parents artisans, il n'existait pas d'étudiants enfants de chômeurs, d'handicapés, etc. Pourtant ce n'est pas exceptionnel ! Donner du temps est tout à votre honneur, cependant l'aide directe, ce n'est plus suffisant parce que cela ne protège plus les bénéficiaires d'aides d'un mépris allant toujours crescendo de la part de travaillant les percevant comme des privilégiés. Il faut par conséquent changer le regard sur ces gens qui vivotent grâce aux allocations, contrer cette manie de certains politiques d'en faire les responsables de tous les maux. Pour l'instant, je ne te connais pas. Cela fait partie du système. Jusque dans les années 70, quand un employé en avait sa claque il pouvait rendre son tablier et retrouver un boulot facilement ailleurs. Ce qui fait du chômage une aubaine pour le patronat. De toute manière, robotisation et informatique permettent d'embaucher moins, tandis que la population galope, ce qui génère du chômage évidemment. Certains politiques et grands patrons ne voudraient pas s'arrêter là : ils voudraient le travail gratuit en échange d'allocation par exemple. On est en plein dans le discours de politiques de l'acabit de Wauquiez, Fillon, et tutti quanti, qui voudrait nous faire croire que du travail, il y en a à la pelle, mais que les bénéficiaires d'aides diverses n'en veulent pas parce qu'ils roulent sur l'or. C'est facile de balancer "il y a plein d'emplois à pourvoir" sans n'avoir rien à prouver d'ailleurs. Montre-nous les annonces ! Et puis c'est ridicule : les gens ne "gagnent pas autant à ne rien faire" : ce n'est pas le bénéficiaire du rsa avec ses 500 euros mensuels ou l'aah avec ses 700 euros et quelque qui "gagne autant à ne rien faire", même avec des enfants. Tu te leurres : les allocataires n'ont pas "plein d'aides" parce qu'ils ont des enfants ! Par contre, ça : gagner autant à ne rien faire, tu peux le dire au sujet de madame Fillon et de Laurent Wauquiez avec ses 13 ans de retraite pour deux mois travaillés. Encore baisser les aides aux chômeurs, c'est les mettre à mort. Je ne vois pas comment on pourrait les baisser davantage, ces aides ! Quant à ceux qui ont des enfants, je pense notamment aux parents isolés, si on ne construit pas de crèches pour accueillir leurs enfants pendant qu'ils cherchent du travail ou quand ils en trouvent, comment veux-tu qu'ils fassent ? Ouaouh, les assistants qui se donneraient bonne conscience, le cliché d'enfer ! Surtout que la plupart du temps, il n'y a pas d'assistants, l'allocataire perçoit son allocation le 5 du mois et puis se démerde avec autant qu'il peut jusqu'au 5 suivant. L'assistanat pas bon pour le moral des assistés, mais au moins vital. C'est sûr qu'une fois qu'on est mort de faim, on n'a plus de soucis, plus de raison d'être démoralisé, cela dit. Pour moi oui, surtout quand cela vient de politiques bien en vue ! Parce que ça commence par des coups de tisons du côté d'une frange de la population, et puis un jour vient le temps des agressions...
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Il aurait été bon de nous donner un mot plus adéquat pour désigner la phobie des assistés, si vous êtes hellénophone. Moi je ne le suis pas et me suis contentée de Google traduction. Les assistés ne sont pas forcément des étrangers, les étrangers ne sont pas forcément des assistés. Il y a des étrangers qui ont un travail en France, et même de très bonnes places, et puis il y a bon nombre de Français qui font partie de cet ensemble insulté d'assistés. Je dirais même plus que la majorité des assistés sont français. Ils sont nés en France, de parents français, sont allés à l'école en France, parlent français et sont électeurs. Pour finir, les femmes n'ont pas l'apanage de l'amour. Il existe des femmes non-aimantes, comme il existe des hommes très bons et aimants.
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Bonjour, Des phobies, on en connaît beaucoup dans notre société. On sait que le mot vient du grec "phobos" = frayeur, crainte : il y a l'agoraphobie, la claustrophobie, et cætera. La xénophobie, l'hostilité envers les étrangers, est très critiquée. La nosophobie, moins connues, est la peur des maladies et, par extension, des malades, qu'on se met à fuir comme la peste, à moins d'être médecin, les médecins n'attrapant jamais rien, c'est bien connu. On pourrait désormais rajouter à notre vocabulaire courant la voïthisophobie : du grec voïthise = aidé, et phobie, pour mettre un mot sur cette haine des "assistés" bien présente dans notre société actuelle, et attisée par certains politiques sans cœur et sans scrupules. Quelqu'un qui s'y connaît en grec pourrait me corriger si je me trompe, alors je rectifierai, mais il faut à tout prix un terme pour désigner cette haine et cette crainte de ce que d'aucuns nomment sans état d'âme et avec un mépris sans précédent les "assistés". Il devient urgent, selon moi, de lui donner un nom pour mieux la contrer. Parce qu'en effet, il faut entendre tout ce qui se dit sur tous ces gens qui perçoivent des aides diverses du fait de leur situation : les mères isolées, les chômeurs, les bénéficiaires de l'aah, etc. Entendu dans une cour d'école : "C'est mon père qui te nourrit !" de la part d'un gamin à un autre, l'un étant fils d'un salarié, l'autre d'une veuve sans travail élevant seule ses enfants. On devine sans trop de peine les propos qui se tiennent à table au sujet de cette dame. Eh bien quand on en arrive à ça, on peut parler, oui, d'hostilité, de haine envers des individus précisément, pas du fait de leur origine ou de leur religion, ni de leur sexe ou de leurs affinités sexuelles, mais à cause de leur situation sociale. On ne peut même pas parler de haine du pauvre, vu que certains travaillants sont pauvres aussi. En 2011 une lettre ouverte à Laurent Wauquiez évoquait les paroles stigmatisantes de ce dernier envers l'assistanat, qu'il qualifia de cancer. Or il n'est pas le seul à l'avoir fait : Sarkozy, Fillon, et bien d'autres, par le poison infect de leur sale bouche, sont parvenus à liguer jusqu'à la "France du bas" contre celle qui est au fond du trou. Je m'arrête là et invite les hellénophones (grécophones si vous préférez, mais c'est moins doux à l'oreille) à me corriger si ce mot, voïthisophobie, n'est pas convenable.
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"Un de perdu, dix de retrouvés " Slogan uniquement féminin.
Doïna a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Quand ils commencent à philosopher de la sorte, c'est que la nouille est en berne. -
Vive Léa ! Aucune race ne peut prospérer si elle n'apprend qu'il y a autant de dignité à cultiver son champ qu'à composer un poème. George Washington
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Il vaudrait mieux dire que le grand patronat a compté sur les gouvernements successifs pour les faire venir afin de ne jamais manquer de main-d'œuvre bon marché.
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Pour les Bretons que le sujet touchent : deux conférences vont avoir lieu le mardi 19 septembre 2017 à Gouesnou et le mercredi 20 septembre à Morlaix Elles sont organisés par des parents d'un enfant autiste de 29 ans, respectivement membre et président fondateur d'Autisme liberté et du Rassemblement pour une Approche des Autismes Humaniste et Plurielle (RAAHP). La conférence de Gouesnou aura lieu le mardi 19 septembre à 20 h, dans les locaux de l'UDAF, 16, rue Gaston-Planté. La conférence de Morlaix aura lieu le mercredi 20 septembre à 20 h, à l'IFSI (Institut de formation aux soins infirmiers), rue du Dr. Lefèvre. Françoise Rollux et Patrick Sadoun proposeront une signature de leurs ouvrages avant la conférence, à partir de 19 h 30. Participation : 10 €; gratuit pour les étudiants.
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Les Français ont raison : dans la vie, il n'y a pas que le travail. Il y a aussi la famille, les loisirs, le plaisir de n'avoir rien à faire... et il faut en profiter parce que la vie est courte. Ceux qui trouvent normal de sacrifier plus de temps à travailler que les Français devraient y penser : ce ne sont pas leurs heures supplémentaires qui leur vaudront un sursis face à la grande faucheuse, et quand ils seront sous le gros caillou, ce sera trop tard pour profiter de la vie !
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Antilles : après le passage de l'ouragan, le passage de l'arrogant.
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Té, l'ouragan Macron vient d'arriver aux Antilles
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Demande de double compte : cas particulier
Doïna a répondu à un(e) sujet de Doïna dans Aide et Suggestions
Oui. Oui, nous bossons dans la même petite entreprise familiale mais nous n'utilisons pas les ordis du boulot pour nos loisirs. Par contre nous en avons un qu'on se réserve dans notre salle de détente pour les pauses, et qu'on se partage. Bon, merci pour vos réponses. Je vais lui dire, à ma sœur. Elle va être contente. -
Dheepan, d'Audiard. Je l'ai vu hier sur le câble et, à la fin, me suis fait cette réflexion : "Ouf, le cinéma français a encore des choses à dire !"
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Bonjour, Ma sœur, qui utilise le même ordi que moi, était membre d'un forum qui a fermé. Depuis, elle s'ennuie et voudrait bien venir sur celui-là. Problème : elle ne peut pas s'inscrire parce que, du coup, cela donnerait un double compte, et c'est interdit par le règlement. N'y a-t-il vraiment aucune possibilité pour qu'elle s'inscrive sur forumfr sans avoir à se connecter avec un autre ordi ? Et si je décide de lui céder mon compte, pourra-t-elle l'utiliser en prenant son propre pseudo ou devra-t-elle obligatoirement garder le mien ? Quelles sont les possibilités qui s'offrent à elle ? Dans l'attente d'une réponse, bien cordialement.
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Avec lui, l'agresseur aurait fini dans une cave de Montretout, torturé à la gégène ou des trucs dans le genre.
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D'après ce qu'on sait, il ne s'est même pas défendu, n'a même pas crié, il devait être rond comme un boudin à c't'heure ! ça aurait été Mélenchon, tiens ! Il y a une rumeur qui circule selon laquelle un excité aurait tenté de l'agresser. Un excité qui a dû partir en courant ventre à terre. Il pissait le sang à cause des morsures, une se serait infectée et il en serait mort. Bon allez, on se calme, je plaisante !
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Comme dit plus haut, on n'en est pas à la première agression de politique, et c'est pas bien d'agresser, merci pour la morale, mais le problème c'est que les médias en parlent trop, que ça prend trop de place dans les JT. Pire : cela rivalise carrément avec des évènements vraiment graves comme le meurtre d'un gosse ou un attentat. Il y a quantité de gens merveilleux, des citoyens lambda qui se font agresser au quotidien, dont les journaux ne parlent pas, qui sont parfois mal reçus par des policiers quand ils vont déposer plainte et doivent mener un réel parcours du combattant judiciaire, lequel peut durer plusieurs années, pour que leur agression soit reconnue par la société, pour être dédommagés, ou bien souvent pour qu'au bout du compte leur agresseur soit condamné à quelques mois de sursis. Quand cela arrive à un politique, on n'entend parler que de ça et la justice tombe sur l'agresseur tel un fauve sur une petite souris. C'est ce qu'on appelle la justice à deux vitesses. Alors par pitié, qu'on arrête d'en faire des caisses avec les misères de Placé, de NKM... plus en amont de la mère de Manuel Valls qui s'était faite chouraver sa carte bleue à un distributeur, ce qui avait mobilisé la police comme jamais ! Cela dit, me verrait bien faire quelques atémis à Pierre Gattaz
