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Doïna

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Tout ce qui a été posté par Doïna

  1. Ce n'est pas une caricature, c'est une réalité : il y en a qui partent difficilement du bistrot et ne savent pas s'arrêter de boire. Cela ne veut pas dire que tout le monde est ainsi, malheureusement, ceux qui le sont n'iront pas ailleurs que dans un bistrot. Il y a des bières à peine plus forte que le cidre, et en boire une seule c'est déjà suffisant, donc pourquoi vouloir à tout prix des lieux où on peut servir plus fort en terme de boisson ? Perso, je ne bois pas d'alcool.
  2. "Si ça ne tenait qu'à moi", parce que oui, perso, vivant à la campagne, tant qu'à aller consommer des boissons, je préfèrerais autant que ce soit dans un milk bar plutôt que dans un bistrot où il y a des relents alcoolisés qui me donnent un peu mal au cœur. Maintenant, cela n'engage que moi de préférer les milk bars aux bistrots. Ce que tu dis de ce genre d'endroit est précisément caricatural, parce qu'un milk bar n'est pas obligatoirement branchouille, comme tu dis.
  3. Le ministre de la santé fait partie du gouvernement. Il a le président au dessus de lui. Il dispose d'un portefeuille comme les autres ministres.
  4. Perso, le but n'était pas de dire que tout était noir ou blanc, mais qu'un lieu où des ruraux se rassemblent n'est pas forcément un bistrot doté d'une licence IV, cela peut être un milk bar oui, une asso, etc. Et puis surtout que des gens au pouvoir devraient se soucier de choses plus importantes que la licence IV pour qu'il y ait plus de bistrots à la campagne. Ne pas se fier aux gens de mauvaise foi qui détournent le sujet à dessein et font dire ce que l'on n'a pas dit.
  5. Justement, j'ai dit que certains le faisaient, cela ne veut pas dire tous ! Parce que ça, les assommoirs, c'était une réalité. Tu es en train de dire la même chose que moi ! Mépris de classe ? Voilà, on se comprend !
  6. Bonjour, Dans un essai très original, L’Empire romain par le menu (2018), Dimitri Tilloi d’Ambrosi, chercheur en histoire romaine, nous convie à la table des Romains. Il mène un examen critique de toutes les sources antiques disponibles sur le sujet : textes littéraires à manier avec précaution ; fresques montrant des banquets et des victuailles ; précieuses données fournies par l’archéologie sur le régime alimentaire des populations de l’Empire. Cette riche étude permet de faire la part entre la réalité historique et les fantasmes souvent associés à l’orgie romaine. l ne fait aucun doute que de somptueux festins aient été organisés à Rome par certains empereurs, comme Caligula, Claude, Néron et Vitellius ; ou encore, plus tard, Elagabal. Mais les textes antiques les évoquent toujours dans un but moral : il s’agit, notamment pour des auteurs comme Suétone et Tacite, de condamner des excès de gloutonnerie et de luxe vus comme indécents. Selon l’idéal romain, un bon chef doit savoir contrôler son corps, qu’il s’agisse de désirs alimentaires ou sexuels. Mais si ces « débauches » sont évoquées avec tant d’insistance, c’est justement par ce qu’elles ne constituaient pas la norme dans le monde romain. Les orgies impériales, toujours dénoncées, et sous certains empereurs seulement, ne concernaient qu’une part infime de la population. Il ne s’agissait donc nullement d’une « tradition » propre à la société romaine dans son ensemble. Il en est de même du vomissement qu’on associe souvent à ces festins. Les médecins avaient coutume d’enfoncer une plume dans le gosier des convives qui souffraient d’indigestion. Une pratique limitée aux individus de haut rang et cantonnée à quelques exemples. C’est au contraire la simplicité alimentaire, voire la frugalité, qui caractérisait l’Empire romain. L’immense majorité de la population se nourrissait surtout de légumes et de céréales, sous la forme de bouillies et de galettes ; ou encore de fruits : figues, pêches, raisins… C’était donc un régime très végétal qui prédominait. Les soldats, privilégiés par rapport à la moyenne, y ajoutaient de la viande séchée. Le vin était très répandu. C’était une boisson épaisse que l’on mélangeait avec de l’eau, parfois chaude. On y mettait aussi volontiers du poivre ou du miel. La posca, très populaire, avait un goût de vinaigre. Seule une minorité de riches consommaient avec ostentation, non par goût des aliments, mais d’abord pour affirmer leur appartenance à l’élite. Un dîner aristocratique s’insère d'ailleurs dans un esprit de compétition entre membres de l’élite. C’est à qui dépensera le plus d’argent et offrira les mets les plus inattendus ou exotiques. Les textes antiques évoquent des plats étonnants : crêtes de coqs, langues de paons, têtes de perroquets, vulves de truie, langues ou cervelles de flamants roses… Mais l’aliment le prestigieux au Ier siècle apr. J.-C. était sans conteste le surmulet (ou rouget-barbet), un poisson dont le prix pouvait atteindre plusieurs milliers de sesterces. Pour lire en entier cet article intéressant et nourri : https://theconversation.com/manger-boire-et-vomir-dans-la-rome-antique-153913
  7. Mais des mecs comme ça, il en existe des français et puis dans tous les pays du monde.
  8. Lis l'article en lien et tu sauras, perso je n'ai pas le droit de publier un article en entier, seulement dix pour cent du texte.
  9. Moui, c'était utile de le rappeler, au cas où on aurait cru que le ministère de la santé était responsable de la culture.
  10. Je sais très bien ce que j'ai écrit, tu n'es toi par contre même pas capable de citer une phrase où j'aurais traité les villageois, les ruraux de pochetrons ! Et l'intervention de @January ne prouve rien, combien d'intervenants d'accord avec moi ou contre toi ?! Tu es d'une mauvaise foi sidérante et accablante !
  11. Ce que tu ne comprends pas, toujours pas, c'est que mon avis, c'est que ce n'est pas le rôle d'élus de se soucier des bistrots quand il y a des problèmes plus importants à régler. Je ne vais pas continuer à te répondre, pas plus qu'à @DroitDeRéponse parce que cela revient à tourner en rond : je me répète pour des personnes qui s'acharnent à comprendre le message de travers, ou le déforment volontairement avec toute la mauvaise foi dont ils sont capables.
  12. Ces journalistes sont de plus en plus nombreux à opter pour un master 2 climat et médias en sont.
  13. Kasbarian, le porteur du projet, est un libéral revendiqué, ex-ministre du gouvernement Barnier désigné par Emmanuel Macron, et ceux contre sont des députés de la gauche.
  14. D'ailleurs un féminicide n'est pas forcément le meurtre d'une femme par un conjoint ou ex-conjoint, cela peut être le "crime d'honneur" du père ou du frère ou autre personne de la famille pour supprimer une femme qui ne se plie pas aux règles patriarcales, cela peut être un individu qui supprime une femme dont il ne parvient pas à obtenir les faveurs, ou qui la tue lors d'un viol, ou un homme marié qui tue sa maîtresse parce que celle-ci voulait arrêter la relation pour faire sa propre vie maritale... Le féminicide peut prendre bien des formes en somme, mais avec toujours ce point commun d'une victime féminine considérée comme objet ou propriété, à laquelle a été dénié sa volonté propre.
  15. Homicide fait référence au genre humain et pas qu'au sexe masculin. Tous ces termes : régicide, infanticide, féminicide... sont des homicides de toute façon.
  16. Cela dépend : l'a-t-il tuée parce qu'elle était femme, exemple une femme osant marcher sans voile en Iran, ou simplement passant en short devant un type ne supportant pas les femmes en short ou mini-jupe, ou ne supportant pas les femmes tout court et ayant décidé de s'en payer une ? Ou bien l'a-t-il tuée parce qu'il avait décidé de tuer quelqu'un au hasard ce jour-là, et que c'est une pauvre femme qui s'est présentée devant lui ce jour-là ? Uxoricide, dans le droit de la Rome antique, désignait plutôt le meurtre d'une épouse adultère. Féminicide est plus large et plus juste.
  17. Tu veux dire que l'argent va au ministère de la santé mais pas dans les hôpitaux, etc. ?
  18. Le meurtre d'une femme est un homicide mais on emploie le terme féminicide dans un contexte précis. Par exemple tuer une femme pour lui voler quelque chose, cela sort du féminicide, cela n'entre pas dans ce cadre-là, parce que le but de tuer était de voler, pas de supprimer une femme se rebiffant contre un homme la considérant comme lui appartenant.
  19. Homme tué parce qu'il était homme et considéré comme la propriété de la femme tueuse ?
  20. Mais oui, ce serait nous ! Tu me fais rire. A chaque fois qu'on met en avant des idées saugrenues, les égarements, les iniquités du gouvernement Macron, tu viens faire ton cirque et toujours avec le même modus operandi, comme si on n'avait pas compris que tu étais un troll macroniste.
  21. Tous les mots ont été inventés à un moment ou un autre. Ce n'est pas pour cela qu'il ne faut pas mettre des mots sur les choses. Oui, il faut inventer des mots pour dire ce que sont les choses.
  22. Le féminicide a ceci de particulier que la victime a été supprimée du fait de son sexe féminin, notamment dans ces cas où elle veut quitter un conjoint violent, droit que ce dernier lui réfute comme si elle était sa chose ou sa propriété au point de lui ôter la vie.
  23. Passé le compte d'années, même s'il n'a aucune chance, le condamné peut demander à sortir et c'est examiné par les magistrats, avec avis de psychiatres dans le cas de tueurs en série.
  24. J'avais compris, mais la perpétuité réelle serait la prison à vie, ce qui n'existe pas en France où c'est maximum 30 ans. Cela, c'est très rare, cela concerne vraiment les tueurs en série, ceux reconnus comme des malades de la tête irrécupérables.
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