Doïna

J'ai toujours trouvé que ce type était un étron en culotte de velours. Il n'avait aucun respect pour ses mannequins, il pétait plus haut que son cul, se croyait meilleur que les autres, bref antipathique au possible. Une femme peut avoir du sexe sans homme : avec d'autres femmes ou des sex toys.

Les USA, la Russie, la Chine, et d'autres, craignent ça, ils savent bien que c'est possible, que l'Europe s'éveille, et c'est d'ailleurs pour ça qu'ils font tout pour miner notre belle Union européenne : tous les moyens leur semblent bons, même les pires coups bas, même des bassesses de caniveau !

Mais l'engin dont je parle était pas un radiola, c'était juste une grosse daube, et moche en plus. Pas un cadeau de noël pour une gamine en tout cas.

Un radio-réveil, mais moche avec ça, acheté dans un magasin du genre "tout à un euro". Le truc ressemblait à ça mais d'une sous-marque : J'avais 9 ans si je me souviens bien, j'avais été contrainte de le placer sur ma table de chevet, et en plus celui qui me l'avait offert était vexé parce que je mettais un mouchoir dessus pour pas le voir.

Relis @Pheldwyn :

(Suite) Le cadeau qui fout les boules : «Une tante a offert à toutes les femmes de la famille une serpillière et une éponge soi-disant “révolutionnaires” alors que les hommes recevaient une bouteille de vin. Je n'ai rien contre un cadeau utilitaire, même si c'est pour faire le ménage. Mais le sexisme de la différence de cadeau entre les hommes et les femmes, ça ne passe pas.» «Une théière Bodum pour une personne “parce que tu vis seule” de la part de ma mère, évidemment. Comme si, en vivant seule, je n'avais pas d'amis et que personne ne venait à la maison… En plus, elle sait que je bois toujours plusieurs tasses de thé. Comme elle m'a fait le coup plusieurs années de suite, j'ai fini par me venger en je lui achetant un pull en taille L au lieu de M (“Je me suis dit que ça t'irait mieux”) pour lui rendre la pareille. Je sais, c'est moche.» «un t-shirt floqué de [son] prénom et d'une mention “attachiante” en taille S de la part [sa] belle-sœur»: «Je fais du L et c'est misogyne.» «J'avais pris un peu de poids à la suite d'une dépression, mais cela ne me dérangeait pas plus que ça. Sans me demander mon avis, ma compagne m'a offert un abonnement dans une salle de sport et un programme minceur. Je l'ai très mal vécu. Cela aurait dû venir de moi. » «J'étais en cinquième ou en quatrième, et mon père et ma belle-mère m'ont offert mon premier soutien-gorge. Je me suis décomposée en ouvrant le cadeau devant toute la famille –une trentaine de personnes.» Article entier : https://www.slate.fr/societe/typologie-cadeaux-noel-rates-impersonnels-imposes-sans-ame-marqueurs-sociaux-relations-rapport-pouvoir-domination Vous concernant, quel a été votre cadeau le plus nul ?

Bonjour, Autant dire que si un cadeau réussi entretient le lien entre celui qui offre et celui qui reçoit en disant l'amour, l'amitié, la complicité, l'estime, la reconnaissance ou la gratitude, un cadeau raté marque souvent un manque de compréhension, d'attention, ou même un désintérêt manifeste pour la relation. Il peut alors susciter de vives réactions. Mais c'est quoi, exactement, un cadeau raté ? Il s'agit très souvent d'un don impersonnel, même s'il en existe différentes catégories. L'article entier (https://www.slate.fr/societe/typologie-cadeaux-noel-rates-impersonnels-imposes-sans-ame-marqueurs-sociaux-relations-rapport-pouvoir-domination) rapporte des témoignages de gens déçus par un cadeau : Le cadeau sans âme : Pour Jean-Marc, la cinquantaine, c'est typiquement «le dernier Goncourt. Il marque l'absence absolue d'imagination pour un cadeau en se la jouant: “Je t'offre un livre, la culture c'est important.”» Valérie, 42 ans, garde en mémoire «une paire de chaussettes Lidl offertes par [sa] mère. Ce n'était pas un cadeau du cœur. J'aurais aimé quelque chose qui dit: “Je te connais et je t'aime.” J'ai pleuré ce jour-là.» Pour elle, «ce cadeau a marqué une prise de conscience d'une relation toxique. Je ne vois plus ma mère aujourd'hui.» Le cadeau à côté de la plaque : «J'avais 12 ans quand j'ai reçu une superbe boîte d'aquarelle avec plein de couleurs et des pinceaux de la part de mon père. Sauf que c'est ma sœur qui faisait de l'aquarelle. J'aurais préféré ne rien avoir plutôt que ce cadeau qui prouvait que mon père ne me connaissait pas.» «Une année, ma belle-mère m'a offert une Smartbox spécial foie gras alors que chaque année, je dis mon désaccord avec le fait de consommer ce produit qui relève de la maltraitance animale.» «Ma compagne de l'époque avait glissé sous le sapin un coffret découverte du vin alors que, quelques mois plus tôt, nous avions eu une conversation sur le fait que ce genre de box n'était ni éthique ni intéressante. Elle savait en plus que je déteste les ambiances découverte, les surprises et que j'avais décidé de réduire ma consommation d'alcool. Ce cadeau m'a permis de me rendre compte que mes envies et besoins passaient très largement après les siens et qu'elle ne faisait pas vraiment attention à nos conversations. J'ai rompu quelques semaines plus tard.» Une dame qui a reçu en cadeau de la part de son mari une poêle à frire : «Notre fils de 4 mois et demi venait de se faire opérer, j'avais passé quatre jours à l'hôpital avec lui. Je m'attendais à un cadeau plus réconfortant et personnel. Une écharpe, un bon livre, un bon thé auraient fait l'affaire. Ce fut la première fois où j'ai pensé que je ne comptais pas réellement pour lui. Nous nous sommes quittés quatre ans plus tard.» «J'ai reçu du shampoing alors que je suis chauve depuis trente ans. J'ai compris ce jour là que ma mère commençait une démence.» Le cadeau dominateur : «Un Noël, mon mari m'a offert une étole en vison. Je n'aime pas la fourrure et pense que cela devrait être interdit. Je m'habille plutôt sport et décontracté, même si je sors. En somme, c'était tout à fait contraire à mes valeurs et à mon style. J'ai compris qu'il offrait ce qu'il aimait au détriment de ce qui me plaisait et qu'il ne tenait pas compte de mes envies.» «Il a sorti une bague de fiançailles. Je me suis retrouvée coincée devant sa famille et la mienne, complètement acculée. Il m'a vraiment mis le couteau sous la gorge et nous nous sommes mariés à 25 ans, de sa volonté, pas la mienne du tout.» Le cadeau à (moins de) deux balles : Un stylo bic quatre couleurs, un ensemble de sac et portefeuille gratuits du catalogue La Redoute offerts avec une commande, un vernis à ongles et une crème pour les mains Yves Rocher déjà ouverts...

Bonjour, La longère de Jean-Luc Mélenchon taguée et saccagée. Il raconte : Il était dix heures le matin et j’allais à l’Assemblée nationale comme invité du groupe des députés insoumis pour la dernière réunion de la session parlementaire. J’ai ouvert ma messagerie téléphonique entre Strasbourg-Saint-Denis et Invalides, ligne 8. J’y ai trouvé des mots amicaux de solidarité personnelle. De cette façon, j’ai appris l’agression et le saccage de ma maison dans le Loiret, 18 heures après qu’il ait été constaté et déjà bien diffusé dans les médias du matin. Cette maison, c’est une longère au bord de la forêt. Je l’ai acquise, il y a 26 ans et je l’ai retapée à la petite cuillère. Une génération. J’en partage le jardin avec deux écureuils, un rouge-gorge, une pie, et plusieurs chats de mes voisins. On y a reçu une biche et son faon qui ont lamentablement brouté mes jeunes plantations. Je constate que des lapins y tiennent régulièrement des conciles. Enfin une taupe (au moins) se sait vraiment chez elle. J’ai lâché la dispute avec elle tant elle est obstinée. C’est mon refuge ordinaire, dans les tempêtes ou bien les moments de repos familial. Témoignage entier : https://melenchon.fr/2024/12/18/on-ta-trouver-nique-les-arabe-tu-pouries-le-pays/

Bonjour, Une habitante de Toulon est remontée contre la mésaventure vécue mardi à bord d’un des bus du réseau Mistral à Toulon. Montée à bord, souhaite valider ton ticket mais la machine est en panne. Elle tente de valider le ticket à la seconde machine. En panne elle aussi. Quelques instants plus tard, les contrôleurs déboulent, et comme ils sont bornés ils ne veulent rien savoir de cette affaire de bornes en panne. "L’un d’entre eux m’a pris par le bras en m’expliquant que cela ne servait à rien et que j’allais être verbalisée", explique la jeune femme qui se rendait à La Croix-Rouge pour ses études. Elle a réglé ses 45 euros d'amende, et si un responsable du réseau reconnaît que les appareils incriminés peuvent prendre des vibrations, entraînant un dysfonctionnement, pour l'heure il n'y a eu aucun remboursement ni geste commercial envers la passagère si peu respectée. Article entier : https://www.ladepeche.fr/2024/12/13/les-bornes-du-bus-sont-en-panne-elle-ne-valide-pas-son-ticket-les-controleurs-montent-a-bord-elle-recoit-un-pv-de-45-eur-12389395.php

Miss Lorraine avait mis sa combi à l'envers : « Le dos était devant » : moqué, le costume de miss Lorraine était en réalité à l’envers lors de la cérémonie. J'ai pas compris ce que c'était censé représenter : la combi d'un super-héros marvel ? https://www.parismatch.com/people/le-dos-etait-devant-moque-le-costume-de-miss-lorraine-etait-en-realite-lenvers-lors-de-la-ceremonie-244869

J'ai cité une moyenne, tu sais ce que c'est qu'une moyenne n'est-ce pas, toi qui, de par ta profession, a toujours été dans les chiffres ?

Faut pas être susceptible comme ça ! Personne ne veut se débarrasser de toi ! Ici, quand tu lances un débat, tu auras des gens d'accord et d'autres pas d'accord, c'est ce qui en fait un forum et pas un blog.

C'est vrai que des dents bien rangées, c'est plus pratique pour bien mastiquer, pourtant il y a une part d'esthétique aussi.

Il y a des actes relevant de l'esthétique qui sont prises en charge par la société : l'orthodontie, les oreilles décollées, etc. et même l'épilation au laser dans certains cas. Toi aussi, tu es dans la leçon de morale.

Pourquoi user de sarcasme vis-à-vis de tes détracteurs ? Ils ont le droit de ne pas t'approuver sans mériter d'être fouler au pied ou de subir tes sarcasmes.

Mais il n'y a que la droite qui les défend ! Bis repetita. Bis repetita : Balavoine pouvait passer du grave à l'aigu et de l'aigu au grave.

Il faudrait que tu leur demandes ! Perso, je ne suis pas dans leur tête, et c'est bien pour cela que je ne me permettrais pas de les juger.

C'est toi qui n'y connait rien dans l'œuvre de Balavoine. D'ailleurs, Balavoine, ce n'est pas que les octaves en plus dans les aigus, il pouvait passer du très grave à l'aigu sans déraper (écoute la chanson SOS d'un terrien en détresse que j'ai citée). Seul un athlète de la voix peut la chanter avec exactitude. Ce qui le plaçait à un niveau supérieur à Sardou, outre ce fait qu'il était son propre auteur-compositeur, ce que Sardou n'est pas. Selon moi, il a tort, oui : on ne prend pas la main d'une femme sans lui demander son avis, on ne touche pas son épaule ou autre chose sans son consentement. Non tout n'est pas devenu gestes connotés sexuels ou agressions sexuels, cet argument est celui de ces individus qui regrettent ce temps où ils pouvaient se permettre tous les excès dans une totale impunité parce que la parole des femmes ne comptait pas.

Un sarcasme qui n'en demeure pas moins un syllogisme, figure de style affectionnée des leaders populistes manquant terriblement d'argumentation solide pour faire passer leurs pauvres idées. Alors je ne t'accuse pas d'être populiste, seulement je pense qu'à notre époque, il fait bon devenir allergiques aux syllogismes. Quant au ton sarcastique, cela ne me semble pas approprié pour ce sujet déjà bien assez dur envers les transgenres.

C'est surtout la prévention qui fait défaut, selon moi : une prévention pour dissuader les personnes d'essayer ces drogues. La médecine en connaît les effets mais n'en parle pas assez. Le cinéma aussi devrait s'emparer du sujet : jusqu'à présent on voit trop de films qui mettent en avant les dealers, les voyous y sont trop souvent montrés comme des héros. Il faudrait à présent cibler la caméra sur les gens qui se droguent au cannabis et autres, tout le mal que ça fait à leurs proches, l'impact sur leur existence et leur santé, comment ils finissent en cancérologie à l'hosto, etc. Déballer la réalité de ces gens-là serait dissuasif, et il faudrait que la consommation de ces drogues soit ringardisée, tandis qu'à une certaine époque ça faisait carrément "branché". Des centres de soin existent déjà, peut-être ne sont-ils pas suffisants cependant.

J'ai simplifié mais il s'agit bien d'un syllogisme, arrête de pinailler. Elle explique en gros : C'est normal que les ados aient accès à la transition de genre parce que c'est leur choix, le suicide est un choix, donc les ados doivent avoir accès au suicide assisté. C'est en cela qu'elle a fait un syllogisme.

Pourquoi comparer ce qui n'est pas comparable ? Parce que tu viens de faire un syllogisme : Un ado peut faire le choix de changer de sexe, donc un ado peut faire le choix de mourir dans la dignité.

J'entends bien que chacun a ses affinités musicales et que ça se respecte, mais je te parle en terme de talent : Balavoine était capable de performances que Sardou n'atteindra jamais, de plus Balavoine était l'auteur-compositeur de ses œuvres contrairement à Sardou. C'est en cela que je compare les talents, je ne parlais pas de goût. Et ce n'est pas vrai que Balavoine parlait de lui dans ses chansons puisqu'il puisait ses thèmes dans les sujets sensibles de la société même : le travail, la réussite sociale, l'argent, le divorce, la tolérance, la politique, la drogue, la torture, etc.

Mais il n'y a qu'à droite qu'on les défend.

Ce hollandiste, cela ne m'étonnerait pas.