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Doïna

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Tout ce qui a été posté par Doïna

  1. Faut-il que je te repose ma question, Al-Bombardi ? Quand monsieur le troll daignera me répondre... A moins que tu préfères te décrédibiliser une bonne fois pour toute ?
  2. Bon, et après avoir si brillamment parlé, pourrais-tu nous prouver que ces femmes se convertissent pour le sexe ? Tu es dans leur tête, sans doute, pour savoir le pourquoi-comment de leur choix ?
  3. L'exécution de Marius, pas un cas isolé (Metronews) : Entre 3.000 et 5.000 animaux en captivité sont euthanasiés chaque année en Europe, a estimé une dirigeante de l'Association européenne des zoos et aquariums (EAZA) dans une interview diffusée jeudi par la BBC. Pour Leslie Dickie, ce chiffre englobe toutes les espèces d'animaux, "des têtards aux girafes". Parmi elles, seulement "quelques centaines tout au plus" de grands animaux du type girafes, zèbres, lions et ours sont concernés. "Une bonne méthode de régulation des populations" La BBC, qui a eu accès aux registres des 340 zoos affiliés à l'EAZA, indique que cinq girafes ont été mises à mort au Danemark depuis octobre 2012. Cette année-là, quatre hippopotames ont également été abattus en Europe. Auparavant, entre 2 000 et 2012, 22 zèbres avaient subi le même sort en toute légalité sur le continent. De leur côté, en 2010, Quatre gardiens travaillant au zoo allemand de Magdebourg ont dû rendre des comptes à la justice après avoir abattu trois bébés tigres "sans raison valable", relate la radio britannique. A l'instar de Marius, les animaux sont généralement exécutés pour éviter les conséquences débilitantes de la consanguinité en captivité, a expliqué le président de l'EAZA, Simon Tonge. "Beaucoup de zoos pratiquent l'euthanasie. Ils choisissent de la pratiquer parce qu'il s'agit d'une bonne méthode de régulation des populations", a-t-il plaidé. Dans d'autres cas, les gardiens de zoo préfèrent la contraception ou la castration. Ci-dessous : dépeçage d'un loup euthanasié, la leçon du jour pour ces élèves danois en sortie pédagogique :
  4. Les horreurs continuent et on en apprend toujours un peu plus : "Il y avait trois chiens et ils ont tué cinq enfants". Ahn Myong-Chol, garde pendant huit ans dans les camps de prisonniers de Corée du Nord a livré un témoignage bouleversant lors d'une intervention à Genève, dans une conférence des défenseurs des droits de l'homme. "Echappant à leurs maîtres, les chiens se sont jetés sur des enfants qui revenaient de l'école du camp. Ils en ont tué immédiatement trois, les deux autres respiraient à peine et ont été enterrés vivants par les gardes", a-t-il dit à l'AFP via un interprète. Le lendemain, au lieu de liquider les chiens, les gardes les ont cajolés et "récompensés avec de la nourriture spéciale", ajoute Ahn avec un signe de dégoût. Les gens sont "comme des mouches qu'on peut écraser" Ahn, réfugié en Corée du sud, est un des témoins auditionnés par la Commission d'enquête de l'ONU qui a dénoncé dans ce rapport diffusé la semaine dernière des "crimes contre l'humanité" et a appelé la communauté internationale à réagir. La Commission estime notamment que "des centaines de milliers de prisonniers politiques ont péri dans des camps pendant les 50 dernières années", "graduellement éliminés par des famines délibérées, le travail forcé, les exécutions, la torture, les viols". "Les gens dans les camps ne sont pas traités comme des humains ... ils sont comme des mouches que l'on peut écraser", affirme Ahn, qui a fui la Corée du nord en 1994. Il a servi dans quatre de ces camps du goulag nord-coréen, dans ce qui est nommé les "zones de contrôle total". Les prisonniers y travaillent de 16 à 18 heures par jour, dorment 4 à 5 heures, et reçoivent trois fois 100 grammes de bouillie pour peu qu'ils atteignent les objectifs de travail. Ahn s'est enfui et vit en Corée du Sud "Nous avions le droit de les tuer et si nous ramenions le corps, nous pouvions être récompensés par l'envoi à l'université", explique-t-il, affirmant que certains gardes faisaient exprès de faire sortir des prisonniers du camp pour les tuer et obtenir cette récompense. Ahn, qui admet avoir participé aux violences mais pense n'avoir jamais tué, a été promu chauffeur, ce qui lui permet de voir de nombreux prisonniers et il découvre que certains étaient là depuis l'âge de 2 ou 4 ans, que d'autres étaient nés dans les camps. "90% d'entre eux ne savaient pas pourquoi ils étaient là." (Suite sur lien)
  5. Plus vieux que l'Egypte antique : les légendes de vampires existaient déjà chez les Sumériens ! Qui sait si cela ne remonte pas à la Préhistoire. D'ailleurs, les vampires, selon les époques et les pays, ne sucent pas tous le sang : certains se maintiennent en vie en absorbant le souffle de leurs victimes.
  6. N'importe qui peut avoir des passages, dans une vie, où il a besoin de s'épancher, et c'est normal de l'écouter, de l'aider... mais quand on a affaire à quelqu'un qui ne sait faire que ça sur votre dos, ne fait aucun effort pour passer à d'autres choses, ne voyant en vous qu'une décharge, et qui, pour couronner le tout, a bien souvent plus de raisons d'être heureux que vous même, alors oui, on est en droit de se sentir vampirisé, et de dire "basta" !
  7. La réserve de Sigean aurait pu accueillir Marius, titre le Midi libre : Le directeur de la Réserve africaine de Sigean, Jean-Jacques Boisard, est "scandalisé" par l'euthanasie du girafon Marius, au zoo de Copenhague. Il revient sur la politique de contrôle des naissances au sein de la réserve audoise qui se base sur un seul critère : Dame nature... Une semaine après l’euthanasie du girafon Marius au zoo de Copenhague, Jean-Jacques Boisard reste "profondément scandalisé". Quand on l’interroge sur la politique de contrôle des naissances au sein de la Réserve africaine de Sigean, le directeur précise d’ailleurs d’emblée : "Nous ne faisons pas le même métier". "Comportement naturel Quelques chiffres le prouvent. La réserve s’étend sur 300 hectares, quand le zoo danois n’en compte que 11. "Ça n’est même pas la superficie de la plaine des antilopes !" compare le responsable. Surtout, la philosophie, ici, est totalement différente. Dans l’un, on présente un ou deux individus d’une même espèce, "comme une collection", alors qu’à Sigean, "la volonté est de montrer le comportement naturel des animaux". Des ennemis... En cela, Paul de Lapanouse, fondateur de la Réserve en 1974, a révolutionné les mentalités. Non sans se faire quelques ennemis dans la profession... Tout comme, plus tard, son successeur. "Il y a quelques années l’European association of zoos and aquaria (EAZA) m’a dit : “Votre zèbre de Grévy mâle se reproduit trop, il faut le castrer”. Ce qui reviendrait donc à dire qu’un père de famille nombreuse devrait être stérilisé !", s’insurge le directeur, qui a bien évidemment refusé. (suite sur lien) Comme dirait Marcellus dans Hamlet : "Il y a quelque chose de pourri au royaume de Danemark".
  8. Faut dire aussi qu'il y en a qui tiennent leur Coran pas très loin de leur braguette, il y a des bonnes femmes que ça ne laisse pas indifférentes.
  9. Les vampires existent, nous en rencontrons tous un jour ou l'autre ! Peut-être en avez-vous dans votre entourage, ou, qui sait, tout près de vous ? On les reconnaît au degré d’épuisement auquel ils nous réduisent, les relations avec eux se révélant chaque fois seulement utiles à nous faire régresser et mettre à mal notre équilibre émotionnel. On peut dégager plusieurs portraits de ces "vampires" dévoreurs d’énergie (à fréquenter avec parcimonie) : Les plaintifs chroniques Ils nous vampirisent, parce que leur demande affective est sans fin et que nous sommes impuissants à la combler ou à la faire évoluer. Alors qu’ils nous investissent du rôle du sauveur – même si nous n’en avons ni la capacité ni l’envie –, ces éternels plaintifs nous mettent en situation d’échec parce que, en réalité, ils ne sont pas dans l’état d’esprit voulu pour recevoir nos conseils. Les dépendants Ils réclament constamment des preuves d’amour, nous sollicitent pour la moindre décision… En s’accrochant à nous comme des enfants, ils nous placent dans une position de parents et font peser sur nos épaules une responsabilité écrasante. Et dès que nous voulons prendre nos distances, la culpabilité nous envahit. Les hypersensibles Leur sensibilité exacerbée nous oblige à être en permanence sur nos gardes. Car, avec eux, tout est sujet à interprétation, à justification, est susceptible de provoquer un drame. Ils nous condamnent ainsi à un self-control permanent. Les conflictuels Pour eux, la résolution des problèmes passe par l’agressivité, ce qui ne leur coûte rien, puisque le conflit est leur mode de fonctionnement. En revanche, ce type de relation est cher en émotions pour la personne agressée qui, elle, en sortira vidée. Les hors-la-loi Leur rôle et leur territoire ne sont jamais clairement définis, ce qui oblige à des renégociations incessantes. Comme les règles ne sont pas établies une fois pour toutes, chacun empiète sur le terrain de l’autre. Ce que l’on peut faire : savoir mettre des limites Dans les relations vampiriques, il est important d’établir la juste distance pour ne pas se laisser happer. Nous risquons en effet de nous soumettre à la pathologie de l’autre et de devenir sa victime, puis de sombrer dans l’agressivité et la rancœur. En général, nous devons nous méfier de notre tendance à endosser le rôle du sauveur. Si l’on peut souvent aider, on peut rarement sauver. Quand l’énervement commence à nous envahir, deux questions s’imposent : suis-je la bonne personne et dois-je être la seule personne ? Dans tous les cas, nos émotions sont le meilleur signal d’alarme : un sentiment de malaise qui s’installe nous indique qu’il faut dire stop ! Dans la mesure du possible, il faut s'efforcer de faire basculer la relation vampirique en relation nourricière, c'est-à-dire réconfortantes, enrichissantes, dynamisantes, etc.. Et si ce n'est vraiment pas possible, alors c'est le coup de pied au cul qui s'impose, d'urgence ! Vade retro Dracula !
  10. Ce n'est peut-être pas encore trop tard pour les prochains sur la liste, dont le deuxième Marius, évoqué précédemment.
  11. Bonjour Hacquin !

    Enchantée d'être sur ta liste.

    Et concernant ton message, dommage pour les nord-Coréens qui souffrent, je suis triste pour eux.

    Bonne continuation à toi, bonne journée.

  12. La carte de France vue par les Marseillais : La carte de France vue par les Bretons :
  13. Ayant beaucoup voyagé, ce n'est pas en Occident que j'ai pu faire le constat du racisme le plus virulent, d'autant plus que l'Occident, c'est vaste et ça englobe une multitude de pays différents, situés sur des continents différents. Je ne vois donc pas l'utilité d'un tel topic.
  14. On est tous si différents les uns des autres, s'il n'y avait pas un minium de règles ça serait la foire en permanence : les malpolis se fritteraient avec les polis, les vieux avec les jeunes, les riches avec les pauvres, les robeuses avec les pagneuses, etc. etc.
  15. Il y a des cas désespérés, c'est vrai. Paris est tellement cruelle que certains ne s'en remettent jamais.
  16. Un message d'espoir à nos amis parisiens : je connais un Parisien qui est allé s'installer en Indre-et-Loire pour y monter sa petite affaire. Au bout de six mois, c'était devenu un mec normal, aimable, vachement obligeant, etc.. Donc, habitants de Paris, souvenez-vous : tout n'est pas perdu, la province existe !
  17. Merci quand même de t'être manifesté : ça a fait remonter le topic !:D
  18. Ah, enfin, les Parigos du forum, on les attendait comme des messies sur ce topic ! Vous avez été bien longs à répondre !
  19. Les Parigos de souche, on les reconnaît : ils ont l'accent pointu (atmeusphêre, atmeusphêre, est-c'queheue j'ai une gueule d'atmeusphêêêre ?) :D
  20. A Madrid, peut-être, mais à Londres sûrement pas. Les Londoniens sont souvent pressés, normal : c'est une ville d'affaires importante. Mais de là à se montrer discourtois ou agressifs... ça c'est plutôt l'apanage des Parisiens que des Londoniens.
  21. Je comprends l'auteur de ce topic, car ça me fait le même effet chaque fois que je vais à Paris (toujours par obligation quand j'y vais, croyez-moi !). Voir des gens pressés, qui font la tronche, oui, c'est le cas... Mais le pire, c'est la nuisibilité de certains sujets sur lesquels on tombe au quotidien, et qui vous agressent -verbalement, mais vous agressent malgré tout-, comme s'il fallait à tout prix vous refiler leur sinistrose... Par exemple, on se balade tranquillou au bois de Vincennes, et toutes les trois minutes un cycliste vous surprend par un "Poussez-vous !" balancé avec cette hargne mêlée d'aigreur propre aux Parigos... Le genre de truc qui vous fait sursauter quoi, l'effet d'un coup de poignard dans le dos doit pas être très différent. Pareil en visitant un musée où il faut avancer en file : au bout d'un moment, c'est inévitable, il y en a un, Parigo pur souche naturellement, qui s'arrête et se met à discourir pendant une demi-heure. Ceci avec une seule attente : qu'il y en ait un qui lui demande de pouvoir passer pour lui jeter à la gueule qu'il a qu'à attendre, haineux au possible. Et je vous épargnerai les Parigos qui sombrent dans les menaces les plus barbares dès qu'un gosse pleure, ceux qui vous bousculent à deux mains parce que vous avez le malheur de pas être pressé, les commerçants qui vous font des comédies parce que vous regardez mais ne vous décidez pas à acheter... Ils doivent avoir du rottweiler dans le sang... Ou alors, je ne sais pas moi, c'est à cause de la bouffe dégueulasse servie dans leurs restos "gastronomiques", là où on se ruine pour avoir le choix entre des cochonneries en conserve et des cochonneries surgelées ? Est-ce que c'est à cause de l'air irrespirable ? Est-ce que c'est le bruit du métro en marche qui leur tape sur le système ? Des scientifiques devraient se pencher sur la question. Cela dit, moi je m'en fous, je vis en province. Dans ma cambrousse, on a le sourire, on est aimable, on n'a pas perdu le fil du goût de la vie, et puis surtout : qu'est-ce qu'on respire bien !
  22. Au fond, tous ces politiques, ces religieux, etc. qui cherchent à déposséder les femmes de leur corps en prenant des décisions à leur place, sur ce qui ne concerne qu'elles, comme le droit à l'avortement par exemple, sont peut-être plus hystériques encore, mine de rien.
  23. Chaque femme est seule maîtresse de ce qu'elle veut s'attribuer, et n'a pas de compte à rendre sur ce point à des religieux, des politiques et autres moralistes aux idées bien arrêtées, ni à quiconque d'ailleurs, je perçois aussi les choses comme ça.OK aussi avec Babeth23.
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