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Tout ce qui a été posté par Frelser
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N.B. : Serait-il possible qu'une forme de force centrifuge de l'interaction α justifie que la valeur relevée dans le laps de temps de la mesure se situe plus vers la limite supérieure que la limite inférieure déduite depuis le décalage RG/MQ ? Cela se serait fixé ainsi au mur de Planck par intrication, imprimant cette valeur comme une constante dans la trame de l'espace-temps. La valeur de la gravitation obtenue comme décalée serait ainsi possiblement justifiée du fait des contraintes énergétiques du vide intergalactique. Ainsi, nous aurions une explication plausible de l'accélération observable de l'expansion et de l'impression de courbure relative de l'espace-temps à l'échelle macroscopique, et une réponse à la masse manquante induite par le modèle standard...
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Salut Gouderien. C'est lors de la lecture du Coran que ce modèle m'est arrivé à l'idée. J'ai donc mentionné cela dans mon blog intitulé convainquisme. Mais les calculs et le fond théorique est vérifiable. J'y peux quoi si certains ont une allergie aux textes religieux ? Amitié.
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Je postes la présentation de mon modèle sous forme mathématisée depuis mon blog. Cordialement.
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Bonjour. Je remodifies mon post principal, et postes juste les idées directrices de mon idée sur un moyen théorique d'unifier la Relativité Générale et la Mecanique quantique dans un modèle plus étendu et fondamental. Introduction : La physique a connu le siècle dernier deux grandes avancées majeures, jetant les fondations de deux théories demeurant jusqu'à ce jour inconciliables : la Relativité Générale qui décrit les événements physiques à l'échelle macroscopique mais achoppe sur l'échelle de l'infiniment petit. Et la Mécanique quantique, qui décrit avec une très grande précision les événements se déroulant à l'échelle de l'infiniment petit, mais qui conduit à des étrangetés contrariant le sens commun et l'intuition à l'échelle macroscopique. Depuis Isaac Newton et sa théorie sur la gravitation universelle, l'énigme de l'attraction à distance entre objets demeurait insoluble. Jusqu'à ce que les mathématiques arrivent à maturité, et que le jeune Einstein élabore la théorie de la relativité et introduise en physique théorique les notions de tenseurs de courbure et de distorsions spatio-temporelles. Néanmoins, la Relativité Générale demeurait non réfutable à sa limite et conduisait à une singularité primordiale détruisant la théorie à sa frontière. Les recherches sur la mécanique de l'infiniment petit visant à élucider l'origine du big bang allaient très rapidement conduire à une théorie concurrente, la Mécanique Quantique décrivant l'infiniment petit. Or, les deux théories, qui ne sont encore à ce jour jamais pris en défaut, demeurent incompatibles : l'une est déterministe, locale, réaliste, la seconde acausale, et non locale. De très nombreux chercheurs tentent depuis lors de concilier ces deux théories soeurs en une théorie plus étendue, qui décrirait tant l'infiniment petit que le macroscopique, sans succes jusqu'à ce jour. La complexité de la RG et du modèle Standard permettant des réajustements des formules à chaque mesure ou observation sortant des limites de leurs prédictions à attiré notre attention sur l'hypothèse d'un risque d'antériorité du paradigme. En effet, chaque expérience étant orientée dans le contexte du paradigme des théories éprouvées, se pourrait-il que nous soyions sur une piste condamnée à tourner en rond ? Dans ce papier, nous allons approcher le sujet d'un manière volontairement simplificatrice et explorer une piste inédite originale qui permettrait d'unifier la RG et la MQ dans un modèle de Relativité Quantique. Dans un premier temps nous allons présenter notre modèle. Ensuite, nous allons confronter, au gré de nos développements, celui-ci aux points obscurs de la physique théorique telle que les étrangetés de la MQ (dualité onde-corpuscule, non localité, effet tunnel, ...), les ambiguïtés conceptuelles de la RG (courbure de l'espace, distorsion spatio-temporelle, singularité primordiale, ...), et des zones d'ombres demeurant en chantier dans le cadre plus général du modèle standard (matière sombre, énergie noire, accélération de la vitesse d'expansion de l'univers, absence apparente de matière lévogyre, énigme de l'énergie du vide, microgravité, effet Casimir, ...) et encore d'autres points non élucidés à ce jour. Synthèse 1. Tout serait le produit de quantum bidimensionnels, des segments de droite infinitésimaux, de taille très en dessous d'une longueur de Planck. 2. Ces quantum obéiraient exclusivement à un mouvement inertiel et se toucheraient avec un degré de liberté de mouvement croissant avec le temps par effet Thermodynamique, produisant une expansion isotrope de l'espace-temps. 3. Leurs mouvements se synchroniseraient de proche en proche, initiant une mécanique quantique obéissant à des comportements synchronisés dans un espace fibré fractal. 4. L'expansion de l'univers, sa topologie et toutes ses structures dériveraient de ce taux d'entropie croissant, et l'espace-temps aurait une courbure fixée localement proportionnellement à la liberté de mouvement des objets qui le peuplent. 5. Cela se retrouve à travers les unités de Planck par un décalage entre une longueur d'une année-lumière et le rapport entre une longueur de Planck/une durée de Planck, rejoignant les inégalités de Heisenberg, le coté étrange de la MQ, l'absence d'anti-matière, le déficit apparent de l'énergie du vide quantique, l'accélération de l'epansion de l'univers, la forme trop dense des galaxies etc. ------------------------------- Mon blog : Relativité Quantique et Thermodynamique
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- relativité générale
- physique quantique
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Les martyrs de la langue française.
Frelser a répondu à un(e) sujet de Frelser dans Langue française
http://www.atlantico.fr/decryptage/15-fautes-orthographe-que-beaucoup-personnes-font-et-comment-eviter-pour-bon-1003834.html -
Le temps c'est de l'argent. De un, si le temps ne ralentissait pas devant les pyramides, les gens repartiraient aussitot, or vu de l'extrérieur ils vaquent là longtemps. Ce qui explique qu'il sont statistiquement plus nombreux par là. Secundo, si cela n'attirait pas les gens la théorie d'Einstein tomberait à l'eau (et encore, sans doute à l'embourchure du Nil). Et tertio, l'effet est pourtant encore minime à notre échelle selon les calculs. Pas fort ce Einstein ?
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J'ai mentionné l'émergence de l'univers et son organisation statistique ou probabiliste. C'est bien pour soutenir que la RG n'est qu'une lecture en surface de la physique de l'Univers après son émergence. J'ai soutenu que toute théorie se voulant décrire tout l'Univers sera définitivement incomplète selon le théorème d'incomplétude. Et un peu plus haut, j'ai comparé l'organisation de l'univers avec les attracteurs étranges. Je ne vois pas ou est la faille dans mon approche ?Pour l'émergence d'un objet macroscopique par effet tunnel, je serais tenté d'écrire que c'est bien davantage leur non surgissement qui interroge. Cela est parfaitement permis par la MQ, alors, la contrainte des attracteurs doit être telle que ceux-ci soient contenus dans l'univers des possibles. Mais nous tenons que l'effet tunnel existe de façon expérimentale. Redimensionnée à 97% (416 x 312) - Cliquez pour agrandir L'émergence de l'univers de façon acausale et son organisation probabiliste suivant des attracteurs étranges ou le théorème central limite ne conforte-il pas le bon sens. Ne nécessitant plus d'action mystérieuse à distance et correspondant très précisément au théorème d'incomplétude et à la complexité de la physique. Chaque théorie ou modèle consiste en une tentative de visualisation des événements que nous observons et mesurons par le biais de nos moyens sensoriels et technologiques. Or, du fait que notre représentation mentale du "monde extérieur" est, elle-même, une simulation (les couleurs, les aromes, les parfums n'existent pas en dehors de notre mental, de même, notre sentiment d'un espace séparé divisible à l'infini, plat est incompatible suivant les mesures). Insatisfaisantes car elles consistent en des modèles algorithmiques visant à anticiper des processus plus profonds en aval sur base de faiseaux d'événements mesurés. Or, la source de ces événements étant acausale et stochastique, nous arrivons à nous focaliser sur tel ou tel détail suivant tel ou tel paradigme. Or, nous sommes définitivement condamnés à nous arrêter en aval, à la surface des événements : car le processus primaire est acausal. Ok. Seulement, dès que nous voulons éprouver le formalisme de nos modèles et théories, nous sommes conduits à aller de plus belles en précision, et c'est ainsi que les limites mathématiques des théories surgissent in fine. Je répond à ceci encore une fois par la même : si tu as un modèle plus précis capable d'expliquer la physique qui batte à plate couture la MQ et la RG tu devrais t'empresser de publier. :p Autrement, ces théories ont largement fait leurs preuves justifiant leur place d'honneur en matière d'objectivité et de vérifiablité rigoureuse. Cela ne m'étonne pas, car je suis convaincu que notre représentation tant corpusculaire qu'ondulatoire sont une quête biaisée, et que le fond est épuré de toute notion d'espace euclidien ou de déplacement dans le sens que nous le concevons mentalement. Désolé, je ne souhaite plus revenir dessus, on a déjà fait le tour du sujet sur la question de la complétude de la MQ et des expériences qui ont permis de trancher. A moins de soumettre une autre théorie au moins aussi puissante en terme de prédiction qui soit déterministe, on va ainsi tourner en rond. Pourtant, la vidéo montre de façon très pertinente que le passé, le présent et le futur sont existants en cet instant : mais je ne peux pas te forcer à lire tous mes posts. Non, il n'est jamais acquis que D sera parcouru complètement. On a une infinité de points et une infinité d'instants. Par conséquent on a une infinité d'opérations. Si nous posons ∞/∞, nous obtenons comme vitesse de l'exécution des opérations de déplacement un indéfini que nous pouvons nommer "n". Or, si n=∞, nous ne parvenons jamais à l'extrémité de D, que nous connaissions ou non sa position.
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Bonjour. Je sais que c'est drôle, mais j'ai une idée toute naïve qui m'a traversé l'esprit. Si la marge d'incertitude à l'échelle quantique venait simplement de la dilatation de l'espace autours des particules à leur échelle ? Cela pourrait expliquer les expériences comme les fentes de Young. L'emplacement de l'électron serait statistiquement indéterminé dans un volume d'espace local en fonction de la vitesse d'expansion de l'espace à cette échelle, tandis que la cellule photoélectrique détecterait l'électron en un point précis du fait qu'il ne peut pas se dissiper du fait de l'expansion ?
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La misanthropie est-elle un genre de pathologie mentale ?
Frelser a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
Par les temps qui courent, je dirais que la misanthropie est plutôt une preuve de bonne santé mentale. -
Je parles en fondant mon argumentation sur, d'une parts la physique théorique et toutes les technologies de pointes nous faisant nous rapprocher de l'infiniment petit et de l'infiniment grand.. Et d'autres parts en mon approche intuitive soulevée plus haut. Nous avons désormais la preuve ultra solide que le monde physique est différent de ce que nous nous en représentons. Je m'étonne de ton raidonnement. Tu mentionnés la physique sans doute dans un sens matériel. Sans outil mathématique, il est simplement impossible de poser une théorie ou un modèle vérifiable. Tu te souviendras que nous avons déjà évoqué ce sujet. Et j'ai expliqué en quoi nous tenons pour mathématiquement acquis que ces inégalités ne sont pas un manque de contrôle mais une conséquence des propriétés de la mécanique de l'infiniment petit. Je t'ai donc fait la remarque que la MQ décrit cette échelle des événements avec une précision ultime, ai mentionné les expériences pour trancher au sujet de l'incomplétude de la MQ. Et montré que ton approche vient de ce que ne maîtrisant pas la matière tu sous-estimes les conclusions experimentales. Si tu as visionné la vidéo que j'ai partagé, je t'invite (éventuellement) à dire quoi dans les explications te semble faux\incompris. C'est le sujet de mon topic. Aucun modèle ne sera jamais absolu, car les mathématiques elles-mêmes ne le sont pas. Une infinité de déplacements en une infinité d'opérations. Sans connaître au départ la destination (finalité) ? Pas sur qu'on soit sur la même fréquence.
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Tu ne fais qu'un jeu là. J'explique, si on fait une infinité d'opérations pour aboutir à l'infini, alors on fait appel à une infinité d'instants nécessaires pour effectuer chacune de ces opérations. Donc un temps infini... Infini mais avec une limite à N=1. J'espère que c'est plus clair. :)
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J'ai déjà traité de ceci plus haut : un tel espace discret n'est pas intuitif. En effet, on peut envisager un tel espace pour contourner les infinis mathématiques, mais comment peut-on imaginer qu'il existe un volume d'espace minimal de 0,00...n millimètres cube qui n'est pas constitué d'un sous-espace ? Cela n'est clairement pas intuitif...J'ai suggéré donc plus haut de représenter un tel "pixel" d'espace sous forme d'un point unique sans dimension et donc indivisible et souligné que les distances disparaissent : la distance absolue entre N points de dimensions nulle juxtaposées demeurant nulle on retrouvait les propriétés de non localité typiques de la MQ. J'ai donc comparé un tel espace non-local avec l'espace-temps relativiste qui peut se déformer autours des objets sans produire de déchirure dans la trame de l'espace dans les régions vides d'objets massifs : et souligné qu'un tel espace aussi est contre-intuitif, quoi que conforme aux mesures très rigoureuses. Et insisté sur le fait que de telles propriétés deviennent possibles dès lors que l'espace séparé s'avère une illusion émergent des propriétés mathématiques d'un espace non-local. Par conséquent, la représentation mentale, intuitive d'un espace de type euclidien tridimensionnel inerte et infini s'avère inexistant en dehors de notre représentation mentale naive. Il ressort que l'existence du mouvement est interdite dans le cadre de notre intuition et ne devient permise que si nous faisons appel à des processus mathématiques hautement sophistiqués qui nécessitent des limites inévitables et incontournables.
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D'infimes variations de nombre de constantes rendraient bien toute forme de vie, ou même l'organisation de la matière obsolète. Parler de truisme est juste une réponse démagogique à un état de fait qui ne te convient pas. Pourtant, c'est toi qui fait appel à l'existence spécieuse d'univers "non connexes" pour tenter une explication "sur mesure" à l'ordre qui règne dans le cosmos ? Donc, en quoi l'existence d'autres univers différents "ordonnés tout différemment" serait une explication censé barrer la voie à un état de fait : notre Univers consisterait dans ce cas en un seul parmis une quantité indénombrable d'Univers régis par de lois et propriétés différentes ? Cela ne ferait que grandir l'état de fait et étendre le paradoxe de l'Ordre au-delà de notre Univers sensible ? Raisonnement étrange, mais on n'en est plus à un près.
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En cherchant à rejeter à tout prix le principe anthropique, tu retombes en plein dedans jusqu'au bout. En effet, en quoi un Univers ne comportant pas d'être intelligent, ou d'être vivant, ou d'étoile, ou même de matière serait-elle moins intéressante que le nôtre ? En quoi par exemple un Univers à une seule dimension serait moins subjuguant que le nôtre ? Ou est-ce qu'un Univers composé de particules uniques dans un espace à N dimensions que traverseraient celles-ci dans tous les sens serait pas passionnant ?
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Salut cher @deja-utilise. Le côté stochastique le la MQ comme le côté réaliste et prédictible de la RG sont pour mon compte à considérer simplement comme une conséquence de la nature intrinsèque de l'espace-temps. Nous sommes condamnés à ne percevoir que la partie émergente de la trame de notre univers physique. Comme soulevé déjà, le théorème d'incomplétude de Gödel soutend par ailleurs qu'aucune théorie scientifique fondée sur les mathématiques ne sera jamais totalement vérifiable... J'ai lu dans l'un de tes posts (très intéressants) que tu a souligné cela dans le fil présent. La tentation est grande de chercher à violer les inégalités de Heisenberg, mais comme le dirait Niels Bohr "cessez de dire à Dieu ce qu'il doit faire". Tiens, une vidéo qui illustre si bien ma conception de la censure mathématique de tout modèle physique à ses limites... Certes, à l'échelle quantique rien n'est joué, et pourtant, selon les conséquences imparables et vérifiables de la RG : futur/présent/passé forment un tout inséparable. Cela est si bien expliqué dans la vidéo suivante..
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D'avantage que les transformations des espèces, ou même des processus d'émergence des premiers organismes vivants, il est à noter que les constantes cosmologiques, les ajustements fins, les lois de la physique, ..., sont nécessaires pour permettre un tel processus. On évalue à 9.000.000.000 le nombre de planètes habitables dans notre seule Galaxie[1]. Des observations récentes ont révélé que la vie a pu émerger à peine un milliards d'années après le big bang, vers 11,2 millairds d'années dans le passé[2]...J'ai déjà mentionné combien l'appel à un temps même potentiellement infini ne permet jamais de contourner ce paradoxe existentiel fondamental d'un tel niveau d'ordre. Mais le fil s'allonge et on perd le fil conducteur de notre sujet. J'ai plus loin évoqué l'hypothèse d'un espace discret, et des conséquences aussi implaquables qui surgissent, on chasse par la cheminée, et cela revient par la porte principale. --------------------------- [1] http://www.francecul...-de-la-voie-lac [2] http://www.journalde...-decouvert-4504
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D'une parts tu fondes ton argumentaire sur la vérification, la logique, la science, et de l'autre tu te colles à un argument sans aucun fondement pertinent. Comment accepter un tel pseudo-argument, totalement spécieux pour tenter de réfuter l'ordre évident, les lois rigoureuses, les constantes universelles, ajustements fins mesurés, quantifiés et appuyés par l'observation de plus en plus fine ? Autant croire que Zeus se cache derrière le soleil dans une zone qui nous est inaccessible et gère tout. Après tout, cela ne peut pas être vérifié / infirmé / nié.
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Avant d'avancer la théorie du multivers comme solution à ce paradoxe fondamental, il faudrait qu'elle ait été aboutie de façon réfutable. Or, non seulement elle n'est pas retenue à ce jour comme vérifiée, mais elle a même subi ces dernières années des coups très durs.Par exemple, non seulement le satellite Planck n'a pas détecté de modes B[1], mais le fammeux paramètre r des modèles inflationnaires a été infirmé au-delà de 0,12[2]. Cela a donc d'une part jeté aux oubliettes la théorie ekpyrotique, et conduit d'autre parts à l'infirmation du multivers version Andrei Linde qui nécessitait un paramètre r supérieur à 0,2 -et consolidé le modèle inflationaire standard. Autrement dit, le modèle standard se retrouve bien très fortement renforcé, et les théories censées le dépasser ont été élaguées dans une très large mesure. Tu vas trop vite en besogne, il faut savoir si le nombre d'Univers parrallèle hypotétiques sont en nombre "suffisamment grand" pour inverser la situation. Le temps émerge de la nature même de l'espace si celui-ci est considéré comme non-commutatif[3]. ------------------------------------- [1] http://www.esa.int/O..._remain_elusive [2] http://arxiv.org/abs/1502.01589 [3] http://www2.cnrs.fr/...commutative.pdf
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L'espace-temps entier en fait se déforme, mais nous ne le percevons pas à notre échelle, de même au niveau atomique, mais encore une fois nous y sommes insensibles. Cela est par conséquent permis également à notre échelle. Par ailleurs, si tu t'approchais d'un trou noir tu verrais les objets se déformer : les lois sous-jascentes sont bien les mêmes... Oui, le vide quantique est le lieu de l'apparition perpétuelle de particules virtuelles qui s'estompent aussitôt. En principe, sur le papier, il y a une probabilité non nulle qu'une particule franchisse la barrière de potentiel requis et subsiste dans le temps. Seule la terminologie détermine ce rapport, les faits sont bien là. As-tu lu mes posts en entier ? Pas selon les acquis positifs acquis à ce jour en tout cas, mais je n'y vois pas d'incompatibilité avec mon Univers Probabiliste..
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Je t'en prie mon ami. Cela me fait plaisir de partage cette passion avec d'autres. Cordialement.
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Salut à tous. Je voudrais partager une nouvelle avancée qui touche le sujet de mon topic. Nous avions avec les données de Planck découvert que l'Univers semble bien répondre de façon presque décevante avec la théorie standard... Mais il demeurait un souci théorique, à savoir l'effondrement de la théorie aux frontières du Big Bang. En effet, le formalisme mathématique aboutissait à des infinis. Le problème vient d'être mathématiquement contourné par Sergiu Klainerman, Igor Rodnianski et Jeremie Szeftel. http://smf4.emath.fr...e_144_39-47.pdf
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En effet, Einstein a élaboré une théorie dure comme le diamant qui brille depuis sa publication.
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@Pascalin. Un même objet peut selon l'angle de vue ou le paradigme présenter de multiples lectures potentielles. De même, la complexité et la non linéarité des lois à leurs limites montre, en conformité avec les théorème d'incomplétude de Gödel, que strictement aucun modèle et aucune théorie ne peut mathématiquement être complète à ses limites.
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On rapporte que lors des invasions mongoles du monde Arabe, un mongol musulman buvait de l'alcool sur le bord d'une rue. Un disciple du Cheikh ibn Taymiyya demanda au Cheikh pour inciter le mongol à cesser de boire, en lui disant que cela est prohibé en islam. La réponse du Cheikh fut ainsi : "Laisse-le donc boire, tant qu'il se concentre sur ses gourdes, au moins il ne sème pas le chaos".Peut-être que faire des raids contre du terroriste musulman peut paraitre réconfortant chez certains. L'intervention internationale conte l'EI revient à rendre un problème local de barbarie un problème international. Est-ce que la France aurait l'idée d'aller bombarder des groupuscules terroristes au Japon, ou au Chili ?
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On devrait exterminer toutes les bêtes carnassières et davantage protéger les végétaux et autres herbivores..