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Zarathoustra2

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Tout ce qui a été posté par Zarathoustra2

  1. Vous faites la sourde oreille, je repose ma question : que vient faire le mot séparable dans cette question ? Vous ne réponsez jamais sur le fond.
  2. Le sens de "je" n'est pas réel, mais arbitraire. Une convention décide d'un choix sans rien changer à la réalité. Une affirmation elle décrit le réel. Si je dit qu'une voiture est rouge, j'affirme quelque chose sur le monde. Si je change le sens du mot voiture ou du mot rouge, je n'affirme rien sur le monde. Il est nécessaire de distinguer la convention, qui est un choix arbtraire, de la réalité. Vous y êtes presque. La convention construit un objet abstrait, comme le mot "je" qui n'existe pas vraiment. Le postulat va lui parler du réel.
  3. Pourquoi moins de femmes s'investissent en politique ? N'y aurait-il pas une raison ?
  4. Une convention n'affirme rien. Un postulat affirme quelque chose.
  5. Les congés parentaux devraient compter dans les années pour la retraite à taux plein.
  6. Où est la difficultée ? Je dis que lorsque nous ne disposons d'aucun moyen de comparer, nous ne pouvons pas dire si c'est égal ou différent. Vous, au contraire, profitez de cette absence de moyen pour prétendre qu'il y a égalité. Voilà qui est rusé, car comme personne ne peut savoir, personne ne pourra montrer le contraire !
  7. Que vient faire le mot "non-séparable" dans cette phrase ?La différence entre la matière et l'espace est la même, que l'espace soit séparable ou non-séparable. Vous jouez au savant, mais vous utilisez des mots que vous ne comprenez pas. Aucun rapport avec le schmilblick. Visiblement, vous ne savez même pas ce qu'est un champ de probabilité.Un champ de probabilité est une fonction qui à chaque point de l'espace associe une densité de probabilité. Il ne peut pas exister de champ de probabilité sans qu'il n'existe, auparavant, l'espace.
  8. Vous avez raison sur ce point : rien ne permet de dire que deux personnes différentes (même si elles ont le même sexe) souffriront autant d'un viol.Mais admettez que si les différences à l'intérieur d'un même sexe engendrent déjà des différences dans la souffrance endurée, cette différence ne peux qu'être accentuée quand, en sus des différences psychologiques, est ajouté la différence sexuelle ! Parce qu'aucun argument ne nous permet de dire que les deux sont pareils. Il faut lutter contre la faim dans le monde et pas uniquement contre le viol.Je suis d'accord pour dire qu'il faut lutter contre tous les problèmes différents. Ok, vous ne connaissez rien sur le sujet. Je sors du débat, bonne continuation. **facepalm** Vous restez bloqué dans vos dogmes. Le viol est une agression physique, même s'il engendre un traumatisme psychologique comme toutes les autres agressions physiques.
  9. Ok. Justement je ne cesse de vous reprocher une inéquité, je vous reproche de ne pas considérer que mon système est aussi bon que le votre.Je remarque que votre argument utilise la raison (vous utilisez arguments et déductions logiques), et que donc toute votre théorie s'effondrerait sur elle-même si elle se plaçait dans un cadre ou la raison pourrait être contestée. A partir de ce point, votre système ne peut plus admettre que les systèmes irrationnels ne peuvent pas être jugés par la raison, car votre jugement sur les systèmes repose ici sur la raison. Je suis d'accord sur les deux aspects : Premier aspect : la communication repose sur des conventions, i.e., des principes qui ne peuvent ni être vrais ni être faux car ils ne parlent pas du monde. L'orthographe et la définition des mots sont bien des conventions, car elles n'affirment rien sur la nature de l'univers ou du monde qui nous entoure. Second aspect : Ces conventions sont nécessaire pour se comprendre. Dans tout le paragraphe qui suit vous nous parlez des conventions de théories, sans vraiment dire de quoi il s'agit. De plus, ce n'est pas le sujet du débat. Le problème ne pose pas sur les conventions qui n'affirment rien, mais bien sur les postulats/axiomes qui affirment des choses sur le fonctionnement du monde et ne sont donc pas des conventions. Ce paragraphe est donc flou et hors sujet. Il ne répond pas au problème, mais l'esquive habilement, en parlant des conventions théoriques au lieu de parler des affirmations faîtes par les théories sur le fonctionnement du monde.
  10. Oui. Oui. Oui. Vous citez 3 cas de contrainte par la force. Mais pourquoi dans ces trois situations différentes est-ce que la souffrance de la victime serait la même ? Une patronne qui carresse de force le derrière d'un employé sexy le contraint, même chose si elle le doigte, mais j'ai dans l'idée que même si la contrainte est un point commn, la souffrance sera différente. La pierre d'achoppement est la suivante : vous considérez que quelques points communs suffisent pour dire que la souffrance est identique. Je crois plutôt que quand il y a des points communs et des différences, les différences peuvent prédominer et créer une souffrance différente.
  11. Il n'a pas compris le sujet ou il ne l'a pas compris comme vous l'auriez voulu ?
  12. Mais Platon avait une connaissance indirecte de l'Atlantide. Qu'il se soit trompé est plausible.
  13. Une entité transcendante et absolue est nécessairement objective.
  14. Visiblement, soit vous ne m'avez pas lu, soit vous n'avez rien compris. Ce que je sais, c'est que vous ne disposez d'aucun moyen de comparaison. Ce que je sais, c'est que dire que c'est pareil ou dire que c'est différent est un choix dogmatique, un choix que vous ne pourrez jamais justifier. Pur dogme. Le viol est avant tout une agression physique dans laquelle la victime est contrainte, souvent par la force.
  15. Le problème est que votre argumentation est "la réalité est objective, donc dire que la réalité est subjective est une connerie". Ce n'est pas un argument, donc je le rejette. C'est comme si je vous disais "la réalité est subjective, donc dire que la réalité est objective est une connerie" Et donc ? Vous n'avez pas prouvé que cet argument est valable dans mon système de pensée. Donc il est caduc. Je vous rappelle que vous imposez à mes arguments d'être valables dans votre système. Admetez donc une certaine forme de réciprocité. En plus, cette réponse ne répond pas à la question principale : pourquoi imposez-vous vos axiomes, e.g. l'axiome qui dit que la raison ne peut pas reprocher à un système irrationnel d'être irrationnel. Pourquoi votre axiome peut-il rester injustifié ? PS : Vous dites que mon argumentation est "la réalité est objective, donc dire que la réalité est subjective est une connerie". C'est n'importe quoi. Cessez de lire en diagonale et de déformer mes positions. J'ai donné des arguments autrement plus sérieux concernant l'objectivité, mais vous les avez ignorés ou pas lus.
  16. Et que devrait-on en déduire ? quel rapport avec le Schmilblick ? Vous ne démontrez nulle part que le plaisir sexuel féminin est identique au plaisir sexuel masculin. Vous ne démontrez nulle part que la souffrance sexuelle d'un viol est la même pour une femme ou un homme. Jamais personne n'a pu être violé(e) comme femme et comme homme, jamais personne n'a pu comparer les souffrances engendrées par ces deux situations bien différentes. Comment, dans ces conditions, dire que les deux cas sont identiques ? Comment, sans avoir jamais pu comparer, en sachant qu'il existe des différences, prétendre que la douleur est la même ?
  17. Cadenor, comme vous semblez ne lire mes messages qu'en diagonale, je vous rappelle celui-ci : C'est la base de votre système de pensée, autrement dit ce sont vos "axiomes", vos "postulats", vos "dogmes". Pourquoi devrais-je y adhérer ?Qu'est-ce qu'un axiome sinon la base de la base ? Tout votre système de pensée repose sur des liens que vous présupposez entre les différents systèmes de pensée. Par exemple, vous présupposez qu'un système ne peut juger un autre qu'en se basant sur une base commune. Néanmoins, en affirmant ceci, vous jugez tous les systèmes, y compris ceux qui refusent vos postulats sur les liens entre systèmes. Vous placez votre système au dessus de tous les autres : avec vos dogmes/postulats, vous pouvez prétendre que les autres systèmes ne peuvent faire ceci ou cela ! Mais ces autres systèmes, eux, ne peuvent vous critiquer qu'en utilisant les axiomes que vous acceptez. Pourquoi cette différence ? Pourquoi vous vous pourriez imposer vos axiomes mais pas l'inverse ?
  18. Supposer d'emblée que la position adverse est acceptable, ou supposer d'emblée que la position adverse est inacceptable sont les deux extrêmes. Ces deux extrêmes empêchent tout débat, vu que dans un cas, il ne sera pas possible de réellement contester l'opinion adverse, et dans l'autre cas, il ne sera pas réellement possible d'être convaincu par l'opinion adverse. Aucune de ces deux positions extrémistes n'est une solution. Comme le dit l'adage In medio stat virtus. Ma position, que j'ai déjà exprimée, est la suivante : Tout débat censé repose sur l'analyse des arguments, et non sur des présupposés dans un sens ou dans l'autre. Remarque déplacée alors que vous venez de me poser une question à laquelle j'ai déjà répondu.De plus, vous oubliez systématiquement de lire certains de mes messages. Vous n'avez toujours pas répondu sur votre "base de la base". Pourquoi quand c'est moi qui argumente, ce sont des axiomes, et pas quand c'est vous ? Moi j'aurais des axiomes tandis que vous, vous avez "la base de la base". Pourquoi cette différence ? En quoi vos axiomes seraient-ils meilleurs que les miens ?
  19. C'est finalement un postulat qui pourrait être faux. L'Homme est psychologiquement et physiologiquement différent de la femme. Que la situation ne soit pas symétrique est donc tout autant voire plus plausible. PS : Vous m'excuserez de ne pas répondre à la partie de votre message s'abaissant aux attaques personnelles.
  20. Pur argument rhétorique. La suite justifie mon premier argument : "Rien ne permet de dire que le sexe du violeur change quelque chose". Vous avez simplement omis dans votre message que "rien ne permet de dire que le sexe du violeur ne change rien. Nous ne savons rien, ni dans un sens, ni dans l'autre, et vous vous avez postulé que l'une des deux affirmations est vraie.
  21. Ne vous défilez pas ! Vous n'avez pas justifié les axiomes qui sont "la base de la base" de votre système de pensée !
  22. Pur dogme. Vous pouvez appeler ceci "axiome" ou "postulat", mais le fond restera le même. Rien ne permet de dire que le sexe du violeur change quelque chose, rien ne permet de dire que le sexe du violeur ne change rien. Vous avez donc, décidé tout seul de postuler l'absence de différence. Mais est-ce objectivement vrai ? Vous n'en savez rien.
  23. Je ne le considère pas d'emblée comme illégitime, vous m'avez mal lu.Je considère au contraire qu'il peut être légitme ou pas, selon les cas. Il faut analyser les arguments proposé. Au contraire, vous refusez, vous, toute légitimité au système adverse, il est, à vos yeux, conditionné à des axiomes forcément injustifiés. Et bien si, puisque un système est incohérent si, à partir de ses axiomes, nous pouvons, par la raison, arriver à une affirmation qui, selon la raison, est nécessairement fausse, i.e., contradictoire. Ce consensus global, n'est-ce pas là une manière détournée de refaire intervenir de l'objectivité sans le dire ?Si ce consensus peut s'imposer à un système subjectif, c'est bien qu'il est investi d'une force objective, i.e., indépendante de l'esprit de celui qui le subit.
  24. Je vous retourne le compliment : ce que vous voulez c'est que j'admette vos "axiomes", parce que vous avez raison et que c'est comme ça !Quand un présupposé vient de vous, il est, je cite vos propres mots, "la base de la base". Quand un présupposé vient de quelqu'un d'autre, c'est un axiome et/ou un postulat injustifié. Vous exigez de moi et des autres de justifier nos axiomes. Mais vous vous dispensez de justifier les votres. Vous considérez à priori que vous avez raison dans l'absolu, tandis que moi un autre ne pourra avoir raison que relativement à un système. Tout le problème vient de là : vous vous considérez comme le seul à pouvoir parler dans l'absolu. Vous attribuez même une nature différente à vos axiomes, qui sont la base de la base, qui sont absolus, tandis que les axiomes des autres sont relatifs. Comment faire pour discuter si vous considérez d'emblée le point de vue adverse comme inférieur et relatif ?
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