Aller au contenu

Passiflore

Membre
  • Compteur de contenus

    23 053
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    15

Tout ce qui a été posté par Passiflore

  1. Là il est question d'un animal qui, contrairement à l'homme, n'a pas la faculté de discernement entre le Bien et le Mal ni la réflexion en découlant. Comment en vouloir à un grand fauve de tuer pour se nourrir une jolie gazelle ? On peut aussi raisonner ainsi et se dire que si tous ces animaux que nous trouvons si jolis, si charmants n'avaient pas de prédateurs naturels (choisissant de préférence une bête faible, malade soit dit en passant) ils seraient très vite en surnombre ce qui pourrait poser problème, d'autant plus que les troupeaux seraient affaiblis par certains de leurs membres malades.
  2. En quoi Dieu serait-il responsable du fait que les "puissants" de la Terre s'en mettent plein les fouilles pendant que tant de malheureux crient famine ?? Pourquoi rendre Dieu responsable du fait que tant de religieux se servent de son Saint Nom pour commettre des abominations ?? Ce n'est pas sans raison que tant de maladies sont dites de civilisation, liées donc à notre mode de vie. Là encore ce serait Dieu le responsable de toutes les aberrations notamment alimentaires de l'homme, des produits hautement nocifs voire mortels qu'il fabrique, de la pollution effarante commise dans un non-respect total de la Terre que Dieu a confiée à l'homme et où il pouvait trouver tout ce qui était nécessaire à sa subsistance ?? C'est la faute de Dieu si l'homme a fait de la Terre une Terre de désolation où l'air devient de plus en plus irrespirable et l'eau de moins en moins potable ? Tout cela est la faute de l'homme, non de Dieu. Il suffit de se rappeler la colère du Christ quand il a vu des marchands dans le temple pour savoir que tout ceci n'est pas très... chrétien.
  3. Oui, afin qu'il puisse librement choisir entre le Bien ou le Mal. Qui est responsable du réchauffement climatique et de l'état général de la Terre provoquant divers cataclysmes ? Dieu ? Pratiquement toutes les zones sismiques sont connues, pourquoi l'homme continue-t-il à y vivre ? Ca aussi c'est la faute de Dieu ? Un exemple parmi d'autres : on sait que certaines côtes sont propices aux tsunamis et qu'il y eut de nombreuses pertes en vies humaines et pourtant on rebâtit sur ces mêmes emplacements dévastés ; la faute de Dieu ?
  4. D'accord avec vous sur ce point-là mais il n'empêche que certains cas de guérison inexpliquée posent question : pouvoir phénoménal de l'esprit (phénomène connu et reconnu) ? Intervention de Satan pour mieux duper les crédules car il n'y a aucun fondement biblique quant à l'éventuelle capacité de la mère de Jésus à apparaître aux vivants ?
  5. Oui, Dieu a laissé à l'homme la liberté de choisir la voie qu'il veut suivre, de choisir sa vie, de faire les choix existentiels lui convenant, de faire le Bien ou de faire le Mal, de croire en Lui ou de Le rejeter. Qui sait si parfois Dieu n'intervient pas, sans qu'on s'en rende compte ? Il agit mais rarement de la façon qu'on espérait et c'est souvent plus tard que l'on comprend comment Il a agit. Une religion quelle qu'elle soit est mauvaise et vient du Malin si elle ordonne de tuer au nom de Dieu.
  6. Lorsqu'on lit certains faits divers sordides concernant la maltraitance des enfants (abominables tortures allant parfois jusqu'au meurtre), c'est ce qu'on se dit...
  7. Je suis une femme, non un ange (créature céleste asexuée) et la perfection n'est point de ce monde. Lorsque j'étais enfant et que je lisais Tintin, j'aimais bien et trouvais très amusants le petit ange et le petit diable au-dessus de la tête de certains personnages de cette bande dessinée, symbolisant le Bien et le Mal ; la bonne pensée suggérée par le petit ange, la mauvaise pensée suggérée par le petit diable et nous en avons tous, nous tous autant que nous sommes, des bonnes et des mauvaises pensées et je ne fais pas exception à la règle. A chacun de savoir quel "loup" en lui il veut nourrir, selon la légende amérindienne "loup blanc et loup noir" que vous connaissez sûrement : lequel des deux va gagner ? Celui que l'on nourrit, dit la moralité de cette histoire. En chaque personne se trouve une part sombre, d'une obscurité plus ou moins importante ; à chacun de bien connaître la sienne afin de lutter contre si on l'estime nécessaire ; on se complaît dans ses propres ténèbres ou on cherche à retrouver la lumière, tout dépend de ce en quoi on aspire.
  8. "perversité", "transgression", ce sont pourtant vos propres termes. Ce qui vous attire : la perversité potentielle de la femme et la transgression ; sans ces deux facteurs point de sexualité digne de ce nom, selon vous et vous vous permettez même de traiter de neuneux tous ceux ne partageant pas votre avis ! Mais comme chacun sait, tout le monde est neuneu sauf... vous ! (sifflotis)
  9. En d'autres termes, ce qui vous excite c'est que la femme oublie toute spiritualité et romantisme pour s'adonner à la perversité selon votre bon plaisir ; le summum de l'amour serait donc, selon vous, de s'avilir pour satisfaire l'autre. C'est vraiment ainsi que vous pensez, concevez l'amour ?? Vous trouvez jouissif d'amener à la souillure, à l'avilissement, celle que vous dites "aimer" ?? Que vous ayez besoin de "perversité", de "transgression" (je reprends vos termes) pour accéder à la jouissance c'est votre droit le plus strict et personne n'aura rien à redire à cela, cela vous regarde mais de grâce soyez logique et ne nous abreuvez plus de sujets sur le romantisme, la spiritualité, l'âme ah l'âme ! vous n'êtes pas crédible, pas crédible du tout. Plus on vous lit et plus on comprend aisément pourquoi vous n'avez pas de compagne ou plus exactement, les raisons faisant qu'aucune femme ne veuille partager votre vie : votre esprit est par trop tortueux, vous n'avez pas encore trouvé de ligne directrice à votre existence, vous vous éparpillez, votre pensée part dans tout les sens en un embrouillamini inextricable, vous êtes pétri de contradictions... stooooop n'en jetez plus !! Ok j'arrête là.
  10. Ou tout simplement penser que l'orifice d'évacuation des matières fécales doit se cantonner à cette fonction. Bon nombre d'hommes et de femmes trouvent parfaitement dégoûtant ne serait-ce que l'idée de trifouiller ou de se faire trifouiller la voie anale.
  11. Les enfants font partie des couleurs de l'existence pour une grande majorité de femmes, certes puisque c'est l'un des choix existentiels (et non le moindre) du couple mais d'autres couleurs font partie de cet ensemble, dont le père et compagnon de vie ainsi que ce qu'ils entreprennent dans leur quotidien et les personnes qu'ils côtoient ; c'est un TOUT voyez-vous, un ensemble, un tableau lumineux par sa palette de couleurs.
  12. Comme je vous plains !! Votre existence semble être d'un terne !!... Figurez-vous mon cher, qu'une femme peut tout à fait être mère et femme tout à la fois ; elle ne cesse pas d'être femme lorsqu'elle devient mère et encore heureux (hormis un petit pourcentage de femmes devenues mères et se désintéressant de la sexualité) ! Votre méconnaissance de la femme est tout bonnement ahurissante, effarante !! C'est à se demander quel genre de femmes vous avez connu jusqu'à présent !! Non non ne me répondez pas, ce n'est pas une question !! L'âme de la mère est tournée vers ses enfants, certes mais aussi vers leur père, son indispensable compagnon de route.
  13. Vous n'avez qu'à poser la question à des couples catholique pratiquants.
  14. et anale, n'oubliez pas la voie anale, le summum du romantisme selon hell-spawn...
  15. Vous auriez été mieux inspiré si vous aviez choisi une autre image que cette posture de soumission de la femme "à quatre pattes croupe offerte". Avec une sexualité tout court, épanouissante pour l'homme tout autant que pour la femme, en une parfaite harmonie et une non moins parfaite complicité amoureuse. Cooomment ?? La pénétration par l'orifice d'évacuation des matières fécales, tu ne trouves pas que ce soit follement romantique ??
  16. et surtout de malignité, ce qui est aux antipodes du romantisme et de la spiritualité.
  17. Il est certain que dans le cadre du romantisme et de la spiritualité, le choix du texte et des images qu'il évoque est plus que contestable ; ça fait tache sur le tableau.
  18. C'est sûr que dans une telle posture, difficile de se regarder dans les yeux...
  19. Il semblerait que pour lui oui ce le soit, de même que la soumission de la femme, son "à quatre pattes croupe offerte" est on ne peut plus révélateur.
  20. Non, ce que vous décrivez là n'a rien de romantique et "salit" si je puis dire ce que vous avez écrit juste avant : "un homme et une femme s'apprêtent a faire l'amour : l'homme et la femme se comprennent parfaitement, ils se voient l'âme (...) pour lui elle est LA femme, pour elle il est l'Homme". Le côté cru de la scène telle que vous l'avez décrite gâche quelque peu le tableau et ce "à quatre pattes" y apporte de surcroît une touche bestiale.
  21. Il serait bien d'éviter d'établir une vérité sentencieuse à partir de quelques cas de femmes non perspicaces, celles que peut-être vous avez eu l'occasion de côtoyer jusqu'à présent. Cessez donc de considérer la femme comme un être stupide, facile à abuser, c'est crispant à la fin !
  22. Je l'avions bien compris mais du fait que pour l'exemple 3 vous avez parlé à la 1ère personne du singulier (contrairement aux deux premiers exemples) j'ai donc fait pareil
  23. Oui et cela est grave ; il n'aurait jamais dû en parler à qui que ce soit et révéler une info d'ordre privée dite sous le sceau de la confidence. De quoi j'me mêle !? De quel droit se permet-on de parler ainsi de la vie des autres ? C'est de la méchanceté et de la malveillance ni plus ni moins ; quelqu'un bavassant de la sorte sur ce qui ne le regarde pas cherche manifestement à nuire à la personne concernée. Là encore, de quoi j'me mêle !? Pourquoi te montrer cruelle envers cette malheureuse femme qui ne t'a rien fait ? L'une sera anéantie (à moins qu'elle ne le sache déjà) et le mari risque de te tomber sur le paletot et tu n'auras que ce que tu mérites ! On se doit d'être discret et de ne pas se mêler des affaires des autres.
×