Passiflore

ça aurait été très volontiers mais l'ambiance que font régner certains intervenants ne donne guère envie d'aller plus avant dans la conversation. Avez-vous au moins lu pourquoi j'ai écrit cela ? A qui et pourquoi j'ai donné cette réponse ?

Pour ma part, je pars du postulat que si Dieu m'a placée à telle époque, dans tel pays, au sein de telle famille pratiquant telle religion et pas telle autre, ce n'est pas sans raisons. Cela dit, ça ne m'a pas empêchée de me démarquer de la religion pratiquée par ma famille et de m'en choisir une autre ayant néanmoins quelques similitudes avec la leur. Je suis ébahie par la puéri... euh la force du raisonnement !

Jésus dit à Thomas : "parce que tu m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu et qui ont cru !" (Jean 20 : 24-29) Il est certain que si, à l'instar de Thomas, on ne croit qu'en ce que nos yeux voient et qu'en ce que nos mains touchent, ça limite passablement la réflexion quant à d'autres perceptions possibles. Chacun sa façon de voir les choses mais la paresse intellectuelle comme vous dites, n'est-elle pas plutôt de ne pas pousser la réflexion plus loin que : "Dieu est seul responsable de tous les maux de la Terre et de tous les désastres !" ?

Un peu facile d'accuser Dieu et de Le considérer comme seul et unique responsable de tous les maux de la Terre !!

Ce qui est le sens profond du baptême : la mort du vieil homme en soi au profit de la créature nouvelle régénérée en Christ et purifiée par l'eau du baptême.

Je vous rejoins dans ce que vous dites là.

Les preuves de l'intervention de Dieu je les ai eues, les miens les ont eues.

Incontestablement. Je pourrais vous donner des exemples précis mais ça m'obligerait à parler d'affaires m'étant personnelles et de toute façon je ne me fais aucune illusion, vous réfuteriez tout en bloc alors à quoi bon.

Alors que la foi est force et moteur propulseur, non un enfermement mais une acceptation et un cheminement vers Dieu sur la voie du perfectionnement de soi.

Dieu intervient rarement de la manière dont on aurait aimé qu'Il intervienne, en résolvant purement et simplement le problème auquel on est confronté. C'est parfois longtemps après que l'on comprend comment Dieu est intervenu.

Ce n'est pas ce que disent les écrits bibliques.

C'est bien pour cela que Dieu, connaissant la faiblesse de l'homme, lui a laissé la liberté de choisir. Pour servir Dieu, il vaut mieux qu'un homme demeure chaste mais, plutôt que de sombrer dans le péché, qu'il prenne une épouse.

C'est toi qui tiens les rênes du frêle esquif de ta vie, c'est toi le capitaine de ton bateau même si... Dieu sait à l'avance quels seront les choix que tu feras, les erreurs que tu commettras et à Sa façon (qui ne sera pas celle à laquelle tu t'attendais) Il t'aidera ; bien souvent ce n'est que bien plus tard que l'on comprend qu'à tel moment précis, Dieu est intervenu.

Abraham, "père des croyants", marque la Bible tout entière car c'est lui qui, le premier, reçoit la Révélation et va croire en un Dieu unique. Pour les chrétiens et les juifs, Abraham est le premier des trois patriarches, avec Isaac et Jacob, tandis que les musulmans le considèrent comme une des quatre grands prophètes avec Moïse, Jésus et Mahomet. Qui est Abraham ? Son nom est d'abord Abram "Père élevé". Originaire de Mésopotamie, il vivait près d'Ur en Chaldée. Il répond à l'appel de Dieu qui lui demande de quitter son pays, sa famille pour fonder un nouveau peuple (Genèse 12, 1-8). Abram fait confiance à l'appel de Dieu, il emmène sa famille et ses troupeaux sur la terre de Canaan, aux abords de la Méditerranée. Dieu change son nom en celui d'Abraham "Père de la multitude" et lui donne, malgré son âge, d'avoir une descendance. Abraham aura d'abord Ismaël, fils de l'esclave égyptienne Agar puis Isaac, le fils de la promesse et de sa femme Sara. Dieu va ensuite infliger à Abraham une épreuve suprême, il lui demande de sacrifier Isaac (Genèse 22). Au dernier moment un ange interviendra pour le sauver du sacrifice ; Dieu voulait seulement mettre la foi d'Abraham à l'épreuve. Le livre de la Genèse nous dit : "Abraham eut foi dans le Seigneur et le Seigneur estima qu'il était juste". Cette phrase, Saint Paul l'a retenue pour dire qu'Abraham est le modèle des croyants. Abraham est aussi le père du peuple d'Israël. Dans la Bible les juifs sont appelés "les enfants d'Abraham". L'alliance que Dieu a conclu avec Abraham leur ancêtre se continue avec eux. Ils le rappellent en pratiquant la circoncision sur les jeunes garçons. Abraham incarne aussi l'hospitalité et l'amour d'autrui. Abraham est révéré par les musulmans qui le nomment Ibrâhîm. Il est surnommé as-siddiq, "le juste" ou al-hanîf, "le pur, le parfait". La sourate 14 du Coran porte son nom. Cependant, il faut noter que le Coran et la Bible se contredisent sur un point central, le fils sacrifié : d'après le Coran, il s'agirait d'Ismaël et non d'Isaac. Chrétiens, juifs et arabes se donnent donc en Abraham un ancêtre commun, l'ancêtre de tous ceux qui changent leur vie parce qu'ils croient au Dieu unique. Abraham est reconnu "père des croyants" par les juifs et les chrétiens. Il l'est aussi par les musulmans qui, par Ismaël, fils d'Agar l'Egyptienne, se reconnaissent de sa descendance.

" (...) Le mari doit remplir son devoir d'époux envers sa femme et la femme, de même, doit remplir son devoir d'épouse envers son mari (...) ne vous refusez pas l'un à l'autre, à moins que d'un commun accord, vous n'agissiez ainsi momentanément (...) mais ensuite, reprenez une vie conjugale normale sinon vous risqueriez de ne plus pouvoir vous maîtriser et de céder aux tentations de Satan (...)" (extraits de 1 corinthiens 7) L'acte charnel entre un homme et une femme au sein d'un couple n'est pas péché aux yeux de Dieu. Créateur de toute chose, Dieu a même créé le plaisir charnel afin que l'union de l'homme et de la femme soit un moment de plaisir dans la complicité conjugale.

Le chrétien doit être dans l'action, non dans la passivité ; il tient le gouvernail du frêle esquif de sa vie ; à lui de voir les signes que Dieu lui envoie.

A chacun de choisir la voie qu'il veut suivre : celle du Bien ou celle du Mal.

Souvent je me demande : "qu'aurait fait ou dit le Christ s'il s'était retrouvé dans la situation dans laquelle je suis ou face à la personne devant laquelle je me tiens ?" et cela m'aide à choisir le comportement me semblant adéquat, conforme à l'état d'esprit chrétien.

En choisissant de suivre le Christ les chrétiens deviennent, par le fait même, juifs d'adoption.

Alors que nous nous apprêtions à fêter les 3 ans de l'un de mes petits-enfants j'ai demandé à ma fille cadette (la maman), de me donner des idées de cadeaux et voici ce qu'elle me suggéra, en fonction des jeux auxquels son garçonnet aimait jouer : un établi avec outils et voiture à construire (c'est le cadeau que j'ai choisi), un château de pirates, une mallette de docteur et... un baigneur (c'est une amie de ma fille qui le lui a offert), ayant constaté que lorsque sa cousine (ma petite-fille de 4 ans) ou des copines (filles de ses amies) étaient là, il aimait jouer avec elles à la poupée. Mon petit-fils n'a vraiment rien d'efféminé je vous assure, bien que parfois il joue avec un poupon (c'est le bébé qu'il aime, bien plus que la poupée fille) et ça ne l'empêche pas de jouer à la bagarre ou avec son garage et ses petites voitures ou avec son établi, son bateau de pirates et tous ses autres jouets. En fait il aime jouer avec tous les jouets, ne rentrant pas dans la considération de savoir si c'est un jouet de garçon ou de fille. En grandissant, il préférera jouer avec tels jouets plutôt que tels autres.

La différence et elle est de taille, c'est qu'il ne s'agit effectivement plus d'asservissement.

Oh que oui, ça l'est... "elle avait mis sa virgi­nité en vente sur inter­net… Et si la jeune femme avait décidé de vendre sa première fois au plus offrant, c’était comme elle le confiait pour pouvoir « ache­ter une maison à ses parents » Quels parents dignes de ce nom accepteraient une maison acquise dans ces conditions !?!

D'aucuns diraient un sage.

" ... était passée sur le plateau de l’émis­sion britan­nique This Morning. Elle était venue y racon­ter qu’elle avait mis sa virgi­nité en vente sur inter­net". Pas d'quoi fouetter un chat ? Vraiment ?

Certes mais cette jeune fille ne s'est pas juste prostituée, elle a mis sa virginité aux enchères ; ça change la donne tout d'même, non ?