Passiflore

Mais pourquoi se mettre en couple alors, si on le vit comme un enfermement et un empêchement à coucher avec qui bon nous semble et à avoir moult partenaires sexuels ??

Voilà, tout simplement.

Je vous rejoins dans les idées que vous avez exposées là. Je fais partie des personnes qui pensent que lorsque l'amour charnel avec son/sa conjoint-e ne suffit pas, lorsque l'on ressent le besoin de connaître d'autres bras que ceux de la personne que l'on prétend aimer, c'est tout simplement parce que l'on n'en est pas totalement amoureux-se.

LA prière par excellence, telle qu'elle nous fut enseignée par le Christ.

"Dans nos clichés", rire ! Mieux vaut en rire qu'en pleurer, tant je trouve cela attristant... Je ne puis que vous souhaiter de connaître un jour le véritable amour, celui qui saura vous combler et vous ôter toute envie d'aller voir ailleurs.

Eh bien justement, lorsque l'on est volage et que l'on sait que l'on ne saura se satisfaire d'un-e seul-e partenaire sexuel-le, pourquoi se met-on en couple ?? Mieux vaut rester célibataire et folâtrer à sa guise. En principe lorsqu'on se met en couple, c'est que l'on considère avoir enfin trouvé celui/celle qui comblera toutes nos attentes ; c'est en tout cas ainsi que personnellement je conçois les choses. Je reconnais avoir du mal à comprendre comment deux personnes se mettant en couple puissent tenir le discours suivant : on se met en couple mais on est bien d'accord, on ira voir ailleurs quand l'occasion se présentera.

Une âme ressemblant en tous points à la nôtre, je doute que cela soit possible et c'est plutôt tant mieux ; par contre des âmes étant en communion de pensées et de sensibilité et par conséquent "se reconnaissant" en quelque sorte, d'où la notion de "soeurs", oui.

Comme il est rassurant de voir qu'il existe encore des hommes et de femmes croyant en l'amour et prônant la fidélité mutuelle !!

Là encore je vous rejoins.

Quand on aime réellement d'un amour tel que l'on envisage l'aimé-e comme compagnon-gne de route, je partage votre avis. Là encore je vous rejoins, même si je pense que la véritable amour va bien au-delà du romantisme.

Mon avis sur la question rejoint dans l'ensemble le vôtre Léna-Postrof et ce, bien qu'il me semble que nous ne soyons pas vous et moi de la même génération.

Fidèle à qui, en cas de non-exclusivité et donc d'infidélité même si mutuelle, celle-ci ??

infidélité et non-exclusivité c'est du pareil au même, quand bien même l'infidélité mutuelle serait le mode de fonctionnement du couple ; ils sont infidèles l'un envers l'autre et réciproquement. Pour ma part, je ne comprends pas que l'on se mette en couple quand on fonctionne de cette façon mais bon, je suis apparemment de l'ancienne école (traitez-moi de "has been" ce me sera un compliment, tant il est vrai que je tiens aux valeurs que je prône).

L'un des aspects de l'envers du décor de la civilisation occidentale... s'ajoute à cela la violence conjugale, entre autres.

Point trop n'en faut ; pas plus l'obésité que l'extrême maigreur ne sont agréables à regarder.

Sauriez-vous expliquer ce "mais" ?

On peut aimer d'amour sans pour autant perdre une partie de son âme, sans pour autant renoncer à qui l'on est ; d'où l'importance fondamentale de trouver un compagnon ou une compagne de route (selon que l'on soit une femme ou un homme) conforme à ses aspirations et avec qui on regardera dans la même direction, avec qui la complicité sera dans tous les domaines et qui partagera une même vision des choses de la vie et de l'amour.

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 0/100 Mon temps 10 secondes  

D'accord avec ceci.

Ah parce que la fidélité mutuelle d'un couple, c'est un cliché honteux ???

Curieuse comparaison !

Voilà pourquoi j'ai répondu oui.

J'aime bien ce que vous avez écrit là.

Incontestablement. Non, juste des souvenirs remontant de mon autrefois à moi mais comme je l'ai précisé, je n'en ai pas été traumatisée et ça ne concernait que les vêtements car à mes anniversaires et à Noël, j'avais toujours des jouets neufs et non d'anciens jouets de ma soeur et heureusement car déjà que je ruais pas mal dans les brancards, pour le coup je les aurais démolis les brancards ! J'ai veillé à ne pas reproduire avec mes enfants ce qui m'avait été pénible lors de ma propre enfance.