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Passiflore

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Tout ce qui a été posté par Passiflore

  1. Dans ce cas-là on comprend très bien car soi-même on aurait fait ou on ferait de même.
  2. C'est ainsi que personnellement je conçois les choses et fort heureusement, je ne suis pas la seule...
  3. Non, ce n'est pas juste une décision égoïste. Certains parents conçoivent ainsi les choses : l'importance de mettre au monde les fruits de leur amour, se donnant comme mission de leur donner la joie d'être en vie et de faire quelque chose de leur vie.
  4. Mm... non, je ne vois pas les choses ainsi. Le fait d'être parent, à plus forte raison si on n'a pas été à la hauteur (maltraitance, etc...) n'est pas suffisant pour justifier une existence.
  5. Vouloir devenir parent n'est pas juste une justification de son existence comme vous dites, ce n'est pas uniquement donner un sens à sa vie qui autrement n'en aurait pas, de sens.
  6. Oui et aussi le concept de transmission à ses enfants qui à leur tour seront transmetteurs ; ce qui reste dans l'idée de la chaîne dont je viens de parler, en fait.
  7. Cet aspect-là de la question vous taraude, semble-t-il : que restera-t-il après moi si je ne laisse pas de descendance ? Personnellement, j'aime l'idée d'être le maillon indispensable à la continuité d'une chaîne ; moult maillons ont précédé le mien (moi en tant que "maillon" d'une chaîne) et maints autres prendront ma suite ; je ne suis que l'un des maillons de cette looongue chaîne mais je suis indispensable (tout autant que les autres maillons passés et à venir l'ont été ou le seront) à son assemblage et à sa continuité.
  8. "L'un des pharisiens, un docteur de la loi, posa à Jésus cette question pour le mettre à l'épreuve : Maître, quel est le plus grand Commandement de la loi ? Jésus lui répondit : tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme et de toute ta pensée. C'est le premier et le grand Commandement. Et voici le second qui lui est semblable : tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux Commandements dépendent toute la loi et les prophètes" (Matthieu 22 : 35-40)
  9. Tu es sérieuse en écrivant ça ou tu as écrit sans réfléchir ?? "Nul ne sait ni le jour ni l'heure" est-il écrit dans la Bible.
  10. S'en faire une alliée plutôt qu'une ennemie à combattre à tout prix ; certains de nos actes routiniers contribuent à notre bien-être journalier. De toute façon on pourrait changer 50 fois de vie, il y aurait forcément après chaque changement une forme de routine qui finirait inévitablement par s'installer.
  11. Pour certains couples, les fruits de leur amour sont l'un des composants du ciment les liant. Oui, il me parait primordial à moi aussi que la complicité amoureuse soit autant intellectuelle que charnelle afin que le couple tienne sur la durée.
  12. Je partage votre avis en y ajoutant ceci : l'importance des moments de silence partagé, lorsque l'on est en communion de pensée ou d'émotion, lorsque ensemble on se tait et que l'on se comprend dans le silence... là on peut dire que la complicité est complète.
  13. Lorsqu'il y a complicité intellectuelle ET amoureuse, c'est le summum. Il est certain que lorsqu'on n'est pas sur une même longueur d'onde, ça peut amoindrir le sentiment amoureux et le désir, quoi que... les joutes verbales prenant une tournure amoureuse exaltent le désir.
  14. Fin de la discussion sérieuse, ça uuuurgeeee...
  15. Cela va sans dire ; il y a des moments propices au dialogue, à la conversation et d'autres que l'on préfère consacrer à toute autre chose qu'à la causerie, toute amoureuse soit-elle. Tout est question d'instants propices à telle chose et à telle autre.
  16. Au contraire, les paroles échangées contribuent à construire l'amour, à tisser le lien amoureux et en cela elles sont indispensables, primordiales.
  17. Comment faire connaissance, comment connaître l'autre si on ne se parle pas ?? Je me rallie à ceux qui trouvent le dialogue amoureux primordial.
  18. C'est exact. Elle a été choisie dans la postérité de David afin d'enfanter l'Enfant-Dieu ; elle se présente elle-même comme la servante du Seigneur. Jésus fut le premier-né, Il eut des frères et des soeurs dont certains sont d'ailleurs nommés dans la Bible ; Joseph n'est pas resté avec Marie juste pour lui éviter d'être une sujet d'opprobre, il la connut (sous-entendu charnellement) après la naissance de l'Enfant-Dieu.
  19. Justement on est en plein HS, là. Je voulais juste dire que le chrétien ne méconnaît pas son état de pécheur, il en a même une acuité autrement plus grande que celle de l'incroyant, point. Il est probable qu'il soit plus souvent taraudé par sa conscience que ne l'est un incroyant. Tout cela pour vous dire qu'un chrétien ne s'endort pas sur ses lauriers ; sa vie durant il sera en marche vers et jamais ne posera son bagage en se disant : "ça y est, je suis arrivé".
  20. Libre à vous de le penser. Je n'ai pas dit que tous l'étaient. L'ouverture d'esprit concernant un tel concept ?? Euh... comment vous dire... il n'est plus question là uniquement d'ouverture d'esprit mais de simple bon sens.
  21. En théorie si, je connais des non-croyants prônant les mêmes valeurs que celles que je prône et m'emploie à mettre en pratique mais lorsque l'on est dans le constat de ce qu'un athée accepte (notamment la GPA) on peut se poser la question, ne vous en déplaise. Je ne puis qu'être d'accord avec vous sur ce point-là.
  22. Courageux mais pas téméraire, rire ! Je ne puis que vous conseiller de garder l'esprit ouvert à des éventualités pouvant dépasser votre entendement.
  23. En ce cas, ce ne sont tout simplement pas des chrétiens ; ils sont juste dans la pratique de certaines traditions et coutumes familiales.
  24. Lorsque l'on choisit d'être chrétien, on a à coeur de se conformer de son mieux à l'Enseignement du Christ : le baptême, la Sainte-Cène, tout le tintouin comme vous dites, rire mais cela fait partie intégrante de la vie du chrétien ; il n'y a pas la vie d'un côté et les pratiques cultuelles d'une autre ; c'est la vie dans son ensemble que le chrétien vit avec joie, ayant à coeur de rendre sa foi vivante dans sa vie de tous les jours. Parfois le chrétien trébuche et dérape, il ne méconnaît pas son état de pécheur, il en a même une acuité autrement plus grande que celle de l'incroyant ; il accepte cette réalité en faisant de son mieux pour y remédier, pour acquérir la sagesse en avançant sur la voie du perfectionnement de soi ; il connait son imperfection et ses manquements mais tel qu'il est, tout imparfait qu'il soit, il sait que Dieu l'aime et qu'Il l'aidera à se parfaire en jalonnant son chemin de vie d'événements et de personnes qui l'y aideront.
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