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Passiflore

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Tout ce qui a été posté par Passiflore

  1. "Tu ne tueras point"; clair, net, précis, impératif.
  2. Bonjour Cressida, contente de te croiser à nouveau ! Pas l'intention de la chercher. Elle est... quelque part, les pierres ne se désagrégeant pas contrairement aux tissus et au bois.
  3. Comme je l'ai déjà dit à ce sujet, bien que j'ai été troublée par ce visage correspondant assez à l'image que je me faisais de celui du Christ, je n'ai besoin d'aucun objet pour me conforter dans ma foi. Que sont devenus le suaire dans lequel Joseph d'Arimathée enveloppa le corps du Christ et la croix en bois sur laquelle Il fut supplicié, nul ne le sait; totalement disparus vraisemblablement du fait que cela date de 2000 ans. Où se trouvent le tombeau et l'énorme pierre qui fut roulée devant son entrée ? Nul ne le sait avec certitude.
  4. Les diverses analyses scientifiques sont formelles: ce tissu ne date pas de l'époque du Christ, il n'est pas aussi ancien.
  5. Faut dire que l'Homme se surpasse dans ce domaine-là !!... Sur ce point-là, tu prêches une convaincue !!
  6. Ce n'était pas ainsi que je l'avais compris mais bon, admettons.
  7. N'avez-vous donc jamais entendu parler des actes de cruauté étant monnaie courante dans les abattoirs ??
  8. Oh je pense qu'il était inutile de le lui préciser, selon moi il s'en doutait mais... je peux me tromper ! Absolument d'accord avec vous quant à ce Commandement !!
  9. ...ou roux, peu importe. Je ne ressemble sûrement pas à tous mes ancêtres chez qui il y eut toutes les couleurs de cheveux !
  10. D'autant plus que cela n'a aucune importance.
  11. En ce qui me concerne je m'insurge contre TOUTES les formes de maltraitance animale, les trouvant toutes inacceptables et indignes de l'Homme.
  12. Je doute fort qu'Il était blond aux yeux bleus mais... peu importe à la rigolote, à vrai dire !
  13. Vous avez raison, on ne sait pas la couleur des cheveux et des yeux de Jésus et en fait peu nous importe, l'essentiel n'était pas Son... apparence physique.
  14. @Crabe_fantomemerci pour ces échanges que nous avons eus !
  15. Rectification: "La Bible ne parle pas expressément de sept péchés capitaux. En revanche, elle enseigne qu’une personne qui pratique de graves péchés ne peut pas être sauvée. Par exemple, la Bible parle de péchés graves comme les actes sexuels immoraux, l’idolâtrie, le spiritisme, les accès de colère et l’ivresse et les qualifie d’« œuvres de la chair ». Elle déclare ensuite : « Ceux qui pratiquent de telles choses n’hériteront pas du royaume de Dieu » (Galates 5:19-21) D’où vient la liste des sept péchés capitaux ? Les « sept péchés capitaux » sont tirés d’une liste de huit vices principaux. Cette liste a été faite au quatrième siècle de notre ère par le moine Évagre le Pontique, qui a inspiré les travaux du moine ascète Jean Cassien. Au sixième siècle, le pape Grégoire Ier a transformé cette liste des huit vices en une liste de sept péchés capitaux, qui font partie de la théologie catholique romaine : l’orgueil, l’avarice, la luxure, l’envie, la gourmandise, la colère et la paresse. Grégoire considérait ces péchés comme capitaux, ou principaux, dans le sens où beaucoup d’autres découlent de ceux-ci" https://www.jw.org/fr/la-bible-et-vous/questions-bibliques/sept-peches-capitaux/
  16. Bien d'accord avec vous, réprouvant moi aussi cet indéniable état de fait que l'on retrouve également chez les prédicateurs évangélistes américains devenus richissimes. Comme il est écrit: "quiconque me dit: Seigneur, Seigneur ! n'entrera pas forcément dans le Royaume des cieux mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Beaucoup me diront en ce jour-là: Seigneur ! N'est-ce pas en ton nom que nous avons prophétisé, en ton nom que nous avons chassé des démons, en ton nom que nous avons fait beaucoup de miracles ? Alors je leur déclarerai: je ne vous ai jamais connus; retirez-vous de moi vous qui commettez l'iniquité..." (Matthieu 7; 21-29) Bon nombre de chrétiens ont effectivement "oublié" une part fondamentale de l'Enseignement du Christ, ne prenant dans Son Enseignement QUE ce qui leur convient. "Pourquoi m'appelez-vous: Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ?" (Luc 6; 46)
  17. Ce qui "parle aux gens" pour reprendre tes termes, c'est la Divinité de Jésus le Christ, en tout cas pour ceux ayant été touchés par ce qui leur a paru être... une évidence, une merveilleuse et extraordinaire évidence. Oui Jésus est de la postérité de David, la jeune Myriam ayant été choisie dans cette postérité-là. Tout le monde est conscient et les chrétiens en particulier que comme en toute chose, tout dépend de l'usage que l'on en fait. A quoi bon amasser des richesses ? On ne les emmènera pas avec soi quand ce sera le moment de "partir". Par trop souvent le dieu argent pourrit le coeur.
  18. Bien d'accord avec toi !! Plus proche de chez moi, dans l'Ain, il y a Ars-sur-Formans (le fameux curé d'Ars dont tu as sans doute entendu parler ?) avec ses boutiques d'objets ridicules dans toutes les matières et à tous les prix. Oh il y en a sûrement, je me garderais bien d'affirmer le contraire !
  19. Le côté humain du Christ ayant connu les diverses émotions: colère, chagrin, peur... Ce point-là a en effet été la goutte d'eau de trop, le facteur déclencheur de la Réforme. Tu te rends compte, y'avait même des émissaires de l'Eglise romaine qui allaient de village en village pour vendre des "indulgences" aux pécheurs (une "indulgence" par péché !!) !!
  20. Passiflore

    La femme idéal

    Alors que toi tu ne changes pas, restant sur ta ligne directrice, d'où l'incompréhension, la mésentente et... l'inévitable désamour en découlant. Ah Cunégonde, c'est ma préférée !
  21. Aussi répréhensible et inacceptable (en regard de ce que le Christ a prôné et mis en pratique Sa Vie durant) d'un côté que de l'autre mais le fait que le siège de l'Eglise romaine soit un tel état: "l'État de la cité du Vatican est un État établi par les accords du Latran de 1929 qui sert de support territorial au Saint-Siège" est une aberration pour qui se réfère à l'Enseignement du Christ. S'Il revenait et se rendait au Vatican et dans tous les lieux de pèlerinage, Sa Colère serait autrement plus grande que celle qu'Il eut avec "les marchands du temple". Celle-ci n'est pas précisée dans les Ecrits bibliques, la date en soit n'ayant pas de réelle importance.
  22. "Le "je vous salue Marie" : est une prière composée de deux parties définies à des époques différentes. La première partie est l'antienne Ave Maria, paroles de l'ange lors de l'annonciation (Luc 1,28) et d'Élisabeth au moment de la visitation (Luc 1,42), en usage depuis le Ve siècle. On la trouve dans le "graduel", comme chant d’offertoire du IVe dimanche de l’Avent : « Ave Maria, gratia plena : Dominus tecum : benedicta tu in mulieribus et benedictus fructus ventris tui ». Mais cette formulation ne se termine pas encore par Jésus, qui n'apparaît que vers le XIIe siècle : il semble que le premier à l'avoir introduit a été Amédée de Lausanne, abbé de Hautecombe. Sous cette forme, la prière se répand avec l'expansion de la piété mariale du XIIIe siècle : la récitation en est prescrite par Odon de Sully, l'évêque de Paris en 1198, avec le Pater et le Credo, vers 1210 le synode de Paris y invite tous les chrétiens, en préparation au "quatrième concile du Latran". Elle se répand dans l'Europe, en étant recommandée par plusieurs conciles régionaux en Espagne, en Angleterre et en Germanie. La seconde partie est une prière de supplication, dont on peut retrouver l'équivalent avec le "sub tuum". Cette seconde partie comporte de plus le titre de Théotokos (« Mère de Dieu »), défini au IIIe concile œcuménique, le concile d'Éphèse, en 431. Cette seconde partie du "Je vous salue, Marie" sont les ultimes paroles prononcées sur son lit de mort par saint Simon Stock, supérieur de l'Ordre du Carmel, en 1265 : « Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen. » On voit apparaître la formulation presque complète dans un bréviaire des chartreux dès 1350 : « Sancta Maria, ora pro nobis peccatoribus, nunc et in hora mortis, Amen ». Les bréviaires du XVIe siècle joignent ces deux formules et donnent à la prière sa formulation actuelle : un bréviaire parisien de 1509, un bréviaire trinitaire de 1514, franciscain de 1525, chartreux de 1562. Elle est finalement introduite dans le bréviaire romain en 1568 par le pape Pie V" Comme je te le disais @Crabe_fantome, tous les points dogmatiques sont datés et ce point dogmatique-là ne faisait pas partie de l'Eglise chrétienne des premiers temps, les temps qui suivirent l'époque ou Christ-Dieu était parmi nous. https://fr.wikipedia.org/wiki/Je_vous_salue_Marie
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