Enchantant

Que Michel ROCARD ait conscience de la situation terrifiante de l’emploi est une observation pertinente et qui ne date pas d’hier. Mais il n'a toujours rien compris au fonctionnement de l'économie, de l’entreprises et du marché. Une intelligence sans bon sens, c'est une catastrophe. Pourtant, les socialistes ont déjà appliqué à la lettre la recommandation qui consistait à travailler moins pour diminuer le nombre des chômeurs. Faut-il être vraiment borné pour croire un seul instant à cette faribole, puisque tous les indicateurs ont prouvé et indiqué que la notion des 35 h, qui s'inspirait de cette croyance, a eu pour effet l'inverse du résultat attendu,c'est-à-dire d'aggraver le chômage? Préconiser comme solution une procédure qui n’a pas réussi, même le plus naïf des laborantins en aurait tiré profit.

De faire toujours la même blague à mon copain, Jean Aymare

En ce cas c’est le ou la coupable, toutes les autres se sont ligués pour lui faire porter le chapeau

Celui ou celle qui a le chapeau est incontestablement une personne du groupe.

C’est absurde de considérer que le TGV aurait tué l’Aérotrain. Si l'Aérotrain fut un prototype de transport dans les projets quelque temps, puis en essai dans la région orléanaise, c'est que le coût du rail béton et le côté bruyant des réacteurs à quelques mètres au-dessus du sol ont définitivement démontré que ce projet comportait plus d'inconvénients que d'avantages. Si le procédé avait été appliqué et développé ailleurs dans le monde, nous pourrions dire cela, mais ce n’est pas le cas. Par contre, le projet Bertin interrompu par sa mort, que les Allemands ont fini par mettre au point, puis de le vendre aux Chinois, sans toutefois l’installer sur leur propre territoire, d'ailleurs cela reste un peu étrange pour une réussite technique incontestable. . Ce fut Giscard d’Estaing, le président de la République qui relança le chemin de fer avec le TGV, alors que ce secteur était déclinant dans le domaine du transport des passagers à cause de la concurrence aérienne. Ce fut et cela reste une réussite technique française incontestable,qui paradoxalement fut inaugurée par son successeur F. MITTERRAND Par ailleurs, l'idée géniale d'avoir un train grande vitesse qui peut utiliser les lignes ferroviaires existantes était une trouvaille économique incontestable.

Si la concurrence est indiscutablement le moyen d’inciter à la modération tarifaire des producteurs de produits manufacturés ou de service,c’est incontestable. Par contre, lorsque l'on est confronté à un nombre relativement restreint d'intervenant, qu'il s'agisse d'un monopole privé ou public, difficile d'interférer dans les ententes possibles entre opérateurs. Dans le cas des voies ferrées, la notion du tarif de l’énergie sera-t-il le même pour les opérateurs en concurrence. L’usure des voies sera-t-elle facturée équitablement entre les intervenants, sachant que réseau ferré de France est déficitaire pour cause du renouvellement des voies de chemin de fer. Le transport aérien, dans le domaine concurrentiel du tarif des passagers sur de courtes distances, est certainement le premier concurrent de la SNCF et de la Deutsche Bahn. Par contre, dans le domaine du transport du fret et des marchandises, cette concurrence peut avoir des effets positifs sur les transports internationaux de camion par voies ferrées en Europe, plutôt que sur les autoroutes. Je rejoins la remarque de Nounouille, les tarifs passagers sont déjà extrêmement variables, il sera difficile à faire des comparaisons. D’une manière générale, sachant que l’intensité de concurrence existe déjà entre les voies ferrées et le transport aérien, les tarifs actuels ne devraient guère changer, sinon à la hausse.

J’ai le souvenir d’une émission de télévision, ou des mères de familles maghrébines, dans les quartiers nord de Marseille, évoquaient leur difficultés de vivre dans la relation avec leurs jeunes garçons adolescents qui trafiquaient dans la drogue, le vol, le recèle. Ces mamans expliquaient très simplement et très justement,que la plupart d'entre elles avaient été délaissés par leurs maris respectifs et qu'elles étaient seules, confrontées à l'éducation de leurs garçons et fustigeaient l'absence du père et le manque d'autorité masculine qui va avec. Alors que la cellule familiale, constituée d'un père et d'une mère, est dénigrée, galvaudée, banalisée,recomposée, décomposée, sous prétexte d'une jouissance de liberté sans entraves pour chacun, sans engagement de toute sorte pour qui que ce soit. Croyez-vous honnêtement que les législateurs, qui débattaient sans fin hier, avec toutes les bonnes intentions généreuses et humanistes pour offrir le PACS aux homosexuels, avaient prévu que le PACS serait détourné par les hétérosexuels du but qu'il souhaitait atteindre ? Alors que le législatif, au nom d’une égalité mal comprise,propose le mariage pour tous, nous assistons et assisterons paradoxalement à la disparition lente et programmée du mariage. Il est vrai que le mariage est un mot qui signifiait l’engagement et la responsabilité éducative du père et de la mère envers leurs enfants, il y a encore peu. Quel mot de remplacement à celui du mariage, faudrait-il utiliser dorénavant pour perpétuer et symboliser juridiquement les bienfaits pour la société de l’engagement, d’un père et d’une mère envers leurs enfants ?

Sur des sujets de société de la sorte, la peine de mort, le suicide assisté, le mariage pour tous, c’est le référendum qui devrait être la règle et la norme. Il est vrai que les socialistes au pouvoir ont pris conscience que la crise économique existait bien, alors que leur attitude systématique, lorsqu'ils étaient dans l'opposition, était de l'ignorer et de tout mettre sur le dos du président précédent. Devant la découverte tardive de leur impuissance dans le domaine économique et dans le fait de renier la plupart de leurs propositions,brandir les sujets de société, leur donne l’illusion d’agir et d’exister, c’est plutôt cela que j’interprète. Or, le point de vue de chacun, dans ces domaines, n’a ni plus ni moins d’importance,comparé à celui d’une majorité de citoyens exprimant un vote majoritaire sur le sujet.

Magus, Je suppose que vous n’aimez pas du tout ma façon de traiter le sujet. Par contre, je ne comprends rien à vos arguments ou vos explications qui me semblent complètement hors contexte ?

Pas de problème, pour les nounouilles,direction la casserole…

Bonjour Magus, Il faut comparer ce qui est comparable. Singapour,ville port État d’Asie, est proportionnellement comparable à Monaco en Europe. C’est la quatrième place financière au monde, avec une concentration de millionnaire comparable à la Suisse en Europe. Peut-on comparer la situation multiculturelle d’un confetti d’état ou l’accès à la nationalité n’est possible que pour les natifs ou pour les résidents permanents ? (sachant que la place est extrêmement limité) Par ailleurs, les habitants sont « rangés » par immeuble en fonction de quotas ethniques. Parler de multiculturalisme n’a pas beaucoup de pertinence comparative à ce que nous connaissons ailleurs.

Et si nous vivions dans une France islamique ? Puisque les mêmes causes produisent les mêmes effets Nous serions dans la même « merde » que tous les pays musulmans au monde. En guerre interne et systémique entre shiite et sunnite,accompagné d’attentats meurtriers frappant les innocents. Avec pour seul régime politique le choix entre peste ou choléra,dictature islamique ou dictature militaire. Si Allah existe, qu'il nous fasse cette grâce infinie, nejamais devenir un État islamique.

Le f..tage de gueule est contenu dans ces tirades qui en fait ne veulent rien dire. « Ainsi, l'œuvre est"vidée" d'humanité si j'ose dire, pour accéder aux Sentiments (avec un grand S), non dénaturé par l'Homme.» Carré blanc sur fond blanc c’est effectivement une œuvre picturale vidée, puisqu’il n’y a rien. Je ne comprends pas très bien tous ces personnages qui s’extasient sur des œuvres que je ne voudrais en aucun cas avoir chez moi. Et qui se gargarisent de mots dithyrambiques, pas parce que cette œuvre leur plaît, puisqu'ils n'expriment jamais ce qu'ils en pensent eux-mêmes, mais au prétexte que la valeur spéculative de l'objet atteint des sommets en dollars ou euros. Snobisme avec un grand (S) est plutôt le mot qui convient : Cette admiration et imitation servile par un milieu jugé plus distingué ou socialement plus élevé.

Si le carré blanc sur fond blanc est analogue ou comparable au silence d’une partition musicale, soit. Mais ce silence n’a de signification qu’au cours de l’interprétation musicale de l’œuvre. Un carré blanc sur fond blanc, ne se suffit pas à lui-même, s’il n’est pas entouré au cours de son exposition, de peintures représentatives, sinon c’est du foutage de g…le

Bonjour Vizirette, Dans l’existence et particulièrement dans le domaine de l’éducation, tout est mobile,rien n’est définitif, rien n’est programmé à l’avance, ni la réussite, ni l’échec. L’enfant,l’adolescent,l’adulte sont des étapes successives de transformation de l’individu sur une période relativement courte. Toutes ces transformations rapides tétanisent les parents, alors que l’enfant dans sa période précédente acceptait sans trop broncher les obligations imposées, voilà qu’il commence à manifester des velléités d’indépendance. D’acteur passif de son éducation, lorsque le début de l’adolescence survient, ce dernier est invité à devenir actif de sa propre orientation et de ses choix. Que la scolarité soit obligatoire jusqu'au début de l’adolescence, que je situe entre l’âge de 12 ans et 14 ans est une excellente chose, notamment pour conforter et approfondir les acquisitions de base que sont la lecture, l’écriture, l’arithmétique. L'absurdité de la politique d'Éducation nationale est de décréter que la date butoir de la scolarité obligatoire est 16 ans, soit deux ans après le début de l'adolescence. Or de 14 ans à 16 ans, alors que 20% de cette population d'adolescents est, en difficulté scolaire, prolonger inutilement la scolarité pour ceux-là, c'est presque instituer officiellement la reconnaissance de leur échec, du moins dans le domaine scolaire. Et ceux-là même qui perturbent et pourrissent les classes décourageant les enseignants, des parents qui sont inquiets pour leur progéniture, et des adolescents qui souffrent de ne pas répondre aux critères d'une normalité que l'on attendait d'eux, et qui ont le sentiment de perdre leur temps. Pour les parents vient le temps du devoir de poser cette question à leurs adolescents sur ce qu’ils souhaitent faire plus tard, de quelle façon compte-t-il y parvenir, formation courte, formation longue. Puis de situer la voile en direction de ce futur proche, non pas en fonction du désir des parents, mais en fonction des goûts, des aptitudes, et des choix de cet adolescent. L’exercice de liberté, indissociable d’une responsabilité, c’est le chemin qui mène l’adolescent à celui d’adulte.

Liberté2012, Genre patate de canapé, type adolescent, qui se gargarise avec les contraintes surhumaines qu’ont lui impose ? Pauvre chéri, on l’oblige à faire du sport, de la peinture,de la musique, c’est vraiment un acte de torture odieux. Alors qu’il pourrait glander tranquillement toute la journée, ruminant sa haine de la société tout entière.

Mon avis d’homme qui ne connaît absolument rien au secteur. La profession de paysagiste est un service de luxe. Le luxe est-ce dont on peut se passer, notamment dans des périodes de restrictions budgétaire et économique Le marché est représenté par les communautés de communes, des mairies ou bien des particuliers. Les communes, les municipalités, sont contraintes de réduire leur budget et c'est dans ce type de prestations de luxe, que les coupes sombrent seront réalisés en priorité, ce n'est pas favorable à la continuité du volume des affaires dans ce domaine-là. Quant aux particuliers, la notion de conseil, de plan d’aménagement, puis de réalisation avec la fourniture des plants, est aussi un marché soumis à une concurrence très rude, notamment entre les grosses et moyennes entreprises du secteur et les petits paysagistes. L'une étant capable de proposer un service clé en main, de la conception à la réalisation, l'autre ne proposant qu'une facette du service attendu, soit la conception, soit la réalisation. En toute logique si vous tenez compte de mes remarques, les portes semblent définitivement closes. Mais un marché comporte toujours des niches bien spécifiques et locales et c'est souvent l'apprentissage de ce marché de niche avec la confrontation réelle au secteur, qui a permis aux grosses entreprises de démarrer puis de se développer. Je concentrerais mes recherches sur ces marchés de niche, au besoin faire de la sous-traitance avec les entreprises ayant pignon sur rue dans ce secteur. Souvenez-vous aussi que les conseilleurs ne sont pas les payeurs et qu'il est possible que mon raisonnement ne tienne pas du tout la route?

l'actualité

Bonjour Errwyn, Les rapports hommes_femmes n’ont jamais été simples. Fondamentalement,les désirs ou les fantasmes que nous avions quand nous étions jeunes étaient transcendés par la littérature ou le cinéma des romans à l’eau de rose pour les filles, des exploits et des privilèges du repos des guerriers pour les garçons. Or,ce, qui nous passait par l’esprit à cette époque, n’était pas intimement étalé à la critique de plusieurs générations, permettant cette forme de communication confidentielle et anonyme que sont les forums de nos jours.. Nous,les adultes, nous oublions très vite quelles étaient nos préoccupations à leur âge. C’est plutôt cette réflexion-là que m’inspire ce genre de sujet.

C’est l’amour qui foudroie ou bien qui fou droit, au choix

Que la prison soit un lieu de souffrance, personne n’en doute. Mais ce que je trouve quelque peu contradictoire, ce sont les propos des détenus placés dans une prison neuve. Et lorsque l’on leur demande s’ils sont mieux maintenant que précédemment, immédiatement de reconnaître que les locaux sont incontestablement plus confortables, mais aussi plus déshumanisé et plus terrible que le précédent, selon eux. Précédemment, les déplacements des détenus se faisaient avec l’intervention des gardiens, existait donc une proximité physique, maintenant l’ouverture des portes ou des grilles se font automatiquement à partir d’un poste de commande central, au moyen d’une vidéo. Plongeant les détenus dans un isolement absolu, qu’ils ne ressentaient pas avec autant d’acuité précédemment. Suffit-il d’avoir de bonnes intentions, pour que les problèmes dénoncés disparaissent? Rien n'est simple n'est-ce pas ?

Supposons un seul instant qu'Israël n'ait jamais existé ? Supposeriez-vous immédiatement que le monde arabe serait sans nul doute, dans une paix heureuse et bienfaitrice au Moyen-Orient ? Effectivement, si vous croyez à ce scénario-là un seul instant, il est logique de croire que la paix reviendrait si Israël était rayé de la carte. C’est curieux, je n’arrive pas un seul instant à y croire !

S’il est vrai que le référendum, exception de C. De Gaulle,fut utilisé par certains présidents, comme un outil institutionnel détourné de son usage, afin d’obtenir une approbation de leur action politique. Et des citoyens pas si dupes que cela, répondant négativement, non pas à la question posée, mais au président qui la posait. Est maintenant, et malheureusement considéré comme d'un usage hautement dangereux et imprévisible par les exécutifs politiques. Que l’exécutif décide ou pas d’un aéroport, d’une ligne de chemin de fer, d’un tronçon d’autoroute, de nationaliser ou pas, c’est de sa responsabilité politique de décider et de trancher ce genre de sujet durant leur mandat. Or, les clivages, les nuances, les convictions affirmés des uns et des autres, qui transcendent toutes les sensibilités politiques, tel que le mariage homo, ne devraient jamais être dictées ou tranchées exclusivement par les parlementaires d’une tendance politique majoritaire de l’instant, mais par référendum.

Il faut bien admettre qu'entre un voyage dans l'espace ou un voyage dans les spasmes, la frontière du rêve est ténue

Don Quichotte et Sancho Panza de CERVENTES. Ce roman imaginaire espagnol symbolisant la lutte entre l’idéalisme du bien et la réalité concrète de la vie de tous les jours. Est à mon sens une source inépuisable de réflexion, c'est un chef-d’oeuvre de la littérature espagnol.