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Xavier Gallais
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Certains passages sont durs...je te retrouve...je n'ai plus de doute...j'aime ton texte, il est puissant ...sourire
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pour ceux qui sont pas abonné voici l'article La défense de Michèle Alliot-Marie continue de s'écrouler. Loin d'être une «victime (...) spoliée» par le clan Ben Ali, comme la ministre ne cesse de le marteler depuis plusieurs jours, Aziz Miled, le chef d'entreprise tunisien qui lui a fait profiter gracieusement d'un jet privé pendant les vacances de Noël, a en réalité été un pion central du système économique du régime déchu. En vingt-trois années de dictature, il a réussi à être associé en affaires avec rien de moins que trois gendres et un beau-frère de l'ancien despote Ben Ali, qui l'a par ailleurs nommé personnellement à un haut poste politique en 2008, au sein de l'équivalent du Sénat tunisien. D'après les éléments recueillis en Tunisie et en France par Mediapart, Aziz Miled peut en effet s'enorgueillir d'être l'un des rares entrepreneurs tunisiens à avoir été en affaires, dans la finance, le tourisme ou l'aviation, avec à peu près toutes les composantes de ce qu'il était convenu d'appeler le «clan Ben Ali». Que ce soit les familles Materi, Trabelsi, Chiboub ou Mabrouk. Z. Ben Ali© Reuters Gravitant au départ dans l'entourage de Habib Bourguiba, le père de l'indépendance tunisienne, Aziz Miled opère très tôt un rapprochement avec le pouvoir Ben Ali, après le «coup d'Etat médical» de novembre 1987, ont rapporté plusieurs sources tunisiennes, dont un ancien membre du clan Ben Ali. A l'époque, ZineEl-Abidine Ben Ali promet la «démocratie» et le respect de «la souveraineté populaire». Il n'en sera rien. Pour Aziz Miled, l'opération séduction réussit en 1989. Cette année-là, l'ami de MAM intègre le comité de soutien officiel de Ben Ali et s'acoquine avec un gendre du président, Slim Chiboub, son associé en affaires ¿ les deux hommes exploiteront par exemple dès 1994 2.000 hectares de terres agricoles entre Mornag et Djebel Ressas ¿ à qui il prend l'habitude d'offrir la suite 104 de son hôtel Phénicia, à Hammamet. En 1995, avec l'appui de Slim Chiboub (époux de Dorsaf Ben Ali), sa société Tunisian Travel Service (TTS) devient l'actionnaire majoritaire de la compagnie aérienne Air Liberté, jusqu'ici filiale tunisienne du groupe français, fondée six ans plus tôt par un spécialiste du secteur, Lotfi Belhassine. Air Liberté deviend Nouvelair l'année suivante, en 1996. Le nouveau nom de la compagnie aérienne d'Aziz Miled ne doit rien au hasard. Selon un entrepreneur tunisien qui connaît bien M. Miled, il l'a baptisée ainsi pour «faire plaisir» à Ben Ali, en référence à un leitmotiv politique du régime mille fois entendu en Tunisie depuis le coup d'Etat: «L'ère nouvelle». M. Miled:«Je n'ai pas de réponse à donner aux journalistes» Parallèlement à l'explosion de ses activités économiques, Aziz Miled se fait fort de soutenir financièrement et politiquement le régime Ben Ali. Membre du Comité de réélection du président depuis au moins 1999, il devient un bailleur de fonds régulier des campagnes électorales du despote, chaque fois réélu avec des scores invraisemblables. Pour les ¿élections¿ de 2009, que Ben Ali remporte avec... 89,62% des voix, Aziz Miled aurait ainsi versé 500.000 dinars tunisiens (258.645 euros) en faveur du dictateur-candidat, selon une source proche de l'ancien clan Ben Ali. Contacté par Mediapart, samedi 5 février, pour évoquer ses dons électoraux, M. Miled a eu pour seule argumentaire: «Je n'ai pas de réponse à donner aux journalistes, pour rien. J'ai un attaché de presse dans mon groupe pour cela.» Un porte-parole du groupe Miled reconnaît quant à lui des contributions au financement de campagnes électorales de M. Ben Ali, mais, communication post-révolution oblige, il explique qu'Aziz Miled y était «obligé». Richissime homme d'affaires, qui déclarait sans rire en février 2010 dans une interview au journaliste Walid Kéfi qu'il n'était pas du genre à s'«offrir un jet privé», Aziz Miled est associé financièrement avec toutes les branches du clan Ben Ali élargi. Outre le gendre Slim Chiboub, avec qui il fait également affaire dans le cadre d'un immense projet immobilier et touristique dans la baie de Gammarth, M. Miled est associé à un autre gendre du président déchu, Marouane Mabrouk, notamment dans la banque BIAT et l'entreprise de services Tunisavia. L'ami de la ministre française est aussi en affaires avec le redoutable Shakr El-Materi (un autre gendre, marié à Nesrine Ben Ali) dans la banque Zitouna. Une photo prise le 21 octobre 2009, jour de la création de la banque, montre tous les associés de la nouvelle institution financière en train de poser fièrement sur une terrasse ensoleillée de Tunis. Parmi eux: Aziz Miled et Shakr El-Materi, actionnaire majoritaire avec plus de 51% des parts. Détesté par le peuple tunisien, El-Materi fait aujourd'hui partie, selon la presse tunisienne, des membres du clan Ben Ali sur lesquels pèse un mandat d'arrêt international pour détournements de fonds. C'est aussi le cas du plus célèbre beau-frère de Ben Ali, Belhassen Trabelsi, réfugié depuis la chute du dictateur au Canada, où les autorités n'hésitent pas à le traiter publiquement de «criminel». Miled et Trabelsi ont fait affaire ensemble en 2008 après la fusion de leurs compagnies aériennes respectives, Nouvelair et Khartago Airlines. Le jet Challenger 604, dans lequel a voyagé gracieusement par deux fois la famille Alliot-Marie à Noël en Tunisie, à une période où le régime commençait à réprimer dans le sang les manifestations, appartient d'ailleurs à Khartago, selon les relevés de l'office européen d'aviation EuroControl, comme Mediapart l'a déjà raconté. Les deux dernières lettres de l'immatriculation de l'avion (TS-IBT) signalent même les initiales de son principal utilisateur, Belhassen Trabelsi. Le jour de la chute du régime Ben Ali, le 14 janvier, la police italienne a même cru que l'appareil pouvait transporter le dictateur en fuite. Désigné à la Chambre des conseillers par Ben Ali Mais pour se défendre de toute collusion avec le régime Ben Ali, la ministre des affaires étrangères française affirme que la fusion des sociétés de MM. Trabelsi et de son «ami» Miled avait été forcée par le premier. Voici ce qu'à l'époque de cette association «forcée», M. Miled déclarait pourtant à la presse: «Nous avons estimé, à mon avis à juste titre, que, chacun seul, nous serons tout petits. En revanche, ensemble, nous serons mieux outillés et pourrons mieux résister.» Michèle Alliot-Marie souligne aussi que le nom de son «ami» ne figure plus sur la liste des avoirs gelés par la Suisse. Mais elle omet de préciser que les autorités helvétiques, qui avaient commis quelques erreurs dans la première version, ont choisi de ne retenir que les membres de l'ancienne famille régnante, excluant de facto tous les hommes d'affaires proches du régime qui y figuraient. Leur cas doit être examiné par la commission sur la corruption récemment mise en place en Tunisie. La ministre ne pourra en revanche nier que le même Aziz Miled apparaît comme membre du comité central du RCD, le parti présidentiel, à la 90e place, juste derrière un certain... Belhassen Trabelsi. Un collaborateur de M. Miled a en outre expliqué à Mediapart que son patron, étant un expert en aviation, est réputé pour être un entremetteur de choix dès qu'il s'agit d'acquérir un avion privé en Tunisie: «Il a ainsi participé à l'achat des trois jets (du clan Ben Ali), le TS-IBT, celui de la famille Mabrouk, dans le cadre d'une joint-venture entre Aziz Miled et Marwan Mabrouk, et il a aussi conseillé Shakr El-Materi pour le sien.» Si Aziz Miled est donc une victime de l'ancien régime Ben Ali, comme Michèle Alliot-Marie l'a juré devant l'Assemblée nationale le 2 février, tout laisse aujourd'hui à penser qu'il en était une victime consentante. Car preuve supplémentaire de la proximité de M. Miled avec l'ancienne dictature tunisienne, il a été nommé en 2008 par Zine el-Abidine Ben Ali en personne à la Chambre des conseillers (sorte de Sénat tunisien) au titre des «personnalités et compétences nationales». Contrairement aux autres collèges de membres de l'assemblée, la composition de celui auquel appartient M. Miled n'est pas le résultat d'une élection, mais d'une désignation relevant du fait du prince, en l'occurrence de Ben Ali lui-même. En novembre 2009, M. Miled a également reçu des mains de l'ancien président tunisien le Grand Cordon de l'Ordre du 7 novembre, l'une des plus hautes distinctions honorifiques de l'ancienne dictature visant à consacrer «les efforts méritoires déployés en faveur de la consécration du projet de civilisation et du renforcement de ses attributs». Selon les archives de l'agence de presse officielle TAP, la cérémonie a eu lieu à Carthage dans le cadre des célébrations du 22e anniversaire du «Changement du 7 Novembre», jour du coup d'Etat de 1987 qui a marqué l'arrivée au pouvoir de Ben Ali. Tout un symbole.
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la super patata
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m u r è n e
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attention aux ulcères
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dissocier le bien...du mal...suivant une civilisation, éducation, formatage, ... ce qui est bien pour l'un, peut être mal pour l'autre...le bien et le mal notion humaine...variant suivant l'époque...les peuples...les traditions...complexe
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La branche de canalisation qui relie Israël n'a pas été touché...dixit des journalistes et Israël
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Egypt-Israel gas pipeline attacked Egytians have turned off gas flow through pipeline supplying Israël Des assaillants inconnus ont fait sauter dans le nord du sinaï une canalisation de gaz Entre les journalistes qui se font arrêter ou confisquer leur matériel...et cette explosion ...ça devient hard
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Le travail c'est la liberté??? http://www.dailymotion.com/video/x1qsw2_sa...la-liberte_news
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Arbeit macht frei !! http://fr.wikipedia.org/wiki/Arbeit_macht_frei
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EnergetikFix76>>>n'aime pas les... point!!
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MAM en Tunisie: le jet est celui du clan Ben Ali! enquete Le symbole est ravageur. Le jet privé qui a profité à Michèle Alliot-Marie et à sa famille pendant les vacances de Noël en Tunisie, à une période où la révolution commençait à être réprimée dans le sang, a été soupçonné une dizaine de jours plus tard par la police italienne d'avoir transporté le dictateur Zine el-Abidine Ben Ali dans sa fuite. D'après l'historique des vols de l'appareil, dont Mediapart a obtenu le détail, le jet utilisé par la ministre des affaires étrangères entre Noël et le jour de l'An, un Bombardier Challenger 604 immatriculé TS-IBT, est en effet parti de Tunis dans la soirée du 14 janvier, jour de la chute du despote Ben Ali, pour se rendre à Cagliari, en Sardaigne. Or, c'est là que la police italienne l'a contrôlé pour vérifier si Zine el-Abidine Ben Ali n'était pas l'un de ses hôtes, comme en témoignent des dépêches d'agences de l'époque et des photos prises le jour même. Exemple: Cagliari (Sardaigne), 14 janvier 2011. © DR Officiellement, le dictateur, qui vit aujourd'hui réfugié en Arabie saoudite, ne s'y trouvait pas. Qui en revanche était dans l'appareil ? S'agissait-il d'autres membres du clan Ben Ali, ou de sa redoutable belle-famille, les Trabelsi ? Ou était-ce un leurre pour tromper les polices du monde entier sur la véritable destination du dictateur renversé ? Personne ne le sait. Du moins, personne ne le dit. Le dernier mouvement connu de l'avion, qui a aussi fait plusieurs allers-retours entre Tunis et Paris les 12 et 14 janvier, remonte au 15 janvier, à deux heures du matin. Sa destination finale demeure, pour l'instant, inconnue. © DR Depuis que Le Canard enchaîné a révélé cette semaine l'escapade tunisienne de Michèle Alliot-Marie, la ministre n'a de cesse de marteler que l'avion qui l'a baladée avec ses parents et son compagnon, Patrick Ollier (ministre lui aussi), ne pouvait pas être présenté comme un avoir du clan Ben Ali, aujourd'hui déchu et en proie à des poursuites judiciaires pour détournements de fonds. C'est du plus mauvais effet, on le comprend. Mais le simple fait qu'il ait été considéré par un service de police européen comme le possible instrument de la fuite du dictateur tunisien vient ruiner l'argumentaire de la chef de la diplomatie française en la matière. Ce n'est pas tout. Pour se défendre de toute collusion avec le régime Ben Ali, Mme Alliot-Marie a aussi affirmé ces derniers jours, à l'Assemblée nationale ou face à la presse, que le jet dont elle a profité gratuitement n'est pas la propriété du clan Ben Ali, mais celle de son «ami» Aziz Miled (ou Milad), avec qui elle a partagé le voyage. M. Miled est un richissime homme d'affaires tunisien, fondateur de la compagnie aérienne Nouvelair, que Mme Alliot-Marie se plaît aujourd'hui à présenter comme un entrepreneur spolié par le clan Ben Ali. "BT", comme Belhassen Trabelsi... La réalité est nettement plus complexe. Primo, M. Miled n'est pas connu pour avoir été un opposant au régime en vingt-quatre ans de dictature ¿ il a même signé récemment une pétition pro-Ben Ali. Secundo, aucun élément tangible ne permet aujourd'hui de confirmer que le jet qu'il a proposé à la patronne du Quai d'Orsay soit sa propriété personnelle. Officiellement, il appartient au groupe Nouvelair, fruit d'une fusion entre la compagnie éponyme de M. Miled et celle de Belhassen Trabelsi, Karthago Airlines, devenu PDG de la nouvelle entité. Seulement voilà, d'après les relevés de l'office européen d'aviation EuroControl, le jet du scandale, qui a pu être photographié par des passionnés d'aviation à Genève en septembre dernier ou à Munich en juin (voir ici), est enregistré au seul nom de la compagnie Karthago Airlines, une société fondée par Belhassen Trabelsi, le beau-frère honni de Ben Ali, et pièce centrale du système de corruption tunisien. Relevé EuroControl Selon des documents officiels du ministère des finances tunisien obtenus par Mediapart, M. Trabelsi a d'ailleurs investi le 28 février 2008 4,75 millions de dinars tunisiens (2,46 millions d'euros) dans la constitution d'une filiale de son groupe, spécialisée dans l'aviation d'affaires et baptisée Karthago Private Jet. Le Challenger 604, qui vaut désormais à Mme Alliot-Marie les pires embarras en France, a quant à lui été acquis le 24 mai 2010, d'après d'autres documents en notre possession. Avant la Tunisie, l'avion était immatriculé à Aruba, une île des Caraïbes. Plusieurs sources aéroportuaires tunisiennes et européennes ont en outre expliqué à Mediapart que, comme cela est courant dans le milieu de l'aviation d'affaires, les deux dernières lettres de l'immatriculation d'un avion correspondent souvent aux initiales de son propriétaire ou, sinon, à celles de son principal utilisateur. B. Trabelsi© DR Dans le cas d'espèce, le jet utilisé par MAM en Tunisie est immatriculé TS-IBT. "BT", comme... Belhassen Trabelsi, assurent plusieurs sources concordantes. Le milliardaire, peut-être plus honni par le peuple tunisien que le dictateur lui-même, fut, de fait, l'un des plus fervents utilisateurs de l'engin, comme l'a rapporté à Mediapart, à Tunis, un employé de son groupe, qui a toutefois souhaité conserver l'anonymat. Pour bien mesurer l'ampleur de la compromission symbolique dans laquelle est aujourd'hui embourbée MAM, qui refuse de démissionner, il n'est pas inutile de rappeler que Belhassen Trabelsi, communément présenté comme le «parrain» de l'ancienne mafia au pouvoir, est désormais sous le coup d'un mandat d'arrêt international. Les autorités du Canada, où il est réfugié, l'ont même qualifié publiquement de «criminel». Relevé EuroControl Selon des documents officiels du ministère des finances tunisien obtenus par Mediapart, M. Trabelsi a d'ailleurs investi le 28 février 2008 4,75 millions de dinars tunisiens (2,46 millions d'euros) dans la constitution d'une filiale de son groupe, spécialisée dans l'aviation d'affaires et baptisée Karthago Private Jet. Le Challenger 604, qui vaut désormais à Mme Alliot-Marie les pires embarras en France, a quant à lui été acquis le 24 mai 2010, d'après d'autres documents en notre possession. Avant la Tunisie, l'avion était immatriculé à Aruba, une île des Caraïbes. Plusieurs sources aéroportuaires tunisiennes et européennes ont en outre expliqué à Mediapart que, comme cela est courant dans le milieu de l'aviation d'affaires, les deux dernières lettres de l'immatriculation d'un avion correspondent souvent aux initiales de son propriétaire ou, sinon, à celles de son principal utilisateur. B. Trabelsi© DR Dans le cas d'espèce, le jet utilisé par MAM en Tunisie est immatriculé TS-IBT. "BT", comme... Belhassen Trabelsi, assurent plusieurs sources concordantes. Le milliardaire, peut-être plus honni par le peuple tunisien que le dictateur lui-même, fut, de fait, l'un des plus fervents utilisateurs de l'engin, comme l'a rapporté à Mediapart, à Tunis, un employé de son groupe, qui a toutefois souhaité conserver l'anonymat. Pour bien mesurer l'ampleur de la compromission symbolique dans laquelle est aujourd'hui embourbée MAM, qui refuse de démissionner, il n'est pas inutile de rappeler que Belhassen Trabelsi, communément présenté comme le «parrain» de l'ancienne mafia au pouvoir, est désormais sous le coup d'un mandat d'arrêt international. Les autorités du Canada, où il est réfugié, l'ont même qualifié publiquement de «criminel». Tunis, Biarritz, Paris... Le jet privé, dont il partageait l'usage avec Aziz Miled, l'ami de MAM qui s'est associé avec lui en 2008, semble par ailleurs avoir eu ces derniers temps une certaine prédilection pour des destinations françaises, et pas n'importe lesquelles. Ainsi, lorsque l'on étudie le plan de vol de ces derniers mois de l'appareil, l'avion a par exemple effectué, le vendredi 15 octobre, un trajet Tunis/Biarritz puis, le dimanche 17, un trajet Biarritz/Paris. Précision utile: les Pyrénées-Atlantiques sont le fief de la famille Alliot-Marie. Le père de MAM, Bernard Marie, a été pendant des années le maire de Biarritz et sa fille, ancienne élue municipale de la commune voisine de Saint-Jean-de-Luz, a été élué députée du département en 2007. Contacté, le ministère des affaires étrangères assure que ni Mme Alliot-Marie ni son compagnon, Patrick Ollier, n'ont voyagé en octobre 2010 dans l'avion aujourd'hui au c¿ur de la polémique. «En revanche, il est possible que M. Miled soit venu en France, ça, on ne sait pas. Mais c'est un ami de la ministre, comme elle l'a toujours dit. Pas Belhassen Trabelsi!», commente-t-on au Quai d'Orsay, où personne ne conteste que la Tunisie soit devenue un champ de mines politique pour la ministre. Pour mémoire, le 11 janvier dernier, MAM avait proposé le concours des forces de sécurité françaises au régime Ben Ali, qui était en train de s'écrouler. Acculée cette semaine par l'opposition à s'exprimer à l'Assemblée nationale sur son voyage de Noël en Tunisie, Michèle Alliot-Marie a expliqué, mercredi 2 février, pourquoi elle avait accepté l'invitation de son ami Aziz Miled pour rallier la charmante station balnéaire de Tabarka depuis Tunis. «Plutôt que de faire les deux heures de voiture (...) je l'ai accompagné pendant vingt minutes de trajet en avion», a-t-elle assuré. Officiellement, c'était pour éviter à la ministre française, son mari et ses parents, une route «un peu difficile» jusqu'à Tabarka. Il faut dire que le jet utilisé est d'un confort à toute épreuve, comme le montrent les photos ci-dessous, extraites d'une plaquette de présentation de l'appareil: http://www.mediapart.fr/journal/internatio...du-clan-ben-ali quelle menteuse ...houuuuuuu!!
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Intervention musclée de la gendarmerie : "J'étais ceinturé et arrosé de coups de poings au visage" LEMONDE.FR | 03.02.11 | 17h49 ¿ Mis à jour le 03.02.11 | 18h16 C'est un témoignage saillant. Et à charge contre l'action de la gendarmerie lors de la manifestation organisée le 21 janvier dans le village d'Anduze, dans le Gard. Il émane de Louis Julian, un vigneron bio établi dans un village voisin : joint par Le Monde.fr, jeudi 3 février, ce sexagénaire affirme avoir été frappé au visage alors qu'il était maintenu par des gendarmes. Il a écrit une "lettre ouverte" mettant en cause le commandant Frédéric Warion, le gradé que l'on voit asperger des manifestants de gaz lacrymogène, dans une vidéo diffusée sur Internet et visionnée plus de 350 000 fois. Il affirme n'avoir commis aucune violence, mais seulement avoir ramassé la bombe lacrymogène lâchée par le commandant Warion avant de la jeter. Il annonce une plainte, soutenu notamment par des élus de gauche, mobilisés contre les projets d'agglomération d'un élu UMP voisin. La direction nationale de la gendarmerie nationale affirme "ne pas avoir connaissance de tels faits" mais souhaiter faire "la lumière sur l'ensemble de l'affaire" via l'enquête de l'inspection générale de la gendarmerie, lancée jeudi. >> Lire : Intervention musclée à Anduze : une enquête ouverte dans la gendarmerie Louis Julian, habitant de Ribaute-les-Tavernes depuis 30 ans, raconte qu'il était sur les voies avec les autres manifestants venus ce jour-là se poster devant le train à vapeur des Cévennes, affrété par le député-maire UMP d'Alès, Max Roustan, pour ses v¿ux. "J'AI JETé LA BOMBE AU LOIN, DANS LE RUISSEAU" Il dit qu'il était remonté sur le quai quand les gendarmes ont demandé aux manifestants de dégager, alors que d'autres restaient sur les voies. "Quand le commandant Warion a commencé à envoyer ses gaz lacrymogènes, il avançait vers moi", affirme Louis Julian. "A un moment, il a perdu sa bombe, presque à mes pieds. J'ai pas réfléchi, je l'ai prise et je l'ai jetée au loin, dans le ruisseau." Alors, les gendarmes autour lui ont "sauté dessus, dit-il. Ils m'ont ceinturé. J'avais la tête comme dans une mêlée de rugby, basse. Le commandant est arrivé et m'a arrosé de coups de poings à la figure." "Ensuite, j'ai été plaqué au sol, puis traîné sur le côté. ils m'ont relevé, m'ont regardé dans les yeux et m'ont lâché. Le train a démarré et c'était fini...", ajoute-t-il. Cliché diffusé par Louis Julian, qui affirme avoir été frappé par un gendarme, lors d'une manifestation le 21 janvier à Anduze. Cliché diffusé par Louis Julian, qui affirme avoir été frappé par un gendarme, lors d'une manifestation le 21 janvier à Anduze.Louis Julian Un témoin, joint par Le Monde.fr, confirme qu'il a vu Louis Julian se faire frapper par les gendarmes : "J'ai clairement vu, j'étais à 7-8 mètres de la scène", raconte Jacques Blanc, manifestant et ancien maire de Massiargues-Attruech. "Deux ou trois gendarmes le tenaient, il était penché en avant. J'ai clairement vu le gendarme en képi qui donnait des coups de poings de bas en haut. On avait l'impression qu'il se défoulait, c'était violent et choquant." Me Lionel Bourgois, l'un des avocats qui prépare les plaintes annoncées par des manifestants et des élus, affirme qu'il a plusieurs témoignages de ce type. "PEUT-éTRE QUE LES GENDARMES ONT EU PEUR" Louis Julian ne cache pas qu'il est soutenu par des élus, notamment le socialiste Alain Beaud, président de la communauté de communes d'Anduze, ou la conseillère générale Europe-Ecologie Geneviève Blanc. Cette dernière est la s¿ur de Jacques Blanc, qui raconte avoir assisté aux coups. >> Lire l'entretien avec Alain Beaud : "Le gendarme nous a gazés sans sommation" Une semaine et demie après la manifestation, Louis Julian a moins de séquelles physiques qu'à "l'âme". Il se dit "ébranlé dans sa confiance" dans les forces de l'ordre : "Peut-être est-ce une méprise, peut-être que les gendarmes ont eu peur quand j'ai ramassé la bombe, argumente-t-il. Mais quand j'ai été frappé, cela fait longtemps que je l'avais lâchée et je n'étais en rien dangereux." Si le commandant Warion s'expliquait, le vigneron pourrait "accepter ses excuses". Mais estime que cela reste de son "devoir" de porter l'affaire devant la justice. Le procureur, en parallèle de l'enquête de l'inspection générale de la gendarmerie, décidera quelle suite donner. Alexandre Piquard http://www.lemonde.fr/societe/article/2011...74841_3224.html
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Ils n'outrepassent pas leurs droits, ces manifestants n'avait cas bougé leurs cul après qu'on leurs ait dit plutot que de faire les malins Pardon!! Ces manifestants ne sont pas violents...et les policiers les gaz à la Lacrymo, puis en frappent certains!! Vos propos sont dignes d'un oppresseur, on a le droit de manifester en France, que je sache!!...et la violence en réponse à ces manifestants est digne d'une dictature!! et outrepasse ses droits!!
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http://www.dailymotion.com/video/xgp1ko_vi...bed&start=0 parfois...violences des forces de l'ordre gratuites Des manifestants Français ont été bombé avec de la Lacrymo par certains policiers, même des mamies!! ET certains frappés durement...regardez la vidéo http://www.mediapart.fr/club/blog/gilles-s...es-preoccupante Donc certains policiers sont violents et outrepassent leurs droits!!
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certaine personnes du peupled'Egypte ont pas la même vision d'une Amérique d' Obama "angélique"...ni d'Israël..ni...
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suite En revanche, nous affronterons inlassablement les extrémistes violents qui font peser une menace grave sur notre sécurité. Parce que nous rejetons ce que rejettent les gens de toutes confessions : le meurtre d'hommes, de femmes et d'enfants innocents. Et il m'incombe d'abord, en tant que président, de protéger le peuple américain. La situation qui prévaut en Afghanistan illustre les objectifs de l'Amérique et la nécessité de collaborer tous ensemble. Voilà maintenant plus de sept ans, forts d'un large appui de la communauté internationale, les états-Unis ont donné la chasse à al-Qaïda et aux talibans. Nous avons agi de la sorte non par choix, mais par nécessité. Je suis conscient que d'aucuns mettent encore en question ou même justifient les événements du 11 Septembre. Mais soyons clairs : Al-Qaïda a tué près de trois mille personnes ce jour-là. Ses victimes étaient des hommes, des femmes et des enfants innocents, venus d'Amérique et de beaucoup d'autres pays, et qui n'avaient rien fait à personne. Mais al-Qaïda a choisi de les tuer sans merci, de revendiquer les attentats et il réaffirme aujourd'hui encore sa détermination à commettre d'autres meurtres à une échelle massive. Ce réseau a des membres dans de nombreux pays et il essaie d'élargir son rayon d'action. Il ne s'agit pas là d'opinions à débattre - ce sont des faits à combattre. Eh bien, ne vous y trompez pas : nous ne voulons pas laisser nos soldats en Afghanistan. Nous ne cherchons pas - nous ne cherchons pas à y établir des bases militaires. Il nous est douloureux pour l'Amérique de perdre ses jeunes gens et ses jeunes femmes. La poursuite de ce conflit s'avère coûteuse et politiquement difficile. Nous ne demanderions pas mieux que de rapatrier tous nos soldats, jusqu'au dernier, si nous avions l'assurance que l'Afghanistan et maintenant le Pakistan n'abritaient pas d'éléments extrémistes déterminés à tuer le plus grand nombre possible d'Américains. Mais ce n'est pas encore le cas. les bras m'en tombent quel menteur!!
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Il est super étrange ce discours, je comprends pas, la traduction est elle bonne? Obama dit "Tant que notre relation restera définie par nos différences, nous donnerons du pouvoir à ceux qui sèment la haine et non la paix et qui encouragent le conflit au lieu de la coopération qui peut aider nos deux peuples à connaître la justice et la prospérité. C'est ce cycle de la méfiance et de la discorde qui doit être brisé.(quoi ???) ( serait ce pour dessiner une uniformisation du monde???...certaines métastases veulent progresser) Je suis venu chercher un nouveau départ entre les Etats-Unis et le monde Musulman. ah c'est un ancien discours... Le président américain a prononcé un discours à l'adresse des musulmans lors d'une visite au Caire le 4 juin 2009. En voici la vidéo en traduction simultanée (avec Public Sénat) et le texte intégral en français (traduction de la Maison Blanche). http://www.lesechos.fr/economie-politique/...e-et-video-.htm