zera

Nous arrivons à la question du sens de la vie. La vie à peut-être simplement le sens que l'on veut bien lui donner. Cela a-t-il réellement un sens ? De la naissance vers la mort. Nous allons tous en ce sens. L'important c'est ce qu'il y a entre les deux.

@Quasi-Modo Merci pour le lien ça a l'air intéressant, je ne l'ai pas encore lu en entier. J'y reviendrai sûrement L'empathie envers soi même. Cela s'apprend, en tant que parents nous ne prenons pas toujours le temps d'écouter nos enfants... siplement de les écouter sans les juger, de les laisser s'exprimer et de les aider à comprendre leurs émotions. C'est un accompagnement. Aujourd'hui on a tendance à oublié de s'écouter, à vivre à 100 à l'heure, à combler les moments de "vide", de silence. C'est apprendre à se dire : " tient mais qu'est-ce que je ressens là maintenant ? et qu'est-ce que j'en fais ? (ou pas)" Cela s'apprend ou si tu préfères se réapprend. C'est un juste équilibre entre s'écouter soi et les autres. Il est vrai qu'à la base un jeune enfant ne fait que s'écouter mais il ne comprend pas forcément ce qui se passe en lui.

C'est l'idéal, il faut bien commencer quelque part. Les enfants n'ayant pas encore la chance de goûter à l'empathie dans leurs foyers auront au moins le plaisir de voir que cela est possible et que cela existe. Peut-être plus grands auront-ils à leur tour envie de le partager avec leurs enfants ?

La méthode est un outil, bien sûr très important, l'essentiel de l'éducation se trouve en la personne qui apporte l'enseignement et la manière dont elle va considérer les élèves. Il est évident qu'en France, le système est très élitiste au détriment de tous ceux qu'on laisse derrrière. L'empathie est une base. A commencer à mettre en pratique dans les familles et évidemment à suivre dans les écoles. Quant à la méditation de "pleine présence" comme la nomme Frédéric Lenoir qui a expérimenté la philosophie et la méditation dans des classes avec des enfants à partir de 7 ans. C'est un très bon outil de retour à soi, à ses sensations et émotions. Choses que nous adultes avons tendance à zapper. C'est tout un apprentissage

"Ne pas donner de l'amour à un enfant, c'est le tuer intérieurement à petit feu." ?

Chacun fait c'qui lui plaît

Bonsoir Géo Rachel Rien n'est jamais fini

Celle-ci est magnifique :

Oui, j'ai lu une première fois en diagonale par manque d'envie et de temps. Dans le fond, je crois que nous ne pensons pas beaucoup différemment. Le modèle sociétale conditionne la population ce qui est inévitable et cela arrange parce qu'il y aussi une histoire de gros sous et de pouvoir. C'est difficile de faire parti d'une minorité car justement la société nous met une énorme pression à plus ou moins long terme en fontion de la situation. Cela a-t-il une grande influence sur le fait d'aimer ou non les enfants ? De se justifier si oui ou non nous aimons les enfants était le coeur de ce topic. J'ai trouvé ta première description très caricaturale (c'était certainement voulu) avec un brin de mépris (et je ne suis pas la dernière à jouer avec l'ironie, les piques... et j'en passe) et pas de chance, je l'ai lu après un autre topic sur les enfants maltraités. Aïe ! Donc oui aimer les enfants c'est autre chose que les sacraliser et les idolâtrer. Les respecter en tant qu'être humain, c'est tout simplement une base plus qu'évidente et même plus, tu le sais bien, ils sont beaucoup plus vulnérables que nous. De plus ils sont incapables de gérer leurs émotions avant un certain âge. Il est vrai que j'ai du mal avec le vouvoiement à tout bout de champ. "De qui veut-elle parler, de moi ? de moi et des autres (lesquels ?) seulement des autres ? "

Ha oui ! quand même ! Je n'ai peur de rien ici. Je tentais simplement d'être plus juste dans l'idée de ce qu'est un enfant. C'est tout. Le reste t'appartient et je le respecte. Pense ce que tu veux de moi et tu peux aussi le garder pour toi. Amen

Oui chez moi les deux fonctionnent. Je ne sais pas si on peut les supprimer.

Encore un topic qui tourne en jus de boudin. Pour ma part, ce qui m'empêche d'envisager une nouvelle relation amoureuse est simplement le temps et l'attention que je peux, pour le moment, lui apporter. Je crois avoir besoin de mettre de l'ordre dans ma vie.

oui je sais... mais tant pis ! Plus rien ici n & aposa d & aposimportance

Tu l'as mis deux fois

bon ça va hein ! veux-tu arrêté d'être désagréable... ? rien qu'une fois ! (oui on s'en fout) Anne Sylvestre - Rien qu'une fois faire des vagues

Les parents ont à réviser leur façon d'élever les enfants, pour le bien de tous, et en premier lieu pour leurs enfants. C'est là la meilleure façon de les protéger, à mon sens et de les armer, dans la vie. C'est le meilleur qu'un parent vise pour son enfant, enfin ça le devrait dans le meilleur des mondes. Pour moi, les enfants sont des adultes en devenir avant toute chose. Ils sont "façonnables", en formation constante -et sont aussi une source d'inquiétude permanente pour les parents- et force est de constater que certains sont bien mieux éduqués que d'autres ou apprennent dans le calme, sont attentifs, sans pour autant ne pas être éveillés, souriants et affectueux. C'est un oubli alors : " Faire un enfant "toute seule" ... ou encore le couple avec un enfant est jugé aussi par ceux qui n'en ont pas et qui ne comprennent pas que les parents puissent être aspiré, impliqué et investi dans leur nouveau rôle de parents.Comme on peut-être investi dans tout autre chose une rénovation de maison, un projet quelconque." Et non : la plupart des individus se reproduisent, et jugeront plus facilement ceux qui sont différents... et comme ceux qui n'ont pas d'enfants sont moins en nombre, il est donc plus probable qu'ils aient à subir souvent jugement et forcing.  Pour l'éducation je suis bien d'accord. Il y a des efforts à faire dans notre scoiété. Je voulais souligner le fait que les personnes n'aimant pas les enfants critiquaient elles aussi les autres. Pourquoi ensuite s'étonner d'être ainsi jugé par celles qui sont en plus grand nombre ? Aujourd'hui nous savons la vision que tu te fais des enfants. Nous avons le droit d'en avoir une différente. Et pour avoir passé quelques années en crèche, il y a évidemment du vrai dans ce que tu décris. C'est juste incomplet. Dans ma situation passé je me suis également faite juger par des parents. C'est dommage ! On passe à autre chose mais il n'y a aucun intérêt.

Au bout d'un moment on comprend que cela ne sert à rien d'écouter ce genre de réaction. Nous sommes ici pour discuter et échanger. J'essaie de me faire comprendre mais aussi de comprendre ^^ Oui, parce que justement, les enfants sont les futurs adultes et ils sont plus fragiles que des adultes. A la naissance, ils ne sont pas fini. Le corps et le cerveau sont encore en construction contrairement à d'autres animaux. Pour moi ce sont des êtres humains. Pourquoi détester un être humain parce qu'il est en construction ? C'est aussi ce que je dis. Je n'ai pas visé simplement les sans enfants comme tu les nommes. ou pas.

Exactement, J'ai eu ma première fille pourtant pas si tôt que ça... à 21 ans. Je me suis pris plein de remarque parce que ce n'était pas prévu au bout d'une année de raltion, j'ai choisi de la garder. Certaines "amies" ont eu des réactions pas très agréables parce qu'elles étaient en études et pas du tout prête à comprendre que l'on peut choisir de faire autrement que ce qu'elles auraient choisi dans une situation similaire. Ce genre de racourcis est tellement "facile". Dans ce genre de situation, c'est la personne concernée que cela regarde pas les autres surtout si c'est pour lancer des remarques désagréables et inutiles et aussi parce qu'il n'imagine pas l'autre dans cette situation qui leur fait peur. Donc oui, dans un sens comme dans l'autre certaines personnes ne se rendent pas compte que cela ne les touchent pas personnellement et qu'ils feraient bien de garder leurs pensées désagréables.

Sur la plage abandonnée :

Je trouve le jugement que tu portes aux enfants très dur et injuste. Tu ne décris qu'une des facettes. Je sais bien que c'est apparemment la perception que tu en as et je trouve ça dommage. Peu m'importe que tu souhaites en avoir ou non. Pourquoi sont-elles jugées ? Parce qu'elles ont fait différemment de la norme... Faire un enfants trop jeune, trop tôt dans une relation. Faire un enfant "toute seule" ... ou encore le couple avec un enfant est jugé par ceux qui n'en ont pas et qui ne comprennent pas que les parents puissent être aspiré, impliqué et investi dans leur nouveau rôle de parents.Comme on peut-être investi dans tout autre chose une rénovation de maison, un projet quelconque.

C'est un trouble, une phobie ? Pédiophobie ... ? Edit: apparemment c'est "pédophobie"

La société nous met la pression pour tout et n'importe quoi. Et je comprends que cela doit être difficile à vivre que de recevoir continuellement des remarques sur la vie que l'on devrait avoir... pour l'avoir vécu dans l'autre sens (et du coup sur une durée certainement plus courte). J'ai des amis qui ne souhaitent pas avoir d'enfants, certains en couples d'autres célibataires. D'autres aimeraient en avoir mais n'y arrivent pas. Il y a de tout. Dès que l'on fait différemment de "avoir fait des études, être en couple, avoir une situation régulière, une maison, une voiture, ... et des enfants !" On s'en prend plein la poire et quand bien même nous avons tout ça ! "Il vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants !" Il n'empêche que pendant ce temps là les petits enfants sont pleins de vie et ne se posent pas la question du bien du mal, du sale du propre... est-ce que je suis présentable ou non. Ils sont tout d'abord complètement dépendant de leurs parents, des personnes qui sont responsables d'eux. C'est l'éducation, l'environnement et l'exemple que leur donnent les adultes autour d'eux. Comment faire dans ce monde plein d'enfants ?

Il est clair que si l'on est pas prêt à accepter que notre vie soit totalement bouleversée. Il n'est pas la peine d'avoir des enfants. Personne ne force qui que ce soit à en avoir et à vivre cette aventure. Surtout si on ne les supporte pas. Tous les enfants passent par des stades plus ou moins difficiles et l'adulte est là pour mettre un cadre (affectif, sécurisant...) et l'aider à grandir et le rendre autonome. Aucun enfant n'est parfait, aucun parent ne l'est également tout comme les adultes en général. J'ai la sensation que quand on n'aime pas les enfants on a également du mal à accepter les différences chez les autres en règles générales. Peut-être est-ce une simple idée. L'enfant c'est aussi la joie de vivre le moment présent ils n'ont pas de barrières pas de limites...

C'est peut-être l'approche provocatrice de l'initiateur du sujet, tout simplement.