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jimmy45

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Tout ce qui a été posté par jimmy45

  1. Non. Ta rhétorique malhonnête qui consiste à inverser le sens des mots et des idées ne fonctionnera pas ici. Quand on défend l'égalité et la justice, cela relève de l'amour, pas de la haine. La haine elle est de ton côté, elle transpire par la malhonnêteté de tes propos. C'est parce que tu nous hais que tu cherches à nous faire passer pour ce qu'on est pas. C'est la haine qui mène à la malhonnêteté. Les patrons on ne le veut aucun mal. On veut juste que les fruits de notre travail collectif soit partagé avec justice. Ce n'est pas la faute de je ne sais quel patron si on est dans une situation inverse, c'est un système que l'on combat. Et parce qu'on est plus intelligent que toi, on comprend que les patrons ne constituent pas une classe sociale, le patron d'une entreprise individuelle n'a rien avoir avec le propriétaire d'une multinationale. (...) est bien plus néfaste qu'un patron qui se bat corps et âme pour son projet industriel.
  2. Abruti, défendre l'égalité et la justice, ce n'est pas de la haine c'est tout le contraire.
  3. Mélenchon était candidat à l'élection présidentielle, tout comme Marine Lepen, il est donc normal qu'ils aient été absents des bancs de l'assemblée pendant qu'ils sillonaient la France. Gpurien semble décidé à nous ressortir toutes les calomnies les plus lamentables sur Mélenchon ?
  4. Mais c'est ridicule, c'est constamment que n'importe quel homme politique refuse de donner une interview a tel journaliste, choisit une émission télé ou radio plutôt qu'une autre, ouvrez les yeux bon sang, voyez qu'il s'agit d'une mauvaise propagande qui vire vers la calomnie.
  5. Vous n'êtes pas FN c'est évident :smile2:
  6. Je vois que gpurien continue à étaler sa diffamation sur le forum en multipliant les posts, est-ce qu'à un moment la modération va intervenir ou va-t-on devoir supporter ces inepties et ses insultes encore longtemps ?
  7. D'abord tu ne cites aucunement la raison pour laquelle il ne veut pas le voir, mais ce qu'en pense le journaliste qui a écrit ce torchon. La raison pour laquelle Mélenchon ne veut pas le voir tu ne la connais pas. Ensuite je ne vois toujours pas le lien entre le fait de ne pas vouloir parler à un journaliste et le fait de vouloir museler la presse. :smile2::smile2::smile2::smile2::smile2::smile2:
  8. Quand on ne veut pas parler à un journaliste, pour gpurien c'est que l'on cherche à museler la presse. :smile2::smile2::smile2:
  9. Mais ces "responsables", déjà nomme les et dénombre les, et expliques nous comment tu passes d'une poignée de personnes à l'ensemble des communistes alors qu'évidemment s'ils le savaient ils l'ont cachés à tous les communistes qui eux croyaient dur comme fer que c'était le paradis en Russie. Quand aux rafles organisés par les communistes mais putain quel mensonge gerbant. Les communistes français étaient opposés aux fachistes depuis toujours, ils sont même partis aider les communistes espagnols dans la guerre civile contre Franco en Espagne. Bref tu es un pitoyable manipulateur, tes mensonges et tes amalgames sont grossiers.
  10. L'ensemble des français n'ont appris pour les déportations dans des camps de travail que dans les années 70 mdr ... Et les communistes existent depuis la moitié du 19ème siècle ... Quand bien même des responsables communistes auraient pu le savoir avant les années 70, tu ne peux toujours pas amalgamer tous les communistes à ces personnes alors que elles n'étaient pas au courant. Bref, tout ce que tu dis consiste à amalgamer des gens qui n'ont aucun rapport avec les crimes qui ont pu être fait là-bas avec les véritables criminels, tu les condamnes bien pour délit d'association, c'est de la rhétorique tout ce qu'il y a de plus malhonnête. Ta documentation je parie qu'elle consiste à lire françois desouche ou les pires sites néo libéraux et révisionnistes.
  11. Oui ils étaient associés politiquement dans la même internationale et avaient des contacts diplomatiques, mais cela ne les rend pas responsables de ce qu'ont pu faire les dirigeants de l'URSS. Eux même n'ont strictement rien fait de mal, au contraire ils ont fait beaucoup pour les français, et ils n'ont jamais défendu la moindre idée dans ce sens. Tu inventes donc un lien de responsabilité entre eux qui n'existe pas. Tu prétends qu'ils étaient complices simplement parce qu'ils partageaient la même étiquette politique. C'est clairement malhonnête.
  12. Non personne n'est lié ... Le délit d'association cela n'existe pas, ce n'est pas parce que tu partages une identité, une idéologie, une religion ou ce que tu veux avec qqun que pour autant s'il commet des crimes tu en serais responsable. On voit là l'absurdité de tes propos.
  13. Pour pouvoir prétendre que c'est historiquement faux, il te faut pour cela amalgamer l'ensemble des communistes à des dictateurs comme Staline. Je ne pense pas que l'amalgame soit admis comme élément de raisonnement logique, il me semble qu'au contraire cela fasse partie des éléments de rhétorique qui servent à tromper et manipuler les gens.
  14. C'est la propagande capitaliste qui prétend qu'ils étaient ultra pauvres. Pendant plus d'une moitié de siècle, la Russie était une des plus grandes puissances dans le monde et elle l'est tout simplement restée. Sa puissance provient bien plus de sa quantité de population et de la taille de son territoire ( exploitation des ressources qui s'y trouvent + commerce ). Son apogée était évidemment au moment de l'URSS où son territoire était bien plus étendu. Et en perdant la guerre d'influence et ses territoires annexés dans l'est de l'europe et en asie, elle a perdu évidemment en ressources / commerce et hommes. Les guerres (civiles / militaires) + la dictature totalitaire ont freiné son développement. Mais potentiellement en intensifiant l'exploitation de leurs ressources naturelles et en commerçant, bref quand ils atteindront le même degré de développement que le nôtre, ils dépasseront la France, et peuvent très bien dépasser les états-unis un jour on ne peut pas savoir. L'idéologie importe peu, seul compte cette volonté d'intensifier l'exploitation des ressources. Cela dit on sera peut être tous morts avant parce qu'on n'aura pas su se sortir de cette idéologie débile de l'accumulation sans fin de richesses sans réfléchir aux conséquences.
  15. Ben quand on vient de réduire de 21% la pauvreté du pays, et réduit les écarts de richesses, redonné du boulot aux gens, relancé l'éducation et la qualification des citoyens etc ... Cela n'a rien d'étonnant. Mais si c'est ça ton argument irréfutable pour prouver que c'est un dictateur on peut dire la même chose de Chirac avec ses 81% en 2002. La presse est discréditée au Venezuela. Les Venezueliens ont compris que ce qu'ils pouvaient dire n'était pas forcément la vérité. En France, malgré internet, la prise de conscience tarde à se faire, mais malgré tout on a connu des moments où le pouvoir de la presse s'est désintégré, exemple les médias ont tous défendu le oui en 2005 de manière extrêmement virulente, et le non l'a emporté à 56%. Preuve que les Français peuvent se rebeller contre le système et être imperméable à leur propagande quand ils le veulent.
  16. Mensonge. La plupart des médias étaient des médias qui critiquaient de manière virulente Chavez. Tout ce qu'a fait Chavez c'est ne pas renouveller une concession télévisuelle à une chaine de télévision style TF1 qui abusait de son pouvoir et ne remplissait pas ses obligations liées à la concession de service publique, notamment dans le non respect de l'égalité du temps de parole. On devrait faire la même chose en France.
  17. Il existe autant de régimes politiques que l'on veut bien l'imaginer. Notre régime actuel en France n'est pas une démocratie mais une forme oligarchie de fait. Dans une oligarchie c'est un petit groupe de personnes qui décident. Et ce petit groupe de personne constitue une classe sociale dominante. On distingue les oligarchies institutionnelles des oligarchies de fait car une oligarchie peut très bien être directement constituée par les institutions, par exemple quand il est décidé de confier le pouvoir à groupe restreint de personnes. Une oligarchie de fait conserve les mêmes bases qu'une république démocratique, mais par divers mécanismes institutionnels / politiques / économiques ou sociaux, il en résulte bel et bien que le pouvoir réside seulement entre les mains d'une classe dominante. Donc déjà dans ton manichéisme lamentable tu appelles démocratie un régime qui est beaucoup plus proche dans son fonctionnement de la dictature. Il serait mensonger de qualifier ce régime de démocratie et excessif de qualifier ce régime de dictature. Et bien c'est pareil pour Cuba. Je t'invite à te renseigner sur les diverses régimes politiques qui existent dans le monde et tu verras qu'il y a 100 fois pire que Cuba et pourtant personne n'en parle. Et des régimes qui comptent parmi les amis de la France. Si Mélenchon refuse de dire que Cuba est une dictature c'est uniquement parce qu'il sait que la propagande mensongère sur Cuba sert des intérêts politiques évidents. Si les personnes qui parlaient de Cuba étaient réellement des démocrates s'offusquant contre les dictatures dans le monde, ils ne parleraient pas que de Cuba et ils ne prendraient pas Cuba comme 1er exemple. Toi même tu n'es certainement pas un démocrate, et cela te disqualifie quand tu prétends faire la critique des dictatures.
  18. Ce n'est pas le libéralisme qui a enrichit ces pays, mais l'intensification de l'exploitation des ressources naturelles. Même si une idéologie peu freiner cette intensification ( notamment si elle consiste à exterminer des millions de gens ) tout comme la favoriser ( comme le capitalisme ou le communisme qui sont basés sur le productivisme ), n'importe quelle idéologie en est capable, la Russie était le 2ème producteur au monde après les Etats-unis malgré Staline. Dès lors que l'on prend conscience de la problématique écologique, on comprend alors que cette intensification n'a rien de bon en soit, et donc en faire une valeur est une erreur. Produire toujours plus sans s'inquiéter des répercussions est irresponsable et peu nous mener à notre perte.
  19. Mais en Grèce ils ont mis en application ces politiques de manière intensive en très peu de temps tout en transférant des quantités énormes et supplémentaires de richesses aux banques privées grâce aux intérêts. L'intensité des effets est donc forcément décuplée. Quand vous administrez un poison à petite dose, votre victime meurt à petit feu. Mais quand vous administrez une grosse dose de ce même poison, votre victime meurt bien plus rapidement. Ils ont fait la même chose dans plusieurs autres pays avec les mêmes effets, comme l'Argentine par exemple. La preuve que ce sont ces politiques qui étaient en cause ( bien qu'on le comprenne facilement par un simple raisonnement, ne plus financer des activités ou baisser les salaires des gens c'est forcément provoquer une récession économique ... ), en Argentine dès qu'ils ont cessé ces politiques et dès qu'ils ont mise en place les politiques inverses ( restructuration de la dette avec les créancies floués, augmentation des salaires, investissements de l'état, augmentation des impôts des plus riches et taxations des entreprises comme les industries prétrolières etc ... ) résultat le pays est en plein boom économique. Et ton propos est d'autant plus faux que même les tenants de ces politiques avouent que c'est un désastre en Grèce. La Grèce a très clairement été ciblée par les spéculateurs du monde entier, et par les banques européennes en particulier, ils se sont tous goinfrés sur sa chute, et les gouvernements européens en ont profité pour instrumentaliser ce qu'il se passait là-bas pour mettre en place les politiques libérales dans leurs propres pays. Monsieur, quand des politiques sont soit disant bénéfiques, on n'a pas besoin de prétextes et de moyens détournés, on n'a pas besoin de faire peur aux gens, pour les imposer.
  20. Grèce : les masques sont tombés 18 juin 2013 Par Dessous de Bruxelles C’était il y a déjà plus de trois ans. La Grèce se voyait accorder un premier « sauvetage » qui allait l’entraîner avec une vitesse fulgurante dans une crise sociale, économique et politique d’une violence considérable. A la récession et au chômage sans précédents s’ajoutent désormais les velléités autoritaires du Premier ministre Antonis Samaras, illustrées par sa décision brutale de fermer l’audiovisuel public grec. Une décision qui s’inscrit dans un contexte déjà lourd : menaces de mobilisation forcée voire d’arrestation de grévistes, suspension des conventions collectives, ratonnades organisées par le parti néo-nazi Aube dorée dans une impunité presque totale… Aucun de ces signes avant-coureurs du pire ne semble toutefois ébranler la volonté des gouvernements européens et de la Troïka (Commission, Banque centrale européenne et FMI) de conduire la Grèce plus avant dans l’abîme. Et pourtant, les remises en cause se multiplient, y compris au sein même de la Troïka... Les potions magiques des « cures de rigueur » ? Plutôt des remèdes empoisonnés, reconnaissait en janvier le chef économiste du FMI Olivier Blanchard. Les grecs, quant à eux, n’avaient pas attendu son mea culpa pour constater les effets destructeurs de l’austérité... Les « plans de sauvetage » et la « solidarité européenne » ? Vaste plaisanterie, démontre un rapport du FMI publié le 5 juin, qui dénonce des plans qui ont « sacrifié » les pays surendettés en faisant porter par eux tout le poids de l’ajustement au profit des économies du « cœur » de la zone euro. Drôle de conception de la solidarité, qui a moins consisté à renflouer les comptes publics grecs qu’à sauver l’industrie financière : un rapport publié par Attac Autriche permet de mesurer l’utilisation des sommes débloquées pour les « plans de sauvetage » en Grèce, sur la base de données publiques, consultables notamment sur le site de la commission européenne : sur les 206,9 milliards versés depuis mars 2010, au moins 77% de cet argent a bénéficié directement ou indirectement au secteur financier. Le tout dans une certaine opacité quant à l’attribution finale de ces montants et sans qu’aucune contrepartie n’ait été demandée aux banques en échange du versement de ces sommes. Voilà que les masques tombent. A commencer par celui des économistes orthodoxes et autres idéologues à gages de la finance, dont la rhétorique n’est plus capable de justifier la catastrophe économique et sociale dans laquelle leurs bonnes potions ont plongé la Grèce. Celui des gouvernements européens et des institutions de l’Union européenne, qui ont donné au terme de « solidarité européenne » une nouvelle définition, celle d’une mise à sac brutale d’un pays. Que penser, en effet, lorsque François Hollande, un mois à peine après avoir déclaré que « l’austérité ne pouvait plus être une fatalité », vient en Grèce pour inciter les électeurs, dans une menace à peine voilée, à « tenir leurs engagements », c’est-à-dire à voter en faveur du conservateur pro-austérité Antonis Samaras, ou alors à se préparer à sortir à leurs frais de la zone euro [1] ? Et que penser lorsque l’entourage de Georges Papandreou, premier chef d’Etat grec à avoir négocié les conditions du « sauvetage » de la Grèce avec la Troïka, est mis en cause pour évasion fiscale en Suisse (suite à la publication de la fameuse « liste Lagarde » qui a valu au journaliste Kostas Vaxevanis une arrestation expresse) ? Lorsqu’en Grèce comme en France, les plus fervents défenseurs de la rigueur s’avèrent être les plus corrompus (ce qui fait dire à Emmanuel Todd, en pleine affaire Cahuzac, que « ») ? Les masques tombent… mais cela ne semble pas embarrasser davantage les gouvernements et institutions de l’Union européenne. Les créanciers européens de la Grèce – dont la brutalité et le cynisme sont à même de tirer des remords au FMI – continuent en effet d’imposer des conditions drastiques au gouvernement grec : réduction à la hussarde des effectifs de la fonction publique, taille dans les budgets, réformes antisociales… Il faut imaginer le degré de stupéfaction dans lequel se trouve plongé le peuple grec, depuis trois ans pris dans le piège de « cette catastrophe nommée sauvetage [2] » ; confronté à un rouleau compresseur que rien ne semble être en mesure d’arrêter, ni la preuve des conséquences désastreuses de l’austérité, ni des mobilisations sociales sans précédents. C’est que le rapport de force avec les institutions et gouvernements européens semble disproportionné. Dans un contexte où la résignation et la survie semblent les seules options possibles, l’extrême droite progresse de manière spectaculaire en désignant les immigrés comme bouc-émissaires [3]. Un récent sondage montre une progression spectaculaire du parti néo-nazi Aube dorée, donné comme troisième force politique du pays. Dans le même temps, la mise en œuvre de l’austérité en l’absence de toute légitimité démocratique, nécessite de recourir à des méthodes autoritaires. En janvier 2013, le gouvernement grec a décrété la loi martiale et mobilisé la police anti-émeute pour briser la grève de neuf jours des employés du métro d’Athènes. Mesure impensable il y a quelques années, les conventions collectives ont été suspendues fin mars 2013, dans l’indifférence presque totale des grandes confédérations syndicales européennes, tandis que les attaques sur les droits du travail se multiplient [4]. La récente fermeture de l’audiovisuel public grec (qui a provoqué l’émotion des médias, mais aussi une importante mobilisation populaire en Grèce) est symptomatique de la manière discrétionnaire dont le gouvernement Samaras impose l’austérité : par décret. Epiphénomène de la rigueur sauvage imposée à la Grèce, elle pourrait néanmoins constituer un symbole, et provoquer une prise de conscience de l’alternative qui se présente en Grèce et en Europe : le lent glissement vers le pire, ou la rupture avec les diktats de l’austérité. Si les tenants du néolibéralisme affirmaient en 1975 qu’il y avait « des limites désirables à l’extension de la démocratie politique [5] », il est désormais certain que la politique imposée à la Grèce et la démocratie ne sont plus compatibles. http://blogs.mediapa...s-sont-tombes-1
  21. Comme si les gens avaient tous lu Marx ???
  22. :smile2: Ca m'a pris 2 min pour me relire. Tu es vraiment paresseux intellectuellement parlant, rien d'étonnant à ce que tu défendes le gouvernement et sa propagande.
  23. Contrairement à ce que vous répétez, il n'existe pas que deux alternatives, appliquer les politiques d'austérité ou s'endetter jusqu'à l'infinie. Ce faux dilemme est complètement caricatural et peut très bien fonctionner pour un spectateur de TF1 mais rarement quand il est posé noir sur blanc dans un forum et que les gens ont le temps d'y réfléchir. La Grèce en est dans cette situation de récession catastrophique justement parce que les politiques que vous préconisez ont été appliquées. Il est arrivé la même chose à d'autres pays, comme l'Argentine au début des années 2000, même politiques, même effets, même résultat catastrophique. Enfin pas pour tout le monde, parce que pendant que l'économie d'un pays plonge il y en a qui se font un max d'argent. Non, il n'y a pas à se serrer les fesses, il y a juste besoin de réfléchir et de comprendre que les politiques d'austérité sont par essence récessionnistes. Quand on détruit de l'activité en cessant de la financer, peu importe que cela soit de l'activité financée par de l'agent public ou privée, que ce soit indirectement ou directement, et bien cela met des gens au chômage et réduit les rentrées d'argent de l'état. Ces gens au chômage ont moins d'argent pour consommer, donc c'est la consommation qui baisse, et dès que la consommation baisse, c'est toute l'économie qui est touchée, les entreprises ont moins de clients ( particuliers ou autres entreprises ) et résultat elles licencient ou ferment. Cela provoque un engrenage de récession évident que tout le monde connait. C'est ce qu'il s'est passé dans les années 30 justement. Du coup, à cause du chômage, et de la récession, les recettes de l'état empirent et les dépenses sociales occasionnées grimpent, surtout dans un pays comme le nôtre qui possède un filet de protection sociale très développé. Voilà pourquoi il faut bien faire la distinction entre l'économie ( qui est réelle ) et la finance ( qui est virtuelle ) et quelqu'un qui veut gérer son pays de façon à ce qu'il prospère, quelqu'un qui se soucie des conditions de vie et du bien être de ses compatriotes, il ne fera donc jamais passer le virtuel avant le réel, il n'ira jamais essayer de résoudre des problèmes virtuels en sacrifiant le réel et ce qui fait vivre les gens. De toute façon ce n'est même pas ce que font nos dirigeants, eux ont bien compris que cela ne résoudrait aucun problème, par contre ils savent que c'est un bon prétexte pour faire passer des politiques injustes qu'autrement les gens n'accepteraient jamais, et c'est bien ce que fait le gouvernement actuellement, à l'image de tous les sociaux démocrates au niveau européen, et il est dommage qu'il faille attendre comme en Grèce que la situation se dégrade à ce point pour que les gens réagissent et virent ces faux socialistes du pouvoir définitivement. Mensonge. Les mesures qui sont prises ne visent aucunement à règler les problèmes comme le chômage. Faire travailler les gens plus longtemps, cela crée du chômage. Appauvrir les gens par des impôts pour payer des rentiers qui vont accumuler et donc ne pas dépenser cet argent, cela crée du chômage. Réduire les cotisations sociales, la recette miracle de la droite et du medef depuis 30 ans, cela a toujours créé du chômage et appauvrit la sécurité sociale pour rien. Ce sont ces politiques qui dégradent la situation, pas je ne sais quelle crise qui tomberait du ciel. Ce sont d'autant plus ces politiques qui nous foutent dans la merde qu'elles sont menées à l'échelle européenne, donc d'autant plus qu'elles touchent tous les pays avec qui nous commerçons essentiellement au niveau international ... La vraie crise, qui a eu lieu en 2008, elle aurait pu être réglée aussitôt avec les bonnes politiques. Ce que nous vivons aujourd'hui n'est pas une crise, mais l'instrumentalisation politique de cette crise pour imposer les politiques néolibérales et au passage faire le holdup du siècle en transférant des milliards d'argent public vers des comptes privés. La tarte à la crème. Tu avoues qu'ils mènent des politiques injustes et néfastes, mais ce n'est pas de leur faute ils n'ont pas le choix des "marchés" viendraient les y contraindre. C'est évidemment un gros mensonge. Ils mènent ces politiques parce qu'ils sont associés à ceux qui influent sur ces marchés et notamment les banquiers. Ils n'y sont pas contraints, ils le veulent tout simplement. Et pour se déresponsabiliser ils essaient de nous faire croire qu'ils n'ont pas le choix. Bien évidemment en politique on a toujours le choix. Seulement chaque choix n'implique pas les mêmes effets. Il y a évidemment de nombreux choix qui n'impliquent pas de mener des politiques injustes et néfastes, mais justes et bénéfiques, et ce sont évidemment ces choix qui permettraient d'améliorer la situation. Seulement les politiques néfastes servent les intérêts des riches et en particulier des financiers, et les politiques bénéfiques servent l'intérêt général, notre intérêt à nous tous. Il faut donc quelqu'un qui veut défendre l'intérêt général au pouvoir.
  24. Ce qui n'est pas cohérent c'est de continuer à prétendre que ces politiques servent l'intérêt général, et en particulier à juguler les déficits nationaux, quand partout où elles sont appliquées, elles dévastent le pays qui y est soumis en le plongeant dans une récession économique historique, et du coup conduisent à creuser encore plus les déficits. Les déficits sont clairement un prétexte pour mener les politiques de revendication de la haute bourgeoisie, il faut avoir très clairement des oeillères pour ne pas s'en rendre compte. Réduction des dépenses publiques, augmentation de l'age de départ à la retraite ou du nombre d'annuités de cotisation, hausse des impôts pour l'ensemble des français en épargnant les plus riches, licenciements dans la fonction publique, baisse des prestations sociales, privatisations de secteurs d'activité publique, milliards débloqués pour "relancer l'activité" sans aucunes contreparties, baisses des cotisations sociales, flexibilité du travail ( gèle des salaires / licenciements facilités ). Toutes ces mesures c'est ce que la droite et le Medef demandaient depuis 30 ans, et c'est le PS qui les mets en place. La dette les déficits, ce sont eux qui les ont creusé eux même en préférant emprunter plutôt que de lever les impôts qu'il fallait auprès de ceux qui ont de l'argent et en mettant en place des mécanismes bancaires d'endettement. Alors ils créent cette dette, et après ils s'en servent comme prétexte pour mettre en place à marche forcée les politiques qu'ils ont toujours prôné. Faut être bien aveugle pour ne pas le voir. Ces politiques ne résolvent rien. Elles permettent à plus de gens de se gaver sur le dos du reste de la population. Toute l'Europe ducoup est en récession ou va l'être dans les mois à venir ... Voilà à quoi servait Cahuzac et à quoi sert Moscovici. Voilà ce que Hollande a négocié pour avoir l'adoubement de la Haute Bourgeoisie pour devenir président.
  25. Pourquoi tous pourris ? Je ne crois pas que ces quelques personnes représentent l'intégralité de la population ni même l'intégralité des élus ou désignés. Mais vous pouvez vous mettre des oeillères, c'est votre problème. Pour moi il y a bien un lien entre l'idéologie et les intérêts défendus par ces personnes qui accèdent au pouvoir, le fait qu'ils puissent accéder à d'aussi hautes responsabilités, et le fait qu'ils soient corrompus et qu'ils aiment l'argent. Cahuzac a avoué qu'il n'a jamais cru à la lutte des classes, comprenez par là que pour lui que les intérêts de la haute bourgeoisie était tout à fait compatibles avec son action politique. Les personnes comme cela ne se retrouvent pas au gouvernement par hasard. Ils s'y retrouvent bel et bien pour défendre leurs intérêts. Et il suffit d'analyser son action au gouvernement pour s'en assurer. Les politiques d'austérité mises en place vont dans leur intérêt. Les milliards débloqués vont dans leur intérêt. Moscovici faisant partie d'un lobby industriel, ayant les mêmes amis que DSK son mentor, c'est de la même veine. Et il n'y a rien d'etonnant à ce que Moscovici soit au 2ème poste clé du gouvernement pour l'économie, et à ce qu'il ait tenté de blanchir Cahuzac. On voit bien que Hollande pour devenir président a passé des accords avec la haute bourgeoisie, et l'un des termes de ces accords fut de mettre Cahuzac et Moscovici au gouvernement au niveau de ces ministères clés. Ducoup les français ont voulu élir un président de gauche pour mener des politiques allant dans l'intérêt général, améliorant leurs conditions, et au final ils ont un président qui mène des politiques de droite défendant les intérêts des riches, de la finance, et des grands industriels.
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