Ved

Tiens tiens, je vais aller dans une réunion du FN crier "BANDE DE SALES FACHOS DE MEEERDE" et après, je porterai plainte pour coups et blessures (si je suis toujours en vie...) Super idée (vais-je battre le record des poupouces - - - ? y'a tellement d'extremistes ici! :smile2:) Il y a bien plus de violence dans certains principes que dans le fait de casser un bras.

Parce qu'une transformation intérieure ne se fait pas en un jour genesiis, et l'extérieur suit. Mais il y a un moment où l'on se sent déphasé, comme un décalage entre l'intérieur et l'extérieur. C'est ce que je ressens. Savoir quelque chose d'autre?

Le présent n'a pas l'air de répondre au défi que je lui lance ,.. Sauf s'ils ont vus Koh Lanta ou ManVsWild :smile2: (ironie) Oui mais ce n'est pas une punition, c'est juste l'ordre des choses... Inspire, expire...

Je veux dire que comme bien souvent, une voix s’élèvera au nom de toute autre, et un être humain sera le symbole du mouvement qui naît depuis bien longtemps. Je pense que c'est une mécanique naturelle qui veut cela. Lorsque cet être humain sera prêt, et qu'il se sera manifesté tel qu'il est, une masse le suivra et changera les choses.

Allez-y, je vous suis.

Il y a certaines personnes qui, quand une chose à laquelle elles croient déplaît, elles ne la remettront pas une seule seconde en question et préféreront croire que c'est la véracité qui déplaît. C'est une forme de naïveté assez poussée.

Pareil :D sauf que c'était une fille

Que les soirées et les week-ends ne passent pas assez vite

je suis tout à fait d'accord. Pour l'instant, je le prends "avec le sourire", en expliquant que si tout le monde pensait comme elle, il ne lui resterait déjà plus que des pâtes et des soupes... Il y a des gens qui font des reproches, et d'autres qui nous donnent l'impression de leur avoir donné un billet gagnant du loto tellement ils nous remercient pour trois fois rien... Cela compense. Où se trouvent les restos du coeur chez toi? A Metz je croient qu'ils se posent près de la gare. Mais où qu'ils soient, ils seront forcément loin de certains demandeurs. Les restos du coeur ambulants ça n'existe pas!

Les deux ne sont pas contradictoires. Les personnes que je vois à l'épicerie sont toujours dans le besoin. Cela dit, certaines, à force de sentir "enfermés" dans cette situation, voient aussi l'aide sociale comme une assistance "à vie", et du coup, vivotent avec les aides qu'ils ont, et finissent par limiter les efforts pour mieux vivre. (tout ceci n'est que supposition!).

je n'avais pas lues toutes les réponses. Mais c'est vrai que tu peux donner directement aux restaus du cœur ou à la croix rouge si tu préfères.

Salut, Etant moi-même bénévole à la croix rouge dans une épicerie sociale, je crois qu'il y a réellement des gens qui se laissent "dépendre" de l'assistance qui leur est donné. Dans cette épicerie, les prix sont proposés à 10% du prix initial. Pour y avoir droit, les gens doivent passer par une assistante social. C'est une aide pour eux. Mais beaucoup compte sur l'épicerie social pour les nourrir. Le jour dernier, une femme (qui avait acheté de la purée à diluer dans du lait...) se plaignait de ne pas avoir droit à suffisamment de lait (on est forcés de limiter à un certain nombre par personne, pour que cela soit partagé). Comme si nous étions là pour subvenir à tous ses besoins alimentaires! Autant certaines personnes, viennent et ne prennent que le plus nourrissant (pâtes, riz, semoule), autant d'autres cherchent à profiter des prix bas pour acheter ce qu'ils n'ont pas les moyens de se procurer habituellement. Je ne dis pas que c'est mal, c'est très bien qu'ils puissent grâce à cela avoir des cafés, gâteaux, desserts et faire plaisir à leurs enfants... mais du fait de cet écart au sein même des personnes ayants droit à une aide, je comprends que certaines personnes puissent parler d'assistanat et le voir d'un mauvais œil.

Je pourrai te parler des jours durant de spiritualité, mais je crois que tu ne comprendrais pas. Car pour dépasser le cerveau reptilien, pour ne plus fonctionner avec celui-ci, il faut déjà le comprendre, le reconnaitre - en soi. Nous parlions de ce qui pousse un homme à tuer, du fait que les instincts sont toujours à l'origine des phénomènes de destructions chez les êtres humains. Nous parlions donc précisément de ce cerveau reptilien qui est chez toi et moi, et qui se manifeste sous des formes diverses, même bien différentes des formes primitives. Ton dernier messages n'est qu'une échappatoire rapide visant à me rabaisser tout en te réfugiant derrière ton savoir brumeux qui, soit dit en passant, n'apporte pas beaucoup d'arguments à la discussion. ...Dois-je te rappeler que tu as toi-même commencé dans ce contexte rouge? Ne sois pas de mauvaise foi...

Phil, Phil, Phil... si j'avais un déficit informationnel, il serait largement compensé par mon respect d'autrui et ma patience... qualités que tu sembles peu être en mesure de manifester. La notion de territoire est très proche de la notion d'identité. Car comme tu le dis, le territoire est directement lié à la réserve de nourriture, à la survie... Et donc, instinctivement perdre le territoire=perdre ce qui fait notre identité=mort. L'être humain a élargie son identification à son identité. Ce qui définit la plupart des êtres humains, c'est leur famille, leur pays, leur religion, leurs croyances, leurs idées politiques. Nous sommes toujours prêts à nous battre pour ce qui fait notre identité car absence d'identité=mort. Si celle ci est lié aux besoins physiologiques, nous serons prêts à nous battre et à nous mettre en danger pour répondre à ces besoins. Si ceux ci sont assouvis, alors nous serons prêts à nous battre et à nous mettre en danger pour une sécurité plus durable, pour celle du groupe auquel on appartient. Puis, nous serons prêts à nous battre et à nous mettre en danger pour ce à quoi nous nous sentons appartenir: pays, culture, religion, croyances... Bref, pour tous ces gens qui s'identifient à ces abstractions... Cependant l'instinct est le même, il est celui de la survie de ce à quoi on s'identifie.

Il tue toujours pour garder un territoire, à la différence de l'animal, il ne se limite pas au territoire physique (terres, ressources); cela s'étend au territoire "intellectuel" : celui des idées. Et que savons nous de ce qui pousse réellement l'être humain à se battre pour de l'abstrait? Pour moi, c'est le recyclage des ces mêmes instincts primitifs que nous avons - de toutes façons - en nous.

Les forces qui sont en nous et qui nous poussent à faire des choses horribles, Sont les mêmes que celles qui poussent à faire de grandes chose. Il y a beaucoup d'artistes qui ont fait des trucs pas très nets dans leurs délires. Comme s'il y avait beaucoup de choses à canaliser et qu'à tout moment, cela pouvait péter par un autre moyen qu'à travers l'art.

L'animal peut tuer pour défendre son territoire. N'est - ce pas précisément ce que fait l'être humain en temps de guerre?

J'ai beaucoup de respecter pour les animaux, et ils sont à mes yeux égaux aux êtres humain en terme de "valeur d'être vivant" comme dit Quiet Mind. Mais de en ce qui concerne la distinction que je fais entre les animaux et les êtres humains, certains êtres humains se rapprochent davantage des animaux... Ils répondent à leurs instincts primaires, suivent les pensées de masse, et c'est tout ce qui les définie. Je comprends, mais il faut bien s'entendre sur le terme de valeur qui est le noeud de ce topic. Je pense que nous avons tous fondamentalement la même valeur à savoir: nous sommes vivants, nous participons aux cycles naturels, et nous faisons ce que nous croyons être bien. Cela est une valeur fondamental qui nous rassemble. Mais dans cet univers qui est mouvement, il y a différentes forces, différents mouvements parfois opposés et qui s'équilibrent. Un petit peu comme les couleurs qui composent l'arc en ciel, le spectre de la lumière blanche. Pour faire simple :il y a l'eau et la terre qui permettent aux végétaux de pousser, mais il y a aussi le feu qui détruit ces végétaux. Cependant les cendres vont alimenter le sol. C'est un cycle. Les forces de destructions et de créations se suivent. Y'a t-il un bien, y'a t-il un mal là dedans? Si nous étions des végétaux le feu serait pour nous l'incarnation du mal. ...Mais nous sommes des êtres humain et c'est ainsi que, les pédophiles, les meurtriers sont pour nous l'incarnation du mal. C'est ainsi. Et cela en a toujours été ainsi. Aujourd'hui sur Terre nous allons finir par nous auto-détruire parce que nous sommes de plus en plus nombreux, trop nombreux ; puisque nous avons cherchés à ralentir le cycle de destruction, en inventant des vaccins, en améliorant notre confort. Et c'est tout à fait normal, je ne juge pas, je ne dis pas que c'est bien ou que c'est mal. Mais la destruction fait partie du cycle naturel et elle doit s'exprimer tout autant que la création. Nous reculons son échéance, elle reviendra donc au galop. Yo-ho je suis un archidruide et j'affirme que l'équilibre de dame nature est en danger :smile2: Comprends tu ce que j'essaie de dire ou vas t-on m'accuser à tort d'excuser les crimes? ^^'

A ma table...? :smile2: et que pense t-il du sujet? Là, il va falloir m'expliquer en quoi certains être humains se différencient des animaux...

C'est bien beau de prendre un homme et de lui coller une étiquette de grand méchant mais... Ce n'est pas lui même qui s'est accordé tout ce pouvoir d'action. Puis-je te rappeler qu'Hitler ne serait rien sans l'obéissance de ses sous fifres? Autre chose... La plupart des grands criminels sont atteints neurologiquement, par exemple, ils ne peuvent ressentir les émotions qui, habituellement, nous font ressentir de l'empathie, de la compassion, de la sympathie. Cela peut être dû notamment au fait que, d'avoir été trop sensible aux émotions dans l'enfance (persécutions ou autre), l'être - pour se défendre - se ferme totalement au ressenti de ces émotions. Est-ce une excuse? Bien sur que non, mais c'est une explication. Et toi-même, et moi-même, si nous ne ressentions pas les émotions, et si nous avions des idéaux non retenus par cette capacité d'empathie, alors nous serions des monstres.

Je crois que la véritable valeur d'une personne se mesure à son intention. Et nos intentions sont communes: nous faisons ce que nous croyons être bien.

La société, notre culture, impose un modèle qui tend à donner l'impression que telle personne a plus de valeur que telle autre en fonction de ce qu'elle a fait de sa vie, de ce qu'elle est... En réalité je suis d'accord avec la citation de Quiet Mind. Vous aurez beau trouver certaines couleurs de l'arc en ciel moins éclatantes que d'autres, elles sont toutes UNE dans le spectre de la lumière blanche. Egaux, selon quel jugement de valeur? C'est beau, merci. Notre esprit est-il apte à élargir ce point de vue aux animaux, aux plantes?

Moi j'ai peur de me faire percuter par une bagnole quand je me balade une fois la nuit tombée...

Bah oui, c'est comme les sangliers, ils n'ont rien à faire là, autant les tuer... On confie vraiment des armes à des mecs de 75 ans sérieux? Autant en filer à des gamins de 5 ans...

"La Moïra" de Loenvebruck, "La cité de l'ombre" de Jeanne Duprau (récemment adapté au cinoche!)