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Noisettes

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Tout ce qui a été posté par Noisettes

  1. Je fais référence à des personnes qui ne se sont pas demander si l'image qu'ils avaient trouvé sur le net (et qui est estampillé Témoins de Jéhovah) ne serait pas une retouche de l'image originale pour aller dans leur sens, Casdenor... Car la manipulation d'image devient de plus en plus aisé et qu'il est toujours de bon ton de s'interroger sur la provenance réelle de cette image et si elle est bien originale ou si elle a été retouchée...
  2. Je crois que certains devraient étudier la façon dont les images peuvent se lire...
  3. Et tu sais ce que tu vas faire maintenant...
  4. J'en suis restée aux trois premières pages du topic et d'après l'auteur, le forum serait infesté de membres des Témoins de Jéhovah :smile2: Je crois que l'anticléricalisme de certains (qui s'adresse à toutes les religions) a encore de beaux jours devant lui...
  5. Coucou Destiny,

    Un joyeux anniversaire avec quelques heures de retard.

    A bientôt.

  6. Certes, cet enfant n'a pas du tout été programmé, mais si Chounga décide de le garder, en quoi celui-ci serait un fardeau pour sa mère, si elle décide de complètement l'assumer...
  7. Noisettes

    Mon chat pue, que faire ?

    Et si tu demandais conseille à ton vétérinaire... C'est peut-être un problème d'ordre hormonal
  8. La société est d'une hypocrisie sans nom sur le phénomène qu'est la prostitution. Et que cela plaise ou non, des personnes se prostituent pour le plaisir, et non par obligation, et rien que pour cela, ce métier devrait être reconnu avec des droits (droit aux cotisations, à la retraite, à une médecine du travail...) et des devoirs (payer des impôts, répondre aux normes de sécurité...), peut importe la morale dans cette affaire.
  9. Et on fait comment pour les locataires ayant de petits salaires? On les laissent à la rue peut-être...
  10. Avoir le voisinage immédiat du cimetière du Père-Lachaise peut aussi inspirer...
  11. Au passage, Slanny, Grenadine33 ne peut pas quitter Bordeaux... J'adore discuter avec des murs
  12. Par moment, on ne peut pas faire autrement que de vivre en ville. Étant Parisienne depuis trois générations dans les quartiers populaires de la ville (Montmartre/Clignancourt/Belleville) , je vais un jour devoir quitter Paris car on fait de cette ville musée et une ville pour personnes friquées (il suffit de passer une soirée à Saint-Germain-des-Près pour s'en rendre compte). Beaucoup de personnes oublie que Paris a toujours eu une forte population d'origine modeste qui a fait fonctionner la ville, et ce n'est pas pour rien si c'est la population du XXe arrondissement de la ville qui a tenue les barricades le plus longtemps lors de la Commune et de la Semaine Sanglante...
  13. J'adore ces ados qui veulent des animaux sans avoir à l'esprit toutes les contraintes que cela entraînent...
  14. Noisettes

    Cinéma

    Bonjour chers lecteurs du Mag :cool: , Alors, pour mes premiers pas dans l'équipe du mag, j'ai décidé de faire un billet sur le cinéma, et plus particulièrement sur le cinéma muet que j'affectionne. Et le film dont je vais vous parler est un film français qui est sorti sur les écrans en 1917 et dont le titre est Le Coupable. Ce film a été réalisé par André Antoine, d'après le roman éponyme de François Coppée, et on retrouve Julien Duvivier comme assistant, qui sera un réalisateur de renom dans l'entre-deux-guerre. Le film repose sur des retours en arrière de la vie des principaux protagonistes, donnant ainsi une tension dramatique forte au film, sans entrer dans le piège moralisateur des faits et gestes des uns et des autres. L'action se déroule à Paris en février 1914, au Palais de Justice. En effet, un homme d'une vingtaine d'années, Chrétien Forgeat, est jugé pour le meurtre d'un usurier. Alors que l'avocat général, Chrétien Lescuyer, doit tenir l'accusation contre Forgeat, ce dernier fait une déclaration stupéfiante à la Cour : il est le père de l'accusé. Chrétien Lescuyer raconte alors à la Cour son histoire. Son père l'a envoyé à Paris pour achever ses études de droit. Il fait la rencontre d'une jeune fleuriste, Perrinette Forgeat, dont il tombe follement amoureux. Après deux ans de vie à Paris et de romance avec Perrinette, Chrétien obtient son doctorat de droit et, à la demande de son père, retourne dans sa Normandie natale, quittant à contre-cœur Paris et Perrinette, mais ne pouvant se soustraire à l'autorité paternelle. Alors qu'il se morfond en Normandie, il reçoit une lettre de la jeune fleuriste qui lui apprend qu'elle attend un enfant. Alors que Perrinette met au monde un petit garçon qu'elle chérit plus que tout et qu'elle nomme Chrétien, en souvenir de son père absent, Chrétien Lescuyer se marie avec la fille d'un notable de la région, mariage voulu par son père. Alors que Perrinette se consacre à l'éducation de son fils, elle rencontre au cours d'une promenade Prosper Aubry, charpentier aisé de son état. Elle l'épouse quelque temps plus tard, pensant ainsi donner un père à son fils de dix ans, mais il s'avère que Aubry est antipathique avec le jeune Chrétien. Perrinette succombe d'une phtisie, laissant Chrétien orphelin, et les relations avec son beau-père deviennent de plus en plus tendues, au point que le jeune garçon fugue du domicile, en compagnie d'un camarade de classe. Les deux jeunes garçons sont alors interpellés dans leur cachette par les policiers qui les conduisent devant un juge. Prosper Aubry profite de cette aubaine pour se décharger des obligations qu'il a auprès du jeune garçon qui est alors conduit en une maison de redressement dans la Marne et qui est nommée la "Colonie". Une fois sorti de la maison de redressement à sa majorité, Chrétien Forgeat déambule dans les rues de Paris à la recherche d'un emploi, il rencontre un ancien camarade de la "Colonie", Grosse-Caisse, qui parvient à le faire embaucher comme figurant au théâtre du Châtelet. Au cours d'une représentation, une actrice perd une boucle d'oreille que Grosse-Caisse trouve dans le décor et qu'il revend aussitôt, avec la complicité de Chrétien Forgeat qui se charge de la transaction, à un usurier se situant rue Cadet. Après cet évènement, Chrétien rompt tout lien avec Grosse-Caisse, en refusant l'argent de la vente de la boucle d'oreille. Cependant, après plusieurs jours à errer dans Paris, sans argent et sans nourriture, une idée lui traverse l'esprit : vendre le seul bien précieux qu'il possède, sa montre en or. Il se rend alors chez l'usurier qu'il a déjà vu et au cours d'un instant de folie, le tue et s'empare de l'argent liquide qu'il avait en boutique. Une fois son coup de folie passée, il déambule dans les rues et il rencontre une jeune brodeuse, Louise Rameaux, qui est désemparée car son travail n'a pas été accepté parce que sa fillette a abîmé le tissu en soie en faisant tomber la lampe à pétrole dessus. De plus, le contremaitre exige le remboursement de la toile, chose que la jeune brodeuse peut difficilement rembourser. Chrétien lui annonce qu'il a de quoi payer la toile. Il se rend chez Louise Rameaux, dont la petite fille dort, et donne l'argent l'argent à la brodeuse avant de quitter la chambre qu'elle occupe avec sa fille. Il se résout à vendre ses vêtements chez un fripier, pour avoir de quoi se nourrir, et c'est en sortant de la friperie qu'un ancien gardien de la "Colonie", l'ayant reconnu, fait procéder à son arrestation. Pendant ce temps, Chrétien Lescuyer, devenu veuf et sans enfant, mais ayant une réussite professionnelle certaine, qui lui fait quitter sa Normandie natale pour le conduire à Paris. C'est en allant dîner chez un couple d'amis, les Donndieu, qu'il apprend l'histoire de l'usurier assassiné qui fait la une des journaux, et qui attire son attention. Sa fonction au greffe lui permet d'avoir accès au dossier, et quelle n'est pas sa stupéfaction d'apprendre que son fils naturel est l'auteur du crime. Au cours du procès de Chrétien Forgeat, Chrétien Lescuyer endosse la responsabilité du crime de son fils, car il a fait preuve de lâcheté en quittant Perrinette, il a fait preuve de lâcheté en ne tenant pas tête à son père et à ses volontés, il a fait preuve de lâcheté en n'assumant pas sa paternité. Il abandonne l'acte d'accusation qui pèse sur son fils et demande aux juges et aux jurés de faire preuve de clémence à l'égard de Forgeat. Chrétien Forgeat évite la peine capitale, mais il est condamné à quelques mois de prison car ayant bénéficié de circonstances atténuantes, avant commencer une nouvelle vie auprès d'un père qui l'a reconnu officiellement.
  15. Coucou Tic-tac,

    Je te souhaite un joyeux anniversaire.

    A plus tard.

  16. Non, ça peut être aussi douloureux quand cela se fini d'un accord en accord avec les deux partis...
  17. Je n'ai jamais dit ça, je veux juste dire que quand on met quatre ans de ses tripes dans une relation que l'on essaie de construire, et que celle-ci termine, c'est encore plus douloureux...
  18. Finalement, l'amour est un sentiment douloureux quand cela se termine...
  19. Coucou romain,

    Bon anniversaire.

  20. Comme tu dis, il y a pas grand chose sur ton profil, mais tu as beaucoup d'amis...

    A

  21. Noisettes

    Une rencontre...

    Je sais, mais je suis entre mon CM d'histoire contemporaine sur la Ve République et les années Mitterrand et le Forum, dont, sur deux pages différentes avec quelques fautes de frappe de ma part...
  22. Noisettes

    Une rencontre...

    Tu pourras difficilement me noyer, shyvers, parce que pour une Noisettes, je nage comme un poisson dans l'eau... :) Changer d'air me ferai beaucoup de bien. Si je me souviens bien, Zaz, tu es plus au nord que Saint-Gervais-des-Bains...
  23. Coucou,

    J'étais en train de me promener sur le Forum, et je suis tombée sur ton profil que j'ai visité rapidement.

    Bonne journée.

  24. Noisettes

    Détruite...

    J'ai tendance à éviter comme la peste les assistants sociaux. Au pire, j'ai ceux du CROUS...
  25. Noisettes

    Détruite...

    Je n'ai pas du tout l'intention d'y retourner, mais ils seront encore plus proche de moi par je ne suis pas trop loin de la piscine des Tourelles. Je vais juste éviter cette piscine à l'avenir...
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