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Jack~OF~Blade

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Tout ce qui a été posté par Jack~OF~Blade

  1. slt lami !!! dsl pour la suite, mais la javais vraiment pas le temps !!

    jemi remet dés que possible!!

  2. Jack~OF~Blade

    Le groupe de ta vie

    Bullet for my valentine !!
  3. ben la, celui que jvois c lancien.... :blush: ah non, c bon ! yavait un bug, fallait que jactualise la page
  4. c fai t mais jarrive pas enlever lancien ? g uploader celui de triba, mais l'autre est tjrs la !!
  5. super merci !!! mais comment je fais pour me le mettre en avatar ?
  6. bonne idée le psy !! mais pas besoin de nous le dire 2 fois ^^
  7. Le corail disparaît plus rapidement que la forêt amazonienne !!! Les récifs de corail, dont les plus connus se trouvent dans la grande Barriere de Corail (qui s'étend sur plus de 2600 km) au large des côtes Australiennes mais aussi dans les îles les plus peuplées : Les Antilles, Mayotte etc..., disparaissent beaucoup plus rapidement que selon les prévisions les plus pessimistes, annonce une équipe de recherches de l'université de Caroline du Nord à Chapel Hill, et il n'existe actuellement aucun moyen d'endiguer ce déclin. Apparemment la situation est critique, concernant la sauvegarde de ces fantastiques écosystèmes, symboles du génie de la Nature : La Diversité. John Bruno et Elizabeth Selig ont ainsi compilé les données de plus de 6000 études effectuées parmi 2600 récifs coralliens de l'Indo-Pacifique entre 1968 et 2004. L'importance de la couverture corallienne par rapport au support rocheux a été prise comme indicateur de bonne santé. Les deux chercheurs ont déterminé que cette couverture se réduisait de 1 % par année durant la période étudiée, alors qu'en comparaison, la forêt amazonienne ne diminuait "que" de 0,4 % par an. La conséquence de cette régression est à la fois mathématique et dramatique : en 2003, il n'existait plus que la moitié du corail vivant que l'on observait sur les récifs de l'Indo-Pacifique au début des années 80, autrement dit, cette couverture s'est littéralement effondrée de 40 à 20 %. Mais le pire reste à venir. Une étude semblable, effectuée dans la mer des Antilles et plus particulièrement sur les récifs des Caraïbes démontrent que ceux-ci meurent à raison de 1,5 % par an. Ceux-ci sont ainsi réellement menacés de disparition à court terme Corail*, qu'est-ce que c'est ? Constitué de colonies de polypes vivants ( qui produisent eux même leur squelette de calcaire),dont la nature exacte a longtemps été controversée, balançant entre l'origine minérale, végétale puis a partir du XVIII ème siécle, animale, le corail ne peut vivre à plus de trente mètres de profondeur. Les premiers organismes colonisent d'abord les régions côtières, où ils s'accrochent au socle rocheux, puis au fur et à mesure que celui-ci s'enfonce, ou que le niveau de la mer monte, de nouvelles générations se développent sur les squelettes des animaux morts. C'est pour cette raison que d'énormes récifs sont apparus au cours de l'évolution, s'enfonçant à des profondeurs importantes. Dès qu'une zone est nettoyée de ses organismes vivants, par prédation ou destruction quelconque, ces squelettes, essentiellement constitués de chaux, disparaissent. Les récifs coralliens constituent tout un écosystème à eux seuls, tellement complexe que nul ne peut prévoir l'étendue des conséquences de leur disparition sur le biotope marin, mais aussi sur d'autres aspects tels la climatologie car ces structures gigantesques (plus de 2600 kilomètres pour la Grande Barrière de Corail en Australie) ont une influence directe sur le déplacement des masses océaniques, et ainsi sur la climatologie mondiale. Peut-on contrer la menace ? Selon les deux chercheurs, le principal responsable de la situation actuelle est bien le réchauffement global, qui non seulement provoque le ralentissement de la croissance des polypes, mais détruit leurs zooxanthelles, algues symbiotiques dont ils ont besoin pour réaliser la photosynthèse. Ils indiquent que malgré toutes les mesures de protection déjà prises ou en cours de l'être, comme l'interdiction de la pêche ou la limitation du tourisme dans les zones coralliennes, ainsi que la lutte contre les rejets polluants (en provenance des cultures de canne à sucre dans les Caraïbes par exemple), le déclin ne pourra être enrayé en l'absence d'un effort international pour limiter le réchauffement global. Il y a trois ans, Andrew Baker, de l'université de Colombia à New York, avait estimé que les coraux pourraient s'adapter naturellement à un environnement plus chaud. Cependant, il apparaît aujourd'hui que cette adaptation ne s'effectue pas assez rapidement, le réchauffement climatique prenant de vitesse toutes les tentatives de la nature pour y remédier. Baker pense que des recherches devraient être conduites pour aider les coraux à supporter le changement, ce qui pourrait passer par l'inoculation dans les récifs les plus exposés et les plus anciens d'algues symbiotiques résistantes à la chaleur. Quelle que soit la solution envisagée - si elle existe - une seule chose est certaine : c'est une course contre la montre qui est engagée, dont l'enjeu est la vie de régions entières. *Il existe deux classes de coraux, ceux à 8 tentacules (octocoralliaires), ayant leur propre squelette interne comme le corail rouge, le corail de feu, les gorgones ou les alcyons. Et ceux aux tentacules multiples de 6 (hexacoralliaires), connu sous le nom de madréporaires, qui sont pour la plupart des animaux coloniaux pourvus d'un squelette externe calcaire. Chaque polype du corail sécrète un squelette, dur ou mou. Il pourra grandir chaque année de quelques millimètres à plusieurs centimètres A voir : http://www.mysterra.org/webmag/corail.html
  8. merci tribality ce serait trés gentil de ta part :blush:
  9. ya til un rapport entre coeur bleu et bebe bleu ? :blush:
  10. Moi a la limite, simplement rajouter "Jack" dessus....aprés si t'as une bonne idée, n'hésite pas (oui je manque d'imagination)
  11. Blindage double couche alors... sait on jamais. :blush:
  12. Au pire je suis sure qu'il y a un amurier non loin de chez toi...avec de bon gros fusils d'assaults :blush: nan je rigole
  13. euh...et si on veut laiser un "grand mot" c'est ou ?
  14. geko a raison (et oui ya pas que les fraise et les tagada ) les regret ne servent a rien, a part te démolir moralement, car ils te tourne vers le passé, alors que pour avancer, il faut se tourner vers l'avenir... :blush: Ne regrette pas tes gestes : il y a toujours un rayon de soleil, meme dans le pire des ouragans, cherche le, et tu seras sur la bonne voie Ce qui est fait...est fait Et oui, meme un pov Djeun' de 15 ans peut etre un vrai philosophe...et psychologue aussi
  15. jolie la ptite critique de la citation...^^

  16. L'eau est un substance liquide, des plus répandue sur Terre. De nos jours, elle est passé du statut de ressource, à celui de denrée. Notre Planète, appelée "Planète Bleue", est constituée de 71% d'océans composés d'eau salées, et 29% constitué de continents et d'îles.Tout porte a croire que nos ressources en eau sont importantes, et presque infinies... . Et bien non : certes, la Terre posséde d'énormes quantités d'eau, malheureusement 97 % de ces réserves sont salées, trop pour la consommation humaine, car nous avons besoin d'eau douce ( qui représente une infime fraction des ressources en eau totale)telle que l'on en trouve dans les lacs, les riviéres... Ainsi, selon les Nations Unies, plus d'1 milliard de personnes vivent dans des régions où l'eau douce est très rare, ce chiffre ayant de fortes chances d'empirer d'ici a 2025, pouvant passer à 1,8 milliard de personnes. De nos jours, l'une des solutions qui paraît la plus efficace est le dessalement de l'eau de mer, afin de rendre l'eau saumatre potable. Mais qu'en est il vraiment ? 1)Régions et pays concernés Les usines de dessalement sont extrêmement chères et moins rentables que le traitement des sources d'eau douce, il faut le préciser, cependant, elles présentent un intérêt évident,notamment pour les pays ne disposant pas de sources d'eau non saumâtres et possédant des revenus suffisants, les Océans étant des réserves quasi-inépuisables et insensibles a la sécheresse. De nombreux pays l'ont compris, car selon les chiffres de l'Association internationale du déssalement, il y aurait 13080 usines de dessalement en activité dans le monde. Elles sont surtout situés dans les pays du Moyen Orient, particulièrement dans les Emirats Arabes Unis (usine de Fujaïrah), en Israël (usine d'Askhelon), en Syrie (usine d'Amman) et en Tunisie (usine de Djerba).On en trouve aussi en Algérie, en Amérique Latine et en Espagne : les Canaries dépendent ainsi a 100% de ces technologies pour leur consommation d'eau potable ... Les Etats Unis se classent au deuxième rang mondial, derrière le Moyen-Orient Carte : Les usines de dessalement dans les pays du Golfe, en 2000 2)Les principaux procédés de dessalement Il existe actuellement différents procédés de dessalement, qui sont tous passés au stade industriel de nos jours. Les plus courants sont : -La distillation, qui consiste a l'évaporation de l'eau de mer, par l'intérmédiaire d'une sorte de puissante chaudiére.Il ne reste que le sel et la vapeur d'eau, tous deux séparés l'un de l'autre. Enfin, il suffit de condenser cette vapeur d'eau pour récupérer l'eau douce. -Le deuxième procédé est l'osmose inverse qui nécessite au préalable un traitement de l'eau de mer, en la filtrant et en la désinfectant. Ensuite, a l'aide d'une pression suffisante, on pousse l'eau pour lui faire traverser une membrane semi-permeable : seules les molécules d'eau réussissent a la traverser. Schéma osmose inverse : (bon l'est pas super simple non plus... ) Cliquez sur le schéma pour une meilleure qualité d'image. 3)Les enjeux de cette technologie Le dessalement est une activité industrielle en forte croissance depuis quelques année. Ainsi la capacité de traitement de ces usines augmente de plus de 10% par an. Cette technologie pourrait apporter une réponse a la pénurie d'eau qui frappe certains pays ne disposant pas d'importantes sources d'eau douces. Exemple : L'Usine d'Askhelon en Israël, qui produit 320.000 m3 d'eau par jour, permettant ainsi de subvenir aux besoins de plus d'1million de personnes. 4)Les Inconvénients et Limites de cette technologie Cette technologie, comme nous l'avons déja précisé précédemment, coûtent très cher et souffre d'un manque de rentabilité. En effet, certaines techniques, telles que le chauffages ( pour la distillation) et la compression de l'eau ( pour l'osmose inverse) nécessite d'importante quantité d'énergie, par rapport au volume d'eau produit. Ainsi, certaines organisations écologiques s'inquiétent de l'énergie consommée par ces usines et des gaz à effets de serre qu'elles vont rejeter. Le procédé permettant de récupérer une eau très pure, la distillation multi- effet, demande environ 15 kWh/m³. L'Osmose inverse, elle, consomme beaucoup, environ 4-5 kWh/m³. C'est pourquoi elle représente 50% de ce marché. Cependant, malgré la croissance rapide de cette activité, lorsque l'on prend l'ensemble de ces usines de dessalement, on remarque qu'elles ont la capacité de produire 55,6millions de metres cubes d'eau potable...qui représente 0,5 % de la consommation mondiale : un chiffre actuellement ridicule. http://www.gralon.net/articles/materiel-et...enjeux-1261.htm
  17. Conséquence du naufrage de l'erika en décembre 1999 Et voila le résultat... Et ce qu'on peut retrouver au fond de la mer...a cause des rejets de déchets, notamment plastiques . Peut on vraiment se résigner a détruire de telles merveilles ? (la Grande Barrière de Corail ) Imaginez ces gigantesques Tankers (voir même SuperTanker) pouvant atteindre plus de 100 mètres de long et transportant des centaines de tonnes de pétrole, naviguer, parfois dans des tempêtes créant des creux de plusieurs mètres qui risqueraient de les briser en deux, sur nos océans .
  18. comment met on les catégories dans les blogs ?

    j'ai penser que vous le sauriez...

    bonsoir au passage...et merci d'avance ^^

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