Feuille

Arf. Dans 10 ans, tu te diras que 2 ans, au final, c'est passé vite... mais gniiiii... en attendant, bon courage. Est-ce que tu envisages de te faire un peu aider 'rapport à ton humeur dépressive ? J'pense bien à toi. Et, bon, youpie pour l'anniv' réussi ! :)

Moui, enfin, asocier l'hypnovel et la morphine, c'est pas toujours à des fins paliatives/pour accélerer le décès. Cela permet de mettre le patient dans un coma ET d'éviter qu'il souffre pendant qu'on le soigne ('fin.. si ce dont il souffre est guérissable, évidemment). Mon garçon a été exposé à ce cocktail (plus des curares, pour éviter qu'il ne bouge) pendant ses deux-trois premières semaines de vie (il avait subi une opération assez lourde, pour résumer). Augmentation régulière des doses pour pas qu'il n'y ait d'accoutumance, etc. Je ne dis pas que cela soit aussi utilisé dans ce cas de figure, hein ! Je tiens juste à nuancer. Et autre chose : utiliser cette combinaison de molécules peut entraîner la mort du patient, oui... mais ce n'est pas le but recherché. Si le corps lâche, il lâche, que ce soit plus tôt (mais on ne sait pas exactement "quand", contrairement à une injection immédiatement destinée à tuer) à cause de la surdose de médicaments donnée afin qu'on ne souffre pas... pourquoi pas, mais on ne demande pas à un soignatn de tuer directement. Donc puisque partir un peu prématurément et sans souffrances peut déjà exister, pourquoi demander plus ? Tout à fait d'accord ('fin machine à fric je sais pas, mais en tous cas c'est un aspect à prendre en compte, les sous, dans cette histoire).Et tu ne crois pas qu'en légalisant l'euthanasie on ne risque pas encore d'accélerer la politique de libération des lits pour cause de patient incrable qui coûte des sous à la société ?

Plutôt d'accord. Préférer la mort à la souffrance... c'est un peu cette manière de présenter la question qui me gène : combien de sondages "pro-euthanasie" à l'arrivée présentent la question sous cet angle, en occultant les soins palliatifs, la prise en charge de la souffrance, comme s'il n'y avait aucune alternative entre souffrir et mourir ? Et qui dit que la personne véritablement en souffrance n'est pas aussi dépressive ? Combien de demandes d'euthanasie, pour des personnes pourtant vraiment malades, pourraient être dues à un non traitement de la dépression (aprce que, bon, quand on a une maladie incurable et qu'on souffre - ou pas, parce qu'on a suffisamment de morphine - c'est humain de déprimer, je pense) ? J'ai un peu peur que l'euthanasie ne soit au final qu'une solution de facilité, d'efficacité, d'économie... mais pas vraiment de prise en charge des besoins de la personne malade, au fond.

Parfois on fait aussi le choix inverse... "Ah bin non, les candidats A et B sont des petites jeunes toutes mignonnes, on va plutôt choisir le candidat C, qu'est d'âge moyen et d'allure moyenne... même si c'est pas le plus compétent pour le poste, parce que ça fera plus sérieux". *pan*

Moins sujet à interpretation, en tous cas.

Je ne sais pas... 50% (enfin... +1) des votants, ça me semble un peu compliqué si on prend en compte le vote blanc, notamment lorsque le score est serré entre deux candidats. "La majorité relative des suffrages exprimés, avec au moins 40, ou 45%, des votes"... ça me semble un peu plus réaliste.

Bah... j'y peux rien, moi, si c'est comme ça que ça s'appelle...

... Ok, donc non, on n'est pas d'accord. Un con qui croit normal d'aller coller une fille contre son gré, c'est pas gentillet (synonyme de "pas bien méchant").

Sauf que ce qui a frappé, ce qu'on a retenu, ce sur quoi tu n'es pas revenu, ce qui empêche d'aller voir le fond de ton discours (qu'on ait ou non la même analyse que toi), ce qui braque les gens, c'est l'expression "pas bien méchant". C'est si compliqué de dire que t'as peut-être tapé ces mots un peu vite et qu'ils ne correspondent pas au fond de ta pensée ?

Si tu dis qu'une agression sexuelle c'est "pas bien méchant", c'est pas étonant qu'il comprenne ça...

Ce qui fait réagir "la meute", c'est ton qualificatif "pas bien méchant". Reviens sur ce terme (et pas forcément sur le fond de tes propos), et tu verras que "la nuée" sera nettement moins indignée...

Sur le fond peut-être, mais pas sur les termes que tu as employé auparavant. Tu m'écris que "ce que le monsieur a fait n'est pas ce qu'on peut faire de pire, mais c'est irrespectueux de la personne qu'il a en face" (ou quelque chose d'approchant, et pas "pas bien méchant"), là je serais d'accord. Je pense. Et y'a pas que moi qui serais d'accord, j'imagine... parce que chez moi, "pas bien méchant" ne veut pas dire "y'a pire", mais "c'est des brouitilles, y'a pas de quoi s'indigner". Bin si. C'est pas parce qu'il y a pire, et largement pire, qu'on n'a pas à protester contre un tel traitement de quelqu'un.

Bin non. Ce n'est pas parce qu'une action est moins grave qu'une autre qu'elle est bénigne pour autant. Entre une pneumonie et Ebola, je préfère la pneumonie, mais c'est pas pour autant que la pneumonie, c'est de la rigolade...

Y'a des agressions pires que les autres..; mais en aucun cas je ne dirais qu'une agression, même de faible ampleur, n'est "pas bien méchante"... Nuancer, ce n'est pas dire que la moins grave des choses que l'on compare n'est "pas grave". Et ce type est tout bonne ment gerbant. 'me suis pris une main aux fesses quand j'avais environ 16 ans (dans une librairie) bah... la SEULE chose qui me fait dire que c'était "pas bien méchant", et encore, c'est que le type a eu l'air de se sentir bien merdeux quand je lui ai jeté un regard noir. Et a bafouillé des excuses. Là, ce sale type est fier de ce qu'il impose. -_-

Des restes ! Soupe (vu la quantité, peut-on parler de "reste" ? :D ) Un peu de pizza, un peu de cake, un chausson aux épinards. Et yaourt, ou fruit.

D'accord avec Shyiro ! Ou alors, faire apparaître le pays sur la petite "carte de visite" qui s'affiche lorsque l'on clique sur le symbole à droite du pseudo ? Cela peut éviter d'avoir à charger une nouvelle page... et de perdre ce qu'on était en train de taper. Oui, ça vient de m'arriver en répondant à ce message. :D

soupe de légumes (qui reste à faire...), et crumble aux pommes et poires

Bonsoir ! Petits chaussons chèvre/épinards Yaourt Reste de gâteau au chocolat

Oui mais non ! Je suis d'accord avec une partie de ce que tu dis, mais pas avec ça. Je dis bien à prestation similaire - cheveux courts, pas de soins particuliers, ni de séchage/brushing qui diffère ce de qu'on ferait pour un homme... et pouf, un tarif du simpe au double ? A prestation différente (soin, couleur, longueur...), tarif différent, c'est normal. :)

Attends ! Si ça se trouve, c'était justement une femme. qui ne se serait pas foulée poru le dessin "homme", et aurait pris son temps pour la brosse à dents "femme" (on a des mains et des dents si différentes que ça ?) Et sinon, oui, la réponse de Monop' sur les rasoirs (présence/absence de bande lubrifiante) peut peut-être se valoir... mais quid des différences observées chez les coiffeurs (à prestation et longueur de cheveu similaire) ?

L'ingénieur en design a mis plus de temps pour dessiner le modèle ? :D

Peut-être parce que le colorant rose coûte plus cher ?

Biiin... disons que justement, j'ai pas envie de manger steak et pâtes dans ce genre d'occasion... après, ça ne me dérange pas non plus de passer un peu plus de temps en cuisine parce qu'il y a deux menus. Et, bon, la situation est différente : leur père et moi avons les enfants au quotidien. Après, l'idéal est de trouver quelque chose d'un peu élaboré, qui plaira à la fois aux adultes et aux enfants.

Si c'est poru avoir des enfants qui s'endorment à table et/ou se retrouvent perdus au milieu des adultes... c'est un peu dommage. Oui, Noël est une fête où toute la famille se retrouve. Cela étant dit, les goûts des enfants petits et ceux des adultes ne concordent pas toujours - est-ce qu'on doit se priver d'huitres parce que Gilbert, 6 ans, n'en prendra pas ? Faire deux services, voire deux menus si les goûts des plus jeunes et des plus âgés diffèrent, peut être une occasion de contenter tout le monde. Et à la limite, pour un déjeuner, j'imagine assez la chose suivante : apéro entre adultes, avec les enfants qui en prennent un peu puis embraient sur "leur" repas (entrée/plat), après quoi les adultes passent à table pendant que les enfants jouent/regardent un film, et tout le monde se retrouve pour le dessert (qui peut tenir lieu de goûter pour les enfants).

Ouch ! Plus du double ? :shock: Et pour le coup, on n'a pas le choix (à moins d'arriver dans le salon la poitrine compressée par une bande Velpeau et en déguisant sa voix ?). Pour les hommes et la couleur de leur rasoir... bonne question. Comme quoi, au final, peut-être que les femmes ne sont pas les seules pour qui les apparences comptent... ^^