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Jedino

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Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. Jedino

    Participation forumienne : Mad_world

    Sur le gros paragraphe dédié au fonctionnement du nucléaire, j'ai surtout révisé mon programme de terminale (ce qui ne fait pas de mal ). Ensuite, plutôt vers le milieu est à la fin, j'ai appris deux ou trois choses ici et là, et plus particulièrement sur ce qui ne concerne pas le sujet même proposé :D M'enfin, merci pour la lecture, tu devrais te lancer dans le journalisme, dans le célèbre "Mad world news"!
  2. Rah! Bonne soirée^^

  3. Jedino

    un jour = une histoire

    Nous attendrons alors cet instant de joie. Mais si jamais avant, l'inspiration te vient, surtout n'hésite pas
  4. Jedino

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    En regardant un truc, j'me suis dit "punaise, c'est de la bonne musique ça". Je savais pas ce que c'était. Ce matin, je mets un truc que j'ai déjà écouté au hasard. Et je tombe dessus :smile2:
  5. Jedino

    un jour = une histoire

    Ah, merci. Par contre, soit j'ai oublié, soit j'ai pas compris l'histoire du prédicateur avec ses concombres :D Ou alors, c'est ton interprétation d'un truc que j'ai écris? Je pense que c'est ça, ou alors j'ai à m'inquiéter :smile2: On fait ce qu'on peut, oui. Et elle ne peut que revenir, l'inspiration, oui
  6. Jedino

    un jour = une histoire

    Je suis habité par un animal qui hante mes jours et mes nuits. Il me suit partout sans aucun mal pour me rappeler que je m'ennuie. Je suis habité par une bête, mi-rapace, mi-poison, se satisfaisant de mes faiblesses pour me sucer la vie avec grâce. Pourtant, le spectacle ne suscite que ce dégoût proche de ce qui nous fait au mieux horreur. Un massacre aux yeux de tous, l'holocauste de tous espoirs. Tel serait le constat qu'on me dicterait machinalement. Et de ça, je ne tiendrais pas compte. Pour la simple raison que je n'y crois pas. Le démon qui me ronge parait vil et machiavélique, mais il est une partie de moi-même que je ne saurais laisser de côté. Il est autant ma tête que mon corps, mes sentiments que mon imaginaire. Il est ce que je suis devenu. Bien sûr, c'est une source certaine de conflits et de difficultés : combien de fois devrais-je encore accepter de déprimer, de perdre mes sens pour montrer que je suis aliéné, à ma façon? Probablement toujours de trop pour les autres, impuissants de compréhension. Alors finalement, quel intérêt? Quelle signification associer à ce paragraphe insensé? Si j'en crois ce que je sais, il est un des moyens utilisés pour m'armer et me remettre en route pour un temps donné. Il est mon frère, mon ami, mon ainé, toutes les personnes qui auraient pu m'aider, si elles avaient voulu ou existé. C'est la conversation de mon conscient avec mon inconscient, la confrontation entre mon imaginaire et ma réalité. C'est le bref résumé, maladroit et infantile, des événements qui se déroulent au même instant dans le plus profond de mon encéphale. Une guerre incessante d'hormones, de messages chimiques et de connexions. Ce soir, tout est contre moi : mon environnement, mon moral, et moi. Mais, ce soir aussi, je me bas comme il se doit : ne dit-on pas que la vie est un combat? Ce que l'on dit plus rarement, malgré tout, c'est que notre ennemi n'est jamais trop loin. Il est même bien souvent au plus prêt de nous.
  7. Si j'ai bien compris, c'est toi qui a fait ces terres cuites? Dans tous les cas, c'est très bien fait. Et bonne soirée.

  8. Jedino

    un jour = une histoire

    Et oui, la réalité est tout autre, tout le monde peut en témoigner. Sauf moi, m'enfin, c'est pas grave :smile2: Les histoires connaissent tous une fin. Si ce n'est par un point final, c'est par une mise à l'écart. Si nous étions éternels, peut-être que nos histoires seraient sans fins? En tout cas, je comprends ce que tu dis chateau. L'inspiration, l'envie, et le courage, sont d'une durée très incertaine. Un peu comme la vague qui va et vient. Un temps, on se trouve en haut. Un autre temps, on se trouve en bas. Bergson pensait que nous étions des êtres ivres de multitudes de petites perceptions, faisant celle que nous avons, globale et claire. Un peu comme si nous étions une grande vague qui, au final, n'en était que des centaines d'autres, plus petites.
  9. Comme sur des roulettes! (pardon, fallait que je finisse sur une note toute pourrie là )
  10. Je n'ai jamais prétendu l'inverse (du moins, pas ce soir :D).
  11. L'instinct de survie, peut-être? Ils se nourrissent, cherchent à survivre en allant vers la lumière. Pour moi, c'est déjà pas mal pour justifier un instinct. La pensée est probablement propre au monde animal, oui. Mais non. L'humain est conscient de ce qu'il peut faire, comme d'autres se tuent à le défendre et à le répéter. Donc, la notion de "mal" aussi. Il n'y a aucun "mal" dans le règne animal en général. Sauf pour nous. C'est ça, que je veux dire. Et rien de plus. Mais non, je ne pense pas animiste.
  12. Le baobab qui empêche de passer la lumière pour le petit plus bas, c'est pas un acte criminel? La plante carnivore qui tue les mouches, c'est pas cruel? Je ne comprends pas ce qui cloche dans mon propos. (mis à part la provocation à deux balles avec les plantes )
  13. @ Energikfix76 : Il y a les végétaux. Ce sont des êtres vivants. Faut pas l'oublier. D'ailleurs, c'est pas un crime ça, de tuer les végétaux? @ L-Oskar : Tu es trop fort :cool:
  14. Je suis d'accord avec dans le cadre strictement humain. M'enfin, tu n'as pas tort, on va pas s'éterniser. Je pense avoir raison, toi aussi, et j'ai surement tort, mais tu n'arriveras pas à me faire plier, car ce que je pense me parait dans la structure même "logique". Surtout qu'on pollue un peu le sujet de Cosette là.
  15. @Siestaparty Je n'ai pas dit que j'y serais insensible. J'ai dit qu'en réalité, l'acte de tuer n'est pas 'mal'. Il est normal, banal, dans le monde animal. Je veux bien que la conscience change ce fait, mais c'est à la base ainsi. C'est tout ce que je dis. Et en l'occurrence, le fait de ne pas être chassé montre l'importance de l'acte de "tuer" : il y a déséquilibre.
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