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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Des informations concernant le premier film ! [Incomplet !]
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Marrant parce que j'ai finis aujourd'hui même le "mystère des dieux" de Werber :D -
Espoir, espoir! Où niches-tu ce soir? Il me faut du courage et de l'audace, Il me faut être perspicace, Pour aller de l'avant malgré la casse. La vérité m'attend encore, tenace. Espoir, espoir! Où niches-tu ce soir? Je suis au beau milieu de la masse, Ma vivacité devient lasse : Je ne sais que faire de ma place. Demain commencera la chasse. Espoir, espoir! Où niches-tu ce soir? J'ai cru entrevoir ton visage, Celui qui traverse l'âge. Mais ton coeur est un mirage. Cours, lâche! Cours à Carthage! Fuis donc ta propre rage! Car dans l'oubli tu chutes, sage. Espoir, espoir! Où niches-tu donc ce soir?
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Chapitre 8 : Premier adversaire le puissant souffle de feu
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Et paf! Et paf! Pcchhhhh!!! Pardon :D Non mais continue ainsi, la baston, ça bastonne bien! Et Morphée, quelle culture!! -
Typique des années collèges? On ne vit pas vraiment dans le même monde, alors.
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Une bien jolie poésie
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Fifty cent, oh! Sinon, les autres sont bien marrantes :D
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J'en connais au moins deux... :D
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Pouah! Ce n'est que justice! Une vengeance personnelle contre ses fils de riches! Je les déteste sans même les connaître! Et puis, je suis intimement convaincu (et ici ce n'est ni cynique ou ironique) que quelqu'un qui souhaite s'entendre avec les autres en serait tout à fait capable s'il le voulait vraiment. Pourquoi mettre les mettre carrés de sa baraque? Ca n'a aucun intérêt. Pas le moindre. S'il veut discuter, discutons, cela ne me pose pas de problèmes. De toute façon, je suis presque dans la fourchette dont je parlais (et je trouve ça plus que ridicule de le dire!). (Puis, un coup de cynisme de temps en temps, ça fait pas de mal, en ces temps de crises et d'élections. Faut bien taper sur quelqu'un, alors s'il s'offre à nous ) Bref, bonne journée, j'en ai déjà que trop dit là.
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Moi, j'irais même plus loin en affirmant que les mètres carrés de la maison de nos parents déterminent directement nos capacités intellectuelles! Alors, forcément, on ne peut que s'entendre avec quelqu'un habitant dans une maison de cent mètres carrés de plus ou de moins, grand maximum! Désolé, on ne va pas pouvoir s'entendre. J'suis qu'à la moitié de ton score
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ll y a certains jours, oui, où j'ai pu croire en l'amour. Je n'en suis pas extrêmement fier, mais on ne peut pas se défaire d'une partie de nous. Apparemment, en tout cas. Car, est-ce réellement une nécessité, un besoin dont on ne peut se séparer? Pas sûr. Cette quête de pseudo-vérités que je m'attribue bêtement, elle ne mène à rien, ne rime à pas grand chose. J'aime plus par habitude et par désir d'être aimé que par amour. Ce sentiment a certes existé, et persiste peut-être, sait-on jamais, mais je ne le sens plus vraiment, il a dû m'abandonner. Faut dire que je ne suis pas des meilleurs hôtes. Au pire, je m'en passerai. J'ai fait sans avant, je pourrais bien le faire par après. Tout ça, je ne l'ai pas voulu. Ce n'est pas un truc qu'on délaisse exprès. Moi-même je l'ai jeté quand l'aube est devenue nuit, que les nuages se sont épaissis dès midi. Crève! Crève! Coeur meurtris. Voilà que tu t'insurges une fois qu'elle est partie! Idiot, je te le dis! Tu t'imaginais vivre sa vie! Voilà que c'est finis! Tu n'as plus que ta connerie et ta vie pour occuper tes jours de litanies! Oui, j'en crève, de cette envie, de ce désir infini, de voir, et revoir, tes yeux autrefois éblouis par l'espoir d'un homme démunis! M'as-tu, toi, épousé un samedi, après une semaine de caduques futilités? Je ne le sais pas, et ne le saurais probablement jamais, à moins de venir, oui, te demander. Seulement, j'ai peur, peur de devoir assumer, peur de ne comprendre que pas assez, peur d'à nouveau te blesser, toi mon amour, ma réalité.
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Il s'est arrêté pour le suspens?
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Mes pensées sont soufflées par la force de mon humeur, ce moteur démoniaque de tous les souvenirs que je vais m'inventer. Oh, non, je ne dis pas là que je me façonne une autre vie imaginaire. Simplement, celle-ci passe d'un noir profond à un blanc trop clair selon l'instant. Une machine infernale à gérer. Mais, comment parvenir à contrôler ce qui me détermine? Rien d'impossible, à en croire notre bon Napoléon. Pourtant, c'est une difficulté autant qu'une qualité : ne pas être sensible à un événement, et au contraire, l'être excessivement, sont deux situations inadéquates. Faisons avec, n'est-ce pas? Parfois, mes raisonnements sont évidents, voir bêtes. C'est qu'on ne peut pas toujours avoir l'air intelligent. Il faut risquer son image pour la redorer. Une sorte de poker, bluff y compris, où chacun peut sortir perdant comme vainqueur. Cessons néanmoins ces niais amalgames. La vie n'a rien d'un jeu. Certes, elle est dérisoire, souffrance, et folie. Oui, l'humain se montre cruel et destructeur. Mais, la vie ne se limite pas qu'à cela : elle reste tout un monde, tantôt beau, tantôt lumineux, où joies et sourires se manifestent discrètement sur les visages.
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Le chant du coeur ne fait pas ma joie. Mes peines ne sont que des impasses menant à je ne sais quoi. Où se trouve donc la route menant vers la foi? Je n'y adhère pas. Jamais, cela doit expliquer cela. Cessons ces plaintes qui ne devrait en rien être là : je suis presque heureux, enfin, je crois!
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C'est la fin du monde! L'apocalypse by haku! Mais pourquoi vouloir notre fin?
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Je suis plutôt d'accord avec morphee. Et, ce combat explosif et enflammé me brûle l'estomac d'un appétit mordant, maintenant! Bonne soirée, et rendez-vous au chapitre suivant
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C'est un méchant : ça se voit
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Je ne sais pas de qui est cette phrase, mais je trouve qu'elle serait plus juste en changeant "toujours" par "souvent". Parce qu'effectivement, et comme tu le dis, il y a assurément des personnes étant heureuses, vraiment heureuses. La nuance, toujours la nuance! N'est-ce pas? Mais, quêtons, oui, si cela peut faire notre bonheur :)
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Très intéressante suite, raudin :)
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Le bonheur est toujours ailleurs, mais jamais très loin...
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Le temps n'est pas notre ennemi. Il est simplement une finalité à travers laquelle nous ne voyons rien. L'inconnu, c'est ce que l'on craint.
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Boum boum boum! La guerre! Jeu préféré des humains.
