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Tout ce qui a été posté par Jedino
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les guyanaises ont le Q de travers ?
Jedino a répondu à un(e) sujet de mathieu de guyane dans Près de chez vous
Parce qu'un pied fond plus vite que l'autre. Souvent, c'est celui de gauche, quand on est droitier, parce qu'on l'utilise moins (vois ici la cause d'une exposition trop forte à la chaleur) Sinon, j'en sais rien. -
Ce sont de bien belles phrases, merci :)
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Du tout, lance-toi
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La pensée qui me traverse est sans doute le fruit de ma lecture achevée ce matin : la psychopathologie de la vie quotidienne de Freud. En y réfléchissant, je me rends compte que le Roi Lion que j'ai regardé apparemment de très nombreuses fois ne m'a aucunement marqué... Consciemment. Je ne m'en souviens nullement. Blanche-Neige, pourtant, si. Ca n'a rien de significatif, concrètement. Mais, quand j'y pense, ça m'interpelle malgré tout. Comment expliquer cela? Je ne sais pas pour vous, mais à la lecture de ce fameux livre, j'ai l'impression de ne pas me souvenir de grand chose de ma petite enfance, comme si j'avais un "trou noir" dans ma mémoire. Les seuls faits dont j'ai plus ou moins consciences sont ceux que l'on m'a rapporté par la suite. Peut-être est-ce les autres qui s'approprient des paroles comme souvenirs? Ou est-ce moi qui préfère m'en débarrasser? Je l'ignore. Je pourrais spéculer, mais cela ne mènerait à rien d'intéressant, ni même de pertinent. Actuellement, je préfère me focaliser sur l'actuel, bien que je dois me décider sur l'avenir. Je pense choisir la difficulté, c'est-à-dire la concurrence et la connaissance. Même si je n'ai pas l'âme d'un combattant, je me sens à ma place dans la peau du galérien. Ce qu'il y a à savoir, c'est que j'ai gardé la filière ayant les plus nombreux domaines pour garder d'un peu de sciences humaines et exactes. Le goût du changement au fil des heures, la variété que je témoigne aussi bien en musique que dans mes lectures. Je dois être sûrement ainsi, un peu touche à tout. Néanmoins, rien ne me permet de me détacher vraiment de ma nature, de cette tendance à vouloir faire vite plutôt que bien, à m'inquiéter quand il faudrait sourire, à aller de l'avant quand il faudrait déguerpir. Je me connais et bien, et mal. Je sais que j'y vais pour y aller, et je sais que j'y vais parce que ça pourrait me plaire réellement. Je sais aussi que je ne me préoccupe aucunement de ce que je pourrais y faire par après. Me projeter vers l'avant n'est pas une chose facile, quand on échoue souvent sur la lisière du présent. Mais, me direz-vous, ce n'est pas si grave, d'être un naufragé, à partir du moment où je sais apprécier le coucher du Soleil autrefois levant.
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Personnellement, je m'y sens bien, dans Jedino. Je lui réserve même de grands projets, ou plutôt, de grands rêves! Mais cela, c'est du virtuel.
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Ah, tu souhaites t'en éloigner?^^
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Haha! Un nouveau profil? Du nom de? :D Et, ouaip, la bise, mecs ou non!
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:D Bonne chance en tout cas pour tes examens, alors! Et un heureux passage, malgré le design qui ne te plaît pas!
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La mode n'a pas le moindre sens dans ma tête
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On est deux :D Désolé.
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Tu plaisantes, hein? :D Parce que moi, j'avais pas autant, et j'ai pas du tout flippé. Sauf peut-être en math's. Mais comme j'étais très nul en Histoire, ça compensait. T'as pas vraiment à t'en faire
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Mec, j'me demande pourquoi tu viens te faire lyncher sur ce forum de vieux qui n'y comprennent de toute façon rien à la mode! Ton style est comme il est. Tant que t'es sympa', ça ne pose aucun souci
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J'écris sans même savoir pourquoi. Je crois que j'en éprouve simplement le besoin, là. Parfois, il faut savoir délaisser le "pourquoi" pour se contenter de faire selon son envie. Il me semble, en tout cas. Mais, passons. Je vais bien réussir à trouver quelque chose d'inintéressant à raconter. Je me demande s'il est possible d'être "addict à l'imaginaire". Certes, le virtuel en est proche. Mais, ce que je chercher à savoir, ici, c'est pourquoi je préfère l'imaginaire et les rêveries à ce petit beau monde réel. J'ai mon idée sur le sujet. Faut dire que j'ai eu tout le temps d'y réfléchir depuis cette "rupture" probablement voulue inconsciemment. Je me rends compte que ce n'est pas ce que je souhaitais exposer, n'ayant pas le souhaiter d'étaler ma minable vie d'enfant gâté et plaintif pour des raisons forcément futiles. Je vais plutôt vous raconter une histoire. L'histoire d'un être. J'ignore s'il a existé, mais je n'en doute aucunement. Ma pensée a suffit à lui donner vie, rien qu'à travers ces quelques lignes. Je ne distingue pas sa mine sympathique, et encore moins ce qui, par la suite, me permettra de le reconnaître parmi les autres. Je pourrais cependant m'attarder à le décrire, si je n'étais pas intimement persuadé que ce n'est utile qu'à vous "forcer" à poursuivre en facilitant l'ancrage de votre propre imagination dans les miennes. Vous le voyez? J'en suis certain. La simple indication concernant son sexe devrait pouvoir vous donner une image vague de cet homme. Si non, peu importe. Ce détail n'a rien d'essentiel. Vous savez, je me suis déjà lancé dans une réflexion autour de mes personnages. Ce qui est surprenant, si on veut, c'est que je ne m'attarde jamais à décrire ni les figurants, ni les endroits, comme si j'avais le souci de ne pas m'ancrer dans quelque chose d'existant. Comme si je souhaitais ne pas aider le lecteur à trouver son chemin. Seulement, il y a mieux, si je puis dire, à extraire de tout ça. D'un point de vue personnel, cela peut avoir son importance, puisque les savoir souvent niais, un tantinet asocial, parfois antipathique, souvent dérangé, ou dû moins, dans le souci de ne pas être commun au moins dans la manière de penser. Bref, se détachant du reste, à la fois las et désintéressé dans un environnement aussi flou que banal. De là à faire un lien avec moi, il n'y a qu'un pas. Vous remarquerez peut-être que les "je" diminue avec l'avancement du texte. Cela se lie sans doute avec le décentrement progressif de ma personne pour me focaliser sur autre chose. Voilà donc, en un quart d'heure, le moyen d'écrire sans avoir à écrire. Quelque part, je me sens mieux. De quoi? Je n'en sais rien. Le but n'était pas de connaître mes raisons, mais seulement de m'en défaire, comme on se défait de ce qui nous paraît encombrant. Excusez-moi de cette perte de temps que je vous ai infligé, car je sais à quel point il est important d'en profiter, dès maintenant. Profiter de la vie m'a toujours paru très curieux, d'ailleurs, en ce sens où je ne vois pas en quoi l'amusement est une meilleure utilisation de son existence, que l'ennui vécu sur son lit d'une journée sans le moindre éclat levant. Je dois être stupide, et d'autant plus à mesure que je me fais cupide.
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Courage, pour ces épreuves Et bonne journée, malgré tout.
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Jolie histoire, en effet
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Chapitre 9 : Clash, abattre sa dernière carte !.
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Oui, effectivement, un personnage féminin pourrait être intéressant (et mettre la pagaille dans ce groupe de mâle, mais ça, c'est mon avis!) -
Chapitre 9 : Clash, abattre sa dernière carte !.
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Et bien, rendez-vous au tome 2, oui^^ -
Pas de poésie sans vie. Pas de vie sans poésie. Que faire? il est parti. Que dire? C'en est fini. Allons, jeune homme attendri, Pourquoi penses-tu ainsi? Pourquoi penses-aux infamies? Par delà ces ignominies Règnent la paix d'un oubli infini. Si seulement... Non, je dois fuir, fuir pour ma vie, Fuir vers une une nouvelle folie, Celle de trouver un espoir démuni.
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Pendant un temps j'ai cru qu'il suffisait de connaître pour savoir. Si c'est le cas d'un point de vue théorique, c'est bancal lorsqu'on plonge dans le côté "pratique" de la chose, puisqu'il y manque toute l'expérimentation concrète. Mais je ne souhaitais pas aborder ce sujet là. Non qu'il n'ait pas le moindre intérêt : au final, tout est intéressant, tout mérite d'être étudié. Seulement, l'envie se fait obstacle de cette volonté. Je crois que ce qui me chagrine le plus, ce soir de février, c'est mon incapacité à poursuivre ce que j'ai pu commencer hier. J'ai toujours éprouvé quelques difficultés à comprendre pourquoi j'étais si peu enclin à m'acharner sur une unique histoire plutôt que d'en entamer d'autres infiniment. Instabilité? Disons que j'ai jusque là préféré me contenter d'une solution très simple et nietzschéenne : mes émotions, mon humeur, mes pensées, sont si divergentes d'un jour à l'autre que je ne peux que m'éloigner d'un monde à présent passé. Je ne sais pas si vous saisissez. Cela revient à considérer le sommeil comme le passage, finalement, d'un état à un autre. Que ce soit correct ou non, cela n'importe pas réellement : l'essentiel, dans la vie, ce n'est pas de trouver l'exactitude universelle, mais celle qui nous conviendra personnellement.
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Merci, et oui, les habitués d’an temps se sont un peu essoufflés. La vie, c'est finalement ça : des va et vient, des rencontres et des oublis, pour toujours aller de l'avant, sans qu'on sache où il se trouve et ce qu'il est.
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Ce n'est pas que l'inspiration me quitte, bien que ce soir elle se fasse plutôt absente, mais que je garde souvent pour moi ce que j'exprime naïvement. Pour l'occasion, je vais en sortir un "inédit" tout droit sorti de mes fichiers :
