Hippocrate à la rescousse

[CmoiC 273]

Hippocrate à la rescousse Samedi 04 Décembre - 10:18 Le député-maire (UMP) de Freyming-Merlebach a saisi l'Ordre des médecins.

Il accuse un praticien d'avoir dérogé au code de déontologie en séduisant son épouse. Comme elle était sa patiente, il lui reproche d'avoir rompu le serment d'Hippocrate (460-377 av J.-C.). Ce serment appelle les jeunes médecins à se « préserver de la séduction des femmes et des garçons ». La version moderne du texte stipule que la conduite du docteur « ne servira pas à corrompre les moeurs ». En attendant de connaître la décision du vénérable Ordre qui doit être bien embarrassé, l'histoire ne dit pas si l'épouse infidèle est en meilleure santé depuis. Secret professionnel oblige !


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Source: Ouest France

[halman 4]

Il y a bien des patients qui finissent par épouser leur infirmière rencontrée pendant une hospitalisation.

Si on écoute toutes les lois, les serments, les déontologies, alors personne ne peut nulle part et jamais fréquenter qui que ce soit.

Même les pharmaciennes, dans leur déontologie sont interdites de faire connaissance avec leurs clients.

C'est le principe moyen ageux de la marâtre qui sévit encore à notre époque dans les milieux professionnels.

Une secrétaire qui tombe amoureuse de son patron c'est mal vu par les idiotes de collègues. Comme si tomber amoureux sur le lieu de travail était une tare morale.

Alors qu'en réalité le nombre de couples aides soignants et infirmières mariés ou vivant ensemble qui travaillent dans le même hôpital ou le même service est légion. Il y a des familles entières qui ont mis la main sur un service, ou qui se retrouvent éparpillées dans le même hôpital.

Pas un service hospitalier qui n'ai pas deux ou trois couples avérés ou qui se cachent.

J'ai même connu un drh se marier avec une de ses agents administrative.

Ce genre de réaction est hypocrite puisque des histoires de couple il n'y a pas un service dans aucune entreprise ou administration où il n'y en ait pas.

[Ocytocine 3 809]

Mais dans le cas énoncé il s'agit d'un adultère, pas d'une banale formation de couple.

[CmoiC 273]

Le mari trompé cherche à passer sa colère.

A priori, le médecin n'a pas abusé de sa patiente, il a juste commis l'erreur de se taper la femme du député maire (quelle idée aussi )

Dans ce cas, je ne vois pas en quoi l'ordre des médecins devrait intervenir. On appelle pas les prud'hommes quand sa femme couche avec son patron.

[dihyia 931]

le mèdecin en cause n'est pas à son coup d'essai si je puis dire. il a b...aussi la femme d'un urologue et peut être d'autres. ce n'est pas un mèdecin c'est un chaud lapin. ou bien ces dames pensent ainsi obtenir des remises sur leurs factures. (ne serait-ce pas un mèdecin de chirurgie esthétique ?)

laissez les faitss'faire...

[CmoiC 273]

Et ?

En quoi être un chaud lapin empêcherait d'exercer la profession de médecin ?

Dans ce cas là, il faut interdire à tout le monde de b... à droite ou à gauche.

[Grenouille Verte 882]

Je doute du bien-fondé des accusations de ce maire. Pourquoi un médecin ne pourrait-il pas sortir avec quelqu'un rencontré au cours de son travail ?

[gravellegg 29]

Le mari trompé cherche à passer sa colère.

A priori, le médecin n'a pas abusé de sa patiente, il a juste commis l'erreur de se taper la femme du député maire (quelle idée aussi )

Dans ce cas, je ne vois pas en quoi l'ordre des médecins devrait intervenir. On appelle pas les prud'hommes quand sa femme couche avec son patron.

ha oui,mais la c,est pas bien,lautre est vexé maintenant,plus personne va voter pour lui,c,est ca le pire

[Grenouille Verte 882]

Le cocufiage est-il une faute disciplinaire ? 05.12.2010

Les histoires d'amour finissent mal, en général dit la chanson, mais en voici une qui commence mal : l'amant, un médecin, se retrouve devant le Conseil de l'Ordre, lequel va devoir dire s'il doit être loué comme séducteur ou blâmé pour avoir commis une faute disciplinaire.

Vous riez ? Ah, la la, c'est pourtant un des grands risques du métier, et comme avocat, je partage le désarroi de mes amis (de fortune) médecins. Nous devons trouver en nous des ressources insensées pour ne pas fondre les plombs et fendre le c¿ur devant toutes les chancelantes confidences dont nous sommes abreuvés, et qui au delà du diagnostic juste ou de l'argument ajusté, appellent manifestement un peu de réconfort. Et il va de soi que mes amies médecines ou avocates sont exposées au même feu, et à la même tentation : virer le Code civil pour le Code amoureux.



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Source: Les actualités du droit

[gravellegg 29]

en fait,personne n,est a l,abris de ca