Le bien et le mal sont des notions que les philosophes et les religieux invoquent, depuis qu'ils existent, pour dicter les actes du commun des mortels : une grosse taloche dans ta tronche, ça te fera du bien, après ce que tu as fait de mal ! 

Vous imaginez la vie sans baffes, récompenses, lapidations, bisous de remerciement, écartèlements, tableaux d'honneur, bûchers ... piou ... comme la vie semblerait ennuyeuse ...  

Faire le bien ou faire le mal c'est aussi une question de goût, comme avoir plus envie d'un gros magnum au chocolat blanc, tandis que d'autres préfèrent les discours de Zemmour, doublés en Ougandais !  

Prenons en exemple les professionnels de la médecine, qui demain, vont me charcuter. Ils vont me faire du mal pour me faire du bien. Et si j'avais été maso, ce serait pareil, sauf qu'ils ne m'anesthésieraient pas, pour me faire encore plus de mal qui fait du bien ... vous me suivez ?  

Mais parfois, à vouloir faire bien, on peut se faire du mal. L'autre jour, j'ai vu un homme sauter dans un fleuve pour sauver le sac à main d'une petite vieille qui était tombée dans l'eau. Hélas (du latin "hélasium" : si j'aurais su, j'aurais pas plonju) il s'est  fait mal à l'épaule, en s'accrochant au parapet, pour sortir de l'eau ... comme quoi ...  

Donc si on y réfléchit bien, il y a des gens biens qui font du mal, mais aussi des mâles qui font du bien ... non ? Ce n'est pas Palmade qui me contredira ...  

J'aurais des noms, des tas de noms, mais je n'ajouterais rien, ce n'est pas mon genre de dire du mal des gens, d'autant que ce serait mal approprié pour que cette prose se finisse bien ...