Le pornographe masqué
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hum... y' a pas que moi qui ai écrit sur ma vie privée...et anaïs Nin était elle une érotomane qui aurait du consulter?? (déesse soit louée elle a écrit, et n'a eu que faire des jugeurs partiaux...merci à elle)
Anaïs Nin, née le 21 février 1903 à Neuilly-sur-Seine et morte le 14 janvier 1977 à Los Angeles, est une femme de lettres américaine d’origine franco-cubaine. Elle doit sa notoriété à la publication de journaux intimes qui s'étalent sur plusieurs décennies et offrant une vision profonde de sa vie privée et de ses relations. La version non censurée de ses journaux n'a pu être publiée qu'après sa mort et celle de son mari. Elle est aussi l'une des premières femmes à écrire des ouvrages érotiques.
Sachez qu'une femme qui écrit sur la sexualité, ou parle de sexe c'est une érotomane en puissance ou nymphomane pour certains (ben voyons) et qu'un homme qui fait la même chose, c'est un simple jouisseur, un homme normal en bonne santé et grand humaniste (comme par hasard)
Selon qu'on est un homme ou une femme le traitement ne sera pas le même!
Toujours et encore, même au 21 ème siècle, certaines personnes phallocrates glorifient l'appétit sexuel des hommes et comme par hasard rabaissent l'appétit sexuel des femmes, jugé par ces derniers comme étant le signe d'une pathologie sévère.
Donc je considère qu'un homme lambda qui me juge atteinte d'une pathologie genre érotomanie (lol est t' il psychiatre??) parce que j'aime parler de sexe, alors que lui même dans ses écrits parle beaucoup de cul, et de manière sexiste en plus (le mot salope et j' en passe, fuse à tout bout de champs)...c'est vraiment l'hôpital qui se moque de la charité, ou alors c'est qu'il a un gros complexe de supériorité situé au niveau de ses burnes surgonflées, et je le taxerais à mon tour d'être lui,
un Pornographe/Pornomaniaque...bienvenue au cloub des "sexes addict anonyme"...(le sexe, une drogue parmi tant d'autres pour certains, Femme comme Homme, de "notre idyllique" société occidentale de consommation, jouisseuse et matérialiste!)
à bon entendeur...
"L'addiction au sexe peut être très destructrice"
Dans le dernier film de Steve McQueen, "Shame", actuellement en salle, Brandon Sullivan est accro au sexe. Caroline Le Roux, psychologue clinicienne et sexologue à la clinique de l'Yvette à Longjumeau (Essonne), fait le point sur cette addiction.
Qu'est-ce qu'un addict au sexe?
Caroline Le Roux: Il existe plusieurs types d'addictions au sexe. On peut être dépendant à la masturbation, au sexe avec son compagnon uniquement ou avec plusieurs partenaires. Dans ce dernier cas, la recherche du partenaire fait partie intégrante de l'addiction. Dans un sens sexuel, presque animal, ou plus érotique, avec une grande importance donnée à la séduction, comme pour rechercher cette impression de "première fois".
Existe-t-il un profil type?
Pas vraiment. Les hommes sont davantage touchés, mais il y a également des femmes accros au sexe. Certains patients le sont devenus à la suite d'un traumatisme, dans l'enfance notamment, mais pas tous. En tous les cas, j'en vois de plus en plus dans mes consultations. Certainement car l'accès à des supports excitants est de plus en plus facile, notamment par Internet.
A partir de quand peut-on se considérer comme accro?
Je n'aime pas définir l'addiction au sexe en terme de fréquence. Selon moi, elle commence quand une personne n'arrive plus à gérer autre chose que cela, lorsque l'addiction prend le pas sur la vie personnelle et professionnelle. Mais il n'y a pas de norme, cela dépend des gens. Certains se masturbent très souvent mais cela n'impacte pas leur vie.
Cela affecte donc la vie quotidienne...
L'addiction au sexe peut être très destructrice. les mécanismes sont similaires à la dépendance à l'alcool ou à la drogue. On ne pense qu'à cela toute la journée. Les pulsions sont incontrôlables, on se sent obligé de les assouvir. Et l'on finit par ne vivre que pour cela. En outre, c'est très culpabilisant, car en assouvissant la pulsion, l'addict a le sentiment de ne pas être capable de se contrôler.
Pendant l'affaire DSK, beaucoup de choses ont également été dites. L'addiction peut-elle pousser à la violence?
C'est possible. La frustration peut entraîner la violence. Mais il ne faut pas stigmatiser et, surtout, cela reste une très petite minorité.
Comment peut-on en sortir?
Les thérapies de groupe et individuelles sont là pour aider le patient. Les groupes de parole, en parallèle, fonctionnent également très bien. Pour ceux qui tombent également dans une forme de dépression liée aux souffrances de leur addiction, des anti-dépresseurs peuvent également être prescrits. Mais il est également important de ne pas oublier le conjoint, lorsqu'il y en a un. Car il peut ressentir une perte de confiance et avoir l'impression qu'il n'est pas capable de satisfaire l'autre. Il faut alors rééquilibrer le couple.
http://www.lexpress....ce_1060050.html
http://www.youtube.com/watch?v=H4bh6DLVYso
Génération sacrifiée au nom de l'ultra libéralisme...
http://www.dailymotion.com/video/xaoctg_jean-cau-l-invasion-de-la-sexualite_news
Abstinence, boycott, être modéré, plus facile à dire, qu'à faire...
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