Je continue pourtant à penser qu'ils devraient me remercier, ces faux gentils qui se plaignent de moi. Nous ne sommes pas nombreux à accepter d'avoir le mauvais rôle. Le nombre de gens qui se raccrochent à nous, les méchants, les sans foi ni loi ! Nous servons de prétexte à une ribambelle de faibles qui ont besoin de nous pour céder à leurs peurs et à leur lâcheté. Tout ce qu'ils font, et ne font pas, c'est à cause de nous. Le grand jeu de cette société consiste à se refiler la faute les uns au