Pierre rabhi - la sobriété et le bonheur 💚

Il y a 5 heures, Paul hochon a dit :

J'aime bien l'histoire du colibri et de la forêt en feu de P.Rabhi.

 

 

Oui mais il ne raconte pas l'histoire en entier, dans la légende amérindienne le colibri meurt d'épuisement à la fin, l'histoire de Rabhi est bien jolie mais elle cache une réalité politique bien plus ardue.

il y a 5 minutes, Paul hochon a dit :

Elle est simple et efficace cette histoire pour sensibiliser et expliquer aux enfants l'intérêt de faire sa " part" en ecologie.

Je l'avais raconté à un de mes enfants qui trouvait obsolète le tri des déchets maintenant il l'a raconte a qui veut l'entendre. 

Pour les enfants je conçois que le procédé soit pédagogique, pour les adultes en tronquant la fin cela devient une écologie "simpliste" l'écologie n'étant pas seulement le tri de ses déchets à domicile à moins de finir mort comme le colibri à la fin de la vraie histoire.

Pierre Rabhi fait souvent consensus sur l'image qu'il dégage, il reste pourtant un personnage ambigüe si on creuse un peu la façade, flirt avec des sectes ésotériques (présentes dans le hall de ses conférences), résultats peu probants sur ses actions engagées dans les pays africains, village communautaire au fonctionnement mercantile de sa fille, caution politique donnée par la responsabilité individuelle et non plus économique de la société.

En bref "soyez sobre et tout ira bien".

Colibri, mon cul.

Il y a 22 heures, no-comment a dit :

Pour les enfants je conçois que le procédé soit pédagogique, pour les adultes en tronquant la fin cela devient une écologie "simpliste" l'écologie n'étant pas seulement le tri de ses déchets à domicile à moins de finir mort comme le colibri à la fin de la vraie histoire.

Pierre Rabhi fait souvent consensus sur l'image qu'il dégage, il reste pourtant un personnage ambigüe si on creuse un peu la façade, flirt avec des sectes ésotériques (présentes dans le hall de ses conférences), résultats peu probants sur ses actions engagées dans les pays africains, village communautaire au fonctionnement mercantile de sa fille, caution politique donnée par la responsabilité individuelle et non plus économique de la société.

En bref "soyez sobre et tout ira bien".

Colibri, mon cul.

Je suis d'accord avec l'insuffisance des petits gestes et avec l'individualisation trop preignante en terme de critique.

Mais il a une aura qui m'apaise un peu, personnellement et d'autre part; n'ayant plus de prise sur un collectif éclaté, il faut bien commencer à positiver qlq chose, qlq part.

Il résume aussi nos paradoxes sans culpabiliser les autres.