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Ce que « Bolloré » fait au livre, aux éditeurs et aux auteurs

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Marcuse

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Marcuse Membre 630 messages
Forumeur expérimenté‚ 25ans‚
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La domination sans partage du groupe Hachette sur l’édition française ne date pas d’hier. Ni même d’avant-hier. Ne remontons pas au-delà des années 1970, quand Hachette était plus ou moins officieusement l’« éditeur de la République » et officiellement combattue, à gauche, comme une « pieuvre » qui étouffait la presse. Restons-en au crépuscule du siècle dernier, alors que le regretté Jean-Luc Lagardère avait regroupé Hachette livres, distribution et médias avec l’armement (Matra) et l’aviation (EADS-Airbus). On doit bien se dire qu’en comparaison l’« empire Bolloré » fait un peu prix de consolation. Il est vrai que Jean-Luc Lagardère n’était, à l’égal des autres grands patrons, qu’un militant du profit. Alors que Vincent Bolloré…

C’est donc l’alliance du grand patronat et de la droite extrême qui a provoqué les prises de conscience dont quelques médias se font l’écho depuis l’automne 2024. Et c’est la « ligne éditoriale proche de l’extrême droite » et les « piles de revues d’extrême droite à l’entrée » de leurs bureaux qui sont à l’origine de la mobilisation, en mars 2025, des représentants du personnel de Hachette. Qui invoquent aussi, en réponse aux dangers que fait peser leur nouveau patron sur le marché du livre : des ruptures de contrat, des départs de salariés et d’auteurs, ainsi que, de la part de libraires, enseignants et lecteurs, le boycott des ouvrages édités par l’une ou l’autre des quarante et quelques marques françaises du groupe.

La clarté et la franchise de ces réactions répondent à la franchise et à la clarté du projet idéologique dont le pieux milliardaire porte fièrement les couleurs : restauration des valeurs millénaires de l’Occident chrétien — version radicalement identitaire — et croisades sous-tendues par les fantasmes du « grand remplacement ».

https://blog.mondediplo.net/ce-que-bollore-fait-au-livre-aux-editeurs-et-aux

 

 

 

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Membre, 58ans Posté(e)
G6K972 Membre 2 166 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
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Il y a 1 heure, Marcuse a dit :

La domination sans partage du groupe Hachette sur l’édition française ne date pas d’hier. Ni même d’avant-hier. Ne remontons pas au-delà des années 1970, quand Hachette était plus ou moins officieusement l’« éditeur de la République » et officiellement combattue, à gauche, comme une « pieuvre » qui étouffait la presse. Restons-en au crépuscule du siècle dernier, alors que le regretté Jean-Luc Lagardère avait regroupé Hachette livres, distribution et médias avec l’armement (Matra) et l’aviation (EADS-Airbus). On doit bien se dire qu’en comparaison l’« empire Bolloré » fait un peu prix de consolation. Il est vrai que Jean-Luc Lagardère n’était, à l’égal des autres grands patrons, qu’un militant du profit. Alors que Vincent Bolloré…

C’est donc l’alliance du grand patronat et de la droite extrême qui a provoqué les prises de conscience dont quelques médias se font l’écho depuis l’automne 2024. Et c’est la « ligne éditoriale proche de l’extrême droite » et les « piles de revues d’extrême droite à l’entrée » de leurs bureaux qui sont à l’origine de la mobilisation, en mars 2025, des représentants du personnel de Hachette. Qui invoquent aussi, en réponse aux dangers que fait peser leur nouveau patron sur le marché du livre : des ruptures de contrat, des départs de salariés et d’auteurs, ainsi que, de la part de libraires, enseignants et lecteurs, le boycott des ouvrages édités par l’une ou l’autre des quarante et quelques marques françaises du groupe.

La clarté et la franchise de ces réactions répondent à la franchise et à la clarté du projet idéologique dont le pieux milliardaire porte fièrement les couleurs : restauration des valeurs millénaires de l’Occident chrétien — version radicalement identitaire — et croisades sous-tendues par les fantasmes du « grand remplacement ».

https://blog.mondediplo.net/ce-que-bollore-fait-au-livre-aux-edit

Il y a 2 heures, Marcuse a dit :

La domination sans partage du groupe Hachette sur l’édition française ne date pas d’hier. Ni même d’avant-hier. Ne remontons pas au-delà des années 1970, quand Hachette était plus ou moins officieusement l’« éditeur de la République » et officiellement combattue, à gauche, comme une « pieuvre » qui étouffait la presse. Restons-en au crépuscule du siècle dernier, alors que le regretté Jean-Luc Lagardère avait regroupé Hachette livres, distribution et médias avec l’armement (Matra) et l’aviation (EADS-Airbus). On doit bien se dire qu’en comparaison l’« empire Bolloré » fait un peu prix de consolation. Il est vrai que Jean-Luc Lagardère n’était, à l’égal des autres grands patrons, qu’un militant du profit. Alors que Vincent Bolloré…

C’est donc l’alliance du grand patronat et de la droite extrême qui a provoqué les prises de conscience dont quelques médias se font l’écho depuis l’automne 2024. Et c’est la « ligne éditoriale proche de l’extrême droite » et les « piles de revues d’extrême droite à l’entrée » de leurs bureaux qui sont à l’origine de la mobilisation, en mars 2025, des représentants du personnel de Hachette. Qui invoquent aussi, en réponse aux dangers que fait peser leur nouveau patron sur le marché du livre : des ruptures de contrat, des départs de salariés et d’auteurs, ainsi que, de la part de libraires, enseignants et lecteurs, le boycott des ouvrages édités par l’une ou l’autre des quarante et quelques marques françaises du groupe.

La clarté et la franchise de ces réactions répondent à la franchise et à la clarté du projet idéologique dont le pieux milliardaire porte fièrement les couleurs : restauration des valeurs millénaires de l’Occident chrétien — version radicalement identitaire — et croisades sous-tendues par les fantasmes du « grand remplacement ».

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eurs-et-aux

 

 

 

Alors on n’est plus aussi fière de la grandeur du patrimoine français, ben alors qu’est ce qui se passe...

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  • 2 semaines après...
Membre, 25ans Posté(e)
Marcuse Membre 630 messages
Forumeur expérimenté‚ 25ans‚
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Des enseignants appellent à boycotter les manuels scolaires édités par le groupe Bolloré

Les syndicats Sud Education et FSU-SNUipp ainsi que les Soulèvements de la Terre dénoncent la mainmise du groupe Bolloré sur les manuels scolaires, notamment via Hachette. Ils appellent au boycott dans une tribune.

« Dans le cadre de la campagne « Désarmer Bolloré » et en continuité de l’appel signé par plus d’une centaine de collectifs, syndicats, associations… nous voulons mettre un focus particulier sur les manuels scolaires et les ressources pédagogiques en ligne des éditeurs », appellent dans une tribune des syndicats, enseignant·es, chercheurs·euses.

« Dans notre pays et jusqu’à aujourd’hui, les enseignant·es sont libres de leur pédagogie et du choix des manuels ou ressources utilisées à condition de respecter des programmes définis nationalement. Or, cette liberté pédagogique est attaquée de toutes parts », alerte le texte, qui s’inquiète d’autant plus de voir l’emprise que prend le groupe du milliardaire ultra-conservateur Vincent Bolloré sur l’édition de manuels scolaires en France. « Ce monsieur détient aujourd’hui une majorité des éditions de manuels scolaires parmi lesquelles Hachette Éducation qui publie actuellement des manuels de la maternelle à l’enseignement supérieur et possède également Hatier, Dunod, Foucher, Lelivrescolaire.fr… »

En effet, le groupe Hachette est le principal éditeur de livres scolaires et aussi de livres jeunesse avec Castelmore, Didier Jeunesse, Grasset Jeunesse, Hatier Jeunesse, La bibliothèque verte, La bibliothèque rose, Le livre de poche Jeunesse, Rageot… Si les éditeurs n’ont pas directement la main sur les programmes, « ils sont toutefois libres de les présenter sous certains angles rédactionnels ou avec des illustrations qui correspondent à une “ligne éditoriale” très orientée. Pire encore pour les manuels parascolaires (les fameux cahiers de vacances et autres livres de soutien scolaire) qui ne sont soumis à aucun cadrage officiel », poursuit le texte.

Les syndicats enseignant craignent en conséquence une réduction de la liberté pédagogique. « Ni les enseignant·es, ni les élèves ne se ressemblent tous et toutes. C’est cette richesse de diversités et d’approches pédagogiques multiples qui fondent la formation d’adultes en devenir capables d’une pensée libre, autonome et critique. On peut aussi s’alarmer quant à la garantie, au sein de ces groupes tentaculaires et de leurs filiales, de la liberté éditoriale accordée aux nombreux·ses auteurs·ices, chercheurs·euses qui jusqu’ici y publiaient des ouvrages de qualité et d’une grande diversité fournissant des ressources précieuses dans les classes. »

« Pour une école émancipatrice, solidaire et inclusive, boycottons les manuels scolaires édités par l’empire Bolloré », appelle la tribune.

https://basta.media/des-enseignants-appellent-boycott-manuels-scolaires-edites-Bollore

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  • 1 mois après...
Membre, 25ans Posté(e)
Marcuse Membre 630 messages
Forumeur expérimenté‚ 25ans‚
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Fayard, maison de l’extrême

Depuis sa captation par le groupe Bolloré, la vieille et prestigieuse maison d’édition Fayard a adopté la ligne et les méthodes de son nouveau propriétaire. L’arrivée controversée de l’éditrice d’Eric Zemmour, Lise Boëll, à sa tête, son management contesté, ses positions réactionnaires et les manœuvres d’influence en coulisses ont profondément bouleversé les équipes en place. Dernier choc en date, le recrutement d’un assistant éditorial condamné pour pédocriminalité. Plongée dans les méandres d’une reprise en main autoritaire et violente où luttes de pouvoir internes, les rumeurs plus ou moins fondées et le mercantilisme ambiant finissent de transformer une vieille institution littéraire en un projet idéologique de droite extrême. Enquête, témoignages et révélations.

https://www.blast-info.fr/articles/2025/fayard-maison-de-lextreme-By00UJVcR-aSqkyvQ5Ec9w

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  • 1 mois après...
Membre, 25ans Posté(e)
Marcuse Membre 630 messages
Forumeur expérimenté‚ 25ans‚
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Ce que « Bolloré » fait au livre, aux éditeurs et aux auteurs, 2e partie

Où l’on a vu comment l’installation du milliardaire et militant d’extrême droite catholique Vincent Bolloré en pole position des groupes éditoriaux français n’est que l’arbre qui cache une forêt bien mal fréquentée.

À la tête de Média-Participations, deuxième challenger éditorial du groupe Hachette derrière Editis, la famille Montagne affiche le même genre de pedigree mais sur un mode réservé. Catholique de droite lui aussi, mais « modéré », le fils (Vincent) a pris ses distances avec le père et fondateur (Rémy), qui agrémentait en 1974 les débats à l’Assemblée nationale sur la loi Veil en associant l’avortement aux génocides du IIIe Reich. Fondé avec l’argent des pneus Michelin et l’aide de l’assureur Axa, Média-Participations mélange désormais astucieusement l’industrie de la bande dessinée aux fascicules religieux et aux publications d’entreprise, à l’« art de vivre » et à l’« art du fil », au nautisme et au secourisme. De ce fatras émerge péniblement la bannière du Seuil, où l’on s’efforce de satisfaire le contrôleur de gestion du groupe en exploitant les grandes causes humanistes dans l’air du temps.

On ne fait pas de petites affaires juteuses avec la littérature brune sur les terres du « roi de la BD » — contrairement à ce qu’on pratique discrètement, comme on l’a vu, chez Gallimard, et en grand tintamarre chez Bolloré. Car Vincent Montagne est un pragmatique : dès son achat du Seuil en 2018, il a nommé à sa direction Hugues Jallon pour assurer auteurs et directeurs de collection que la ligne « de gauche » de la maison serait maintenue. Six ans plus tard, la caution ayant rempli son rôle mais ses « résultats » n’étant pas « satisfaisants », l’éditeur de paille a été remplacé par Coralie Piton, diplômée d’HEC, consultante pour le cabinet McKinsey passée chez Canal+ (Bolloré) et la Fnac (Kretinsky), qui connaît surtout du métier les livres de comptes (1). On peut comprendre que plusieurs cadres du Seuil soient allés voir si l’herbe était plus grasse chez Editis, racheté en 2023 au même Bolloré pour 653 millions d’euros par le même Kretinsky.

Lancé en juillet 2024 par Attac et les Soulèvements de la Terre, l’appel à « Désarmer l’empire Bolloré » (2) rappelle qu’avant de fondre sur l’édition et les médias français, le patron de Hachette a fait fortune dans l’exploitation néocoloniale et qu’il continue de compter parmi les acteurs majeurs du ravage écologique. Il faut donc aussi rappeler que le milliardaire tchèque patron d’Editis — deuxième groupe éditorial et médiatique français avec une cinquantaine de maisons dépendantes — doit sa fortune au même genre de piraterie — non pas en Afrique, comme Bolloré, mais en Europe de l’Est. Ce qui fait de Daniel Kretinsky — propriétaire de centrales électriques au lignite, au gaz et nucléaires, de gazoducs mais aussi d’entreprises de stockage de gaz, de fret, de négoce de matières premières, etc. — un producteur de nuisances écologiques et économiques du même registre, toutefois d’une autre ampleur (3).

Mais s’intéresse-t-on vraiment dans le monde du livre aux nuisances écologiques et économiques d’un grand patron dès lors qu’il ne s’agit pas de « Bolloré » ?

Sur le plan politique, la différence de positionnement entre le Breton (12e fortune française, 224e mondiale (4)) et le Tchèque (313e fortune mondiale) se situe entre Valeurs actuelles, pour le premier, et Franc-Tireur, pour le second. Autrement dit, une offre qui va de l’extrême droite à l’extrême centre — soit l’espèce d’alliance qui gouverne, vaille que vaille, le pays depuis 2022.

On a vu — ne serait-ce qu’avec la romance du grand remplacement sous la plume de Jean Raspail (5)— qu’Editis pouvait exploiter le genre de filon sans équivoque qu’on trouve plutôt chez Gallimard. Mais son cœur de profit reste le best-seller fangeux dont les avatars de l’éditeur Bernard Fixot (Oh !, XO, etc.) donnent le modèle depuis Jamais sans ma fille (décliné en mariages forcés et inceste ou « sujets de société » tels que drogue et euthanasie) ; mais aussi des « romanciers » comme Guillaume Musso et consorts, des « historiens » comme Max Gallo, les « autobiographies » de Jean-Marie Bigard, Michel Sardou, Sylvie Vartan et les essais de Valéry Giscard d’Estaing, Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron.

Toutefois, la production d’Editis étant soumise aux mêmes lois que chez Média-Participations, les marques dont les lignes éditoriales sont les moins faciles à rentabiliser y peinent tout autant à satisfaire la croissance à deux chiffres qui assure à ces groupes la production industrielle au centre de leur stratégie commerciale : noyer le marché d’ouvrages issus d’un dumping social et intellectuel. Ce qui n’est pas sans présenter quelques vilaines contradictions. Mais, entre autres avantages d’un grand groupe, la vulgarité de ces entrées d’argent assurées par une partie des enseignes peut être corrigée par l’élégance d’autres. Comme les collections « Anthropocène » au Seuil-Média-Participations et « Zones » à La Découverte-Editis — où l’on œuvre pour des causes aussi fondamentales que la lutte contre le capitalisme et la croissance, ses dégâts humains et environnementaux. Par exemple La Découverte, qui n’édite pas seulement, de Mona Chollet à Monique Pinçon-Charlot, les best-sellers d’irréprochables autrices de gauche. Suivant une comptabilité fine, on y formate les pensées publiables, légitimées par une pincée de points de vue hétérodoxes dissouts dans le tout-venant universitaire dont les coûts de production passent sous les radars du cinquième étage.

La rentrée d’automne 2024 a vu une levée de boucliers contre un projet de campagne publicitaire pour le livre de Jordan Bardella à paraître chez Fayard-Hachette. Selon Libération, l’éditeur avait programmé, entre fin novembre et mi-décembre, la diffusion de la couverture du livre (soit le portrait en pleine page de l’auteur) sur des affiches de 4 mètres sur 3 et la réservation, contre un montant de 150 000 à 200 000 euros, de « 581 panneaux publicitaires “partout en France et en banlieue parisienne” pour une “visibilité massive sur les quais de gare” SNCF et RER en banlieue (6) ». On sait qu’en fait les conditions générales de vente de la régie publicitaire de la SNCF excluent par principe les livres politiques des opérations de cette ampleur (7). Pour autant, difficile d’échapper à cette énième provocation, qui a offert au Rassemblement national une nouvelle occasion de jouer, dans les médias à sa botte, la victime de la « censure » (8). Tout en enrôlant les autres dans la pré-promotion d’un livre qui n’en avait pas besoin.

Comme il se doit, les réseaux sociaux ont brui d’indignation contre la mobilisation des médias et des librairies de « Bolloré » , dont le réseau Relay. Doit-on donc davantage s’inquiéter de la promotion d’un programme d’extrême droite que du pouvoir dont dispose un seul individu dans la bataille des idées ?

Quant à l’objet même par lequel le scandale est arrivé, on peut s’offusquer de la grossièreté du procédé tant ce livre tient du tract électoral, résumé par un journaliste de L’Humanité : « Creux politiquement, sans détail ni réflexion sur son récit personnel, un produit marketing à son image, lisse, sans relief (9) ». Mais puisqu’on parle ici d’édition, on doit en dire un peu plus que cette conclusion, finalement généreuse : comme la plupart des biographies signées par des stars du sport, de la chanson, de la danse, du petit et du grand écran, le nom sur la couverture n’a pas grand-chose à voir avec le nom de celui ou celle qui a souvent fourni, au mieux, quelques heures d’enregistrement, saisies puis réécrites par l’employé (mal payé) d’une maison d’édition — ici sous le contrôle d’un chargé de communication du Rassemblement national. Ce qui n’est pas scandaleux en soi : tout illettré devrait avoir les moyens de s’offrir un livre intitulé « Ce que je cherche ». Le problème vient plutôt, encore une fois, de la puissance de l’industrie qui inonde le marché de ce genre de production au rabais.

Thierry Discepolo

Éditions Agone, auteur de La Trahison des éditeurs (2011, 2017, 2023).
 
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Membre, 39ans Posté(e)
timot-33 Membre 2 215 messages
Maitre des forums‚ 39ans‚
Posté(e)

:cray: Je vais avoir de plus en plus de difficultés à ne pas financer le RN, môa... :snif:

Cela va les changer de l'argent russe, mais il est probable que la Russie soit justement une partie de la destination de l'argent pour y contribuer à la construction d'armement. :doh:

Modifié par timot-33
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