Galérien

C'est au son du tambour, pour éteindre, les cris de douleurs,

Boum, Boum, ne plus s'entendre respirer, et fuir ses peurs ,,,

le voyage c'est le chemin, s'il n'y avait pas, ces putains de chaînes,

Ho Dieu des vents, si tu savais, pour tes repos, combien j'ai eu de haine ,,,

Je ne sais plus pourquoi je suis là, qu'elle est ma faute, juste une peine ,,,

le fouet virevolte au dessus de nos têtes, et sculpte des cicatrices, sur les corps, a la chaîne ,,,

a coté, tout autour, des camarades d'infortunes,

de ceux qui vendraient pères et mères, pour quelques thunes ,,,

Je suis de cette foule, de cette bestialité, comme on me traite ,,,

et fais le serment de ma vengeance envers tous ces traîtres ,,,

je transpire cette soupe au vague goût de viande,

en priant, que passe cette crampe, qui me torture les jambes ,,,

Boum, Boum ; Boum, Boum, et pourtant je suis fier,

que ma rame, projette, cette foutue galère ,,,

c'est ce qu'il me reste, de cette Humanité, en jachère ,,,

ici poussent des croix, comme dans le plus fastueux, des cimetières ,,,

ma vie n'a pas de prix, il me reste a vendre chèrement ma peau,

une étincelle subsiste, même dans le plus sombre, de ses oripeaux ,,,

Je crois que vous avez tenté d'imiter leopold sedhar sangor. Et. Puis, l'irrésistible envie de tirer sa crampe. Bon c'est pas grave. Si vous voulez c'est trop perso pr que j'y comprenne. Enfin on est dans litte, donc même mon com.....

Ou alors. C'est totalement autre chose. Je ne suis pas un expert, si on veut. Enfin....

C'est pfut être un de ces récits des poètes qu'on a eu durant la première guerre mondiale. Sont les récits nous sont restés. Bon je joue aux échecs, la. La vérité c'est que j'en sais rien.

Il y a 3 heures, moi et pas moi a dit :

Je crois que vous avez tenté d'imiter leopold sedhar sangor. Et. Puis, l'irrésistible envie de tirer sa crampe. Bon c'est pas grave. Si vous voulez c'est trop perso pr que j'y comprenne. Enfin on est dans litte, donc même mon com.....

Bonsoir,

Non, je n'ai aucunes connaissances (ou références) littéraire ...

Je m'amuse a trouver des sujets, et je me lance le défi, de trouver un angle d'attaque ...

c'est en pensant aux galériens dans  Astérix et Obélix, et surtout au tambour qui rythmait les rameurs ...

ensuite, l'imagination, et le ressenti d'un Homme (injustement) mis aux galères ...

a ses Hommes qui sont déjà morts, par les gardes, ou si le navire est coulé, le pouvoir que se donnent

les tyrans ... 

Il y a 15 heures, Good Venins a dit :

C'est au son du tambour, pour éteindre, les cris de douleurs,

 

Boum, Boum, ne plus s'entendre respirer, et fuir ses peurs ,,,

 

le voyage c'est le chemin, s'il n'y avait pas, ces putains de chaînes,

 

Ho Dieu des vents, si tu savais, pour tes repos, combien j'ai eu de haine ,,,

 

Je ne sais plus pourquoi je suis là, qu'elle est ma faute, juste une peine ,,,

 

le fouet virevolte au dessus de nos têtes, et sculpte des cicatrices, sur les corps, a la chaîne ,,,

 

a coté, tout autour, des camarades d'infortunes,

 

de ceux qui vendraient pères et mères, pour quelques thunes ,,,

 

Je suis de cette foule, de cette bestialité, comme on me traite ,,,

 

et fais le serment de ma vengeance envers tous ces traîtres ,,,

 

je transpire cette soupe au vague goût de viande,

 

en priant, que passe cette crampe, qui me torture les jambes ,,,

 

Boum, Boum ; Boum, Boum, et pourtant je suis fier,

 

que ma rame, projette, cette foutue galère ,,,

 

c'est ce qu'il me reste, de cette Humanité, en jachère ,,,

 

ici poussent des croix, comme dans le plus fastueux, des cimetières ,,,

 

ma vie n'a pas de prix, il me reste a vendre chèrement ma peau,

 

une étincelle subsiste, même dans le plus sombre, de ses oripeaux ,,,

 

 

 

 

Tu me donnes l''angoisse !

Aveugle en fond de cale

J'étais fier de ma force

et de ma rame

qui projetaient la galère

et la tirait vers l'avant

Pour le commerce

ou pour la guerre ?

Mais que s'est il passé là-haut ?

Quel était ce fracas ?

Nous voilà tous les pieds dans l'eau...

Et nos chaînes nous tirent

A présent vers le fond...

Il n'y a pas d'issue.

Je me déchire les chevilles

Pour une dernière bouffée d'air...

Vous méritez le supplice de fond de cale. Immergé de la poupe à la proue, tiré par ses compagnons sur les deux côté du pont. Vite les gars, dépêchez-vous.

Il y a 2 heures, Engardin a dit :

Pour une dernière bouffée d'air...

Ben voila, t'es mouru ...

bon on est sympa, tu as le droit a une partie gratuite

Il y a 2 heures, Talon 1 a dit :

Vous méritez le supplice de fond de cale. Immergé de la poupe à la proue, tiré par ses compagnons sur les deux côté du pont. Vite les gars, dépêchez-vous.

j'avais déjà plus un poil de sec, c'est pas sympa de me faire dérouillé par l'équipage